Retour à la Page d'Accueil
Les Libanais de France:
une communauté en forte expansion
mais qui reste proche du Liban
LIBANAIS de FRANCE

Paris, Compiègne ou Béziers...
Sept Franco-Libanais parmi les candidats aux
élections municipales françaises

Sept Franco-Libanais figurent parmi les candidats aux très prochaines élections municipales en France. Ils briguent des sièges essentiellement à Paris, mais aussi en province, sur les listes de divers partis politiques.
Georges Nasr : kinésithérapeute et secrétaire général de la puissante AMFL (Association médicale franco-libanaise) qui regroupe près de deux mille professionnels de la santé. Il organise à ce titre des colloques, des séminaires et des rencontres franco-libanaises de médecins et d’autres professionnels du secteur médical, pharmaceutique et de la recherche scientifique.
Georges Nasr est candidat (centriste) dans le XVe arrondissement de Paris où réside d’ailleurs une communauté libanaise relativement importante.
Dans le XVIe arrondissement où se trouvent également de nombreux Libanais, Mme Patricia Élias Smida est candidate sur la liste de David Alphand.
Toujours dans le XVIe, Mme Ihjab Joseph Khoury figure sur la liste de MM. Bernard Debré et Claude Goasguen (droite).
Chez les Verts, encore une candidate : Mme Marie-Thérèse Atallah (XIVe arrondissement).
Hors de Paris, on relève les noms de Georges Daoud (Cergy), Claire Aoun (Compiègne) et Élie Abboud (Béziers), donc respectivement dans la grande banlieue, dans le Nord et dans le Midi.
La section française de l’ULCM soutient tous ces candidats et incite par des courriers électroniques nos compatriotes à voter pour eux, quelles que soient leurs affinités politiques.
D’autres Français d’origine libanaise figurent très probablement parmi les candidats mais ils ne sont pas reconnaissables à leurs noms, plusieurs
d’entre eux ayant, comme la loi française l’autorise, changé de nom après leur naturalisation.

Correspondance d'Élie Masboungi
Trois libanais d'origine representent les citoyens français
Henri Jebrayel


Rétraité du service public des PP, Mr Jibrayel a été élu, à Marseille, député dans la 4ème circonscription des Bouches-du-Rhône,
lors des élections législatives de juin 2007, sous l’étiquette divers gauche.
M. Jebrayel, membre de la commission des affaires culturelles,
siège au sein du groupe socialiste à l’Assemblée.


Elie Abboud


Médecin d’origine libanaise basé à Béziers en région Languedoc-Roussillon.
Il siège à l’Assemblée nationale française depuis la mi-juillet. Il y remplace le député UMP, le professeur Paul-Henri Cugnenc (qui était également chef du service de chirurgie digestive à l’hôpital européen Georges Pompidou), décédé début juillet, et dont il était le suppléant dans la 6ème circonscription de l’Hérault.


Patrick Karam

ancien président du Collectif des Antillais, Guyanais, Réunionnais et Mahorais (Collectifdom), a été nommé le 9 juillet, en Conseil des ministres, délégué inter-ministériel pour l’égalité des chances des Français d’outre-mer. M. Karam, également d’origine libanaise, a été nommé sur proposition du premier ministre François Fillon. Fondateur de Collectifdom, un lobby qui revendique 40.000 membres et sympathisants, dontde nombreux parlementaires, auxAntilles, à la Guyane, à Mayotte et à la Réunion, M. Karam avait annoncé début novembre 2006 sa démission pour raisons personnelles. Cette association avait notamment fait parler d’elle lors de la polémique sur l’esclavage et la traite des Noirs. Pendant la campagne présidentielle, M. Karam était le porte-parole des comités de soutien de l’outre-mer à la candidature de NicolasSarkozy. Né le 8 février 1961, à Pointe-à-Pitre (Guadeloupe), Patrick Karam est docteur en sciences politiques et titulaire d’un DEA de droit international public. Il est également l’auteur denombreux rapports et articles sur lemonde post-soviétique et l’Europe cen-trale et orientale.
Il a publié notamment “Les minorités hongroises en Europe :la stabilité menacée du nouvel ordre européen ?” (1993); “Les guerres du Caucase, des tsars à la Tchétchénie”(1995); et “Le retour de l’islam dans l’ex-empire russe (1996).

Début 2008, ses relations houleuses avec le ministre de l'Outre-Mer ainsi que sa perception d'un manque de moyens pour exercer sa fonction, l'ont incité à démissionner de son poste mais celle-ci fut refusée par le président Sarkozy.


