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L'économie du Liban:
facteur de développement et de stabilité

Investir au Liban:
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complet réalisé par ANIMA
fondé par la région Provence Alpes Côte d'Azur
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Enfin un ouvrage pour vous aider à mieux maitriser la langue arabe
dans la presse et les médias



Echanges France-Liban:
chronique d'une régression prévisible

L’agence de notation Moody’s a maintenu la notation souveraine du Liban à B1 avec des perspectives stables, dans un rapport dernièrement publié .
Les critères employés par Moody’s prennent en compte quatre indices relatifs à la situation économique du pays, aux institutions et aux finances publiques ainsi qu’à la vulnérabilité aux risques.

Moody’s a estimé la croissance économique du Liban à « modérée » en raison de la petite taille et de la volatilité de l’économie libanaise. L’agence a évalué par ailleurs l’efficacité des institutions et les finances publiques à « faible », alors qu’elle a mis en garde contre une « très forte probabilité de risques » concernant le dernier point, mettant en avant les tensions locales et les répercussions de la crise syrienne sur l’économie libanaise.

Le Liban détient les deuxièmes réserves en or de la région
Avec 286,8 tonnes d'or, le Liban détient les deuxièmes réserves en or de la région MENA et les 18es au niveau mondial, selon le rapport trimestriel du World Gold Council.
Au cours du jour (1799 dollars l'once), ces réserves valent près de 16,5 milliards de dollars.
Au niveau mondial, le Liban surclasse notamment l’Espagne (281,6 tonnes), l’Autriche (280 tonnes) et la Belgique (227,5 tonnes), mais arrive juste derrière le Royaume-Uni (310,3 tonnes), le Venezuela (365,8 tonnes) et le Portugal (382,5 tonnes).
Au niveau régional, le Liban se classe juste derrière l’Arabie saoudite (322,9 tonnes) et devant l’Algérie (173,6 tonnes), la Libye (143,8 tonnes) et le Koweït (79 tonnes).

Les dépenses détaxées en hausse de 7% fin juillet
Les dépenses détaxées ont enregistré une hausse de 7% sur un an fin juillet, selon Global Blue, la société chargée de restituer aux touristes la TVA sur les biens exportés à l’étranger.
La valeur moyenne des dépenses a quant à elle progressé de 6% sur un an, reflétant une légère augmentation des dépenses par tête.
Les Saoudiens ont représenté 21% des dépenses touristiques, suivis des Emiratis (11%) et des Koweïtiens (10%).
En termes de répartition des dépenses, les vêtements et accessoires de mode ont représenté la première place avec 70% des dépenses totales, suivis des montres (10%).

La dette publiquelibanaise s'élève à 52,5 milliards de dollars, fin juin 2011
La dette publique a totalisé 52,5 milliards de dollars en juin 2011, en hausse de 3% sur un an, mais stable depuis fin 2010. La dette interne a augmenté de 5,5% à 31,8 milliards de dollars, tandis que la dette externe a reculé de 0,7% en rythme annuel à 20,7 milliards de dollars.
La dette en livres a représenté 60,6% du total contre 59,1% l’année passée, tandis que la dette en devise a constitué 39,4% du total.
Le taux d’intérêt pondéré sur les bons du Trésor s’est élevé à 7,27%. L’échéance moyenne des eurobonds fin juin était de 5 ans et celle des bons du Trésor de 841 jours.

Le déficit public s’est quant à lui élevé à 865 millions de dollars au cours des six premiers mois de l’année, contre un déficit de 909 millions de dollars au cours de la même période un an plus tôt, en baisse de 4,8%, selon les chiffres publiés par le ministère des Finances.
Le déficit s’est élevé à 15,4% du total des dépenses publiques fin juin,
contre 17,3% un an plus tôt.

Le solde primaire a enregistré un excédent de 1131,6 millions de dollars fin juin, contre un excédent de 1095,8 millions au cours de la même période de l’an dernier, enregistrant ainsi une hausse de 3,2% sur un an.

Pour le seul mois de juin, un excédent budgétaire de 350 millions de dollars a été enregistré, en progression de 885% comparé à un déficit de 44 millions enregistré en juin 2010.
Toujours selon les chiffres du ministère des Finances, les dépenses publiques ont augmenté de 7,3% sur les six premiers mois à 5,6 milliards de dollars contre 5,3 milliards un an plus tôt.
Quant aux recettes publiques, elles ont totalisé 4,8 milliards de dollars durant les six premiers mois, en hausse de 9,8% par rapport à la même période un an plus tôt.
L'ancienne ministre des Finances, Raya al-Hassan, a estimé que les chiffres publiés par le ministère des Finances n'étaient pas corrects et que l'amélioration du solde de la balance publique est le résultat de l'ajout d'environ 704 millions de dollars des télécoms en vue d'être encaissés mais n'ayant toujours pas été transférés au Trésor.
Le ministère a indiqué pour sa part avoir ajouté les montants estimés des recettes provenant des télécoms bien que celles-ci n'aient pas encore été transférées au Trésor.
Les transferts du ministère des Télécoms ne sont plus réalisés sur une base mensuelle, d'où la hausse du déficit public enregistrée les mois précédents.


Janvier 2010
Il fait bon vivre au Liban...
Le Liban 4e dans la région MENA au classement de l’indice de qualité de vie

La crise économique mondiale qui a affecté la plupart des pays dans le monde n'a pas eu de répercussions majeures sur le Liban, en tête des pays de la région Moyen-Orient/Afrique du Nord bénéficiant d'une qualité de vie supérieure.
Le classement de l'indice annuel de qualité de vie effectué par le magazine International Living a attribué la 4e place au Liban pour 2010, sur 18 pays de la région Moyen-Orient-Afrique du Nord (MENA). Le Liban est également 12e sur 194 pays au niveau mondial, avec une note générale de 54,3 points au classement de 2010, contre 54,0 pour l'année précédente. Notons que le classement est effectué au début de chaque année et représente un pronostic pour l'année à venir en termes d'indices de qualité de vie basés sur des faits antécédents.
Plus en détail, International Living s'est basé sur neuf catégories pour chaque pays figurant à son classement : cherté de vie, culture et loisirs, économie, environnement, liberté, santé, infrastructure, sécurité et risques, et climat. Le pays est noté sur 100 dans chaque catégorie, composant chacune 10 % de la note, sauf en ce qui concerne la cherté de vie et l'économie, qui pèsent toutes deux 15 % dans la moyenne générale obtenue.
De ce fait, au niveau de la région MENA, le Liban a surpassé Bahreïn (53,5 points), la Syrie (53,5 points), Qatar (52,4 points), l'Égypte (51,5 points) et les Émirats arabes unis (50,45 points). Par contre, il a obtenu une note inférieure à celle du Maroc (54,45 points), du Koweït (54,47 points) ou de la Jordanie (55,05 points). La qualité de vie au Liban est supérieure à la moyenne de la région MENA, avec un score bien au-dessus de la note régionale de 48,2 points. Globalement, une légère amélioration annuelle est toutefois remarquée dans la région, avec une augmentation de 1,7 % pour 2009. Plus précisément, le Liban a obtenu une note de 68 sur 100 pour l'indice de cherté de vie, contre 74 au classement précédent. Le bulletin économique hebdomadaire de Bank Audi, le Lebanon Weekly Monitor, qui a publié le classement d'International Living, a noté que dans cette catégorie, un glissement de la note indiquait une hausse du coût de la vie et des prix en général. Cela signifie qu'en 2010, le magazine s'attend à une augmentation de la cherté de vie au Liban. Ce pronostic s'aligne sur la hausse projetée du prix des denrées de base en raison de la résorption de la crise financière mondiale.
L'indice de cherté de vie incorpore les taux de taxe de chaque pays. Le Liban a d'ailleurs bénéficié d'une bonne note dans cette catégorie, ayant obtenu la troisième place régionale, comme précédemment au classement, et la 26e mondialement, en comparaison avec la 28e l'an dernier. Le Liban a de ce fait obtenu une meilleure note que les moyennes de la région MENA et des autres pays au niveau mondial, de 56,6 et 56,9 points respectivement.
En ce qui concerne l'indice culture et loisirs, le classement a pris en compte le taux d'alphabétisation, la circulation des journaux par tranche de 1 000 personnes, les ratios de scolarisation en premier et second cycle, le nombre de visiteurs par musée, ainsi qu'une notation subjective de la variété d'activités culturelles et ludiques proposées. La note du Liban dans cette catégorie s'est légèrement améliorée, passant de 53 points au classement de 2009 à 56.
De plus, le classement prend en compte les taux d'intérêt, le produit intérieur brut (PIB), le taux de croissance du PIB, le PIB individuel, le taux d'inflation ainsi que le produit national brut (PNB) afin de déterminer la note pour l'indice économie de chaque pays. Dans cette catégorie, le Liban a obtenu 50 points en 2010, soit un bond de 66,7 % en comparaison avec les 30 points obtenus en 2009. La note du pays est quelque peu inférieure à la moyenne de la région MENA, de 53,2 points, mais a toutefois dépassé la moyenne mondiale de 49,7 points. Dans ce contexte, il est bon de noter que cette progression a surpassé la hausse annuelle mondiale et celle de la région MENA de 47,2 % et de 54,7 % respectivement. Cela signifie que la performance économique du Liban en 2010 devrait être plus solide que celle de la plupart des autres pays dans la région ou du reste du monde, qui sont toujours en train de subir les répercussions de la crise, contrairement au Liban qui n'a pas été affecté.
Quant à la catégorie de l'environnement, elle a pris en compte la densité d'habitation au kilomètre carré, le taux de croissance de population, les émissions de gaz à effet de serre par personne ainsi que le pourcentage de la totalité de la superficie des zones protégées. Le Liban a de ce fait obtenu 65 points au niveau de l'indice environnement, soit une progression de 2 points par rapport à la note de 63 points octroyée au classement précédent, surpassant la moyenne MENA de 54,7 points et égalant la moyenne mondiale.
Au niveau de l'indice libertés, le sondage de Freedom House 2009 a été la source principale de référence sur laquelle s'est basée l'attribution des notes, avec une emphase sur les droits politiques du citoyen et la liberté civile. La note du Liban, de 42 points, n'a pas changé à ce niveau, surpassant de nouveau la moyenne régionale de 24,5 points, mais reste inférieure à la moyenne mondiale de 62,7 points.
En ce qui concerne l'indice santé, le magazine a pris en compte la mortalité infantile, l'espérance de vie et les dépenses santé du secteur public en tant que pourcentage du PIB du pays. Une amélioration significative a été remarquée pour le Liban dont la note est passée de 74 points en 2009 à 85 au classement actuel, au-dessus des moyennes MENA et mondiale de 60,0 et 58,3 points respectivement. Pour calculer l'indice infrastructure du pays, le sondage a examiné le nombre d'aéroports, de véhicules motorisés, de téléphones, de fournisseurs d'accès Internet et de téléphones portables par personne. À ce niveau, la note du Liban a légèrement reculé, passant de 41 points en 2009 à 36 en 2010, inférieure aux moyennes régionale et mondiale de 39,7 et 45,9 points respectivement.
Finalement, pour la catégorie sécurité et risques, International Living s'est basé sur le pronostic différentiel effectué par le département d'État américain concernant les risques et les dangers présents dans le contexte local, s'appuyant sur des conditions de vie extraordinairement difficiles, notablement malsaines, ou dangereuses. La note attribuée au Liban est restée constante, de 21 points pour 2010, soit largement inférieure à la moyenne de la région MENA, de 53,6 points, et à la moyenne mondiale de 75,5 points. Au niveau du climat, le magazine a étudié les précipitations annuelles ainsi que la température moyenne, prenant en considération les risques de catastrophes naturelles. À l'issue de cette étude, le Liban a obtenu la note de 61 points dans cette catégorie, chutant de manière significative en comparaison avec les 91 points obtenus un an plus tôt, mais toutefois surpassant considérablement la moyenne régionale de 37 points et s'alignant sur la moyenne mondiale.


Janvier 2009

Guerre du gaz en vue entre le Liban et Israel?
Le gaz serait-il une nouvelle source de conflit entre Israël et le Liban?
En effet, le Liban envisage de revendiquer formellement un droit de propriété sur le gisement de gaz découvert cette semaine au large de Haïfa.
Selon les autorités libanaises, une partie de ce gisement se trouverait en effet dans les eaux territoriales libanaises.
C’est ce qu’il ressort des débats de la commission des Travaux publics, de l’Energie et de l’Eau qui s’est réunie au Parlement libanais le 20 Janvier 2009.
Le président de la commission a ainsi proposé comme première étape de lancer un avertissement à la société américaine Nobel Energy qui est associée à l’exploitation du gisement sous-marin concerné avec la compagnie israélienne Delek.
Le Liban souffre chroniquement d’une pénurie d’énergie et importe l’essentiel de son gaz d’Egypte, de Syrie et d’autres pays arabes. Les coupures d’électricité sont fréquentes au Liban et la population peine parfois à se chauffer correctement.


Les banques libanaises largement immunisées face à la crise financière
par Liliane MOKBEL
Le secteur bancaire libanais est dans son intégralité en bonne santé. Il est à l’abri de la crise financière internationale.
La confiance de la clientèle dans les banques locales s’est traduite par un accroissement record des dépôts bancaires au cours des huit premiers mois de 2008.
Cette hausse s’est chiffrée à 8 milliards de dollars, dépassant ainsi la moyenne de hausse annuelle de 5 à 6 milliards de dollars.
A priori, la Banque du Liban et la Commission de contrôle des banques, qui ont fait preuve de beaucoup de vigilance, ont depuis au moins dix-huit mois interdit aux établissements de crédit locaux d’investir dans des subprimes et des produits structurés. À cet élément, il faut ajouter l’aversion au risque des dirigeants des banques libanaises qui suivent une politique de gestion des risques extrêmement conservatrice. De plus, les banques locales ont le profil de « Boring Banks », caractérisé par un fort attachement au métier traditionnel de banque commerciale. Celui-ci consiste à collecter des dépôts qui sont transformés en crédit à court terme destinés à financer soit les actifs de roulement des entreprises, soit le commerce extérieur. Ce concept de « Boring Banks » s’est avéré gratifiant lors de cette dernière crise, puisque les banques de cette catégorie ont été celles qui ont le mieux résisté à la tempête.
Les banques libanaises regorgent de liquidités, ce qui va s’avérer être bénéfique pour la croissance économique dans le pays prévu à au moins 6 % en 2008, alors que les études économiques font état de croissance nulle ou négative en Europe et aux États-Unis pour l’année en cours et les deux prochaines années. Selon Freddie Baz, responsable de la stratégie à la Bank Audi, les liquidités des banques libanaises sont là pour assurer le crédit bancaire nécessaire au financement des investissements locaux lesquels seront d’autant plus importants que le Liban a une économie importatrice dans un contexte de baisse des prix du pétrole et des matières premières.
Les crédits bancaires ont totalisé les huit premiers mois de 2008 près de 4,4 milliards de dollars, soit le volume le plus élevé au cours des dix dernières années.
En ce qui concerne Bank Audi, sa base de dépôts s’est élevée à 16,5 milliards de dollars fin septembre, soit 17,9 % de plus qu’à la fin 2007. Quant à ses profits nets, ils ont augmenté de 28,7 % au cours des neuf premiers mois de l’année. Son exposition à la crise internationale s’est limitée à la détention par le groupe d’obligations Lehman Brothers s’élevant à 10 millions de dollars au Liban et 10 millions de dollars dans les filiales du groupe. Ces montants furent couverts dans leur intégralité par des provisions au 30 septembre 2008.
Ces obligations ne sont pas des subprimes ou des produits structurés toxiques qui ont été au centre de la crise financière internationale. Il s’agit d’obligations revenant à la quatrième banque américaine et qui étaient encore notées A2 par Moody’s le jour même de sa défaillance. « Les pertes occasionnées par ses obligations et qui ont été entièrement provisionnées ne représentent que 0,1 % des actifs de la banque », souligne Freddie Baz, qui ajoute que la banque a provisionné à 100 % les obligations, alors que le taux de recouvrement sur Lehman Brothers est au moins de 40 %. « Ceci ne nous a pas empêchés de dégager quand même 180,6 millions de dollars de bénéfices nets après impôts et provisions au cours des 9 premiers mois de l’année, à un moment où toutes les grandes banques internationales et régionales enregistrent des régressions dans leurs profits pour ne pas dire aussi des pertes »,
a encore précisé Freddie Baz.
Il évoque par ailleurs le portefeuille des créances douteuses nettes de la banque qui constituent 0,35 % seulement des crédits bruts, l’un des niveaux les meilleurs
dans le secteur.
Par cette annonce à travers la presse sur ses chiffres et son exposition, la Bank Audi aura tenu la promesse de transparence à laquelle elle est tenue du fait de la cotation de ses actions à la Bourse de Londres et de Beyrouth.


La franchise au Liban :
des concepts époustouflants et exportables…

Issus d’une civilisation de commerçants, les Libanais sont des entrepreneurs hors pair. En effet, malgré le risque politique inhérent, le Liban est un pays capable de se reconstruire, d’innover, et de créer.

Al Rifai, Patchi, Pain d’Or, La Maison du Café, Rectangle Jaune, Najjar Gourmet, Crepaway, Daniel’s, Lina’s, Naï Lingerie, Casper & Gambini’s, Eternity, Salmontini, Water Lemon, Café Blanc, Huashis, La Posta, Al Sultan Brahim, Kabab-ji, La Tabkha, Wooden Bakery, Moulin d’Or, ABC…

Ces concepts purement Libanais ont été réunis dans la « Lebanese Franchising Association » créée en Février 2007 avec l’aide de la Fédération Française de la Franchise.

Un magasin de prêt-à-porter en plein milieu d’un restaurant, un chocolatier qui associe ses produits à de superbes collections d’arts de table dans une stupéfiante harmonie : des concepts innovants et audacieux !

Une autre caractéristique commune à tous ces concepts : ils s’exportent très vite vu la petite dimension du Liban, la proximité culturelle des marchés de prédilection (Egypte, Jordanie, Syrie, Pays du Golfe), et le grand pouvoir d’achat de la part des investisseurs de ces pays.

Les faiblesses des concepts libanais sont comparables à ceux des concepts Européen : absence des manuels opérationnels, fragilité du merchandising…mais ces faiblesses sont supportables dans les environnements acheteurs de franchisés aisés où la combinaison produit et environnement architectural suffit pour assurer le succès d’un concept.

Le Liban n’est pas seulement en soi une destination possible pour les concepts européens : le Liban peut être le tremplin grâce auquel il sera possible d’atteindre vite et avec un risque très faible, une dizaine de destinations qui vont de l’Egypte au Koweït, grâce aux multiples réseaux que les entrepreneurs libanais ont su construire dans ces pays.
Vu dans L’officiel de la Franchise Octobre 2007


Les marchés arabes plongent
7 Octobre 2008- En baisse de près de 10 %, la Bourse saoudienne a vécu l’une des pires journées de son histoire à l'instar des autre places financières mondiales.
À l’image des autres marchés boursiers mondiaux, la Bourse saoudienne, la première du monde arabe en termes de capitalisation, a plongé de près de 10 % à sa réouverture, alors que les places financières des autres monarchies du Golfe poursuivaient leur recul entamé la veille.
La Bourse saoudienne était restée fermée pendant une semaine en raison de l’Aïd el-Fitr. À la clôture, le Saudi Tadawul All-Shares Index (TASI) perdait 9,81 % à 6 726,60 points, son niveau le plus bas depuis plus d’un an. Il s’agit des pertes les plus élevées en une seule journée depuis plusieurs années. Avant l’Aïd, le TASI avait déjà fini le troisième trimestre en baisse de 20,2 % par rapport à la clôture du deuxième trimestre. C’est l’une des pires journées dans l’histoire du marché saoudien, où les 124 titres cotés ont cédé près de 10 %, le seuil maximum autorisé en Arabie saoudite.
Outre la crise financière mondiale, la chute du marché saoudien semble s’expliquer par les résultats modestes annoncés par certaines grandes banques du royaume pour les neuf premiers mois de l’année.
La combinaison de ces deux facteurs a fait sombrer le marché, a indiqué l’économiste saoudien Ali al-Dakkak. « C’est la panique face aux événements sur le marché mondial. Ici, les investisseurs s’attendent au pire sur les marchés américain et européens et redoutent un impact sur l’Arabie saoudite et la région », a-t-il dit à l’AFP. À cela s’ajoutent des bénéfices « inférieurs aux attentes annoncés par des sociétés cotées, notamment des banques. Cela donne une indication pour les autres groupes », a ajouté M. Dakkak, directeur d’al-Dakkak Economic Studies House. Al-Rajhi Banking Corp. a ainsi annoncé une augmentation de seulement 5 % de ses bénéfices, tandis que la banque saoudo-américaine Samba a fait état d’un recul de 6,3 % de ses bénéfices nets par rapport à la même période de l’an dernier. Les titres des différents secteurs étaient en baisse hier sur le marché saoudien. Les valeurs de la pétrochimie, conduites par le géant Sabic, ont perdu 9,92 %. Le groupe Sabic a lui-même chuté de 10 %.
Pour leur part, les Bourses des autres monarchies pétrolières du Golfe ont poursuivi la dégringolade amorcée à la reprise de leurs activités dimanche après l’Aïd. Le Kuwaiti Stock Market (KST), le second du monde arabe en termes de capitalisation, est tombé hier en dessous de 12 000 points pour la première fois depuis 15 mois. Il a perdu 3,4 % pour fermer à 11 951,70 points, cédant 6,9 % en deux jours.
Plusieurs députés koweïtiens ont appelé hier le gouvernement à « intervenir immédiatement pour stopper la chute » de la Bourse, qui se poursuivait malgré l’injection par l’État au cours des deux dernières semaines de liquidités sur le marché.
La Bourse de Dubaï a, elle, chuté de 7,6 % à 3 551,79 points, son plus bas niveau en plus de 18 mois, portant ses pertes à près de 14 % en deux jours. M. Dakkak a indiqué qu’outre la panique sur les marchés internationaux, les Bourses émiraties de Dubaï et d’Abou Dhabi étaient tirées vers le bas par le secteur immobilier. Le groupe Emaar, le géant de ce secteur, a ainsi connu une deuxième journée noire en plongeant de 10,74 %. Dimanche, il avait déjà perdu plus de 10 %. Le secteur de l’immobilier à Dubaï a perdu 11,1 % et celui des télécommunications et des services 12 %. La deuxième Bourse des Émirats arabes unis, celle d’Abou Dhabi, a fini la journée à 3 558,18 points, en baisse de 5,6 %, portant à 10 % ses pertes en deux jours. Cette Bourse a aussi été touchée par la dégringolade du secteur immobilier, qui a cédé 9,2 %. Au Qatar, Doha Securities Market a fermé en baisse de 4,43 % à 8 280,89 points, perdant 11,1 % en deux jours. Enfin, la Bourse d’Oman a chuté de 6,7 % pour clore à 7 702,85 points, perdant 9,3 % depuis dimanche.

