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Nomination de Rima Abdul-Malak à la tête du journal libanais francophone et centenaire L'Orient-Le Jour :
Dessous intrigants et enjeux réels

Rima Abdul Malak à l'Orient le Jour : plus un choix imposé par la France qu'un réel choix libanais
Elle a été "placée" par Emmanuel Macron et des "réseaux parisiens"

Rima Abdul Malak et Emmanuel Macron
une grande et longue complicité bien assumée

Décrite comme une femme politique franco-libanaise, Rima Abdul Malak devient d'abord la conseillère culture et communication du président Emmanuel Macron en Novembre 2019 au sein de l'Elysée.
Nommée le 20 mai 2022, elle sera ensuite nommée ministre de la Culture dans le gouvernement Élisabeth Borne et quittera ses fonctions le 11 janvier 2024 soit une collaboration continue de plus de quatre années.

Le 25 septembre 2025, l'Orient-Le Jour par la plume de sa Chairwoman ou PDG, Madame Nayla de Freige annonçait :
" Rima Abdul Malak prend la direction du groupe L’Orient-Le Jour "
Rima Abdul Malak deviendra la nouvelle directrice exécutive de L'Orient-Le Jour le 10 novembre 2025.

Depuis l'annonce, un "story-telling" savamment mis en place
Au-delà du Liban, notamment en France, cette nouvelle a depuis fait l'objet d'une communication bien orchestrée par l'AFP pour être diffusée dans des journaux aussi connus et de premier plan que Le Figaro, Libération, La Croix jusqu'à la presse people comme Gala le 12 octobre 2025...

Un indice qui, si c'est un détail pour vous, pour nous çà veut dire beaucoup comme le chantait France Gall dans l'une de ses plus célèbres chansons.
Comme on connait la musique, cela a bien évidemment mis la puce à l'oreille

Rima Abdul-Malak imposée par le président Emmanuel Macron et ses réseaux ? Tout porte à le croire
La nomination de l'ex-ministre de la culture française est tout à fait normale sauf pour ceux qui cherchent à comprendre.
Il suffit, sans faire aucunement offense au curriculum-vitae professionnel de Madame Rima Abdul-Malak et à son parcours de vie personnel que ce retour à Beyrouth n'avait en réalité rien de programmé même si, bien-entendu, elle est de nationalité libanaise, qu'elle a quitté le Liban à l'âge de dix ans en compagnie de ses parents pour la France, mais tout de même..., on pressentait bien qu'il y avait comme "anguille sous roche".

Le Liban ne regorge t-il pas d'assez de talents dans le domaine du journalisme, des éditorialistes ou plus généralement des professionnels de la presse écrite et/ou numérique pour aller chercher à Paris une personnalité qui a quitté un gouvernement en janvier 2024 ?

Il fallait donc en avoir le coeur net et glâner ici ou là dans les sphères politico-culturelles françaises et les "cercles influents" quelques indices ou éclaircissements. Voilà pourquoi, dès le 25 septembre, lors de l'annonce de cette nouvelle, nous avions prévenu que nous allions revenir sur le sujet avant le 10 novembre, date de la prise de fonction annoncée.

En français et dans le vocable politique on appelle cela
un parachutage
Après environ trois semaines de "contacts" bien placés auprès de cercles politico-culturels parisiens ainsi que franco-libanais, nous pouvons ainsi diffuser que la nomination de Rima Abdul Malak à la tête du journal libanais francophone "L'Orient le Jour" est le résultat de pressions amicales et appuyées d'Emmanuel Macron et de son entourage. Elle résulte de ce qu'on pourrait appeler, un petit arrangement entre amis... Même s'il ne s'agit pas d'occulter la libanité et la nationalité originelle de Madame Abdul-Malak, ce retour au Liban, dont on verra bien s'il sera temporaire ou de longue durée, en prenant en compte l'integralité de sa carrière effectuée sous la bannière française, ne peut porter un autre nom que celui de parachutage.

La nomination de Rima Abdul-Malak à la tête de L'Orient- le Jour, un acte politique et diplomatique majeur avec des visions d'influence sociétale

Madame Rima Abdul-Malak appartient à des réseaux politico-idéologiques bien identifiés
"Macron-Rima-Lang-Orient le Jour"
On connait la proximité et la grande complicité de l'ex-ministre de la culture française avec Jack Lang le président de l'Institut du Monde Arabe.
Celles-ci s'étaient clairement manifestées en Octobre 2022 lorsque Rima Abdul Malak, alors ministre et Jack Lang, président de l'IMA avaient collaboré dans une campagne humoristique visant à encourager le public à retourner au cinéma à l'issue de la crise sanitaire.
De même, dès le 25 Septembre 2025, ce même Jack Lang s'ést immédiatement réjoui de la nomination annoncée de Rima Abdul Malak à la tête de l'Orient- le Jour lequel avait fêté à Paris son centenaire à l'IMA quelques mois avant...