L'hebdo Marianne du 10 au 16 Juin 2006 a consacré
une enquête aux libanais de France




Libanais de la France d'Outre-mer
La Réunion est une des perles de l’océan Indien, avec une superficie de 2 512 kilomètres carrés, soit le quart du Liban, une population de 760 000 habitants, avec pour capitale Saint-Denis. Elle fait partie des départements français d’outre-mer (DOM) depuis 1946, ainsi que des régions ultrapériphériques de l’Union européenne (RUP) depuis 1997. C’est une île paradisiaque avec ses paysages montagneux, ses criques et ses plages, où le tourisme constitue la plus grande ressource économique.
La population réunionnaise est une des plus métissées du monde. On trouve des personnes originaires d’Afrique de l’Ouest et de l’Est, de Chine, des Indes, de Madagascar, des Comores, de Mayotte et de Maurice, entraînant une grande diversité de cultures, religions et langues (le créole, le français, le tamoul, le chinois…). Parmi les communautés, citons les « zarabes », qui sont des Indiens musulmans, ainsi que des Libanais de toutes confessions, qui se sont installés en grande partie dans l’île dans les années 1970.
Il s’agit en général de couples de Libano-Réunionnais qui se sont rencontrés durant leurs études en métropole. Parmi les 100 à 120 familles, citons les Adhamy, Adra, Badr, Bassoul, Bitar, Chamoun, Choucair, Dib, Grigorian, Habis, Hilal, Kanaan, Roussel, Saad, Salamé, Srour, Yazbeck...
Cette présence libanaise, même limitée, marque l’île de façon significative, comme le précise le cinéaste libano-réunionnais Nabil Salamé. « La communauté libanaise de La Réunion est formée pour la plupart de retraités, comme le doyen Abdoulhamid Adhamy, cardiologue originaire de Tripoli, le professeur et écrivain Michel Saad, de Douair, Nadim Adra, également de Tripoli, et Youssef Choucair, neurochirurgien originaire du Liban-Sud, et toujours en activité, qui fait partie des plus anciens, explique-t-il. Des couples de Libanais métropolitains, généralement des fonctionnaires mutés dans l’île ou des médecins venus pour une courte période de remplacement, tombent sous le charme de l’île en pleine prospérité et y jettent l’ancre. On trouve aussi quelques familles libano-africaines, des Libanais nés en Afrique de la troisième génération, avec un pourcentage important de Sudistes. » M. Salamé ajoute : « Contrairement aux émigrés des autres pays, les Libanais de La Réunion exercent plutôt des professions libérales et ne sont pas dans le commerce, car le secteur commercial, terrain favori des Libanais, est tenu ici par les “Zarabes” locaux et par les Chinois. Nous sommes une communauté relativement discrète, efficace, avec plus de 90 % de réussite, aussi bien dans les domaines social que professionnel et financier. »
Nabil Salamé, originaire de Kfardebian, venu de Tripoli, réside à La Réunion depuis 1985. Il est marié à une Réunionnaise, Marie Josée, et père de deux enfants, Thomas et Emmanuelle. Il a fondé la Maison du Liban en 1990 à Saint-André. La Maison du Liban sert de pierre angulaire à l’ensemble des événements à caractère libanais. Elle est très connue et occupe une place importante dans la société réunionnaise. C’est elle qui organise, depuis sa fondation, une « Semaine libanaise » annuelle, ainsi qu’une soirée libanaise tous les derniers samedis du mois, sans compter de multiples autres activités culturelles : visite de l’écrivain Amin Maalouf en 1994, rencontre avec le père Mansour Labaki en 2001, qui avait été invité à un café littéraire, semaine artistique et culinaire, en présence de onze artistes et deux chefs cuisiniers en 2004…
En 2006, durant la guerre israélienne de juillet-août sur le Liban, la Maison du Liban a lancé un appel aux Réunionnais afin qu’ils se solidarisent avec les victimes libanaises. Elle a ainsi récolté des médicaments et autres donations. Au lendemain du retour au calme, le 15 août, trois journées d’exposition de photographies ont été organisées dans le théâtre le plus prestigieux de l’île, Champ fleuri. Ces photographies avaient été prises sur le vif par Nazih Hilal, cardiologue franco-libanais habitant à La Réunion, qui se trouvait au Liban au plus fort des bombardements. Le dernier jour, un concert a été donné par la chanteuse française Raya Hilal, de père libanais et de mère brésilienne, qui a chanté a cappella devant 900 personnes la chanson-hymne Li Beyrouth, de Feyrouz.
Le Liban, mosaïque de contacts et de cultures, garde d’importantes relations humaines avec La Réunion, à travers des Réunionnais-Libanais. Citons la famille Gay-Para à Byblos. Marie Josée et ses trois enfants sont fiers de leur beau jardin près du port où ils ont pu recréer une ambiance réunionnaise. Ainsi, ce sont tous les peuples du monde qui, malgré les épreuves, font vivre le Liban.