Les banques libanaises épargnées par la crise mondiale
Chatah, Bassil et Salamé affichent leur sérénité face aux remous des marchés,
mais le président de l’Association des banques s’inquiète pour la croissance mondiale, et par conséquent locale.
La crise sur les marchés mondiaux n’aura aucune répercussion sur l’économie libanaise, ni sur les secteurs bancaire et financier locaux, a affirmé hier le ministre des Finances, Mohammad Chatah. « Les banques libanaises sont au mieux de leur forme », a renchéri le président de l’Association des banques, François Bassil, tandis que le gouverneur de la Banque centrale, Riad Salamé, abondait dans le même sens dans un entretien télévisé. Et pour cause, la Banque de Liban a émis une circulaire il y a quelques années interdisant les placements bancaires dans des titres dérivés à haut risque, dont les crédits immobiliers à risques aux États-Unis appelés « subprime », qui sont à l’origine de la crise actuelle (voir par ailleurs). Les banques locales n’auront donc pas à subir des dépréciations massives, à l’image de leurs consœurs internationales. « Le secteur local bénéficie d’un taux de liquidités élevé, de l’ordre de 45 à 50 %, nous n’avons aucun placement dans des produits dérivés à risques, nous n’avons aucun lien avec des crédits immobiliers à l’étranger, et aucune banque n’a accordé des facilités immobilières dans une grande mesure », a ainsi répété M. Bassil, en soulignant le conservatisme des politiques de crédits des banques libanaises.
La crise internationale doit toutefois être « suivie de près pour observer ses répercussions sur l’économie et la croissance mondiales, car un recul de la croissance mondiale affecte tous les pays », a-t-il ajouté.


Les transferts vers la livre se poursuivent, la dollarisation à 73,5 %
Septembre 2008-
Lors de la réunion mensuelle avec l’Association des banques, le gouverneur de la Banque du Liban, Riad Salamé, a dressé un bilan plutôt positif de la situation monétaire, indiquant que le taux de dollarisation a reculé à 73,5 %, « ce qui révèle une poursuite des transferts du dollar vers la livre libanaise »,
selon le communiqué publié hier. La balance des paiements a enregistré un excédent cumulé de 1,5 milliard de dollars au cours des sept premiers mois de l’année, a poursuivi le gouverneur, et les réserves en devises de la BDL s’élèvent à 17 milliards de dollars, « un chiffre record », sans parler des réserves en or, de l’immobilier, et des participations diverses qui portent le bilan de la Banque centrale à environ 27 milliards de dollars. « Ce niveau est très élevé comparé à la taille de la dette publique et au PIB du Liban, sachant que les prévisions de croissance cette année sont de l’ordre de 5% », affirme le texte.
Le gouverneur a ensuite répété qu’aucun changement n’est prévu au niveau de la politique des changes ou celle des taux d’intérêt. Les taux doivent rester stables pour éviter des problèmes à l’avenir en raison des taux négatifs, a expliqué le gouverneur.
M. Salamé a ensuite abordé la question de la hausse des salaires. Il a reconnu que cette mesure dans le secteur public entraînera des coûts supplémentaires, mais les comptes du Trésor auprès de la BDL sont susceptibles de les couvrir, a-t-il assuré.
Par ailleurs, le gouverneur a appelé les banques à prendre leurs précautions en souscrivant à des titres financiers dotés de taux d’intérêt alléchants émis par certaines institutions qui veulent améliorer leur situation avant la clôture des comptes annuels.
Ces offres risquent d’être massives, or l’expérience a prouvé que le fait de ne pas utiliser les liquidités disponibles peut également être profitable, en dépit des taux d’intérêt ordinaires, a affirmé M. Salamé. Il a appelé les banques à respecter rigoureusement les lois et les circulaires relatives aux crédits, sachant que le manque de liquidités peut avoir des conséquences néfastes.

Dégradation de l’environnement de la croissance
Le Liban en net recul depuis dix ans
Août 2008- La banque d’investissement Goldman Sachs a classé le Liban à la 118e place sur une échelle internationale en termes de score de l’environnement de la croissance pour 2007, en recul de la 116e place en 2006 et surtout de la 78e place en 1997.
Le rapport, cité par Lebanon this Week, le bulletin économique de Byblos Bank, a aussi classé le Liban à la 81e place parmi les économies développées, en recul de la 79e place en 2006 et de la 45e en 1997. Par ailleurs, le Liban a occupé la 35e place parmi 37 pays à haut moyen revenu, en recul de la 27e en 1997. Le score de l’environnement de la croissance (SEC) est un indicateur composite qui mesure les conditions de la croissance économique dans 181 pays et qui classe ces pays selon leur habileté à réaliser leur potentiel de croissance.
Le SEC comprend 13 indices regroupés en cinq larges catégories de critères de croissance. Les catégories représentent la stabilité macroéconomique qui couvre le taux d’inflation, le déficit du Trésor public et la dette externe comme pourcentage du PIB. Elles représentent aussi les conditions macroéconomiques comme les taux d’investissement et l’ouverture de l’économie, le capital humain incluant l’espérance de vie et le niveau d’éducation, les capacités technologiques comme la pénétration des ordinateurs, du téléphone et de l’Internet, ainsi que les conditions qui reflètent la stabilité politique, l’application de la loi et la lutte contre la corruption. Goldman Sachs a estimé que le maintien de ces conditions est une composante cruciale pour réaliser le potentiel de croissance.


La MEA agrandit sa flotte de dix Airbus

20 Juin 2008- La Middle East Airlines (MEA) agrandit sa flotte de dix nouveaux Airbus qui s’ajouteront aux neuf avions opérationnels depuis 2002.
Elle a pris livraison le 19 Juin 2008 du premier appareil A330 200 au cours d’une cérémonie solennelle qui a eu lieu dans les installations d’Airbus à l’aéroport de Toulouse, en présence notamment de cadres supérieurs d’Airbus et du PDG de la MEA, Mohammad el-Hout, de Adel el-Khalil et Sami Matta, membres du conseil d’administration de la compagnie nationale aérienne, et de Joe Issa el-Khoury, conseiller juridique de la MEA. Une soixantaine de représentants de différents médias libanais ont également assisté à la cérémonie.
Entre janvier et avril 2009, la compagnie nationale aérienne réceptionnera six avions et trois autres en 2010. Dans son ensemble, la flotte de la MEA sera composée de 19 avions, soit 3 A330 200, 6 A321 et 6 autres A320. La décision d’acquisition de nouveaux appareils a été prise en 2006. À cette époque, les prix d’achat des avions étaient en baisse. Une économie de non moins de 70 millions de dollars aurait été faite par la MEA au niveau de l’ensemble de la transaction, a souligné Mohammad el-Hout. Si ce dernier n’a pas voulu révéler le prix unitaire des nouveaux appareils, il a confirmé que ce prix est différent de celui du prix catalogue de 95 millions de dollars. De toute façon, lors de la publication du bilan annuel de la MEA, les chiffres de la transaction seront par le fait même divulgués au public.
Dans l’accord de vente, une clause prohibant tout versement de commission en numéraire ou de tout autre profit en nature a été prévue. La clause reste applicable sur les dix prochaines années et tout contrevenant à ces dispositions est passible d’une amende équivalente à environ dix fois le montant de la commission, en plus d’un emprisonnement. Cette clause a été confirmée par Hussein Fakih, président d’Airbus pour le Proche-Orient.

Sarkis estime les pertes du secteur touristique à 3,5 milliards de dollars
par an depuis 2005

27 Février 2008- Le ministre du Tourisme, Joe Sarkis, a affirmé « comprendre » les recommandations de certains pays arabes faites à leurs ressortissants de ne pas se rendre au Liban, « étant donné l’instabilité de la situation sécuritaire » dans le pays, tout en espérant une amélioration rapide de nature à relancer l’activité touristique. Dans un entretien au site Nufooz.com, le ministre a estimé les pertes du secteur à 3,5 milliards de dollars par an depuis 2005.
Concernant les investissements immobiliers dans le secteur touristique, qui avaient atteint 800 millions de dollars à la veille de la guerre de juillet 2006, M. Sarkis a indiqué qu’une partie d’entre eux étaient suspendus. Le reste a été transféré vers d’autres pays de la région, « ce qui est logique et naturel car les capitaux ne peuvent pas être gelés, » en attendant une embellie politique, a-t-il poursuivi.
Au sujet du centre-ville, Sarkis a estimé que le sit-in a été un coup dur pour l’économie. À ce propos, « je me permets de dire qu’à peine nous avons fini avec le “mal d’Israël”, nous sommes tombés dans le “mal des tentes” au centre-ville qui représente une vitrine touristique pour le Liban, comme si ces parties politiques veulent frapper l’économie et empêcher le développement du pays ».
Le ministre a ensuite évoqué la campagne internationale de promotion du Liban qui vise à ne pas effacer le pays du Cèdre « de la carte du tourisme mondial ». En revanche, le fonds arabe de soutien au secteur touristique, qui devait voir le jour après la guerre de juillet, est resté au stade de projet car « la création de ce genre de fonds nécessite une stabilité afin de pouvoir le doter de capitaux », a-t-il déploré.
Enfin, le ministre a dit ne pas s’attendre à l’élection d’un nouveau président avant le sommet arabe de Damas, à la fin du mois.


Le taux d’occupation des hôtels à Beyrouth a été de 38 % en 2007
L’enquête annuelle menée sur les hôtels au Proche-Orient par Deloitte & Touche a montré que le taux d’occupation des hôtels à Beyrouth était de 38 % en 2007, reculant de 48,6 % par rapport à 2006. L’enquête, citée dans le bulletin hebdomadaire de Byblos Bank,
« Lebanon This Week », souligne que le taux d’occupation dans les hôtels de Beyrouth a été le plus faible parmi dix marchés dans la région à l’instar de 2006. Ce taux d’occupation est en dessous de la moyenne régionale de 71,6 % en 2007 et de 68,8 % en 2006.
L’enquête estime que le prix moyen d’une chambre d’hôtel à Beyrouth était de 124 dollars en 2007, en recul de 8,8 %, de 136 dollars, en 2006, classant les hôtels de Beyrouth en 6e position en termes de cherté de prix de la chambre dans la région.
Le prix moyen de la chambre d’hôtel à Beyrouth se situe en dessous de la moyenne régionale de 151 dollars, qui a haussé de 143 dollars l’année dernière.
Les revenus par chambre disponible étaient de 47 dollars à Beyrouth, en recul de 66 dollars par rapport à 2006, classant la capitale libanaise à la 9e place dans la région.
Les revenus par chambre d’hôtel à Beyrouth ont enregistré une baisse de 27,5 % sur un an, soit le recul le plus aigu sur un an parmi les dix marchés régionaux alors que la moyenne de revenus par chambre d’hôtel dans la région a haussé de 17,3 % à 108 dollars.
Beyrouth et Doha ont été les seules capitales à enregistrer l’année dernière une baisse en termes de revenus par chambre d’hôtel.
Dubaï a enregistré le taux d’occupation le plus élevé au Proche-Orient avec 84,2 %, le prix par chambre le plus élevé avec 283 dollars et le revenu le plus élevé par chambre d’hôtel de 239 dollars. Quant à Mascate, elle a enregistré la croissance la plus élevée en termes de revenus par chambre d’hôtel à 52,8 %. L’enquête souligne que la région a enregistré sa quatrième croissance consécutive à deux chiffres en termes de revenus par chambre d’hôtel, avec une moyenne par chambre augmentant de 11,4 % et le taux d’occupation de 5 %. Alors que la moyenne de revenus par chambre d’hôtel a été la deuxième la plus élevée dans le monde à 17,3 %.


Les ventes de voitures neuves en hausse de 23,3 % en 2007
Les constructeurs japonais dominent le marché, Renault en chute libre!
Quelque 18 687 voitures ont été vendues en 2007 au Liban, contre 15 151 unités l’année précédente, selon les chiffres de l’Association des importateurs d’automobiles, cités par le bulletin hebdomadaire de la Byblos Bank, Lebanon This Week. Les ventes affichent ainsi une hausse de 23,3 % sur un an, en dépit de l’instabilité chronique et des incertitudes politiques qui ont marqué l’année écoulée.
Toutefois, l’inertie totale du marché durant et après la guerre de juillet 2006 explique aussi cette hausse annuelle.
Le mois de décembre 2007 a été le plus actif, avec 2 086 voitures de tourisme vendues, soit 11,2 % du total, suivi par les mois d’août et d’octobre représentant 10,9 % et 10,7 % du total, respectivement.
Le nombre de véhicules vendus l’année dernière reste cependant inférieur au pic atteint en 2004, lorsque le parc de voitures neuves avait atteint 19 105 unités.
En 2007, les voitures japonaises ont représenté 46,9 % du marché libanais, suivies par les européennes (27,9 %), les coréennes (17,3 %) et les américaines (7,4 %).
Les ventes d’automobiles japonaises ont également été celles qui ont enregistré la plus forte croissance annuelle, de l’ordre de 39 %, devant les coréennes (33,7 %) et les américaines (12 %).
La vigueur de l’euro a en revanche affecté la demande globale de voitures européennes, en hausse de seulement 1,4 %.
Les parts de marché des constructeurs européens au Liban ont ainsi reculé de 6 %, ainsi que celle des Américains (-0,7%), au bénéfice de leurs concurrents japonais (+ 5,3 %) et coréens (+1,3 %).
Le constructeur Nissan a continué à dominer le marché au Liban avec un total de 3 474 voitures vendues en 2007, soit 18,6 % du total, suivi par Kia avec 12,8 % de parts de marché et Toyota (12,6 %).
L’agent de Nissan et Infiniti au Liban, Rymco, a ainsi représenté 21,2 % des ventes de voitures neuves, continuant d’avoir la plus forte part de marché parmi les concessionnaires automobiles. Il a été suivi par BUMC (Toyota et Lexus) avec 13,6 % de parts de marché, Natco (Kia) avec 12 %, Bassoul Hneiné (BMW, Renault, Alfa Romeo et Mini) avec 8 % et Sidia (Peugeot) avec 7,4 %.

Les marques les plus vendues au Liban en 2007
Marque Nombre Variation annuelle
Nissan 3474 69 %
Kia 2403 53 %
Toyota 2362 24 %
Peugeot 1552 33 %
Honda 1008 21 %
Hyundai 823 –1 %
Renault 736 –26 %
Chevrolet 710 –6 %
BMW 496 2 %
Mitsubishi 441 34 %


Beyrouth classée 5e ville la plus chère de la région MENA
Juin 2007- Selon l’enquête annuelle de Mercer Human Resource Consulting sur le coût de la vie dans 143 villes du monde, citée par le Lebanon This Week de la Byblos Bank, Beyrouth est la 63e ville la plus chère au monde, et la cinquième parmi les 15 villes du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord en 2007. Un an plus tôt, la capitale libanaise occupait la 32e place dans le monde et la 4e dans la région. L’étude mesure les coûts comparatifs de plus de 200 produits et services dans chacune des villes, parmi lesquels le logement, la nourriture, les biens ménagers, le transport, les loisirs…
Elle compare notamment les produits haut de gamme importants pour les expatriés et leurs employeurs, l’étude étant annuellement réalisée pour aider les compagnies multinationales à définir les montants alloués à leurs employés expatriés. La ville de New York sert de référence pour le classement avec un score de 100 points. Beyrouth a reçu un score de 82,6 points, en baisse de 3,3 % par rapport aux 85,4 points obtenus en 2006. Selon la recherche de la Byblos Bank, ce résultat est au-dessus de la moyenne mondiale, 81,7 points, et au-dessus des moyennes régionale et arabe, respectivement 79 et 78,2 points.
Au niveau mondial, Beyrouth se classe juste derrière São Paulo, Budapest et Ho Chi Minh Ville. Elle est considérée plus chère que Melbourne, Rio de Janeiro et Honolulu.
Beyrouth a perdu 31 places depuis le dernier classement, la troisième baisse la plus importante dans le monde.
Cette baisse est attribuée à l’indexation de la livre libanaise au dollar, ainsi qu’à la hausse du coût de vie dans de nombreuses villes en raison de l’appréciation de l’euro face au dollar. Moscou est la ville la plus chère au monde pour la deuxième année consécutive avec un score de 134,4 points, tandis qu’Asuncion, au Paraguay, est la ville la moins chère avec un score de 50 points.

Mai 2007
Le groupe français Legrand ouvre un bureau de représentation à Beyrouth
Le groupe Legrand, spécialiste des systèmes pour les installations électriques et les réseaux d’information, et implanté dans plus de 60 pays, a ouvert un nouveau bureau de représentation à Beyrouth.
Présent au Liban depuis plus de 50 ans à travers cinq distributeurs locaux, le groupe a décidé de rouvrir son bureau, fermé durant la guerre civile, « pour suivre de plus près encore les besoins de nos clients », a indiqué le directeur du bureau au Liban, Brice Gergeres. Ce bureau apportera un support technique et commercial aux partenaires locaux et aux clients. « Il permettra également de communiquer sur toutes les marques du groupe et de proposer des solutions globales pour les bâtiments résidentiels, tertiaires et industriels », a poursuivi M. Gergeres.
D’autant que, « le secteur de la construction est en plein essor au Liban, et un grand nombre de projets sont décidés au Liban par des prescripteurs libanais pour l’ensemble du Moyen-Orient », a-t-il ajouté.
Le marché libanais, sur lequel Legrand est leader en appareillage électrique, connaît en effet une croissance soutenue depuis quelques années, au moins de l’ordre de 40 % par an.
En 2006, le chiffre d’affaires du groupe au Liban s’est élevé à sept millions d’euros en hausse de 50 % par rapport à l’année précédente. « Legrand a en partie bénéficié des efforts de reconstruction après la guerre de juillet, a expliqué M. Gergeres. L’activité s’est ensuite ralentie au début de cette année, mais nous observons une reprise certaine depuis quelque temps. Nous avons confiance dans le marché libanais. Et nous tablons sur un chiffre d’affaires de près de 10 millions d’euros en 2007. »
Selon le directeur export du groupe de passage à Beyrouth, Michel Marion, les exportations vers le Liban n’ont pas été affectées par la hausse de l’euro, car les principaux concurrents de Legrand au Liban sont également des groupes européens.
Et « même si, une fois la reconstruction achevée, le parc se stabilise, le marché libanais reste prometteur en termes de modernisation des installations existantes. Vu le coût de l’électricité dans le pays, on s’attend à une demande importante de systèmes sophistiqués qui permettent d’économiser jusqu’à 40 % de la consommation électrique », a ajouté M. Marion.
Toutefois, la cible principale du groupe n’est évidemment pas le pays des Cèdres, mais le reste de la région. En effet, le chiffre d’affaires réalisé par Legrand au Moyen-Orient augmente de près de 80 % par an, principalement porté par le Golfe, contre 10 % en France, par exemple. Or « nous nous sommes rendu compte qu’une partie des projets du Golfe sont conçus par des prescripteurs libanais, et que les grands bureaux d’études sont installés ici. Nous avons donc décidé de nous rapprocher d’eux », a expliqué M. Marion. « Le Liban n’est peut-être plus la Suisse du Moyen-Orient, mais il bénéficie toujours d’un certain rayonnement régional », a-t-il conclu.
Sahar AL-ATTAR


Le Liban présent à la quinzaine du commerce équitable

Le commerce équitable n’est pas seulement une nouvelle forme de commerce.
Il a bien d’autres atouts.
En imposant des normes qualitatives de production , il permet aux payans qui acceptent de s’y soumettre d’accéder à de nouveaux marchés. C’est ainsi qu’au Liban grâce à la jeune association Fair Trade Lebanon 53 producteurs d’huile d’olive de Kléa un village situé dans une zone déshéritée du sud du pays sortent petit à petit de la misère. Leur huile est maintenant vendue au Luxembourg, au Canada et en France . Phillipe Adyame le fondateur de Faire Trade Lebanon a du beaucoup discuter avec eux pour faire modifier les méthodes de travail.
Avec l’argent qui rentrent les paysans sont moins tentés de quitter leurs terres.
La quinzaine du commerce équitable qui se tient jusqu’au 13 mai est l’occasion de découvrir à travers plus de 3000 manifestations dans toute la France d’autres aspect de ce commerce plus juste.