Pour Rima Abdul-Malak, Jacques Lang est une sorte de mentor de 40 ans son ainé
Ces liens furent, au nom du Liban, tissés et encore plus resserrés entre la ministre de la culture franco-libanaise alors en exercice et le président de l'IMA qui s'est toujours un peu comme un ministre de la culture à vie...

L'instrumentalisation d'un média et d'une plateforme numérique au service d'un réseau idéologique déjà implanté au Liban
"Alors que toute notre attention reste rivée sur le Hezbollah qui a annihilé l’État, esquinté le pays et décimé sa population, une autre tumeur évolue discrètement mais sûrement. Elle guette les espaces qui se libèrent, les postes qu’il convient d’occuper, les innombrables biens à acheter et les institutions à dominer. Rien de plus facile dans un pays dont la population s’est drastiquement appauvrie, et qui a perdu l’ensemble de ses forces vives par l’exode des cerveaux et de la jeunesse.
Cette nouvelle menace ne forme pas une entité apparente. Elle n’a ni un nom ni un visage. C’est un ensemble d’organisations non gouvernementales disparates, financées par d’autres ONG qui, elles-mêmes, selon certains rapports, remonteraient en chaîne, jusqu’aux Open Society Foundations (OSF) du magnat George Soros....
Dans le cas du Liban, cette mouvance est plus dangereuse car plus difficile à déceler. En effet, ses partisans ignorent eux-mêmes faire partie de l’idéologie wokiste.
Sous prétexte qu’ils ne s’intéressent pas particulièrement à la théorie du genre, ils ne savent pas qu’ils font le jeu du wokisme. Convaincus de l’archaïsme du système communautaire libanais, ils cherchent à passer du modèle tribal à la société ouverte garante de liberté et d’égalité. Une fois de plus, leur action se centre sur le milieu chrétien, considéré comme le principal obstacle à cause de sa mentalité perçue comme conservatrice, suprémaciste, isolationniste et raciste."
- Extraits d'un article du 4 Octobre 2025 d'Amine Jules Iskandar dans Ici Beyrouth -

Georges Naccache
est l'auteur d'un célèbre éditorial qu'il publie le 10 mars 1949 sous le titre : « Deux négations ne font pas une nation », qui lui valut trois mois de prison. Il a été ensuite plusieurs fois ministre ainsi qu'ambassadeur du Liban à Paris.

< Relire son éditorial historique

Rima Abdul Malak à Beyrouth, un parachutage bien préparé en amont et présenté comme un retour d'exil
Libérée de ses obligations ministérielles depuis Janvier 2024, voilà déjà plus d'un an que ce "retour" de Rima Abdul Malak à Beyrouth via L'Orient le Jour se préparait en coulisses > Vidéo OLJ de fin Aout 2024

Quand le journal Le Monde se sert de Rima Abdul Malak nommée le 25 septembre 2025 à la tête de l'Orient le Jour au Liban (avec prise d'effet le 10 novembre) pour voler au secours, moins de 48 heures plus tard, de Madame Delphine Ernotte, la présidente de France Télévision mise en cause pour sa gestion du groupe audiovisuel public en France > Lire...

La nomination de Madame Rima Abdul-Malak est un signal fort d'une certaine vision du rayonnement de la France, de la Francophonie et de l'instrumentalisation du Liban au service d'une certaine idéologie.

On dit que tout est lié. On sait que certains réseaux idéologiques tels que l'Open Society de Georges Soros senior & junior sont extrêmement proches d'Emmanuel Macron et le rôle qu'ils ont pu jouer dans son arrivée expresse au pouvoir en France en 2017.
Nous n'évoquerons même pas ici leur présence indirecte au coeur du pouvoir libanais en 2025.
On sait aussi que, par nature, et notamment depuis le début des années 2000, le Journal l'Orient Le Jour est logiquement lié à la France et au pouvoir en place quelqu'il soit.

L'arrivée au pouvoir de François Hollande a amorcé une nouvelle tendance idéologique en 2012 mais c'est à partir de 2017 que celle-ci s'est accélérée avec parfois un exhibitionisme délirant.
L'arrivée d'Internet a bouleversé la presse, encore plus avec l'émergence des réseaux sociaux surtout après 2010. De Journal papier, l'Orient Le Jour est devenue une plateforme numérique qui peut délivrer ses messages en français dans le monde entier, bien au-delà du Moyen-Orient.

A partir de là, ce journal dont la rumeur propage que les services français payaient (ou payent encore...) le papier, était devenu une proie extrêmement facile surtout quand discrétement et progressivement avait été placée à sa tête une élite très réceptive à l'idéologie progressiste.
Et c'est bien ici que la nomination de Rima Abdul Malak se place au coeur du sujet.
Il faudrait être bien naif pour croire que celle-ci est spontanée et réellement souhaitée par l'ensemble d'une rédaction prise au dépourvue et sans doute non consciente des enjeux réels. Elle est le fruit de plusieurs années de connivences bien orchestrées surfant sur des besoins de reconnaissance et de mise en lumière...
La nomination de Rima Abdul Malak est en quelque sorte la résultante d'une servitude volontaire si chère à Etienne de La Boetie. On imagine mal la direction de L'Orient le Jour à l'époque de Georges Naccache ou plus près de nous de Michel Eddé se laisser dicter le choix d'un dirigeant venu de Paris.