Roberto Khatlab pour L'Orient-le Jour du 4 Février 2008

Automne 2007
La France, centre de rayonnement pour des milliers de Libanais
S'il est difficile de les évaluer avec précision en tant que résidents (autour de 150.000),
la France a de tout temps constitué une plaque tournante pour les Libanais en raison des relations privilégiées établies depuis des siècles entre les deux pays. Les grandes vagues de l’émigration libanaise ont ainsi transité il y a cent ans par le port de Marseille, en partance notamment pour l’Amérique et l’Afrique.
Aujourd’hui, avec le développement du transport aérien, c’est au tour de Paris d’être le principal point de rencontre des Libanais venant de tous les continents. Cela est aussi bien sûr le cas pour les Libanais de France, établis dans ce pays depuis le début du XXe siècle et dont le nombre a fortement augmenté avec la guerre commencée en 1975 au Liban, atteignant près d’un demi-million à la fin des années 1980.
C’est dans ce contexte que l’association RJLiban – Rassemblement de la jeunesse libanaise a été fondée en décembre 1986 à Paris par Naji Farah et Habib Maaz, accompagnés d’un groupe de jeunes cadres et universitaires libanais soucieux de la préservation du patrimoine culturel de leur pays, et de sa promotion en France et dans le monde. La situation ressemblait alors étrangement à celle que le Liban connaît aujourd’hui, sans aucune visibilité d’avenir suite à des destructions massives de villages libanais. En avril 1985, soit une année auparavant, le pape Jean-Paul II avait lancé un appel à la jeunesse mondiale, lui demandant de se manifester dans les domaines de la vie publique.
L’association RJLiban s’est ainsi rapidement développée, avec la création en 1987 d’un site d’information en français sur Minitel 3614 puis 3615 RJliban, relayé dix ans plus tard par le site Internet RJLiban.com. Des versions de ce site ont été établies en mai dernier en six autres langues : l’anglais, l’espagnol, le portugais, l’italien, l’allemand et l’arabe, pour une ouverture à l’ensemble de l’Europe et des grands pays de l’émigration libanaise. En parallèle, de grandes manifestations culturelles étaient organisées à Paris au début des années 1990, comme les concerts et spectacles de la chanteuse Magida el-Roumi et de la troupe de danse Caracalla, au Palais des congrès et à l’Olympia, et la quinzaine culturelle libanaise à la FNAC Étoile en janvier 1997.
Des circuits touristiques culturels faisaient également découvrir le Liban à de nombreux amis français, enchantés de se retrouver à Beyrouth et dans les belles contrées libanaises.
Toute cette action s’est organisée autour de plus de 150 dîners culturels à thème, regroupant régulièrement dans des restaurants libanais à Paris quarante à cent membres et amis pour discuter avec de nombreux spécialistes des opérations à entreprendre en faveur du Liban et annoncer de prochains événements en présence de concertistes, cinéastes et autres artistes.
Ont été ainsi invités à s’exprimer dans une ambiance conviviale, des chercheurs et professeurs, comme Joseph Maïla, Henry Laurens, Georges Corm, Ghassan Salamé, Camille Aboussouan, Ghassan Tuéni, Alain Farah, Françoise Briquel-Chatonnet, Erik Gubel, Alain Corvez, Emmanuel Español, le père Émile Eddé, Habib Letayf, Fouad Debbas, Abdallah Naaman, le père Maroun Atallah, Maurice Saliba, Guy Gay-Para, le père Antoine Nasr, Mirna Gannagé, Jean-Claude Morin, Georges Chouéri, Paul Mayla, Georges Zouein, des personnalités politiques et ambassadeurs comme Michel Eddé, Raymond Eddé, Alia el-Solh, Amine et Joyce Gemayel, Naji Abi-Assi, Philippe Rizk, Sami Kronfol, des responsables d’association comme Maha Chalabi, sœur Brigitte May, Michel Anfrol, Pierre Lambert, Élisabeth Fisher, Ibrahim el-Ali, des journalistes et écrivains, comme Patrick Poivre d’Arvor, Jean-Claude Bourret, Alain Ménargues, Maroun Iskandar, Béchara el-Bone, Philippe de Saint-Robert, René Khawam, Vénus Khoury-Ghata, Jean-Pierre Thiollet, Jean-Pierre Dahdah et bien d’autres, signant leurs livres à la fin de la conférence. Des dîners similaires ont également eu lieu à Beyrouth, avec la patricipation de Camille Menassa, Henriette Tohmé, Saba Sabbagha, Wajdi Najem, Alexandre Najjar, Roberto Khatlab, en particulier, et vont se poursuivre, ainsi qu’à Paris, au fil des mois.