Décembre 2006

Création de l’Association libanaise de la franchise
L’annonce officielle de la création de l’Association libanaise de la franchise (ALF), qui devait avoir lieu aujourd’hui au cours d’une conférence de presse, a été reportée à février en raison des circonstances que traverse le pays. L’association, qui est présidée par Charles Arbid, regroupe une cinquantaine d’hommes d’affaires parmi lesquels des industriels, des commerçants et des opérateurs touristiques. L’association opérera en coordination avec les ministères de l’Économie, de l’Industrie et du Tourisme, ainsi qu’avec le Centre euro-libanais de modernisation de l’industrie
et la CCIAB.
Selon Charles Arbid, l’Association libanaise de la franchise a pour ambition de développer la franchise au Liban et, à travers cette stratégie, participer au développement de l’économie libanaise. Il a affirmé que l’association a le soutien des autorités publiques qui reconnaissent, dans cet objectif, un important moyen de modernisation de nombreux secteurs commerciaux au Liban.
L’ALF reconnaît, a encore dit Charles Arbid, que le développement de ce secteur ne peut se faire harmonieusement qu’en respectant les règles du code de déontologie européen dont elle a pleine connaissance. Il s’agit d’un code initié par la Fédération française de la franchise et adopté dans ses principales dispositions par le Conseil mondial de la franchise.
Le comité directoire de l’ALF est formé comme suit : Charles Arbid, président ; Mohammad Choucair, vice-président ; Mohammad Rifaï ; Georges Najjear, trésorier ; Robert Fadel, membre ; et Nabil Ladki, représentant de l’ALF auprès du gouvernement.


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Novembre 2006

TECHNOLOGIE & ENTREPRISE
Berytech, le premier pôle de la région à recevoir le label « BIC » pour incubateurs

Le pôle technologique Berytech a reçu le label européen BIC (Business Innovation Center), en conformité avec 18 critères de qualités pour incubateurs. « Aujourd’hui 166 centres dans 22 pays en Europe jouissent de ce label, alors que Berytech est le premier pôle au Moyen-Orient à recevoir cette distinction », affirme le communiqué du centre. Ce label reconnaît ainsi l’action de Berytech en termes de support aux PME et à l’entrepreunariat. « À ce jour, Berytech a accompagné le démarrage de plus de 70 start-up à partir de son centre à Mar Roukoz. Aujourd’hui, il étend sa couverture géographique en inaugurant un nouveau centre à la rue de Damas, où les services d’incubation, d’hébergement, de formation et de conseil seront proposés aux entrepreneurs », conclut le texte

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Octobre 2006
À lui seul, le contingent français devrait injecter un million de dollars en six mois: la Finul, un ballon d’oxygène pour l’économie libanaise

Les 3 000 nouveaux Casques bleus dépêchés ces dernières semaines au Liban pour renforcer les 2 000 hommes de la Finul déjà présents apportent un ballon d’oxygène
à l’économie libanaise, loin cependant de compenser les effets dévastateurs
de 34 jours de guerre.
Comme la KFOR au Kosovo ou la SFOR en Bosnie, la Force intérimaire des Nations unies au Liban (Finul) se fournit sur place en produits frais, eau minérale, matériel de bureau, matériaux de construction et carburant. Elle passe aussi des contrats pour divers services comme l’enlèvement des déchets ou la blanchisserie.
À lui seul, le contingent français et ses 900 hommes devraient injecter un million de dollars dans l’économie locale en six mois, selon les estimations
du lieutenant Franck Abraham.
Le chef des services administratifs et financiers du bataillon estime que le seul foyer des soldats qui sera prochainement érigé sur la base de Deir Kifa brassera 300 000 dollars pendant cette période en achats de boissons, produits d’hygiène et autres matériels électroniques et informatiques. C’est aussi auprès de fournisseurs locaux que le foyer s’équipera d’un téléphone pour que les soldats puissent appeler leurs familles en France, d’une liaison Internet et de la télévision par satellite. À la sortie des bases vivotent de véritables centres commerciaux. On y trouve de tout : restaurants, tailleurs, bijoutiers, blanchisserie, épiciers, tabacs et autres marchands d’électronique, d’informatique ou de souvenirs. À Naqoura, le long des murs fortifiés du QG de la Finul, s’aligne un chapelet de boutiques qui a connu son heure de gloire du temps de l’occupation israélienne du Liban-Sud, dans les années 80 et 90. « On l’appelait les Champs-Élysées », se souvient Khairallah Chaya, l’épicier. Les « Champs-Élysées » de Naqoura ont perdu de leur lustre.
Aux Casques bleus aisés de l’époque, suédois et norvégiens, ont succédé après le retrait israélien en 2000 des soldats ghanéens et indiens, sans le sou. L’espoir renaît tout juste depuis trois semaines avec l’arrivée des Français.
« Nous faisons 20 à 30 couverts tous les soirs avec eux contre trois ou quatre auparavant », se félicite Éliane Soueily, qui tient un petit restaurant dans cette fameuse « avenue ». « Du coup, nous avons embauché un cuistot et une serveuse ».
Mais la Finul emploie aussi directement quelque 300 employés civils locaux, interprètes, femmes de ménage ou cuisiniers. Des postes très convoités ; des dizaines de postulants se présentent chaque jour à l’entrée de la base.
Son « Application Form » (le formulaire de demande d’emploi) de la Finul à la main, Karim Félfé, 35 ans, a travaillé dans l’hôtellerie jusqu’en 2002 puis comme ouvrier agricole. Il rêve d’un emploi à 1 000 dollars par mois dans les cuisines, la sécurité ou la mécanique qui lui permettrait de s’acheter une voiture et de prendre des cours de langue. Les soldats donnent aussi un petit coup de pouce à l’économie locale lorsqu’ils font leurs emplettes au gré des patrouilles.
Les bras chargés de fruits et légumes pour améliorer l’ordinaire, l’un d’eux confiait avoir « dû dépenser 500 dollars sur un mois pour l’achat d’un lecteur DVD, d’un peu de nourriture, de café et de cigarettes ». Une petite aubaine pour le commerce local.



Juillet 2006

L'économie libanaise entre en résistance

Parmi les piliers de l'économie, seuls la finance, l'informatique, les médias et le négoce résistent. Le tourisme s'écroule et la publicité s'expatrie à Dubaï.

Alors que les bombes israéliennes déferlent sur les entrepôts, les barrages, les centrales électriques et les usines, détruisant aussi bien les sites du géant américain Procter & Gamble que ceux du lait Candia, l'exemple est venu du haut, du très respecté directeur de la banque centrale du Liban. « Je resterai à mon poste jusqu'à la fin. Je dormirai à la banque s'il le faut », confie Riad Salamé. Dans ses bureaux du quartier chrétien d'Achrafiyeh, Ricardo Hosri, 33 ans, dirigeant de F. A Hosri, l'un des principaux groupes de négoce du pays, a pris la même décision : « Je me démène pour évacuer Maria, ma femme enceinte avec nos deux petites filles vers la France ou les États-Unis. Moi, je resterai derrière comme tous les autres entrepreneurs de Beyrouth. Personne n'a hésité. Depuis quarante-huit heures, c'est devenu une guerre économique. Les entreprises sont directement visées alors qu'elles n'ont rien à voir avec le Hezbollah. »

Pourquoi ne pas s'enfuir ? Parce que c'est justement « grâce aux banquiers, aux hommes d'affaires et aux industriels restés à leurs postes que l'économie libanaise avait survécu aux quinze ans de guerre entre 1975-1990 », rappelle Roger Nasnas, président d'Axa Moyen-Orient et président du conseil économique et social du Liban. « Le secteur financier était resté l'un des piliers de l'économie car les Libanais sont des banquiers avisés. Le secteur s'était même développé avec la création d'une centaine de banques. Chaque homme d'affaires qui s'en sortait se devait d'avoir sa banque », plaisante le financier Albert Letayf. Du coup, à la fin de la guerre, l'économie du Liban avait retrouvé sa place de plate-forme régionale. Ses palaces, ses plages et ses stations de ski étaient redevenus le lieu de vacances privilégié des Arabes du Golfe.
« Attirées par la croissance de 15 à 20 % par an, toutes les grandes install agences de publicité s'étaientées à Beyrouth », raconte Jacques Séguela, tout fier d'être venu autrefois sous les bombes ouvrir l'une des premières agences du pays. Outre la publicité, la finance et le tourisme, Beyrouth était aussi la plaque tournante régionale pour le négoce et les médias. « À l'exception des chaînes d'information al-Jezira (basée à Doha) et al-Arabiya (Dubaï), les grandes chaînes arabes comme MBC, NBC et Future TV sont basées à Beyrouth », témoigne la productrice Péri Cochin qui, entre deux chroniques pour Laurent Ruquier, vend les émissions de Nagui (« Taratata »), de Michel Drucker (« Vivement dimanche ») et de Thierry Ardisson (« Tout le monde en parle ») au Liban.

Une croissance de 5% était attendue

Seule démocratie régionale avec Israël, le Liban est aussi devenu le siège des rédactions, notamment celles des magazines féminins. C'est donc à Beyrouth, il y a seulement trois semaines, qu'Arnaud Lagardère (Hachette Filipacchi Medias) a lancé son Elle version Moyen-Orient.

Grâce à ces différents secteurs, le secteur privé était en plein boom : la croissance annuelle attendue pour la fin de l'année était de 5 %. Restait à diminuer la dette publique faramineuse de 38,8 milliards de dollars. Pour cela, le pays comptait sur les privatisations mais aussi sur le tourisme. Et c'était bien parti. « Nous attendions un record de 1,6 million de touristes, soit un chiffre d'affaires de plus de 2 milliards de dollars », soupire Serge Akl, directeur de l'office de tourisme libanais à Paris.

Depuis, les plages sont fermées. Des milliers de saisonniers ont été licenciés. Un coup dur car le chômage est très faible au Liban. Au dernier étage de l'immeuble Patchi au coeur de Beyrouth, Alain Ducasse a fermé son restaurant de desserts, le Tamaris. Raïf Letayf, gérant de la licence de boulangerie-salon de thé Paul, n'ouvre plus que son restaurant en centre-ville et baisse le rideau à 15 heures quand les bombardements reprennent. « J'ai de la farine pour un mois. Après, on verra si les cargos pourront débarquer leurs marchandises », confie cet entrepreneur qui a abandonné l'idée d'ouvrir deux boulangeries Paul.

Si le tourisme est mort, les autres secteurs s'organisent pour survivre. Les destructions d'usines comme celle de Candia (10 millions de dollars de dégâts) coûtent des millions de dollars aux chefs d'entreprise « car les assurances ne couvrent pas les risques de guerre », reconnaît Roger Nasnas d'Axa. « Il faut prendre des décisions stratégiques dans la minute, confie le négociant Ricardo Hosri. Aujourd'hui, je ne sais pas si je dois prendre le risque de sortir ma marchandise bloquée dans le port depuis neuf jours. Les entrepôts comme les camions sont bombardés. Je ne peux plus travailler mais je dois faire face à mes dépenses fixes comme les frais bancaires, l'électricité et le téléphone. Pour limiter les coûts sans fermer, j'ai pris la dure décision de mettre la moitié de mes effectifs en vacances. Les salariés sont déprimés : au Liban, nous n'avons que quinze jours de vacances. »

Course contre la montre

Si, comme Ricardo Hosri, les chefs d'entreprises supportent le stress des bombes, c'est aussi parce qu'à long terme, ils ont peur que Beyrouth perde sa place de plate-forme régionale. Ces derniers mois, Bahrein a mis la main sur le juteux marché de la finance islamique. Et Dubaï qui est en train devenir la capitale du Moyen-Orient s'approprie la publicité en attirant les créatifs. « La guerre a précipité le mouvement, le Liban va devenir un pays comme les autres », estime Jacques Séguela qui vient justement de déménager le siège régional de Havas dans les gratte-ciel du Cheikh Mohammed Al Maktoum.

À Beyrouth, les PDG ont conscience que la course contre la montre a commencé. « Si la situation se règle rapidement, le Liban ira mieux qu'avant », affirme Albert Letayf. « Nous gardons espoir car nous nous sommes toujours relevés »,
rappelle Roger Nasnas.

LÉNA LUTAUD pour Le Figaro, le 21 juillet 2006


Le Liban gagne 19 places dans le classement des risques pays

Le critère de performance économique s’est amélioré de 83,3 %

Avril 2006- Dans son étude semestrielle sur les risques pays de 185 pays, citée par le rapport hebdomadaire de la banque Audi, le magazine Euromoney a classé le Liban à la 98e place mondiale, et 14e sur les 19 pays de la région MENA, devant le Yémen, la Syrie, la Libye, le Soudan et l’Irak. Par rapport à son étude précédente, qui avait classé le Liban 117e, le pays a gagné 19 places.
L’étude évalue les risques pays en attribuant un certain poids à neuf critères, dont le risque politique (25 %), la performance économique (25 %), les indicateurs de la dette (10 %), la dette non payée ou reportée(10 %), la notation du crédit (10 %), l’accès au financement bancaire (5 %), l’accès au financement à court terme (5 %) et l’accès aux marchés des capitaux (5 %).
Le résultat du Liban, 39,87 points, a progressé de 13,6 % par rapport à septembre 2005, et de 10,8 % sur un an, mais il demeure en dessous de la moyenne des 19 pays de la région MENA, qui a également progressé. Dans cette région, le classement est quasiment identique à septembre 2005. Les Émirats arabes unis ont néanmoins remplacé le Qatar à la place du pays le moins risqué de la région, le Luxembourg étant toujours à la meilleure place mondiale. D’autre part, l’Irak a été remplacé par la Corée du Nord en tant que pays le plus risqué au monde.
Au Liban, le risque politique s’est amélioré de 18,9 % ces six derniers mois. Le pays a conservé un excellent résultat en termes de dettes non payées ou reportées. L’accès au financement à court terme s’est aussi amélioré de 20,2 % tandis que les performances économiques ont bondi de 83,3 %.
En revanche, l’indicateur de dette a reculé de 0,7 % ainsi que l’accès aux financements bancaires de 23,1 %.


La discrimination entre les sexes caractérise le marché local du travail
Les Libanaises ne représentent que 20,5 % de la population active

Printemps 2006- «Le rôle des femmes dans les prises de décision », tel est le thème choisi cette année pour célébrer la Journée internationale de la femme. Au Liban, ce rôle reste malheureusement très limité. Si quelques femmes osent désormais s’aventurer en politique, la prise de décision économique reste majoritairement l’apanage des hommes. En effet, dans l’exercice de leurs droits économiques, les Libanaises continuent d’être confrontées à une inégalité généralisée et systématique. Alors qu’elles constituent près de la moitié de la population, les femmes ne représentent que 20,5 % de la population active libanaise, selon les données préliminaires de 2004 de l’Administration centrale des statistiques. Selon ce même rapport, le taux de chômage dans la population féminine s’est élevé à 11 %, alors qu’il ne touche que 7,5 % des hommes.

Accès limité au marché du travail
Les modèles traditionnels, historiques, religieux ou culturels expliquent en partie les pratiques discriminatoires à l’égard des femmes. Des facteurs tels que la ségrégation sur le marché du travail, la disparité des rôles sociaux en termes de responsabilités familiales constituent pour les femmes des obstacles à l’exercice, à égalité avec les hommes, des droits économiques. Dans beaucoup de cas, le statut de la femme est défini par le mariage et la maternité ; en termes de gratifications sociales, le travail rémunéré est loin de rivaliser avec ces statuts.
Cette mentalité, ancrée depuis des décennies au moins dans la plupart des pays, entrave essentiellement l’accès de la femme au marché du travail.
L’avocate Marie-Rose Zalzal a mis en exergue cet obstacle lors de la commémoration hier de la Journée de la femme à l’Institut des finances (Institut Bassel Fleyhane).
« L’élimination dans de nombreux pays des barrières législatives relatives à l’accès de la femme au marché du travail n’a pas suffi à renverser la tendance en raison de cette mentalité toujours difficile à éradiquer » a-t-elle déploré.
Ce qu’il faut désormais, c’est une loi incitative, a-t-elle estimé, évoquant une loi actuellement en préparation pour imposer des quotas au Liban, un outil de pression qui facilitera l’accès de la femme aux différents postes de la vie publique.
La participation de la femme au marché de l’emploi est également déterminée par les structures institutionnelles, dont le système de sécurité sociale et le code de l’emploi qui souffrent encore de nombreuses lacunes.
Alia Abbas, directrice du département des dépenses au ministère des Finances, a mis en évidence le problème de la ségrégation professionnelle.
« Cette dernière est souvent justifiée par le fait que les femmes possèdent des qualités spécifiques qui les rendent plus appropriées à certains types de travail que les hommes », a-t-elle souligné. Ainsi, les professions de soins esthétiques, la dextérité manuelle et l’expérience dans les activités domestiques sont considérées comme des acquis propres aux femmes.
Parallèlement, l’éducation constitue également un frein à l’entrée sur le marché du travail. Par exemple, le taux d’analphabétisme chez les plus de 15 ans est de 16,1 % chez les femmes au Liban, contre 6,7 % chez les hommes.

Difficultés après embauche
Le problème ne se situe pas uniquement au niveau de l’accès au marché de l’emploi, la disparité persiste malheureusement après l’embauche.
Pourtant, il n’existe pas de loi discriminatoire sur la base du sexe quant aux montants du salaire, au droit aux crédits bancaires, et aux opportunités d’emploi et de promotion entre les femmes et les hommes. Toutefois, bien que la loi donne à la femme le droit à une rémunération égale à l’homme pour un travail de valeur égale, elle n’exige ni ne garantit l’égalité de la promotion et le passage aux grades supérieurs. L’absence de texte juridique clair et obligatoire laisse le champ libre à la discrimination entre l’homme et la femme dans le secteur privé.
Ainsi, la divergence est flagrante au niveau des salaires. À poste égal, et donc qualifications égales, les femmes continuent à être beaucoup moins rémunérées que leurs homologues masculins, et ce dans tous les secteurs. Malheureusement, les chiffres les plus récents dans ce domaine datent de 1997 (voir tableau).
La promotion est également problématique pour les femmes.
Josette Tobrawi Rached, désignée récemment procureure générale auprès de la Cour des comptes, a illustré la difficulté de la promotion des femmes au Liban. « C’est après 43 ans de travail que j’ai été désignée à ce poste occupé de tout temps par des hommes. J’ai évidemment dû travailler d’arrache-pied pour aboutir à ce stade-là », a-t-elle souligné.
Magali GHOSN

12 & 13 Novembre 2005
Beyrouth accueille la nuit des publivores


Peugeot vient en tête des ventes en novembre Le nombre de voitures neuves vendues fin 2004 pourrait atteindre 20 000

Le plus grand nombre de voitures neuves vendues en 2004 a été enregistré en novembre dernier, grâce notamment au Salon de l’automobile qui a attiré plus de 150 000 visiteurs au centre Biel. Les sociétés libanaises ont vendu 2 008 voitures neuves, portant le nombre global de voitures vendues en 2004 à 18 385.
Selon, l’Association des importateurs de voitures neuves ce chiffre pourrait atteindre 20 000 fin 2004. Peugeot vient en tête des ventes pour le troisième mois consécutif, suivie par Nissan, Renault et Toyota. Selon l’agence
al-Markaziya, ce classement montre que la concurrence sur le marché libanais entre constructeurs européens et asiatiques se poursuit. Il révèle également une avancée des voitures françaises sur les japonaises, et ce malgré l’envolée de l’euro et son influence négative sur les ventes de voitures européennes.
La mutation du secteur de la Distribution au Liban s'accèlerre:
>>> Le premier hypermarché libanais est un "Géant" ...



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« La France expose »
du 17 au 20 juin 2004 au coeur du centre ville de Beyrouth
Une grande exposition pour promouvoir la présence économique française au Liban

À l’initiative de l’ambassade de France, Publicis-Graphics Beyrouth, la filiale libanaise de Publicis, organise du 17 au 20 juin une manifestation baptisée « La France expose » pour promouvoir la présence économique et commerciale de la France au Liban.

« La présence économique française est certes significative, mais son image n’est pas à la hauteur de celle d’autres activités françaises, dans d’autres domaines, notamment culturels », dit Patrick Manon, conseiller économique et commercial de l’ambassade pour expliquer les motivations de l’événement. « Nous voulons donner un coup de projecteur sur les biens et les services français déjà présents au Liban et profiter également de l’occasion pour amener de nouvelles entreprises à s’intéresser au marché », ajoute le chef du Poste d’expansion économique.