En 2007, la députée européenne Béatrice Patrie, présidente de la commission européenne pour le Machrek, et le conseiller européen Emmanuel Español ont été reçus par les fondateurs de l’association lors de leur tournée politique en avril à Beyrouth, puis ont présenté deux mois plus tard au traditionnel dîner à Paris leur nouveau livre, Qui veut détruire le Liban ? Au mois de mars, le père Émile Eddé, qui occupe depuis trois mois la fonction de vicaire patriarcal maronite à São Paulo, a conféré sur la question de la venue des Phéniciens au Brésil, signant la nouvelle édition de son ouvrage Les Phéniciens ont-ils découvert l’Amérique ?
Le dîner du 5 octobre à Paris a ensuite permis de découvrir, après un contact via Internet, l’écologiste Ibrahim el-Ali, libanais du Sénégal, qui a tenu un discours passionnant et engagé sur l’environnement et la francophonie au Liban.
Le dernier dîner-débat s’est enfin tenu le 13 novembre dans la capitale française avec Camille Busson, ingénieur des Ponts et Chaussées, qui, en prévision de la semaine Liban-Bretagne, prévue en printemps prochain, a signé son livre, Essai impertinent sur l’histoire de la Bretagne méridionale, les hommes de Téviec dans l’ombre des Phéniciens », devant un auditoire enthousiaste.
Le photographe Philippe Maupetit, auteur de l’exposition sur le Liban à Dijon, a ensuite signé son ouvrage reprenant ses principales photographies réalisées en juin dernier. Était également invitée à cette soirée, Maha Chalabi, fondatrice de l’Association internationale pour la sauvegarde de Tyr, qui a mené du 5 au 7 novembre une action d’envergure avec un colloque à l’Unesco et à l’Institut du monde arabe (IMA), suivi d’une soirée de gala dans un grand restaurant parisien, à l’occasion de l’inauguration de l’exposition sur les Phéniciens à l’IMA.
Le journaliste Alfred Mignot, qui avait organisé le 8 novembre au Sénat un colloque économique sur l’Union de la Méditerranée et les relations France-Maroc, a proposé de monter une opération similaire pour le Liban conjointement avec RJLiban. Étaient également présents, le colonel Alain Corvez, conseiller en stratégie internationale, Pierre Lambert, ancien président de l’association Parrainage enfants Liban, les chercheurs Maurice Saliba, Habib et Salwa Hajjar, les professeurs Alain et Éliane Farah, l’écrivain Jean-Pierre Thiollet et plusieurs membres fondateurs de l’association : Michel Menassa, Hadi Antoun, Nabil Khoury, Hady et Terry Farah, ainsi qu’Antoine Akouri et son épouse Nada.

Octobre 2003

>> Suivez la visite de Mgr Sfeir en France avec

La Revue du Liban...



Les Francs-Maçons libanais en visite en France entre le 23 et le 28 Juin 2003
C'est à l'occasion du 275ème anniversaire de la fondation de la Franc-Maçonnerie que les représentants de la Grande Loge des Cèdres, la principale Obédience libanaise entretenant des relations avec leurs homologues du monde essentiellement francophone, ont été conviés à différentes manifestations entre Paris et Lyon ou plus de 1000 délégués des différentes loges françaises les ont accueillis.
De l'Assemblée Nationale à l'Hôtel Matignon, en passant par le Quai d'Orsay et l'Hôtel de ville de Paris sans oublier bien sûr l'Elysée, le Grand Maitre Antoine Saleh et ses adjoints, Jean Massad et Constantin Maalouly - de Gauche à Droite autour du Président Chirac sur la photo ci-dessus - se sont ensuite rendus à Lyon ou a été inauguré un musée maçonnique en même temps que l'émission d'un timbre commémoratif de la poste en circulation depuis le 1er Juillet 2003.
Au cours de ces rencontres, le Liban fut immanquablement cité, à travers son peuple, comme pays de tolérance, de liberté et de fraternité.