Avec des ventes variant, selon les années, entre 600 et 800 millions d’euros, la France est l’un des principaux partenaires commerciaux du Liban. « À la différence de ses principaux concurrents, l’appareil exportateur français est représenté de façon équilibrée sur le marché libanais », note Patrick Manon. Les biens de consommation comptent pour un tiers des ventes, le secteur agricole et agroalimentaire pour 20 %, les produits intermédiaires pour 16 %, les carburants pour 13 %, les biens d’équipement pour 9 % et les véhicules automobiles pour 6 %. Toutefois, malgré « l’ancienneté et la densité » des relations entre les deux pays, ces ventes sont globalement en baisse, lente, mais régulière, depuis un certain temps. La France détenait 10 % du marché libanais il y a quatre-cinq ans, contre 8 % aujourd’hui.
Cette érosion s’explique par les incertitudes liées au contexte régional, par les difficultés économiques libanaises ainsi que par la montée en puissance de nouveaux concurrents commerciaux. « Les Libanais restent des acheteurs importants de produits français (avec une moyenne de dépenses de 150 à 200 euros par an chacun), mais les consommateurs se trouvent surtout parmi la population francophone », souligne Patrick Manon. L’un des objectifs de la manifestation est de présenter les produits français à d’autres franges de la population, telles que les jeunes « qui conservent dans leur esprit une image traditionnelle de la France ».

Plutôt que d’organiser un salon traditionnel de produits français, les services de l’ambassade ont préféré organiser une exposition différente qui touchera un large public. Le projet élaboré par la filiale du groupe Publicis consiste donc à aménager une centaine de stands dans la rue Foch (un nom tout à fait adéquat), au centre-ville.
« Nous attendons 60 à 80 entreprises », précise Patrick Manon qui compte à la fois sur les agents importateurs de marques françaises au Liban et sur les entreprises françaises implantées dans le pays. Ces dernières sont une centaine environ. Elles emploient 3 000 personnes et réalisent un chiffre d’affaires d’environ un milliard de dollars. Contrairement à la dernière exposition de produits français organisée en 1996 et spécialisée dans les produits de luxe, la manifestation prévue en juin sera multisectorielle. Outre les stands d’expositions proprement dits, d’autres événements se tiendront dans les rues adjacentes à la rue Foch.

Enfin, pour ajouter une note festive, la manifestation laissera la place, en clôture, à la désormais traditionnelle Fête de la musique, le 21 Juin 2004.
L'économie et la culture feront ainsi bon ménage dans un cadre populaire.


Kafalat, la (seule) ressource des PME libanaises
En 2002, Kafalat a garanti 1 697 prêts à des petites et moyennes entreprises du Liban. Un chiffre en hausse de plus de 50 % par rapport à l’année 2001. Cet organisme de place est un outil vital pour le développement de la petite et moyenne entreprise au Liban. Un outil isolé dans un environnement bancaire en mutation.

Kafalat est une société anonyme libanaise au capital de 20 milliards de livres (13 millions €), les actionnaires sont pour 75 % l’Institut national de garantie des dépôts et pour le reste une cinquantaine de banques libanaises. Le Dr Khater Abi Habib président anglophone et directeur général précise qu’elle a été fondée « to create new productive capacity ». Kafalat n’intervient pas en direct, mais à la demande des banques pour offrir une garantie à hauteur de 70 à 75 % du crédit pour un maximum de sept ans. La valeur moyenne des prêts garantis est passée de 89 millions de livres en 2001 (environ 60 000 €) à 103,4 millions de livres (environ. 70 000 €) en 2002, avec un plafond de 300 millions de livres (200 000 €). Ils sont réservés aux entreprises libanaises de moins de 40 salariés. Kafalat serait, transposée en France à la fois la Bdpme, une société de caution mutuelle et le Crédit agricole puisque 46 % des prêts vont à l’agriculture et 39 % à l’industrie. Géographiquement Beyrouth et le Mont Liban concentrent logiquement la majorité de prêts : 60 % des entreprises, 60 % des employés, et 75 % de la production industrielle sont concentrés dans cette région. Dans le paysage financier libanais, Kafalat est le seul outil de financement du développement et de la création. Et encore, la création ne représente qu’un crédit sur dix. Les entreprises de haute technologie pèsent moins de 5 % des garanties allouées. Pour Maroun Asmar, manager de la Banque de la Méditerranée et fondateur de Berytech, premier technopole du Liban, « le capital-risque n’est pas dans la culture libanaise. Il n’y a pas, explique-t-il, vu la situation régionale d’approche sur le long terme (deux ans c’est très long !) et surtout pas de marché financier réel donc pas de sortie possible pour un investisseur. Les créations d’entreprises, déplore-t-il, sont freinées par les problèmes de financement : des coûts élevés, une demande de garanties importante et des produits inadaptés aux besoins des entreprises. »
Comment un pays surbancarisé se retrouve-t-il dans une telle situation ?
Ce pays de 4 millions d’habitants compte plus de 60 banques : 31 banques libanaises, 15 à capitaux arabes, 5 à participation majoritaire non arabe, 9 banques étrangères et 8 banques de crédit à moyen et long terme soit 780 agences dans le pays. À cela, il faut ajouter 27 sociétés financières. Cette excroissance est en partie due à la situation de la place beyrouthine, mais surtout au surendettement de l’État La dette publique est estimée à 180 % du PIB (avril 2002) ; à 18,7 % des exportations. Le seul service de la dette prenait 90 % des recettes budgétaires en 2001. La dette extérieure publique, de 5,5 milliards de $, a été multipliée par 15 depuis 1992. En fait, la reconstruction du Liban a été payée à crédit. L’État a emprunté à des taux plus qu’avantageux aux banques. « L’État apporte un rendement de 15 % sur les bons du Trésor, note un observateur. Quelle entreprise peut rapporter à coup sûr autant ? Nous sommes dans une économie de rente et d’endettement. » La pression du FMI, les négociations avec les partenaires financiers, les discussions pour la signature de l’accord d’association signé le 17 juin 2002 avec l’Union européenne, ont conduit l’État à réduire son taux de rémunération, à instaurer la TVA (5 %) jusqu’alors inconnue et à taxer les carburants.

L’environnement économique reste très lié à la situation du Proche Orient. L’embellie du tourisme qui a fait du Liban la destination préférée des pays du Golfe reste fragile. Les clients viennent goûter sur place une liberté qu’ils réprouvent chez eux. Dans une région plus stabilisée le Liban serait un relais vers les marchés du Moyen orient. Sait-on par exemple que le Liban est leader pour la production de films publicitaires pour tout le Moyen Orient ? Les financements internationaux restent aujourd’hui en panne. Le dernier ambassadeur de l’Union européenne est reparti avec 256 M€ non consommés faut de programmes. « Il y a un problème objectif de conjoncture, souligne un économiste, mais surtout une incompréhension : le secteur privé s’attend à recevoir des dons ! ». L’Agence française de développement est installée depuis trois ans à Beyrouth, avec sa société financière la Proparco. Elle veut « participer à la modernisation des systèmes financiers et économiques dans la perspective euroméditerranéenne », explique Ludovic Cocogne, son représentant. L’AFD est prête à des prises de participation minoritaires et transitoires. Elle a mis en place une ligne de crédit déléguée auprès des banques libanaises et serait disposée à participer à un tour de table pour créer un Fonds d’investissement sectoriel autour des industries de l’image. « Le Liban est encore enfermé dans un capitalisme familial et communautaire, déplore un journaliste libanais. Il manque à l’économie libanaise des outils et des règles respectées. Songez qu’il y a 300 providers sauvages appartenant à une demi-douzaine de sociétés qui se connectent directement aux satellites ! Donc dans une concurrence irrégulière avec les opérateurs officiels et sans taxe pour l’État ! Pour que l’argent vienne à l’entreprise, il faut que les finances publiques s’assainissent, que le secteur bancaire sorte de la gestion de la rente du Trésor et joue pleinement son rôle. Alors, nous aurons des outils de haut et bas de bilan indispensables à l’économie ». Premiers pas de cette mutation, les fusions s’annoncent (Voir info) entre banques sous l’impulsion de la Banque centrale du Liban.

Christian Apothéloz
Finances Mediterranée

L’exclusion bancaire concerne plus de 20 % de la population au Liban
L’exclusion est devenue un des thèmes majeurs qui marquent le débat actuel aussi bien des sociétés développées qu’en développement. Quelle que soit sa forme (exclusion du marché du travail, exclusion du logement, de l’éducation, de la santé ou du crédit), l’exclusion est ressentie comme un mal profond qui génère l’instabilité sociale et qui préoccupe de plus en plus la société. Est-on toujours citoyen lorsqu’on ne peut pas accéder aux moyens de paiement électroniques, aux comptes en banque et, a fortiori, au crédit ? Les statistiques internationales montrent que seulement 20 % de la population mondiale a accès aux services financiers dans la plupart des pays en voie de développement, tandis que, dans les pays développés, l’exclusion bancaire concerne, en moyenne, 10 % de la population.
Au Liban, l’exclusion bancaire reste un phénomène méconnu. Sa mesure constitue une tâche difficile d’autant plus qu’elle mobilise faiblement les autorités libanaises. Selon nos estimations, l’exclusion bancaire touche plus de 20 % de la population au Liban. Notre étude économique montre les facteurs suivants. En moyenne, entre 1974 et 2003, 58 % des agences bancaires sont localisées dans la capitale et dans ses banlieues. Pour 1 138 habitants, il existe une agence bancaire à Beyrouth. Ce ratio se situe à un niveau d’une agence pour 9 088 habitants dans la Békaa. L’analyse selon le nombre d’habitants par distributeur montre que 1 498 habitants beyrouthins ont accès à un seul distributeur. Tandis que dans la Békaa, ils sont 13 789 habitants. Le modèle d’implantation géographique des banques et de leurs agences engendre une distorsion au niveau de leur activité. Les crédits alloués dans la capitale représentent, en moyenne, ces dernières années, 82 % du total. En même temps, le Nord, le Sud et la Békaa bénéficient de 11 % du total. En outre, nous constatons que 13 % de la population qui réside à Beyrouth profite de 82 % des crédits bancaires. Alors que plus de 50 % de la population bénéficie de 11 % des crédits.
Ainsi, il nous semble que les banques écartent une part importante de la clientèle pour laquelle le crédit (à la consommation et/ou à l’investissement) est parfois vital. Cet état de fait accentue les inégalités sociales et régionales qui caractérisent le Liban et risque de générer à terme une instabilité sociopolitique. La majorité des économistes s’accordent sur le fait que l’accès aux services bancaires constitue un des facteurs qui favorisent le développement socio-économique équilibré. Si le secteur bancaire porte une part de responsabilité, il incombe à l’État libanais de moderniser les dispositifs légaux afin de mieux lutter contre ce phénomène. Le secteur privé, l’État et les organisations associatives doivent s’impliquer davantage dans ce combat.


Par Hassan AYOUB

Docteur en sciences économiques, Université de Lille 2.

La Chambre de Commerce franco-libanaise multiplie les efforts pour promouvoir les exportations
Présentation d’un film sur les relations économiques
entre la France et le Liban:

Beyrouth, Mars 2004- La Chambre de commerce franco-libanaise a présenté à l’auditorium de l’École supérieure des affaires le film qu’elle a réalisé sur « les relations économiques franco-libanaises ».

Ce film servira d’outil promotionnel pour le lancement d’une vaste campagne de communication autour des produits libanais à travers huit grandes villes françaises, qui sera organisée d’octobre 2004 à avril 2005, a précisé le président de la CCFL, Jacques Saadé. En prélude à ce « Tour de France », le film sera présenté aux grands groupes de distribution français.

L’industrie agroalimentaire et la production vinicole, qui ont déjà effectué une percée sur le marché français, sont notamment à l’honneur dans ce documentaire qui cherche à présenter les produits libanais sous leur meilleur jour. Cette initiative fera suite à l’effort tout particulier prévu cette année par la France pour « donner un coup d’accélérateur » à ses échanges économiques avec le Liban, qui « ne sont pas à la hauteur de la relation qui lie les deux pays », selon les termes de l’ambassadeur de France à Beyrouth, Philippe Lecourtier, lors de la cérémonie de lancement du film à l’Esa.

De fait, avec une part de marché de 8 % des importations libanaises, la France se place au 2e ou au 3e rang des fournisseurs du Liban selon les années. Elles ont totalisé 582 millions de dollars en 2003, contre 516 millions de dollars en 2002, soit une hausse de 12 %, inférieure à la hausse de l’euro par rapport au dollar, qui a été de 25 % sur la période. Et, en sens inverse, les exportations libanaises vers la France se sont élevées à 23 millions de dollars, contre 19 millions l’année précédente. « Un montant anormalement faible, estime l’ambassadeur. Nous travaillons à mieux faire connaître le marché libanais aux entreprises françaises. »
La filiale du groupe Publicis organise ainsi, sous les auspices de l’ambassade de France, une grande manifestation économique rue Foch, au centre-ville, en juin prochain, baptisée « La France expose ».

Le président de la Fédération libanaise des Chambres de commerce, Adnane Kassar, a pour sa part souhaité que les relations franco-libanaises dépassent le simple cadre commercial pour développer de véritables partenariats. « Les clichés ont la vie dure, parce qu’ils ont souvent raison. J’affirme sans aucun chauvinisme que les Libanais, qu’ils soient entrepreneurs, cadres supérieurs ou simples travailleurs, restent des partenaires de choix pour les entreprises étrangères, en particulier françaises, désirant s’implanter dans la région. »

Outre le lancement du film sur les relations économiques entre le Liban et la France, la CCFL a un programme chargé au service des exportations libanaises, précise Kinda Élias, la secrétaire générale adjointe. Il s’agit notamment de participer au lancement du vin Comte de M, chez Hédiard, ou d’aider les jus de fruit K-Sun et les épices Aoun à entrer sur le marché français.
À l’avenir, la CCFL souhaite également réaliser une étude sur la création d’une chaîne du froid au sein de l’aéroport international de Beyrouth, afin de faciliter l’exportation de produits frais vers l’Union européenne.

Sibylle RIZK - L'Orient Le Jour

Le FMI invite le Liban à aller de l'avant dans la privatisation
Comme il a coutume de le faire régulièrement, le gendarme monétaire de la planète a adressé en fin d'année 2003 son évaluation et ses recommandations au Liban en matière de finances publiques et politique économique.
Le Liban doit rapidement mettre en oeuvre son programme de privatisations et "redoubler d'effort pour élargir son système de taxation" afin de réduire le poids de sa dette, a insisté à Beyrouth un haut responsable du Fonds monétaire international (FMI). "Le FMI estime que le programme de privatisations du gouvernement libanais doit rester un élément clé de la stratégie" de réformes, a affirmé vendredi soir Agustin Carstens, directeur général adjoint du FMI, lors d'une conférence de presse. Soulignant les "risques du poids de la dette (estimée à plus de 30 milliards de dollars) sur l'économie", M. Carstens s'est inquiété du "ralentissement du rythme de la baisse du déficit" budgétaire et du "retard dans la mise en application du programme de privatisations" alors même que le Liban a d'ores et déjà utilisé les prêts de ses bailleurs de fonds.
"La dette très élevée (du Liban) constitue un frein à la croissance", a-t-il dit, tout en se félicitant des efforts déployés ces dernières années par ce pays pour assainir ses finances. Pour être en mesure de financer le service de sa dette, le Liban doit "augmenter ses taxes et améliorer la façon dont ses revenus sont gérés", a-t-il dit. Le service de la dette accapare à lui seul 47% des dépenses budgétaires alors que les privatisations sont sans cesse reportées en raison de tiraillements au sein du pouvoir.
"Etant donné qu'une grande partie de la dette est domestique, le Liban a été partiellement mis à l'abri des pressions financières que subissent d'autres économies émergentes. Cependant, il faut que la confiance persiste pour que le gouvernement puisse placer sa dette auprès des investisseurs", a indiqué M. Carstens. Selon lui, davantage doit être fait pour réduire le ratio dette/PIB. Ce ratio a chuté de 5 points, de 185% l'an dernier (avant la réunion des donateurs du Liban) à 180% actuellement, a affirmé le ministre libanais des Finances Fouad Siniora.
Le ministre s'est surtout félicité de l'excédent (cumulé sur les dix mois de l'année) de la balance des paiements qui a atteint à la fin octobre 3,3 milliards de dollars, le niveau le plus élevé qu'ait connu le Liban. Cet excédent est surtout le résultat des transferts des Libanais vivant à l'étranger et des pays arabes.

Des Statistiques déjà encourageantes pour le 1er semestre 2003
Excédent de la balance des paiements de 2,9 milliards de dollars en juillet
La Banque centrale a annoncé que la balance des paiements a enregistré au cours des sept premiers mois de l’année 2003 un excédent de 2,94 milliards de dollars contre un déficit de 384 millions de dollars pour la même période de l’année dernière. La BDL indique par ailleurs que la balance des paiements a enregistré un excédent de 522 millions de dollars en juillet contre un excédent de 368 millions de dollars en juillet 2002, soit une hausse de 41,8 %. Selon la BDL, l’excédent cumulé sur les sept premiers mois est dû « aux transferts de fonds effectués par les donateurs de Paris II en novembre 2002 et aux entrées de capitaux résultant du succès de cette conférence ». Il est également dû à une hausse de cinq milliards de dollars des avoirs extérieurs nets de la Banque centrale et à une baisse d’environ deux milliards de ceux des banques et des établissements financiers. Quant à l’excédent de juillet 2003, il est dû à un accroissement des avoirs extérieurs nets de la BDL de 907 millions de dollars et à une baisse de 385 millions de dollars des avoirs des banques et des institutions financières.
Hausse des exportations
Par ailleurs, les exportations ont augmenté de 41,6 % au cours des sept premiers mois de l’année 2003 par rapport à la même période de l’année dernière, selon les chiffres de la Direction des douanes. Fin juillet, les exportations cumulées s’élevaient à 810 millions de dollars contre 572 millions à la même période en 2002. Quant aux importations, elles ont augmenté de 4 %, à 3,8 milliards de dollars. Le déficit commercial fin juillet 2003 est donc en légère baisse, de 3,2 %, puisqu’il s’est établi à 3 milliards de dollars fin juillet 2003, contre 3,1 milliards de dollars un an auparavant. Les revenus douaniers ont baissé de 24 milliards de livres par rapport à fin juillet 2002, à 947 milliards de livres sur les sept premiers mois de cette année. Quant aux revenus cumulés de la TVA, ils ont totalisé 474 milliards de livres au cours des sept premiers mois de l’année 2003.

L'huile d'Olive libanaise enfin sur les tables françaises?
Oui, mais la meilleure!


Olivier Baussan, fondateur d’Oliviers & Co., entreprise de la région Provence Alpes Côte d'Azur,
encourage les Libanais à valoriser leur huile d’olive.

Invité au Liban pour préparer la récolte 2004 d’huile d’olive qui sera commercialisée dans sa chaîne de boutiques Oliviers & Co. Olivier Baussan a expliqué à L’Orient-Le Jour quel potentiel de développement recelait l’arbre emblématique de la Méditerranée dont il porte le prénom. Lorsque la présidente de la Fondation René Moawad * l’a contacté pour lui demander pourquoi il ne vendait pas d’huile libanaise dans ses 50 magasins répartis à travers le monde, Olivier Baussan a répondu :
« Elle n’est pas assez bonne », raconte-t-il, à l’occasion d’un dîner offert à Bamboo Bay le 16 Juin 2003 par la députée Nayla Moawad.
En effet, Oliviers & Co. a choisi de se positionner sur un segment très haut de gamme et sa stratégie consiste à sélectionner les huiles d’olive de grande qualité produites en petites quantités qui ne peuvent pas être commercialisées par la grande distribution en raison de la faiblesse des volumes. « Nous choisissons les huiles comme les grands crus pour le vin », dit-il. Depuis, Olivier Baussan a conseillé la fondation sur la manière de procéder pour tirer le meilleur parti des oliviers « baladi » du nord du Liban, marquant sa préférence pour ceux poussant en altitude, « car la variation des climats renforce la typicité de l’huile ».

Deux échantillons sur 60 ont été sélectionnés cette année par Oliviers & Co. et en 2004 les magasins prévoient d’acheter quelque 10 000 litres d’huile d’olive libanaise pour laquelle une bouteille spéciale sera conçue. « Nous n’absorberons jamais toute la production, mais cette collaboration a valeur d’exemple pour les oléiculteurs libanais » en leur montrant comment tirer parti de leurs oliviers pour répondre à une demande croissante dans les pays développés, explique Olivier Baussan. Le seul moyen de pénétrer les marchés étrangers « c’est d’arriver à un niveau qualitatif capable de rivaliser avec les meilleurs produits italiens », poursuit-il, l’Italie étant la première à avoir compris quelle ressource elle pouvait tirer des oliviers. Quelques changements d’habitudes et l’huile peut devenir exportable : savoir tailler les oliviers, emmener rapidement les olives au pressoir... Choisir la bonne date pour la récolte, par exemple, est crucial. Car plus l’olive mûrit, plus elle donne de l’huile, mais elle risque de s’oxyder. « L’huile d’olive est un jus de fruit. La chair de l’olive est très fragile, si elle s’oxyde, elle donne un goût différent. » En conséquence, il vaut mieux ramasser tôt, pour se rapprocher du goût du fruit, quitte à réduire la quantité et donc à augmenter le prix. Ce raisonnement se justifie par le fait qu’aujourd’hui, les consommateurs des pays développés sont prêts à payer la qualité. « Au fur et à mesure que se développent les habitudes alimentaires des pays riches, les consommateurs se tournent vers l’huile d’olive qui répond à leur souci d’adéquation entre la santé et le plaisir », explique Olivier Baussan.

Au-delà de la diaspora libanaise qui sera ravie d’acheter une huile en provenance de son pays d’origine, la demande est en forte hausse aux États-Unis, en Europe du Nord, au Japon, etc. Pour encourager les oléiculteurs libanais à se mettre au travail, Olivier Baussan raconte qu’il y a dix ans, l’huile d’olive provençale était « immonde ». Aujourd’hui, elle est devenue l’une des meilleures et des plus chères, grâce au travail de Jean-Marie Baldassari, créateur de l’appellation d’origine contrôlée pour l’huile de Haute-Provence. Cet expert français est justement celui qui a été chargé par la Fondation René Moawad d’encadrer techniquement les oléiculteurs réunis en coopérative dans le Nord.

Sibylle RIZK-Juin 2003

La Fondation René Moawad, est particulièrement active dans le domaine du développement agricole et rural, mais également dans le secteur médical, du développement social et du respect des Droits de l'Homme.Elle accueille des jeunes en stages ou pour des emplois durables pour mener à bien ses différents projets.
C'est donc une ONG fort utile et respectée dont on appréciera en outre la version francophone du site web explicite et clairement conçu.


Bienvenue / Mabrouk à Libanium.com
nouvel Annuaire-Directory du web libanais

Une banque de données statistique sur l’économie libanaise

Beyrouth 5 Septembre 2003- Le centre InfoPro pour l’information économique a annoncé le lancement d’un site Internet qui rassemble des bases de données sur le monde des affaires et l’économie au Liban. Le site se veut le plus fiable et le plus complet possible. Le site www.databank.com.lb s’adresse à tous les publics, mais il vise en particulier les chercheurs, les universitaires, les hommes politiques et les entrepreneurs. Ce projet réalisé par InfoPro a nécessité des années de recherches, selon ses concepteurs. Le site puise ses sources dans le domaine public, tels que les agences gouvernementales et non gouvernementales (ONG), des organisations internationales, des organisations de recherche, les médias, les universités et autres. Les quelque 2 000 données recensées sont organisées dans des fichiers et regroupées dans plus de 25 catégories représentant autant de secteurs économiques. Les services, offerts par ce site, sont gratuits et fréquemment actualisés. « Le Fonds monétaire international (FMI) avait souligné, dans son rapport sur le Liban, que le manque de données économiques fiables est un véritable handicap pour le développment du pays », a déclaré le fondateur d’InfoPro, Ramzi el-Hafez, ajoutant que « le site servira à combler le manque d’informations et de statistiques économiques au Liban ». À l’occasion de la cérémonie de lancement organisée hier au siège des Nations unies, le ministre de l’Économie et du Commerce, Marwan Hamadé, a salué l’initiative en axant son discours sur l’importance de l’accès à l’information dans le secteur public. M. Hamadé a dénoncé le manque de transparence dans l’économie, ajoutant que « ce projet ambitieux permet de rectifier les fausses informations et les statistiques erronées (...), et d’améliorer les services du gouvernement ». De son côté, le président de la commission parlementaire de l’Économie, Bassel Fleyhane, s’est déclaré satisfait du résultat, précisant que « DataBank est un instrument de recherche très puissant qui favorisera l’essor et l’efficacité des économies de marché et facilitera l’échange d’informations ». InfoPro a reçu en 2003 un aide finacière de USAid à travers le programme de l’Amideast en faveur de la transparence, de la responsabilité et de la bonne gouvernance. Ce fonds permettra au centre de poursuivre ses activités de recherche et de présenter prochainement sur le site de DataBank une série d’études et de rapports sur l’économie libanaise.

Article de Anwar Azzi pour

L'économie libanaise a souffert de la guerre en Irak

BEYROUTH, 07 avr (AFP) - Le tourisme au Liban est touché de plein fouet par la guerre en Irak, comme l'illustrent des vagues de licenciement dans le secteur hôtelier, de même dans une moindre mesure, que son industrie dont Bagdad constitue le principal débouché.
"Sauvez le tourisme et le secteur hôtelier avant qu'il ne soit trop tard car le conflit a des retombées sur les pays arabes, y compris le Liban", a demandé ce week-end au gouvernement Pierre Achkar, président du syndicat des hôteliers. M. Achkar a affirmé dans un communiqué, où il réclamait des aides gouvernementales, que "d'importantes institutions hôtelières ont rencontré dernièrement d'énormes difficultés" soulignant que "l'aviation civile est paralysée".
Selon une enquête de l'AFP, des centaines d'employés de grands hôtels, dont certains affiliés à des chaînes internationales, ont été mis à pied en raison d'un taux d'occupation très faible. "Laisse-nous ton adresse, nous te contacterons dès que les clients reviendront", a dit à Sophie, une réceptionniste, le directeur d'un grand hôtel qui a licencié une centaine de ses collègues. La responsable d'un autre établissement a indiqué, sous couvert de l'anonymat, avoir imposé "des congés sans solde" à des dizaines d'employés.
"Les Koweitiens et les Saoudiens censés se réfugier au Liban ne sont pas venus en raison du climat pro-irakien dans le pays", regrette-t-elle.
Selon elle, "les voyagistes occidentaux, qui envoyaient au printemps des milliers de touristes français, allemands, britanniques et japonais, ont annulé la destination Beyrouth comme celle d'autres pays du Proche-Orient", où l'opinion s'est fortement radicalisée notamment contre les Américains et les Britanniques. Le tarissement du flux des touristes est également illustré par l'annulation quotidienne de nombreux vols de compagnies d'aviation étrangères. "Les avions sont le plus souvent remplis à moins du tiers ou du quart de leur capacité", a indiqué à l'AFP un pilote de la Middle East Airlines (MEA). Hôteliers et restaurateurs libanais craignent que la guerre ne se prolonge, risquant de compromettre la saison touristique d'été. L'été dernier, des centaines de milliers de Koweitiens, de Saoudiens, de Qatariotes et d'Emiratis étaient venus au Liban pour éviter l'Occident jugé peu hospitalier après les attentats du 11 septembre, faisant espérer aux Libanais que les temps heureux d'avant la guerre civile (1975-90) allaient revenir. "Les attentats contre les chaînes de restauration rapides américaines au Liban et la solidarité de son gouvernement avec l'Irak, perçue comme hostile aux pays arabes du Golfe qui coopèrent avec la coalition américano-britannique, peuvent détourner leurs ressortissants du Liban", craint un restaurateur.
Même les Syriens et les Jordaniens, nombreux d'ordinaire dans les hôtels de Beyrouth, se font rares, a indiqué à l'AFP le réceptionniste d'un hôtel. Quant aux entrepreneurs, qui ont investi des dizaines de millions de dollars dans l'industrie légère du pays (agro-alimentaire, cablage, céramiques...) dans l'espoir d'exporter en Irak, ils prient pour que le conflit soit bref. "Les industriels ont signé en 2002 des contrats d'une valeur d'un milliard de dollars avec le gouvernement irakien. Ils se retrouveront avec des stocks sur les bras si les combats se prolongent", explique un homme d'affaire sous le couvert de l'anonymat. Selon lui, les exportations industrielles vers l'Irak ont atteint l'année dernière 400 M USD sur un total d'un milliard. Il faut y ajouter quelque 200 M USD résultant de la réexportation par des commerçants syriens de produits libanais ou européens importés via le Liban pour le compte de clients irakiens.

Cela n'était pas arrivé depuis longtemps: le FMI adresse un satisfecit au Liban
La privatisation du cellulaire est prévue en mai et le Liban « avance d’un pas ferme », estime l'organe de contrôle financier international.

De hauts responsables du Fonds monétaire international ont déclaré début Mars 2003 que le Liban « avance d’un pas ferme » vers le règlement de sa crise économique et financière, grâce à ses efforts pour honorer ses engagements contractés à la conférence de Paris II, selon le correspondant de l’agence al-Markaziya à Washington Les dirigeants du FMI ont salué les efforts déployés par le gouvernement libanais pour se lancer dans le processus de titrisation et de privatisation et tenter de mettre un terme au gaspillage. Le conseil d’administration du FMI, réuni le 4 Mars dans la capitale américaine, a loué la coopération entre le gouvernement et le secteur bancaire qui a débouché sur une baisse des taux d’intérêt. Cette baisse s’est traduite par une diminution du service de la dette publique, ce qui, selon le rapport publié à l’issue de la réunion, rendra possible un allègement du déficit budgétaire.
Les responsables du FMI ont d’autre part exprimé leur satisfaction à l’égard de la position française, et notamment des efforts du président Jacques Chirac qui a pesé de tout son poids pour soutenir le Liban. Ils ont noté le flux important de capitaux et de placements étrangers au Liban, notamment en provenance d’Arabie saoudite et des pays du Golfe. Plusieurs autres aspects positifs ont été également cités dans le rapport du FMI, en particulier l’excédent de la balance de paiements, rapporte l’agence. Par ailleurs, le directeur du département du Moyen-Orient au FMI, Georges el-Abed, a déclaré que « l’unité politique est la pierre angulaire qui permettra au Liban d’atteindre tous ses objectifs ». Selon M. el-Abed, les responsables du FMI prévoient la privatisation du secteur de la téléphonie mobile en mai prochain, tout en notant un
« certain retard » dans ce processus. Le directeur du département du Moyen-Orient a qualifié d’« excellente » la politique de la Banque du Liban et de son gouverneur, considérant qu’elle a été l’un des facteurs-clés qui ont contribué à la stabilité financière du pays. « Le gouverneur Riad Salamé a géré le dernier accord avec les banques d’une manière qui a inspiré confiance, permettant ainsi à la BDL d’étoffer ses réserves de change ».
Il a par ailleurs salué le caractère « scientifique et pratique » de la gestion du dossier de la téléphonie mobile par le ministre des Télécommunications, Jean-Louis Cardahi, en vue de préserver la transparence et l’intérêt public. M. el-Abed a révélé qu’une délégation du FMI visitera le Liban au cours des prochains mois, et que le fonds était disposé à contribuer à l’organisation d’une conférence « Paris III » pour soutenir ce pays.



L'ACTUALITE de l'ECONOMIE et des AFFAIRES




L' Edito Economique de Libanvision

Paris II, le 23 Novembre 2002
Notre dossier sur la situation, les enjeux et le suivi...

Solidere: Opération technique financière réussie en Avril 2002
et
Les enjeux de l'Accord d' Association UE/Liban

Avec le Monde.fr: le Liban attend des réformes crédibles
- 26 Mars 2002 -

Des Ouvrages économiques au coeur de l'Actu économique:

* Les Impôts au Liban par Karim Daher, aux éditions de la Librairie Antoine

* La TVA au Liban/VAT in Lebanon, aux éditions Delta, diffusion Librairie Le Point , -Collection Livres ESA-

Billet Ancien

Le Comité National Libanais du Forum Francophone des Affaires a organisé le VIIIème Forum Francophone de Affaires, initialement prévu à Beyrouth du 13 au 17 Octobre 2001, à la veille du IXème sommet de la Francophonie en Octobre 2002.
Pour tout savoir sur cette grande manifestation et ses retombées, cliquez sur l'image...
Quartier d'affaires à Beyrouth


Faits et Projets

Un Dossier "Spécial Liban"...

 



Tout sur l'Introduction de la TVA au Liban début 2002


Les Droits de Douanes et réglementation douanière, la TVA en 2002, les nouveaux textes sur le Blanchiment de l'Argent ?
Pour connaitre toutes les règles en vigueur , à l'aube de l'accord de coopération UE-Liban,
Retrouvez ces infos essentielles dans les nouvelles fiches du nouveau site web du
Ministère des Finances Libanais dont certaines sont rédigées en Français!


Le Commerce du Levant
, l'unique mensuel économique d'information entièrement francophone aux dossiers si précieux et si précis s'est enfin dévoilé sur la toile en Février 2001! un sacré coup de jeune pour le nouveau millénaire, et surtout son 72ème anniversaire! Cela contribuera franchement beaucoup, à la qualité des diverses parutions Libanaises totalement en Francais et présentes sur Internet. Alors, nous nous réjouissons donc de pouvoir dire " Mabrouk!" à son propriétaire, le Ministre-Député Michel Pharaon, ainsi qu'à toute l'équipe qui s'attache à garantir une publication de haute qualité à destination des acteurs économiques du pays.L'existence de l'édition en ligne justifie ainsi encore mieux le passage à la périodicité mensuelle de parution de l'édition papier.La Francophonie économique dispose donc d'un nouvel atout pour s'imposer dans le monde, et c'est tant mieux!!

La Page Conjoncture de la Banque Libano-Française, chaque vendredi après- midi, une synthèse précieuse de l'actualité des affaires et de la finance au Liban avec les cours de clôture hebdomadaire de la Bourse locale.Il semble que depuis Janvier 2001, l'édition connaisse quelques pannes et nous espérons que cela est purement accidentelle...

Liban Guide/Lebanon Advisor, on aurait pu s'attendre à une super banque de données sur le Pays, mais le site ne fait que vous mettre l'eau à la bouche pour commander moyennant 95$, un ensemble d'informations notamment économiques sur le Liban en trois ouvrages distincts: Investir, Entreprendre et Visiter le Liban.Même si la qualité est là, la méthode est-elle la plus appropriée pour un pays qui veut attirer les investisseurs?

Georges Corm.com, est le site officiel du célèbre économiste libanais qui fut momentanément Ministre de l'économie et des finances au Liban. Vous y retrouverez sa vision et ses analyses régulièrement mises à jour.


Arabies, le magazine mensuel d'actualité et de reflexion sur la situation politique,économique et sociale du monde arabe édité à Paris.Le Liban n'est jamais oublié par la rédaction;'Arabiestrends' plus particulièrement destiné au monde des affaires est édité en Anglais.

Lebanon Opportunities, le mensuel anglophone des Affaires au Liban propose des dossiers sérieux et pointus et son éditeur, INFOPRO, a eu l'idée très... opportune de publier un guide des Affaires gratuit et....Francophone, en prévision du Sommet de la Francophonie qui se tiendra finalement à l'Automne 2002.

Perspective, la bonne lettre de conjoncture économique des étudiants de l'AUB; en Anlo-Américain évidemment, de quoi peut-être donner de bonnes idées aux étudiants francophones de l'USJ, de l'ESA, de l'UL etc...; à vous de jouer!

L'Orient-le Jour, la page économie et sa rubrique quotidienne" physionomie des marchés", préparée avec la collaboration du bureau local du courtier Merryl Lynch, constitue une excellente synthèse quotidienne pour le marché local et les grandes places financières internationale.

Le Journal des Etudiants en Gestion de l'Université Libanaise;travail de synthèse intéressant de la section francophone encouragé par le bureau local de l'Agence Universitaire de la Francophonie.Une initiative à poursuivre... ou relancer puisqu'elle semble malheureusement en panne!

Eco-News, un site de dépêches économiques principalement en provenace de France présentées de façon intéractive et dynamique qui contraste fort heureusement avec le centralisme traditionnel trop fréquent en la matière...

Radio BFM, c'est en France et en Belgique le réseau de la radio de l'économie, des affaires et de la bourse.Vous pourrez l' écouter en direct ici, grâce au partenariat avec le site ComFm.Fr.

Ministère de l'Economie, pour le moment le site est en Anglais seulement; de nombreuses données macro-économiques y sont disponibles.

Déficit budgétaire et endettement extérieur du Liban, voilà le titre et le sujet d'un rapport de mémoire en Administraion Publique présenté en l'an 2000 parMr El Chaer, un élève de l'ENA d'origine Libanaise.Vous pourrez consulter l' intégralité du texte qui constitue, on s'en doute, un travail sérieux d'analyse et de recherche, référence en la matière.

Centre de Documentation Agricole Libanais , toutes les données concernant l'Agriculture Libanaise sont disponoles à l'Institut dee Recherches Agronomiques de Fanar.

Association pour la Promotion du Français des Affaires, une démarche pour le moins offensive et originale qui démontre les multiples facettes et le nouvelles tendances du mouvement francophone!

Transnationale, un bon site pour la synthèse de l'actualité des Entreprises et des Marques en Français avec des options dans bien d'autres langues.

Page du FFA Liban venue du Canada-Nouveau Brunswick..., un bel exemple de motivation et de solidarité!

Page du FFA Liban venue de ...Belgique-Wallonie, sur l'initiative de l'Agence Wallone de promotion pour l'exportation.


Un Emploi au Liban

Notre rubrique spéciale, cliquez ici
...


Office National pour l'Emploi
, site Internet public qui illustre les efforts de modernisations de l'Administration.Le contenu est plein de bonnes intentions qui ne demandent qu'à se transformer en services concrets pour le Public.


IFA Franco-Libanais, partenariat entre La Chambre de Commerce et d'Industrie de Beyrouth et la CCI de Versailles, Val d'Oise-Yvelines

Programme francophone de formation continue à destination des Chefs de ventes, Assistant de Gestion, Comptable ou Dirigeant de PME, Représentant commercial

Renseignements et Inscriptions CCIB - Beyrouth- Quartier Sanayeh - Tél: 01- 744 167

 

VOTRE PARTENAIRE EN BOURSE en FRANCE



Du Liban ou d'ailleurs
AGISSEZ en DIRECT !

 

Les SERVICES aux ENTREPRISES




Poste d'Expansion Economique du Liban, les services commerciaux de l'Ambassade de France au Liban; il founit d'excellentes études économiques, statistiques, et des conseils avisés pour vous donner les meilleures chances de réussite dans vos projets d'affaires ou de commerce avec ou au Liban.Il peut, par exemple, vous aider à participer aux nombreux salons et foires organisés à Beyrouth et établit régulièrement une liste des entreprises Françaises directement ou indirectement implantées au Liban ainsi qu'un bulletin économique de synthèse sur tout ce qu 'il faut savoir dans le domaine des affaires.Faites donc connaissance avec la panoplie des services proposés en visitant sans tarder le site Web qui vient début 2001 de s'offrir un coup de jeune!

Les Conseillers du Commerce Extérieur de la France au Liban;Un site internet spécifique pour les membres de cette association ayant une connaissance ou une expérience au Liban qui s'avèrera toujours utile de connaitre avant d'aborder ce marché.

Agence Française de Développement , organisme financier rattaché au système de coopération français; dispose désormais d'un bureau à Beyrouth sur le site de la rue de Damas.Son enveloppe pour le Liban s'est élevée en 1999 à plus de 70 millions de francs.Vous trouverez tous les détails de son action dans la rubrique Agences-Pays.

Elcim, organisme sous l'égide de l'Union Européenne dont la vocation principale est dans le cadre du programme MEDA de coordonner un programme de modernisation industrielle notamment tourné vers les Petites et Moyennes Entreprises.Au Liban, l'institution bénéficiaire du Programme de Modernisation Industriel - IMP en Anglais- est le Ministère de l'Industrie.

Ticket Restaurant, le service du groupe Accor a ouvert une filiale au Liban à destination des Entreprises pour la pause déjeuner de leurs employés.


Office Belge du Commerce Extérieur, les conclusions de son étude précise réalisée en 2001 sur le Liban et ntamment le potentiel de celui-ci comme marché destiné à l'export..

La Chambre de Commerce et d'Industrie Canada-Liban: un site flambant neuf qui illustre le dynamisme économique et migratoire entre les deux pays.

 

Chambre de Commerce, d'Industrie et d'Agriculture de Beyrouth ; c'est l'organisme local de référence en la matière et qui entretient des liens souvent étroits avec ses homologues françaises et généralement francophones.Le site web comporte assez peu de Français sauf dans sa partie Formation ou elle est la langue d'expression principale...pour une bonne cause, donc...!

Chambre de Commerce et d'Industrie de Saida et du Sud-Liban, en Anglais seulement....

Chambre de Commerce et d'Industrie de Tripoli et du Nord-Liban, en Anglais seulement...

Chambre de Commerce, d'Industrie et d'Agriculture de Zahlé et de la Bekaa;

Team International, groupe d'ingéniérie particulièrement impliqué dans les travaux d'infrastrucure urbaine à Beyrouth notamment dans le domaine des routes.Tous les détails dans la rubrique Nouvelles et Projets.

Solidere, un rappel de la société de reconstruction du Centre-Ville qui propose de nombreux services, principalement dans le domaine immobilier.
Le CDR, Conseil du Développement et de la Reconstruction. Il est un organisme-clé dans la planification et la coordination des programmes de reconstruction dans l'ensemble du Pays.Il a également une mission d'information, notamment pour les entreprises susceptibles de participer aux appels d'offres.La politique trilingue de sa communication en est une illustration tout à fait positive.

Libanpost, la société en charge des services postaux depuis 1999. D'origine canadienne au départ, sa reprise par un groupe d'investisseurs libanais est effective depuis 2001...

Midex International, spécialiste du service de courrier rapide à l'échelon international, cette société dont le siège est situé dans le quartier de Badaro à Beyrouth est un partenaire fiable comme en atteste son rang de correspondant privilégié de Chronopost. LibanVsion peut par ex. attester de la qualité du Service de cette équipe en ce qui concerne les expéditions entre la France et le Liban!

Administration Centrale de la Statistique, un service d'autant plus nécéssaire aujourd'hui au Liban que la guerre a quasiment interrompu toutes collectes et fournitures de données indispensables aux repères des décideurs.

DataBank.com.lb, on attend de ce site lancé en Septembre 2003 par InfoPro, éditeur de Lebanon Opportunities, qu'il pallie la déficience chronique en matière de sources statistiques économiques fiables au Liban.Les aides reçues pour ce projets et les moyens mis en oeuvre semblent enfin répondre à cet objectif indispensable pour le Liban moderne et ses relations avec l'étranger.