JMD.

Libanais du monde professionnel dans les régions de...


Lille
Paris
Lyon
Marseille-Aix
Cannes-Nice
Montpellier
Bordeaux
Toulouse


ou d'Ailleurs en
Francophonie

Genève
Monaco
Bruxelles

Bientôt...
Nantes
Strasbourg




Montréal
avec Canada-Liban.com
et Notre Dossier sur la Diaspora Libanaise du Québec

Combien et ou sont-ils en France?

Les diverses estimations varient d' un minimum autour de 100 000 jusqu'à 250 000 personnes maximum !

Cela part de la seule prise en compte de la simple immatriculation dans chacun des consulats de Paris et Marseille, mais il est certain qu'en incluant de nombreux double-nationaux non immatriculés, sans compter tous ceux ayant peut-être pris quelques distances avec leurs origines, la réalité est sans doute plus proche de l'estimation haute.

On estime que la Région Parisienne concentre 50% environ de la communauté, suivi par la Région PACA pour presque 15% et Rhône-Alpes autour de 10%.

Bienvenue dans le Monde des Libanais de France


Votre Présence Ici ?
L'Offre Libanvision - Libanais de France

André Aoun, né à Beyrouth il y a 51 ans,

est Directeur de l'agence régionale d'hospitalisation d'Alsace (ARH) depuis le mois d'avril 2003. Ce libanais de Strasbourg illustre que le Liban sait aussi apporter des serviteurs à l'Etat
>>> Lire la suite

Création de l'Association des Libanais de Toulouse


La Cigale Orientale

7, Avenue de Suède /
1, place Masséna
06000 NICE

Tel /04 93 88 60 20
L' Adresse Libanaise d'exception que l'on attendait sur la Côte?
Épicerie fine, traiteur et restaurant libanais, voici La Cigale, une nouvelle adresse raffinée du côté de la piétonne sans doute inspirée de la fameuse Cigale de Beyrouth. Dans une atmosphère contemporaine et chaleureuse,- une terrasse, deux salles, vue sur les cuisines et les rayonnages de produits orientaux -, on vient y déguster taboulés, chawermas et brochettes marinées. Le samedi, c'est en plus le plaisir des yeux avec les danseuses...


Cette rubrique unique à ce jour sur le web francophone est destinée à faciliter la tâche de tous ceux qui, d'origine libanaise, ont besoin de s'intégrer le plus rapidement possible dans la ville ou ils comptent s'installer temporairement ou définitivement.
Elle s'adresse aussi à tous ceux qui souhaitent établir des contacts suivis avec des acteurs économiques reconnus et représentatifs de la communauté Libanaise.

Il s'agit donc d'une liste exhaustive ayant pour but de recenser les principaux représentants d'origine Libanaise de certaines professions dans les plus grandes villes et agglomérations Françaises.

Vous êtes par exemple restaurateur, hôtelier, commerçant, agent de voyages, prestataire de services, industriel, société regoupant de professions libérales, Libanvision vous permettra de vous identifier comme un acteur visible et digne de confiance assumant, au sein de la communauté Libanaise, une fonction de repère et de représentativité bien établie dans la ville ou l'agglomération ou vous exercez.

Grâce à Libanvision, cette rubrique que ses membres rendront autant intéractive que possible, permettra le développement de nombreux échanges humains et économiques.


Manger Libanais dans votre ville?
Le Guide des Restaurants Libanais de Paris, de France et des grandes villes de la Francophonie

Logement Etudiant au Foyer Franco-Libanais de Paris


"Législatives-France-2002"
Notre reportage sur les Franco-Libanais qui ont fait connaitre leur intention d'être candidats aux élections Législatives des 9 et 16 Juin 2002 en France...quelle que soit leur couleur politique. Restait à obtenir la fameuse investiture!

Ali Nasserdine, Journaliste, en Région Parisienne

Rita Naoum Nieto
, Avocate, à Paris

Dr Vincent Wehbé, Médecin, en Région Parisienne

Dr Samir Bahlis
, dans le Cher à Vierzon

Elie Hatem, Avocat, en Région Parisienne

Me Richard Haddad à Paris



Des résultats de vos votes à la réalité du scutin
en France et à Beyrouth



 


Rubrique encore en construction...




 

Contactez Libanvision pour votre inscription