Statistiques sur l'Artisanat Libanais, secteur de l'économie qui semble actuellement en plein renouveau et très dynamique.Il est très complémentaire avec celui du tourisme dont chacun s'accorde à penser qu'il s'agit là, d'un des moteurs de la croissance sous la condition expresse d'une stabilité et de la sécurité de l'environnement régional.

ACK, un grand spécialiste Français, pour la Grande Distribution, de l'importation et de l'approvisionnement de produits, ntamment pour les rayons de matériel Hi-Fi et d'Electro-Ménager. Il étudie actuellement une offre - produits spécifique ainsi que sa logistique pour les Marchés du Moyen-Orient, dont Beyrouth sera sa plate-forme de représentation.

I Language, solution globale de traduction via Internet;site multilingue par définition...

CMA-CGM , société de frêt et transports maritimes basée à Marseille, de dimension mondiale et dont les bateaux visitent souvent le port de Beyrouth.


Le Port de Beyrouth
,
bénéficie de la coopération du port autonome de Marseille et tente de retrouver sa place d'avant la guerre en Méditerranée orientale.Un nouveau site a vu le jour au Printemps 2003 avec une version francophone tout à fait justifiée par les relations privilégiées avec notamment le Port Autonome de Marseille, comme mentionné plus haut.

Aramex, le site de la grande entreprise d'expédition et de messagerie rapides au Moyen-Orient.Un service indispensable surtout dans l'urgence.

Kafalat, organisme de financement de type mixte, public-privé, dont la fonction est de cautionner les prêts accordés aux PME, petites et moyaennes entreprises libanaises. De plus en plus sollicité, il est l'équivalent des Sociétés de Caution Mutuelle que l'on connait en France et tient une place de plus en plus significaive dans le tissu économique libanais. Les prêts ont un montant maximum de 200.000$ sur une durée maximum de 7 ans pouvant inclure une période de franchise jusqu'à un an. Découvrez tous les détails et les modalités dans la section francophone du site que LibanVision ne peut que saluer...

Etude de M. Najjar, cabinet juridique parfaitement bilingue et établi depuis plusieurs générations ce qui est, ici, particulièrement sécurisant.De plus, bien située à Achrafié-Sodeco, c' est une équipe polyvalente et très disponible pour les hommes d'affaires Francophones.Disposant également de bureaux à Paris, c'est donc un correspondant local idéal si vous intervenez pour votre entreprise, que ce soit au Liban proprement dit ou au Moyen-Orient dans son ensemble.

Etude Mallat, autre grande famille Beyrouthine de tradition à la fois francophone et juridique; il y a quelques années seulement, M. Mallat fut Président du conseil constitutionnel.La langue francaise nous parait curieusement un peu timide sur le site...

Etude Naccache, cabinet bien situé qui travaille autant sur le plan local qu'au niveau des Entreprises internationales en Affaires avec le Liban; Il est d'ailleurs affilié au réseau European Law Firms Association.

Droit et Internet, la nouvelle économie implique des évolutions juridiques et une jurisprudence à surveiller tout particulièrement.Voilà un site avec de nombreux liens qui est un excellent point de départ vers ce sujet.

Jurislib-Droit Libanais, site francophone encore en cours de développement sur le système juridique et fiscal Libanais.Voilà un outil de travail ou de connaissance particulièrement utile...

Propriété Intellectuelle et Artistique au Liban, Ce portail juridique vous ouvrira de nombreuses portes dont ce thème important dans notre pays ou la copie n'est pas, avouons le, si rare....

Centre d'Etudes Juridiques et sociales, CERJUS, site bilingue Français-Arabe, en cours de finalisation que l'on doit à l'initiative d'un cabinet d'avocats et d'enseignants en droit dont le but est de permettre des consultaions en ligne.

Revue Libanaise d'Arbitrage Arabe et International, le site pointu du cabinet de Maitre Ibrahim Najjar à destination des spécialistes.

Groupe Mazars, cabinet d'Audit et de conseil aux Entreprises implanté à Antélias.

Lebanese Leasing Company, Malgré ce nom bien anglophone, cet établissement financier spécialiste du crédit-bail est lié au groupe Français UCABAIL


IDAL , le site officiel de l'organisme public en charge de l'aménagement du territoire.il est priincipalement axé sur les Informations et l'assistance aux investisseurs étrangers et à la présentation des zones franches.Visitez aussi notre page francophone spéciale IDAL

Banque de données des collectivités territoriales, élaborée par le centre francais du commerce exterieur et la banque Dexia.

La Chambre de Commerce Francaise pour le Moyen-Orient, Association proposant aux entreprises une panoplie de services destinés à les aider dans leur approche des marchés Moyen-Orientaux.

Chambre de commerce Franco-Libanaise, implantée à Marseille et Paris,cet organisme veut promouvoir les échanges franco-libanais, et en particulier le tourisme au Liban auprès du marché francais.Elle oeuvre depuis 50 ans pour la francophonie des affaires et l'amitié entre les deux pays;la liste des adhérents vous permettra de connaitre les sociétés qui sont activement présentes sur le marché Libanais et , bien sûr le champ de ses services.

Chambre de Commerce Franco-Arabe, se veut l'organisme moteur du développement des relations économiques entre la France et les pays Arabes principalement dans le secteur privé.Le site a été totalement rénové et sa présentation est désormais en harmonie avec la notoriété et les objectifs affichés.

Chambre de Commerce et d'Industrie Canada-Liban, tout ce qu'il faut savoir sur la coopération libano-canadienne;beaucoup de sérieux et de richesses dans ce site qui satisfera les plus curieux même si vous n'envisagez pas d'échanges avec les canadiens.

Chambre de Commerce et d'Industrie Arabo-Suisse, un site web pour dynamiser des relations entre la Suisse et le Monde Arabe qui ont toujours été importantes notamment dans l'univers financier.

La Page Liban de la région Bruxelles-Export, quelques repères pour les investisseurs et exportateurs désireux de développer les échanges entre la Belgique et le Liban.Il existe également une Chambre de Commerce Belgo-Arabe (site web en Anglais...) que l'on pourra indirectement approcher via la CCI de Charleroi en Wallonie.

La page Liban de l'AWEX, en Belgique, c'est l'Agence Wallone pour la promotion et le développement de l'export.La Wallonie, région en pleine mutation économique n'est pas avare de dynamisme en matière de FRancophonie des affaires.

Inlibanoonline, nous avons beaucoup apprécié ce nouveau portail consacré aux relations d'affaires entre le Liban et l'Italie dont une partie des entretiens et du rédactionnel est en Français: coup de chapeau à nos amis Italiens pour leur solidarité et leur réalisme.

L'OCDE, l'organisation pour la coopération et le développement économique regroupe les pays économiquement les plus développés au monde.Nombreuses informations sur les pays membres ou les grands thèmes de l'économie mondiale;Ne manquez surtout pas la rubrique sur la circulation des capitaux financiers le blanchiment d'argent ou le Liban fut montré récemment du doigt dans le rapport du GAFI.Vous pourrez aussi consulter le site de l'Observateur de l'OCDE qui édite des études précises que l'on peut commander.

ADECI, association d'uitlité publique de la région de Marseille visant le développement des partenariats entre entreprises méditérranéennes, de leurs échanges commerciaux et technologiques et de la coopération financère.

Procamex, association de la région d'Arles, près de Marseille, propose avec la chambre de commerce locale des actions commerciales vers le Liban.

Trendia, société privée multiservices à destination spécifique des entreprises désirant accèder aux marchés du Proche et Moyen-Orient.

Le CIEF, Centre d'Information Economique de la Francophonie, officiellement inauguré en Octobre 2002, ce nouveau centre de documentation mais aussi de rencontres à partir de la Principauté de Monaco doit ouvrir prochainement un portail sur la francophonie des affaires offrant une base de données fournies destinée à faciliter les échanges entre les acteurs francophones.

IMED, Association pour favoriser les exports ou l'implantation des PME Francaises dans les pays de la Méditerrannée et notamment au Proche et Moyen-Orient.Si vous êtes volontaire VSNE, sachez que dans le secteur économique et commercial, il s'agit d'une très bonne porte ou vous pourrez frapper.L'association, dont le siège est à Marseille, dispose d'un correspondant à Beyrouth et contribue à pourvoir à un certain nombre de postes chaque année.

A2G Liban, société basée à Jounieh, offrant des prestations de représentations et d'hébergement aux sociétés Européennes, notamment Françaises et Italiennes.

Protectron, même si le Liban est réputé comme pays sûr, beaucoup d'entreprises ont des activités de nature à utiliser des services de sécurité, de gardiennage ou de protection.En voici une aux références bien établies.

Les Appels d'Offres du Liban , site qui publie les principaux marchés publics;la mise à jour semble toutefois aléatoire.

Medeatrade, banque d'informations du programme Européen Medea en ligne de Bruxelles pour promouvoir les échanges commerciaux euro-arabes.

Euromeda, un excellent dossier général sur le Liban, sur le site bilingue de l'organisation de l'Union Européenne, en charge du développement des relations euro-méditerranéennes dans le secteur de l' artisanat et des petites et moyennes entreprises.

Débouchés agricoles et agro-alimentaires au Moyen-Orient vus du Canada.

Agrotropic, la rencontre annuelle,en France,des pros de l'Agro-alimentaire et de l'Agriculture pour le développement des échanges entre l'Europe,l'Afrique et le Moyen-Orient.

Approche du système Libanais des affaires, les grands traits du système Libanais parleMinistère Canadien du Commerce Iinternational.Il vous suffit de faire un tour dans la rubrique monde puis celle du navigateur Maeci pour le Liban.C'est une bonne synthèse à destination de tout entrepreneur envisageant des relations d'affaires avec le Liban.

Droit Commercial Libanais , le site mis à jour par le Conseil Canadien de Droit International propose à l'investisseur potentiel, après inscription, de mieux connaitre les différents aspects du droit commercial Libanais.

L'Agence Canadienne de Développement International.

Sami Levant, société de conseil et négoce en commerce international

Infoexport, service public canadien d'études de marché à l'export.

Ipsos , la petite soeur ou le petit frère Libanais du grand institut de sondages et d'enquêtes marketing Francais.Site en anglais.

JC Conseil , est un cabinet de recutement qui s'affiche sur le Net! même si la plupart de la communication et des annonces sont en Anglais, il convient de saluer cette initiative à M. Chamichian qui opére dans le Quartier Sodecoet qui compte déjà parmi sa clientèle des sociétés Françaises renommées.

Cabinet d'Architecture Jean-Louis Mainguy, le talent français en la matière, basé à Broummana.

Cabinet d'Architecture Michel Chidiac, un site à la belle architecture...

Netpubdot.com , était un peu le pionnier spécialisé de la publicité sur le Net.Tellement débordé que le site est encore en chantier, Humour!..Il est indéniable que la multiplication de sites nécéssite des recettes pour assurer leur pérennité et que l'activité de régie spécialisée devient inévitable à condition que suffisamment de sites soient de véritables projets d'entreprise..

Softsolutions, société d' informatique du Nord de la France, notamment spécialiste des progiciels pour le e-commerce et la grande distribution.Elle s'est récemment implantée au Liban et recrute.Elle a été choisie début 2001, à travers sa filiale Libanaise, IBS Multimedia, pour réaliser le site officiel du SOMMET de la FRANCOPHONIE.

Pdg-Express, le portail du décideur francophone, vous n'imaginez pas tout ce que vous pourrez vous ouvrir comme horizons en ouvrant cette porte; site bien pensé et donc bien vu!

Interex, un véritable site-atlas du commerce international en collaboration avec le Crédit Agricole; selectionnez Liban puis parmi les nombreux thèmes proposés, des plus ardus et techniques aux plus pratiques pour simplement préparer votre voyage d'affaires.Cela est aussi une excellente façon de faire un tour du monde économique...

La Palette Café, sur place ( 3 adresses à Beyrouth ) ou surtout pour vous faire livrer au bureau, réjouissez vous à l'avance de votre pause-déjeuner certainement bien méritée grâce à la gamme de sandwiches et autres coupe-faims à la présentation soignée à base de prduits frais.

Les Portails, Moteurs de Recherche, Fournisseurs d'Accès et de Services INTERNET...






Libanvision est référencé par l'Annuaire francophone
Cherchons.com




Terranet , le premier portail au Liban qui a pris l'initiative d'enfin proposer une option de navigation entièrement en Francais;une présentation agréable et une animation au minimum quotidienne, donc particulièrement dynamique.
un portail francophone
Une nouveauté sur le Net que nous devions saluer qui en fait un des tous premiers sites à visiter quand on a, en même temps, envie de sentir le Liban tout en se sentant réellement en "Francophonie". Pour les plus jeunes, la rubrique Junior mérite un détour particuluer.

Naharnet, en quelques mois ce portail qui bénéficie de la notoriété et de la logistique du groupe de presse et du quotidien An Nahar, s'est rapidement imposé comme l'un voire le tout premier au Liban.Son atout réside dans son caractère intéractif, la diversité de ses services et son option multilingue.Le Français est essentiellement axé sur l'actualité et sa rubrique compte déjà beaucoup d'internautes fidèles.

Wanadoo Liban , après le Maroc et la Belgique, le portail leader de France Télécom se lance en 2001 au Liban, autre marché francophone.C'est une stratégie logique pour l'opérateur Cellis-FTML afin de lancer son produit WAP qui vous permet la connexion au Net via votre cellulaire.Notez que ce portail est bilingue Français-Anglais.Ne soyez pas étonné d'arriver parfois sur "Plug in", ou d'être assidument incité à y faire un tour....pour ceux qui l'ignoreraient encore, c'est la marque du Service Wap de Cellis.

Sodetel, fournisseur d'accès dit'provider', partenaire de France Télécom, ce qui n'empêche pas l'Anglais de se tailler la part du lion en page d'accueil! no comment...Des liens sont quand même proposés vers des sites francophones, mais c'est la moindre des choses!

Lebanonlinks, moteur de recherche avec, la plupart du temps, le Francais en option; encore perfectible notamment en matière d'orthographe mais super pratique!

Une sélection de bons répertoires du Web Anglophones
... pour respecter la pluralité mutuelle ...

The Daleel, plus de 3000 sites web Libanais répertoriés de façon agréable et professionnelle; apparu courant 2001, il s'impose par son dynamisme comme une référence dans sa catégorie et un outil fiable et très utile. Pour la petite histoire, Daleel peut se traduire de l'Arabe par "Indicateur".Voilà donc un nom qui est bien porté !

Berro, annuaire du web venu des Etats-Unis qui nous a séduit par son classement des rubriques à la fois accessible et parfois original, ce qui n'est pas toujours facile en la matière.

Lebhost, un portail connu et sérieux, en Anglais certes, mais qui n' hésite jamais à référencer les bons sites francophones sur le Liban; notre moteur anglophone préféré!

GuideLB, un nouveau venu de... Tripoli, au classement intelligent, riche et très intéractif, puisque sa base de données est par exemple accessible pour les webmasters des sites référencés.Même si l'Anglais y est privilégié, de nombreux liens francophones y sont mentionnés.

Lebindex, un bon moteur de recherche local pour débusquer le meilleur du web Libanais; en Anglais, certes, mais les sites francophones sont invités à se faire répertorier...

Libanet, un moteur de recherche de sites libanais qui n'a pas oublié les sites francophones;alors si nous avons pu en oublier quelques uns,vous aurez de grandes chances de les retrouver ici.

Leb.Net , prestataire dans l'hébergement ou hosting de pages et sites personnels.Vous en trouverez une liste dont quelques uns sont Francophones.

Liban2000, est le moteur de recherche du réseau Psinet; avec un tel nom on s'attendrait à un moteur francophone, eh bien non! Néammoins, après quelques semaines d'absence, il est revenu sur la toile et c'est tant mieux.

Lynx, le moteur de recherche sous l'égide de la filiale de Fiberlink merite bien son patronyme car on y navigue avec beaucoup de clarté et on y trouvera, ici et là, des liens vers quelques sites francophones, certes encore trop rarement, mais c'est mieux que rien!

Des Portails-Annuaires en Français

Hahooa, depuis Avril 2001, c'est la version Arabe mais trilingue du moteur de recherche Français Voilà est en ligne! Le concept est futé mais le contenu a encore une grande marge de progression surtout en ce qui concerne les liens proposés.Cela devrait aller vite car la puissance du groupe est incontestable tout comme la demande Arabo-Francophone , en France et dans tous les pays Arabophones ou le Français est une langue seconde de communication.Indiscutablement, voilà un signe que le Net francophone se réveille enfin...

Mafhoum, naviguez vite sur la version francophone de ce portail panarabe qui nous a séduit par sa clarté et son approche électique.

Planetarabia en Français, un des plus grands portails pan-arabes lancé en 1999 par trois étudiants arabes aux Etats-Unis, mais fort opportunément trilingue! Libanvision vous donne l'accès direct à la langue de Molière.C'est son principal attrait pour les nombreux arabo-francophones car au-delà, il s'agit d'un portail classique, pro et... propre.

Fattich, un moteur de recherche en Francais vers tous- ou presque- les sites Libanais classés par thèmes et quelque soit leur langue d'expression; un vrai travail de chercheur, de fouineur!! Il se présente d'abord comme un bon annuaire et le rédactionnel ne semble pas être sa vocation.

Le-Liban.com, le web libanais francophone; saluons ici ceux qui ont été manifestement stimulés par la création de Libanvision et qui s'efforcent de viser les mêmes objectifs en essayant de ne pas trop nous copier!...Vive l'émulation dans la francophonie...

Idrel, un moteur de recherche anglophone sobre et sérieux sur le Liban.Visitez donc la rubrique bibliographique en francais très bien documentée.Si vous cherchez la composition du gouvernement ou des députés ou des informations détaillées sur chacun de leurs membres, vous pourrez y accéder via la page d'accueil.
Malheureusement, une partie du site requiert désormais un abonnement pour pouvoir y accéder...

Cyberleb, un portail libanais vu de Montréal.Version francaise en préparation.

 

Hit Parade , le classement par audience des sites francophones ce qui permet d'en découvrir énormément du plus professionnel au plus amateur.Il vous fait prendre conscience de la richesse et de la diversité du Web.

LBB, un bon moteur de recherche francophone qui nous vient de Bruxelles en Belgique; nous vous convions à faire sa connaissance via sa section Liban.

Actusite, pour se tenir au courant des sites Francophones récemment sur la toile, au cours des six derniers mois.

Noms de Domaine avec Liban: Une exclusivité de Libanvision; déjà plus de 220 noms de domaine incluant le mot Liban sont déposés sur le Web, même si tous ne sont pas en ligne...! grâce à Carambole, accèdez directement à la liste existante et un outil performant pourra vous aider à en fabriquer des nouveaux!

Francité, un excellent moteur de recherche francophone au sens large;dispose d'un moteur ou il est possible faire un tri par zone ou pays de la Francophonie.préalablament à votre recherche.Il ne reste plus qu'à penser à créer la zone arabo-francophone...

Giby, un portail au carrefour de l'Internet Francophone, très sympa et hors des sentiers battus, qui se trouve au coeur de l'Association pour la Promotion de l'Internet Francophone -APIF- .Voilà justement une cause que nous partageons avec foi et ardeur!

La-Toile, un bon portail Canadien avec une multitude d'ouvertures sur le Canada et quelques liens vers le Liban et les Libanais.

Webarabic , le premier site-portail francophone de la culture et du monde arabe.Pas de frontières du Maghreb au Machrek...un concept unique, une réussite incontestable qui correspond à un besoin réel..

ElOueb , un nouveau portail sur le Monde Arabe, né en France en 2001.En naviguant , vous y rencontrerez forcément le Liban et prendrez conscience de la réalité grandissante du phénomène Arabo-Francophone.

 

Fanoos, est un moteur de recherche sur le monde arabe à option trilingue appréciable;vous prenez la destination que vous voulez,c'est un peu dense mais assez original.La section sur le Liban est, semble t-il, encore en cours de développement.Nous aimons beaucoup la lampe d'Aladin...

 

Strategic Road , un site de recherche d'information stratégique particulièrement complet et dont nous vous avons déjà parlé par ailleurs.
Ibiscus, une bible de données géopolitiques, orienté vers les pays en voie de développement.

Développement Durable en Méditerranée, on aimerait bien voir le Liban impliqué dans ces programmes de l'organisation "Comité 21" active dans la protection de l'environnement et des côtes.

Butor, nous vient du Québec pour nous aider à découvrir quelques aspects de la société Libanaise.Il faut préciser que de nombreux Libanais sont installés là-bas-on parle de plus de 40.000-nous en profitons pour les saluer!

Kalamus, un site à mi-chemin entre portail et moteur de recherche, doté semble t-il d'une touche ésotérique et à destination des Libanais Francophones; il a été confectionné du côté de Bordeaux et de ses vignobles,en France; les activités multiples de ses concepteurs franco-libanais font que l'on y retrouve même des adresses de restaurants Libanais, entre autres, à Prague ou Moscou...Intéressant mais d' une logique pas toujours évidente à saisir!!De plus, la mise à jour du contenu propre n'est pas très régulière.

Liban-Contact, le site de l'Agence Universitaire de la Francophonie, donne des informations générales classiques et propose des liens dans les différents thèmes concernant notammant la coopération Franco-Libanaise.Déjà cité dans d'autres rubriques, nous voulons juste rappeler ici la diversité de son contenu qui l'assimile à un portail, même s'il mériterait bien un petit lifting!

Zourouni, un portail multi-pays encore dans une phase de finalisation dont la partie Liban prend la forme d'un City-Guide sur Beyrouth qui mériterait davantage de rédac.

Abidjan.net, le portail le plus important des francophones en Afrique de l'Ouest, ou vivent plusieurs centaines de milliers de compatriotes Libanais; la Côte d'Ivoire compte, à elle seule, environ 120.000 résidents Libanais, citoyens ou d'origine.Il était donc impensable de ne pas mentionner cette composante essentielle de la Francophonie Libanaise, d'autant plus que cette communauté conserve un lien de proximité affective et économique très intense avec le Liban.

Afrik.com, portail pan-africain confectionné principalement à partir de Paris de façon professionnelle et ludique à la fois.La page d'accueil offre un design très couleur locale et plein de punch qui incitera les nombreux Libanais francophones navigant entre le Liban et l'Afrique de rester branchés en permanence à leur pays Africain d'adoption quelqu'il soit.

Isa-Africa, un bon portail bilingue sur l'Afrique avec de bonnes pages consacrées au Liban et à la Francophonie à l'occasion du Sommet de Beyrouth en 2002.

Sentoo , le Sénégal compte une communauté Libanaise importante, on parle de 40 000 émigrés; une bonne raison pour citer le portail du premier fourniseur d'accès au Net du pays qui compte de plus en plus d'internautes.Internet contribue ainsi à sortir les communautés d'Afrique d'un certain isolement et assume ainsi, ici mieux qu'ailleurs, cette mission qui lui est propre.

Woyaa, un des portails-Internet pionniers avec une approche pan-africaine et qui vous facilitera les recherches sur n'importe quel pays d'Afrique, quelque soit votre centre d'intérêt.

MBolo, toute l'Afrique au bout des doigts serait un excellent slogan pour ce portail très clair et qui vous ouvre toutes les portes du continents avec même, pour certains pays, de bonnes adresses Libanaises en furetant bien!

Indexa, est un moteur de recherche du monde francophone dédié aux professionnels regroupant environ 25000 sites classés par secteur d'activité.Excellent outil transversal de communication pouvant stimuler les relations d'affaires au sein de l'espace francophone.

Europages, un portail Business to Business leader en Europe avec plus de 500.000 compagnies de plus de 30 pays européens répertoriées.En voici donc la version francaise avec qui vous ne pouvez plus échouer dans la recherche d'un parteaire européen.

Weboutil , si vous voulez dynamiser un site web, mieux le référencer, le rendre plus intéractif, c'est le site qu'il vous faut absolument fréquenter!

Weborama , pour l' internaute, il est le baromètre de la fréquentation des sites et permet donc de gagner du temps grâce un classement thématique. Pour les professionnels, il met à disposition des outils variés et utiles pour améliorer leur site, et permet d'en mesurer gratuitement l'audience réelle

Swisstools, un des sites les plus populaires d'assistance et d 'outils pour les Webmasters en Europe.En plus, il a le bon goût de proposer une version francophone.


Inet-Interactif est l'hébergeur professionnel de Libanvision.com;

 

Des ENTREPRISES sur la TOILE

Affaires ou business oblige, l'Anglais est la langue dominante voire presque hégémonique sur le Net dans cette catégorie.Nous avons toutefois dénicher quelques exceptions qui respectaient au moins le pluralisme sans négliger les francophones; dans d'autres cas, nous avons également cité des entreprises dont la nature de l'activité et surtout de la clientèle est le plus souvent réputée mieux maitriser et donc mieux comprendre le Français que l'Anglais.Pourquoi alors céder à la vague de la seule mode et ne pas agir aux mieux de leurs intérêts en faisant l'effort comme certaines, de proposer au moins une option de navigation en Français, synonyme à la fois de réalisme et d'ouverture et, en conséquence, bénéfique en termes d'image de marque. A bon navigateur, salut!

Voici donc notre sélection de sociétés qui est certainement appelée à grandir sans cesse, qui comprend non seulement des entreprises Françaises présentes ou représentées au Liban avec un site Web spécifique mais également des entreprises Libanaises réputées en particulier pour leur francophonie active:

Les Voitures Francaises au Liban

La concurrence est plus que sévère dans ce pays ou l'automobile est encore un accessoire majeur de la personnalité...Entre l'inévitable Mercèdes et le côté démocratique des japonaises et autres coréennes, les marques francaises tirent leur épingle du jeu puisque leur part de marché oscille régulièrement entre 16 et 18 % du gâteau Libanais!

Renault-Bassoul et Heneine , concessionnaire exclusif pour le Liban de la 1ère marque automobile Francaise, situé à Baouchriéh dans la banlieue est de Beyrouth, cet établissement assure aussi la représentation de BMW et Alfa-Roméo.

Peugeot-Citroen-S.I.D.I.A, concession exclusive de cette marque à la réputation de robustesse, qui talonne régulièrement son concurrent sur le marché français;située corniche du fleuve.

Nissan-Rymco, est-il osé de citer cette entreprise dans cette rubrique à tendance francophone? Sûrement pas tant que cela depuis que Renault a absorbé la marque Japonaise, avec un certain succès malgré le scepticisme du début, sous l'impulsion de M.Carlos Ghosn, Libano-Brésilien Francais, exemple du savoir-faire de la Francophonie libanaise à travers le monde des affaires.


 


Le Secteur Informatique


Rencontre avec Monsieur Habib Maaz, directeur général de Unilog Liban
Unilog a été l'une des premières sociétés à s'implanter à Berytech,
un " ancien " nous parle de sa société et de ses perspectives pour le futur.

Berytech : Quelle est en quelques mots l'historique d'Unilog ?
Habib Maaz : Le groupe Unilog est une société française qui a été créée en 1968 par cinq ingénieurs informaticiens, elle a été l'une des premières SSII (société de service et d'ingénierie informatique) et depuis elle s'est développée régulièrement pour devenir un des acteurs majeurs sur ce secteur en Europe. La société compte désormais 7000 employés. Jusqu'en 1995 Unilog n'opérait que sur le marché français, aujourd'hui nous couvrons également l'Allemagne, la Suisse, l'Angleterre et l'Autriche même si 75% de l'activité demeure en France, notre marché de base. Unilog est actuellement la cinquième SSII française, elle réalise un chiffre d'affaires de 660 millions d'euros et a gardé toute son indépendance dans la mesure où elle n'est filiale d'aucun éditeur, constructeur ou institution financière. Le capital est placé sur le marché à la bourse de Paris mais 51 % est toujours détenu par les fondateurs.

B : Quelles sont les activités de Unilog Liban ?
H.M : Unilog Liban a été créée en 1996 à mon initiative. Nos activités son similaires à celles de notre société mère Unilog France, en termes de nature et de secteur d'intervention mais à l'échelle libanaise. Nous sommes donc une SSII, nous couvrons tout le cycle de vie des systèmes d'informations, principalement en ce qui concerne l'informatique de gestion qui est au cœur du fonctionnement des sociétés. Au delà du développement informatique qui est notre principale activité, nous fournissons du conseil, établissons des schémas directeurs, de l'assistance à la rédaction de cahiers des charges, des études de faisabilité, de la sélection de fournisseurs pour le compte de nos clients, que nous accompagnons durant la période de vie de leur système d'information au niveau de la maintenance et de l'amélioration tout en assurant la formation et l'assistance. Nous sommes également intégrateurs, c'est à dire que nous recherchons sur le marché les solutions les meilleures pour les besoins de nos clients, solutions ERP, de gestion de document ou autres et nous les intégrons à leur système d'information. Nous sommes en particulier partenaires de la société Sage, le groupe franco britannique numéro un sur les logiciels de gestion pour PME, pour qui nous sommes centre de compétence au Moyen Orient. Nous avons, à ce titre équipé nombre de sociétés françaises établies au Liban comme Aventis, Thalès et d'autres.

B : Avez vous des clients en dehors du Liban ?
H.M : Oui nous travaillons sur tous les marchés puisque notre activité se répartit à parts égales entre le Liban et l'étranger même si l'Arabie Saoudite est notre marché d'exportation le plus important. Mais nous avons des clients en France, en Egypte à Chypre et à Bahrein.

B : Précisément à quel type de clients s'adressent vos services ?
H.M : Dans l'absolu toute société ayant recours à l'informatique peut être notre client. Ceci dit, notre domaine de prédilection se situe plutôt sur les moyens et grands comptes ainsi que l'administration. Nous avons plusieurs projets en cours de développement pour des entreprises para étatiques telles que la Régie des Tabacs, Electricité du Liban… Disons que toute entité à partir de 15 ou 20 utilisateurs peut faire appel à Unilog quel que soit son secteur : administration, distribution, industrie. De plus nous travaillons actuellement en vue d'approcher le secteur bancaire qui est un secteur important pour l'économie nationale et a de gros besoins au niveau des systèmes d'information.

B : Quelles sont les perspectives à court et moyen terme pour Unilog Liban ?
H.M : On continue sur notre lancée !! Nous tenons à conserver une répartition équilibrée de nos clients publics et privés et comptons poursuivre notre développement à l'étranger sans pour autant y accroître notre force de vente. La nouveauté pour le futur proche c'est l'activité off-shore. Nous pensons que dans les années à venir notre principale activité résidera dans le développement off-shore, le phénomène d'externalisation qui est encore embryonnaire en France va s'amplifier, à l'instar de ce qui se passe en Angleterre ou aux USA. Nous entendons répondre à cette demande et jouer sur l'avantage dont nous disposons à résider dans un pays multilingue francophone. Ceci donne au Liban un potentiel de développement sur le créneau de l'externalisation pour la France.

B : Qu'est ce qui a décidé Unilog France à opter pour le Liban pour son développement off shore ?
H.M : Bien sûr la proximité culturelle et géographique est un élément jouant en notre faveur, D'autres avantages sont le niveau de formation des ingénieurs libanais et la notoriété qu'ont, particulièrement, ceux qui travaillent dans l'informatique.

B : Et quels ont été les freins ?
H.M : Incontestablement les coûts de communications. Ils sont beaucoup moins chers dans les pays concurrents. Malgré cela nous sommes optimistes et pensons qu'il y a de la place pour les deux entités. Le calcul est simple : sous traiter 1% d'Unilog France représente 6 millions d'Euros !

B : Et dans ce cas c'est Unilog France qui est votre client.
H.M : Exactement, les clients finaux sont les clients d'Unilog France, comme Renault, la Société générale, BNP ou AXA. Et Unilog va pouvoir proposer au client une équipe " front office " chez le client, elle sera chargée d'effectuer les tâches réalisées sur place; et une équipe " back office " qui s'occupera du développement en fonction d'un cahier des charges bien précis élaboré par Unilog France et de la maintenance.

B : Comment appréciez vous l'évolution de Berytech depuis votre installation?
H.M : Nous étions, je crois, la deuxième société à nous installer à Berytech et nous avons bénéficié de la notoriété du site et des équipements qui nous sont offerts en particulier les liaisons Internet à haut débit. Des efforts restent à faire, à mon avis, pour ce qui est des connexions, mais le problème est général au Liban. En dehors de cela, le site est désormais proche de sa capacité d'accueil maximale ce qui donne une ambiance très agréable.

Interview réalisée par Yann Rotil, Novembre 2004


InterPhenix
, société Libanaise spécialiste en services informatiques appliqués aux réseaux Internet et dotée d'un service de communication spécifique pour la promotion des activités de l'entreprise notamment par le Net.Notez sa démarche originale avec l' installation d' une Agence en France, à Marseille, afin de se rapprocher de sa clientèle Européenne.Voilà qui n'est pas initiative si fréquente dans ce sens!


Computer Information Systems-CIS , société spécialisée dans la fourniture de solutions intégrées en informatique de réseau, télécommunications,Vidéo-conférence, systèmes de paiement pour le commerce électronique...Implantée à Jal el Dib, elle adopte les standards de grands partenaires internationaux et développe une communication francophone qui mérite d'être saluée, compte tenude la pré-éminence anglophone dans ce secteur d'activité.

Infoplus, société de services et d'ingéniérie informatiques, les fameuses SSII...

Computer Department , société de conception de logiciels qui propose un service intéractif de traduction trilingue dans sa rubrique services; Voilà la Francophonie que nous avons trouvée dans le site Web, ce qui dans ce secteur, n'est déjà pas si mal!

Digital-File, est une société du Groupe ACT dirigé par Mr Jalal Fawaz, lui-même Président du PCA, l'Association des Professionnels Libanais en Informatique.Elle offre des services délocalisés de saisie et de digitalisation de documents comme de traitement de données au sens large.Une branche dans les logiciels d'archivage et de gestion électronique est aussi, entre Liban et France, en plein développement.

Imagingconcept,,entreprise de service global autour de l'internet incluant notamment conception et réalisation de site web.Elle cherche à se développer activement dans le secteur des acteurs économiques francophones.Vous pourrez aisément consulter les sites-références que cette agence a réalisé pour ses clients.

IBS Multimedia , le bureau- filiale de la société Française Soft Solutions au Liban, à la fois Agence Web mais surtout spécialiste des progiciels à destinations des entreprises notamment dans le secteur de la distribution.

IsoSoft Moyen-Orient, société française spécialiste du Logiciel Qualité dont la représentation au Liban est situé à Broummana.

Marque Informatique et Communication, une entreprise de la région Parisienne spécialisée dans le développement de l'informatique à domicile dont le principal marché à l'exportation est le Liban ou il dispose d'une antenne commerciale.

Hotixsoft, est une société d'ingéniérie en informatique de gestion et en développement off-shore intervenant au Maghreb et au Liban.

Bull Moyen-Orient, la célèbre entreprise Française de matériel et de système informatique a choisi Beyrouth pour developper ses activités sur l'ensemble de l'aire régionale.

Sab, société spécialiste de la fourniture de progiciels bancaires qui dispose d'une filiale à Beyrouth.Elle compte déjà comme client plusieurs banques de taille moyenne au Liban

Integro Moyen-Orient, la filiale Libanaise de la société Française Integro-Acs.

Unilog Liban, la grande société Française de conseils et de services informatiques-SSII- est présente au Liban via une filiale.Elle propose entre autres les fameux logiciels SAGE.

AIMS, société spécialiste de l'équipement de systèmes de gestion d'informations et des configurations de logiciels de management ERP.


Toute l'Actu de l' Economie du Net

Med Innov, la page Liban du site de l'Agence du Conseil Général du Département des Bouches du Rhône, en France, ayant pour vocation de développer les échanges méditerranéens dans le secteur des entreprises des nouvelles technologies.

Des Services

Imprimerie Naccache, un tout nouveau site web avec animation musical dans sa version flash pour cette entreprise familiale implantée à Beyrouth-Quartier Achrafieh depuis 1933, ce qui est rassurant.Même si la langue choisie est l'Anglais, la relation y est des plus francophones et illustre parfaitement l'atmosphère Libanaise.Cette imprimerie compte d'ailleurs parmi ses plus fidèles clients les représentants Français parmi les plus prestigieux de Beyrouth, pour ne pas les citer....Une référence en plus de l'asuurance d'un travail soigné à des prix étudiés et des délais respectés, ce qui est ici une qualité peut-être encore plus appréciable qu'ailleurs...

Anis Press Printing , société d'impression de qualité tournée vers l'édition artistique et luxueuse.

Aleph , l'imprimerie en ligne.Commandez vos cartes de visite,vos lettres à entete;vraiment pratique,surtout dans l'urgence.

Le Medic sarl, la référence de la distribution de médicaments au Liban.

Rebeiz-Frères, entreprise d'importation et de distribution de poissons, crée par des libanais de retour du Sénégal ou les eaux sont parmi les plus poissoneuses du monde. L'entreprise est en pleine croissance grâce à un solide réseau de distribution de gros et semi-gros.Elle se développe sous l'enseigne Oceanus.

Solicar, Société Libanaise de Carton, spécialiste de l'emballage, implanté à Wadi Chahrour dans la région de Baabda.

Les Editions Orientales, société éditant entre autres les revues francophones Magazine et Femme Magazine.

SCE/Odissée, groupement des sociétés Françaises SCE, spécialiste des infrastructures et de l'ingéniérie en eau potable et BRUNET TP, prestataire dans le secteur des Travaux Publics.Cette structure complémentaire intervient essentiellement en collaboration avec l'Office des Eaux de Beyrouth, dans la réhabilitation du réseau d'adduction d'eau de la métropole et a mis au point un système d'information géographique SIG/GIS destiné essentiellement à la gestion de la consommation.Ils'agit d'un secteur clé dans la modernisation du pays et de la qualité du quotidien de la population.

Watertech , société spécialiste de la qualité de l'eau et des solutions de filtrage.Sa devise est "l'eau pour tous", ce qui au Liban est effectivement un sacré défi , non en termes de quantité mais bien de qualité et de pureté.

Bois d'Afrique, entreprise spécialisée dans le travail du bois à la carte liée à l'architecture et à l'agencement de la maison, basée à Mansourieh.

Deloitte et Touche, un des plus grands cabinets d'audit mondiaux, dispose d'une antenne au Liban.

Setec International, société Française du Sud de la France impliquée dans des grands projets d'équipement et de coopération dont le Liban fait partie dans les secteurs hospitaliers ou routiers par exemple.

Sécuritas-Liban, le nom vous est sans doute familier; il s'agit de la Filiale Libano-Suisse du Groupe international spécialiste de la Protection et de la Surveillance.

L'Agro-Alimentaire

Coopérative Libanaise pour le Développement
, organisme de financement destiné à l'agriculture.

Liban Lait, une entreprise majeure du secteur agro-alimentaire implantée dans la region de la plaine de la Bekaa, véritable grenier du pays.Comme son nom l'indique, elle est spécialisée dans le secteur laitier et fromager et elle fabrique sous la license Candia.Nous avons par exemple récemment pu goûter le traditionnel Ayran ( ou Laban) en petite brick qui nous a agréablement surpris.Le yogourt liquide d'Europe ou des States est décidement bien fade...Encore un argument pour ne plus hésiter à consommer Libanais!

Nada, une eau minérale typiquement Libanaise qui jaillit des sources de la montagne du Mont Liban ou les plus beaux sites naturels donnent naissance à des sites web par le biais du monde moderne, communication oblige !...

Eaux Minérales Sannine , Le Liban a son Vittel ou son Evian,ça rime mieux!Présentation des vertus de cette eau de source puisant sa source près du fameux sommet visible de Beyrouth et qui culmine à 2628 mètres d'altitude.

Tannourine, compagnie d'eau minérale et d'embouteillage dotée de la norme ISO.Si vous voulez vous balader et découvrir un endroit à la beauté pure et magique, allez donc vous ressourcer du coté de village de montagne.

Al Wadi Al Akhdar, mot à mot, la Vallée Verte, sans doute pour évoquer la Plaine de la Bekaa d'ou sont originaires la plupart des produits, ntamment fruits et légumes soigneusement mis en conserve.il n'est pas rare d'entendre des libanais louer la qualité de cette marque qui exporte une partie de sa production.

Cortas, sans doute la marque d'Agro-Alimentaire de produits libanais la plus connue, surtout à l'étranger, tant son dynamisme à l'exportation en a fait depuis longtemps un ambassadeur du pays.

Al Rabih, site de la société de conserveries Sonaco de Dbayé;vous pourrez même passer votre commande.Choix et qualité sont au rendez-vous.

Les Conserves Modernes de Chtaura, société agro-alimentaire de la Békaa; elle a développé une large gamme de produits de qualité et contribue par sa politique d'exportation au rayonnement de la culture culinaire libanaise.

Lina's Sandwich, une enseigne désormais célèbre à Paris et dans le Monde dans le domaine du snack de luxe.Depuis 1989, ouverture du premier point de vente, l'entreprise lancée par une Libanaise à Paris a fait son chemin et le concept doit enfin voir le jour à Beyrouth .

Sofi de France-Délifrance Moyen-Orient, société ambassadrice du goût Français par excellence puisque spécialiste de la Boulangerie, viennoiserie, salaison et patisserie surgelée. La bonne baguette à la Française au Liban se reconnait à cette enseigne !

Moulin d'Or, l'Art de la Boulangerie du côté de Jounieh; nous aimerions que les vertus de la baguette soient davantage louées en Français...

Pain d'Or, chaine de boulangerie-viennoiserie bien connue dans le Grand Beyrouth; un des repères incontournables pour être sûr de mettre sa bonne baguette au goût français dans son panier matinal.Dommage que le website n'ait pas une seule touche de français au delà de l'enseigne...

Moulin Rouge, dans la pure tradition francophone, un nouveau point de vente de la boulangerie et patisserie française dans la région résidentielle de Naccache Antélias et dont la vocation est aussi la vente en gros et demi-gros dans Beyrouth et sa banlieue.


Stratégie d’entreprise: Établissements Michel Najjar : un café qui se démarque
Tous les buveurs de café ne sont pas égaux. C’est forts de ce constat peu démocratique que les établissements Michel Najjar ont posé les bases de leur stratégie marketing : segmenter le marché en sous-groupes d’individus homogènes et proposer à chacun d’entre eux un produit bien spécifique. « Selon leur tranche d’âge, leur revenu ou leur origine géographique, nos clients ont des besoins différents, un mode de pensée et de référence particulier et possèdent des habitudes d’achat et de consommation qui leur sont propres », explique Jean Nader, directeur marketing. Impossible dans ces conditions de s’adresser efficacement et de façon uniforme à l’ensemble des consommateurs. Au contraire, «la meilleure option est de personnaliser le plus possible nos produits afin de fidéliser la clientèle cible ». Résultat : l’offre des établissements Najjar comprend 17 produits différents correspondant à 17 segments clientèle retenus.
Le client moyen ne fait plus recette

Rien que sur le marché grand public, le producteur propose six marques nationales (Café Najjar Le Gourmet, Le Brésilien, Beirut Blend, Carioca Café et Star Café). À chacune de ces marques sont associés un goût, un tarif, un emballage, un circuit de distribution et un message publicitaire différents. « Le consommateur de Star Café, jeune actif, soucieux de donner une image idéalisée de lui-même, se distingue par exemple du consommateur de Beirut Blend, davantage tourné vers le bien-être et l’authenticité, et plus sensible à l’atmosphère familiale et d’hospitalité véhiculée par le café », remarque Jean Nader.
Investir tous les circuits de distribution
Avec une offre de produits aussi étendue, les établissements Michel Najjar, qui se sont laissés distancer par la concurrence dans les produits de marque distributeur, disposent d’un moyen efficace pour gagner des mètres de linéaires en supermarché et conquérir de nouveaux clients. Mais, sur un marché saturé (80 % de la population adulte consomme déjà du café au Liban), c’est surtout de la hausse du nombre de tasses consommées par individu que devrait provenir l’essentiel de la croissance future de l’entreprise. Le torréfacteur, leader du secteur avec 43 % de parts de marché, multiplie ainsi les occasions de consommation en investissant tous les circuits de distribution. Dix mille machines automatiques installées dans les entreprises et chez les professionnels de la restauration délivrent chaque mois près de quatre millions de tasses et La Maison du Café poursuit son expansion locale et internationale avec une vingtaine de franchises déjà installées. L’enseigne, véritable vitrine du savoir-faire des établissements Najjar, propose une gamme de cafés en provenance de 18 pays différents pour satisfaire les clients les plus exigeants. C’est la ménagère de moins de 50 ans, ce client moyen auquel s’intéressent traditionnellement les entreprises de biens de consommation, qui risque de boire la tasse !


Par Charif KOJOK pour L'Orient-Le Jour

L'Industrie

Air Liquide Liban, -Soal- la filiale Libanaise de la grande Entreprise Francaise, spécialiste des gaz liquides.

Saccal , plus de 50 années d'expérience pour cette entreprise Libanaise dans le domaine de l'électricité, plus particulièrement spécialiste des groupes électrogènes et onduleurs.Elle est certifiée ISO 9001 et développe ses acivités à l'export, par exemple vers l'Afrique ou la communauté Libanaise est très présente.

Clemessy Groupe, grand spécialiste Francais de l'ingéniérie électrique et électronique, est présent depuis de nombreuses années au Liban et a largement participé à la reconstruction engagée depuis 1992.

Groupe Girardot, grande entreprise Francaise de l'équipement électrique est présente au Liban à travers sa filiale, FLEET Sal.

L'Institut Français du Pétrole, organisme qui regroupe les principaux acteurs de l'industrie du pétrole en France;il dispense périodiquement des actions de formation au Liban.Même si chacun sait que le Liban n'est pas un pays producteur,l'on doit savoir que les Libanais sont très présents et actifs dans les professions de l'intermédiation sur ces marchés.Nous ne pouvions donc pas occulter ce secteur tant il influence cycliquement les équilibres économiques

.



Société des Ciments du Liban
, une des plus anciennes sociétés du secteur et l'une des toutes premières sociétés côtée à la Bourse de Beyrouth.
Ceux qui passent souvent près de Chekka en montant vers le Nord , pourront vous parler du site...de production!

Les Cimenteries Nationales, comme la plupart des entreprises de ce secteur, sa production est un bon baromètre de l'activité économique en général et de la construction en particulier.

Noujaplast, société spécialisée dans l'emballage et la transformation plastique.

Cerec, société d'emboutissage du Nord de la France, destinée au secteur de la chaudronnerie qui envisage, comme de nombreuses sociétés francaises, une implantation commerciale au Liban pour viser le marché régional.



La Santé et Etablissements Hospitaliers

Hotel-Dieu de France, grâce à son site web moderne à l'image de ses installations, faites connaissance avec le fameux hopital, ou sont dispensés la plupart des soins avec les dernières techniques de point, le CHU, Centre Hospitalier Universitaire de l'Université Saint-Joseph.


L'Hopital de la Croix, situé sur les hauteurs de Jal-El-Dib (photo ci-dessous), c'est un établissement renommé au Liban depuis de nombreuses années et orienté vers les disciplines psychiatriques. Son site-web, en ligne depuis la fin Juillet 2004, vous donnera tous les détails.

L'Hôpital Libanais, le site web et ... francophone de l'établissement bien connu sous le nom de Geitaoui du nom du quartier de Beyrouth ou il se trouve.

Centre Hospitalier de Bhannès, établissement moderne des Filles de la Charité dans le Metn-Nord.

Hopital Serhal, établissement privé de la région d'Antélias-Rabieh.

Hopital Al Koura, dans la région du Koura au Nord -Liban.

Clinique Moarbès, à Furn el Chebbak.

Laboratoire Jabre Ghorra, laboratoire d'analyses médicales réputé depuis plus de 25 ans, avec branches à Achrafieh, Sin-El-Fil et Nex-Jdeidé.

Clinique Vétérinaire Animed, parce que nos amis les bêtes ont, elles aussi, droit aux soins et à la santé.

Biolab, fournisseur d'équipement pour la création et l'entretien de laboratoires biologiques.

Pharmatec , spécialiste de produits de beauté et de la santé.

Pharmamedic, société spécialisé dans l'imporataion et la distribution de produits de la santé, notamment capillaires et pour l'épiderme.

Pharmacie le Gabriel, un site-web pour une pharmacie qui assure la livraison à domicile...


 

Entreprises symboles de la Francophonie des Affaires

Participation officielle française au Salon Project Lebanon 2003

Première participation officielle française à un salon libanais depuis 2 ans, la France participera à l’édition 2003 du Salon International des Techniques, Matériaux et Equipements de Construction (Project Lebanon), qui aura lieu du 10 au 14 juin 2003, en rassemblant dans un pavillon officiel, mis en oeuvre par UBIFRANCE, tous les exposants français qui le souhaiteront.



FTML-Cellis , le réseau leader pour le téléphone cellulaire au Liban, filiale de France Télécom, pour bavarder sans compter ou s'envoyer des SMS tendres.Le Liban est le pays du monde qui compte le plus de téléphones cellulaires par habitant.A quand les formules forfaitaires comme en Europe?Notez que 2001 sera vraisemblablement pour "France Telecom Mobile Liban" l'année de l'essor du WAP, avec le produit Plug In qui permet de se connecter sur le Net à l'aide de votre cellulaire.Voilà une nouveauté très...branchée qui promet de bonnes séances de frime en perspective...

Monoprix-BHV, en attendant de retrouver le site Libanais du Groupe ADMIC, opérateur-franchisé de la grande chaine francaise pour le centre commercial de Jnah, nous vous proposons le lien avec celui de Monoprix-France.Vous y découvrirez certainement toutes les nouveautés bientôt disponibles à Beyrouth ou l'ouverture prochaine d'un second magasin Monoprix à Achrafié vient d'être décidé, à l'emplacement de L'Abela super-store.Les affaires marchent pour la famille Abché...

Aventis-Specia, la vitrine des produits pharmaceutiques Franco-Allemands au Moyen-Orient.

Rabot-Dutilleul, le groupe de BTP Français dispose d'une représentation active au Liban, implantée dans la région de Baabda.

Ondéo-Degremont, cette puissante filiale du Groupe Suez -ex-Lyonnaise des Eaux- spécialiste du Traitement de l' Eau, est présente depuis longtemps au Liban.

Rhodia , Le siège des opérations Moyen-Orient du grand groupe Français spécialiste des produits chimiques est à Beyrouth.

Sodap-Lafarge, Le grand cimentier Français est présent au Liban via Sodap-Liban.

Sodexho, le grand groupe Français d'origine Marseillaise, de catering , d'hygiène hôtelière et multi-services est présent au Liban et au Moyen-Orient via sa filiale de droit Libanais Sodexho Services Liban.

 

Pour être tout à fait complet , parmi les grands groupes Français présents au Liban sans un site web local, il convient aussi de citer notamment: Air-France, Alcatel, Alcatel-Cables, Bouygues, Schneider,Matra ,Michelin, Sagem, Suez-Lyonnaise des Eaux, Tati, Vivendi via sa participation dans les Transports Ahdab - CGEA.Pour obtenir une liste et des coordonnées complètes, le mieux reste de s'adresser directement au Poste d'Expansion Economique local, rue de Damas , à Beyrouth.

...A Découvrir...

Un portail sur la Méditerranée sous tous ses Aspects...
Il nous vient de Tunisie mais fait une bonne place au Liban

Les Assurances et Mutuelles

SNA-société nationale d 'assurances, filiale du groupe Allianz-Agf;.y aura t-il bientôt un peu de francais bientot sur le site?Ce serait la moindre des choses lorsqu'on se positionne comme un leader dans son domaine au Liban et que l'on s'adresse nécessairement à une clientèle plutôt aisée qui maitrise au moins aussi bien Molière que Shakespeare...

Caisse Mutuelle Laique , mutuelle Libanaise, la première sur le Net, qui propose en outre sur son site internet, une option claire de navigation en Français et en Anglais.Sa dénomination évoque parfaitement son objectif de choix de société et au niveau technique elle a mis en place un partenariat avec la grande compagnie Française d'assurances AG2R.

Bankers Assurance, un des tous premiers groupes qui s'est spécialisé dans la couverture sociale privée au Liban.Cette société propose des offres globales et évolutives en matière de santé à des prix étudiés.Assures toi toi même pourrait être une bonne devise!

Libano-Suisse Assurances, Groupe implanté de longue date et bénéficiant d'une grande notoriété dans le secteur au Liban.

Mednet, est une autre société importante dans le secteur de la protection sociale privée au Liban.Comme tous les acteurs de ce secteur la culture du site est Anglo-Saxonne donc très concrète.

Assurex, société d'assurances de Sin-el-Fil, bien implantée dans le milieu francophone offrant toute la palette des services à destination du particulier et des entreprises.

Axa-Middle East, pas encore de site pour la filiale du premier assureur Français;compte tenu de sa position et de la concurrence, cela ne saurait tarder...Si tel est votre avis vous pouvez toujours le confirmer par email...

Victoire , compagnie d'assurances de culture française dont la branche Libanaise est implantée à Beyrouth vers le quartier Badaro depuis de nombreuses années.

Capital CIR, Compagnie d'Assurances et de Réassurances; tous les services jusqu'à l'assurance des assureurs.

SogeCap Liban, filiale de la SGBL, Groupe Société Générale, spécialisée dans les Assurances et particulièrement les programmes d'Assurance-Vie et d'Epargne-Retraite.Un site web explicite digne de la puissance rassurante de l'entreprise.

 

Communication, Equipement et Divers

Centrale-des-Salles
Société franco-libanaise spécialisée dans l' organisation d'évènements, de congrès avec un concept innovant.Originaire de Paris, on attend son implantation dans un futur proche à Beyrouth, précisément dans cadre du Berytech, comme l'a déclaré récemment son jeune et dynamique PDG, Mr Minkara.

Swelpix, agence-web qui s'est fait connaitre au début de années 2000 par la production d'un CD permettant la vision panoramique du LIBAN en 360°; elle s'engage désormais dans de nombreuses manifestations francophones, comme le salon du livre dont elle réalise le site-web pour le compte de la Mission Culturelle Française.L'introduction directe en langue française sur son propre site témoigne de cette raltion privilégiée tout comme sa double implantation entre Beyrouth et la technopole de Sophia-Antipolis près de Cannes, en France.


Stratégies Liban
, une des plus importantes agences de publicité du Liban, filiale du groupe Français, Stratégies-International, implanté à Paris-Neuilly. Son Président , Mr Tabet est le secrétaire général pour le Liban de l'Association des Publicitaires Francophones.C'est dire si cette agence est une militante active de la communication en Français auprès des annonceurs qui connaissent souvent bien la francophonie de leur cible mais dont certains préfèrent communiquer en Anglais, le plus souvent pour se persuader qu'ainsi, ils sont peut-êre plus modernes...Notez que l'Agence Stratégies Liban a annoncé en Février 2001, sa fusion avec l'Agence DDB-Idée et Communication afin de former le 1er groupe de communication dans le pays sous la bannière DDB Liban.

Inter-Régies, membre du réseau international Mc Saatchi, voici une agence animée par Mr JC Boulos, un autre grand militant de la Francophonie en général et dans le secteur de la communication en particulier.Sachez que le congrès mondial de l'Association Internationale des Publicitaires ou IAA se tiendra en 2002 à Beyrouth et que Mr Boulos en sera alors le Président.

Batesrouge, voici un autre mousquetaire de la défense du Français comme langue de communication au Liban.Pas si étonnant puisque son dirigeant Mr Brenas est Français!

Pimo Lintas, la branche Libanaise de ce grand réseau international d'agences de publicité tente de promouvoir auprès de ses clients la communication en langue Francaise au Liban pour tenir compte de la réalité de la maitrise des langues dans le pays.Elle dispose également d'antenne en Jordanie et en Syrie.

Pikasso sarl , société spécialiste d'affichage publicitaire,son site est une vraie mine d 'informations statistiques pour tous ceux qui préparent par exemple des études marketing;très pro et... en Francais.

Advertising 12, une banque de données, oh combien précieuse, que l'on doit à une agence Libanaise innovante et qui permet l'accès à d'innombrables publicités actuelles du monde entier; un outil autant précieux pour les professionnels de la Pub ou du Net que pour les fanatiques ou numismates d' annonces publicitaires.

Publi-Graphics, agence de publicité représentant le grand groupe Français Publicis.

Téléperformance Liban , faîtes connaissance avec la filiale locale du groupe Français spécialiste du télémarketing, SR Téléperformance.

Cintel, société specialisée dans les réseaux téléphoniques.

Medco, un site spécialisé dans les offres promotionnelles et les partenariats commerciaux.

Roly-Pub Liban, est une agence spécialisée dans l'affichage mobile...Impeccable pour capter votre attention dans les embouteillages, surtout quand les messages sont en Français!!!

Equipement et Divers

Bimatic
,
est une société qui distribue du matériel de cuisson pour boulangerie;

Euroselection, pour faire connaissance avec les produits francais de boulangeries Croustipain.

Joseph Amatoury , producteur et distributeur de produits d'hygiène pour le corps.L'entreprise est certifiée ISO 9001, ce qui devrait mettre en confiance les Libanais pour consommer local dans un secteur ou les habitudes sont traditionnellement portées vers les produits importés.

Emile Mouccary , société d'accessoires pour la confection.

Christiane Nakad, voilà le site d'un établissement de Commerce et Export d'une Libanaise du Mexique qui montre que le Français peut rayonner sur le Web a delà du monde francophone!

Sukleen, société internationale en charge du nettoyage urbain et du traitement des déchets pour le Grand Beyrouth depuis l'été 1994; Site anglophone pour un thème cher aux francophones...Vous en croiserez de jour comme de nuit les employés, pour la plupart immigrés, qui sillonnent rues et quartiers.

Tecsol, société pionnier offrant des solutions en matière d'énergie pour les promoteurs de logement; Voilà qui, au Liban, correspond à un vrai besoin!

Catnettoyage, grande société de service de nettoyage notamment dans le secteur hotelier.

Kourany, Société basée à Furn-El-Chebbak depuis 1956, spécialisée dans le nttoyage en général ainsi que le polissage et le traitement de la pierre

Libanet, un autre acteur important dans le nettoyage professionnel.

GHIA, société gestionnaire des restaurants Monot et Ciao.

Société pour l'Ameublement Georges Matta , grand choix de meubles importés d'Asie, d'Italie et d'ailleurs, dans ces magasins d'expositions spacieux,ou vous pourrez équiper avec goût et à prix souvent raisonnables votre tout nouvel appart' sans oublier les terrasses ou jardins!

Société Libanaise pour l'Ameublement, un spécialiste de confiance dans ce secteur ou la concurrence et la négociation sont reines.

Akl Décor, Société spécialisée dans l'ameublement et la décoration d'intérieur de la région de Baabda-Hazmieh.

Anid-Emballage, comme son nom l'indique....une société familiale comme la plupart au Liban, avec une expérience à l'international.

Cottage , société spécialiste des stores, parasols et structures pour la protection du soleil qui, même si on le vante si souvent, nécéssite qu'on s'en abrite de temps en temps!

Sleepcomfort, sans aucun doute le magasin de meubles et d'équipement de la maison le plus grand du Liban.Situé à Beyrouth-la Quarantaine, il dispose d'une impressionnante infrastructure avec cafétéria et garderie;ceux qui connaissent l'Europe le surnomeront volontiers le Ikéa Libanais. Le site Internet est encore en préparation ou en sommeil, mais attention lorsqu'il va se réveiller!!!

Groupe Pharaon, particulièrement connu du grand public pour ses activités sans l'équipement de la Maison et l'électro-ménager, vous vous rendrez compte en naviguant dans le site, exclusivement en Anglais, Business oblige, que ce Holding révèle une véritable galaxie.

Debbas, le groupe est reconnu comme le grand spécialiste Libanais de l'éclairage et du luminaire; comme il communique assez souvent en Français par l'affichage notamment, nous aimerions que cette Langue ne soit pas totalement ecclipsée du site internet.

AZ-Electronic, un spécialiste de l'électro-ménager et de l'équipement électronique pour la maison ou le bureau, avec de nombreux show-rooms aux offres très attractives.

Beyrouthcourses, société de services de livraisons rapides, à Mkallès, plus qu' utile, surtout quand il y a urgence.

Camusat, entreprise du secteur de l'équipement en télécommunications.

La Miniature, cabinet spécialisé dans les maquettes d'architecture.


Les FOIRES et SALONS au LIBAN

Notre page spéciale

Salons et Foires-Expositions au Liban

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Une Première au Moyen-Orient !

Bekaa 2002,
Salon des Vins et Spiritueux des
Pays de la Méditerranée au Levant

International Fairs and Promotion, organisateur de salons professionnels internationaux au Moyen Orient.Un des acteurs principaux de ce secteur contribuant au renouveau du rayonnement du pays;
Calendrier des évènements sur la page d'accueil.

Promofair, organisateur de salons de dimension internationale au Liban comme le Sibatech pour le secteur du bâtiment et le Termium pour l'informatique et les nouvelles technologies;
Calendrier de leurs manifestations.

CFME-ACTIM, organisme Français en charge de la promotion des Entreprises Françaises à l'Etranger en particulier dans les salons.A ce titre, il prépare un pavillon Français d'entreprises des nouvelles technologies de l'information et de la communication pour le salon Termium 2001 qui aura lieu du 19 au 23 Septembre .Cette opération est préparée en partenariat avec l'ESA pour la partie colloque et le PEE de Beyrouth.Pour en savoir plus, il est donc indispensable de visiter le site.

Le BIEL,

le Beirut International Exhibition and Leisure Center, construit à l'origine pour recevoir à l'Automne 2001, le sommet de la Francophonie finalement décalé d'une année, est destiné à devenir au coeur du Nouveau Beyrouth, le centre de référence pour les rencontres internationales au Liban, à caractère commercial ou ludique.

Hospitality Services, organisateur de salons, notamment le Bifis, pour les pros de la finance tous les deux ans ou encore Horeca pour les pros de l'hotellerie-restauration.

Forum de Beyrouth, centre de congrès et d'expos qui reçoit les principales manifestations internationales.

Beirut Hall , grand centre d'expositions, propriété du groupe Ober-Moyen-Orient,situé à Sin-el-Fil/Horch-Tabet, et qui accueille de nombreux salons ou expositions tels le salon 'Lire en Francais'.

Environnement Liban 2001, un salon dédié à ce thème oh combien crucial pour le Liban qui doit prendre son destin en main afin de combler le retard qu'il a accumulé en la matière, à cause de la guerre notamment.La manifestation aura lieu en Octobre 2001 en même temps que le sommet de la francophonie et pourra ainsi sensibiliser des acteurs internationaux pour cet enjeu crucial pour le Liban de demain.

Promorient, pas encore de site Web pour la représentation Libanaise de cette société spécialiste dans l'organisation de salons situé à Beyrouth-Achrafié.

Salon des Antiquaires de Beyrouth, tous ans, vers Novembre,le rendez-vous des professionnels du Moyen-Orient, à l'Hotel Phoenicia en 2000; le site est partiellement francophone, ce qui la moindre des choses dans un univers ou il est de bon ton de converser dans la langue de Molière.

Artuel , la foire de l'art contemporain se tient annuellement...Le lieu de ce grand rendez vous entre les affaires et la culture est désormais l' hôtel Phoenicia depuis 2001.

Avenir export, site du salon annuel qui se tient à Paris,spécialement consacré à l' exportation et à la mobilité.Des fiches pays et des liens interessants pour l'exportateur francophone qui peuvent aussi se révèler utiles à l'entrepreneur Libanais.

Partenariat-France, association dont l'objet est la promotion des entreprises à l'export et l'accompagnement à des manifestations telles que les salons internationaux..

 


ACK, partenaire de la grande distribution
Export vers le Liban & le Moyen Orient