Bien entendu, l'Orient le Jour doit être respecté pour ce qu'il est, pour sa longévité qui épouse l'histoire du Liban comme pour son rôle preéminent dans l'expression de la francophonie à partir de Beyrouth et du Proche-Orient.

Bien entendu, nous ne saurions retirer à Madame Abdul Malak sa libanité, ni sa nationalité libanaise, ni son envie présumée d'un retour au Liban après plus de 35 ans en France.
Ceci dit, c'est bien en France que Rima a été façonnée, formée et qu'elle a forgé un parcours professionnel très respectable l'amenant jusqu'à des fonctions ministerielles.
Voilà plusieurs années que les influences d'une certaine structure de pensée occidentale semblent grandissantes sur le quotidien libanais au point de semer une certaine confusion entre son caractère libanais ancré depuis sa création et un glissement "progressif" vers l'étranger et une pensée "progressiste" francophone.

Bien entendu, l'Orient le Jour est un journal qui incarne l'expression francophone au Liban et la réalité d'une francophonie libanaise. Mais cette expression n'est-elle pas entrain de devenir un trompe l'oeil ? Le lancement d'une version anglophone "L'Orient Today" avec, n'en doutons pas, la bienveillance du pouvoir français en place vient étayer ce sentiment.
Sous couvert de langue française, l'Orient le Jour ne deviendrait-il pas davantage un défenseur de l'idéologie progressiste que de la Francophonie ? La question mérité d'être posée pour éveiller les consciences.

On se demande souvent pourquoi le recul de la Francophonie est devenu si palpable au Liban depuis 20 à 25 ans environ. Nous osons donc nous avancer dans une explication ou du moins une piste de réflexion novatrice : si la Francophonie devient un vecteur de l'idéologie progressiste regroupant les concepts de mondialisme, globalisme, wokisme, LGBT-isme, alors elle se coupe de ses racines et de sa singularité en terme de valeurs.
Ceux qui oeuvrent dans ce sens agissent comme des "transformistes", un peu comme des apprenti-sorciers qui feraient croire qu'il défendent une cause en surface pour, dans la réalité, mieux lui nuire.
Ce recul de la Francophonie n'est d'ailleurs pas seulement palpable au Liban. Derrière sa sauvegarde ou sa progression dit-on assurées grâce au réservoir démographique, un désaveu la guette aussi en Afrique relativement à ces tentatives souterraines de transformation forcée de valeurs qui sont en opposition avec les usages et traditions locales.

En résumé, la nomination de Madame Rima Abdul Malak à la tête de l'Orient le Jour ne doit rien au hasard et les forces qui ont oeuvré pour la "placer" à la tête de l'institution francophone que peut représenter l'Orient le Jour ont pour le moment réussi leur mission.
Nous ne pouvons qu'exprimer de grandes réserves sur les motivations et le bien-fondé de cette décision dans l'intérêt supérieur de la francophonie. Nous défendons, vous le savez, une francophonie "progressive" respectant les racines des pays ou elle est vivante.

Ceux qui ont en réalité forcé la nomination de Madame Rima Abdul Malak agissent au nom d'une francophonie "progressiste" dont on voit déjà les dégâts qu'elle provoque depuis quelques années. C'est à Madame Abdul Malak de désormais prouver le contraire à partir du 10 novembre 2025 et aux journalistes, surtout les plus jeunes, d'être conscients du risque déjà en cours et qui pourrait rapidement s'aggraver.
Nous ne faisons finalement que lancer une alerte et serons toujours vigilants afin qu'un journal libanais centenaire ne devienne pas "progressivement" un organe de propagande pour des valeurs importées sournoisement et s'éloignant des racines du pays du Cèdre.

Madame Abdul Malak, n'oubliez jamais une fois à Beyrouth que :
Un cèdre ne croit et ne vit que grâce à ses racines
Un cèdre coupé de ses racines ne peut survivre suspendu dans le ciel
C'est toute la différence entre "être progressif" et "être progressiste"

Parce que les lecteurs de l'Orient-le Jour ont le droit de savoir
Au coeur d'un jeu d'ombre et de réseaux, Madame Rima Abdul Malak prend ses fonctions de directrice exécutive de l'Orient le Jour le 10 Novembre 2025
La vérité étant toujours porteuse de lumière, il nous a paru préférable et surtout plus sain de révèler les dessous de sa nomination à la tête du quotidien libanais qui veut représenter le phare de la francophonie au Liban présente et à venir.
C'est dans cette lumière de vérité qu'on a le plus de chance de briller et de ne pas sombrer dans les ténèbres des mensonges, fussent-ils blancs, ou des dissimulations.

Avec ou sans Rima Abdul Malak, l'avenir de l'OLJ parait assuré
Que ceux qui s'inquiètent de la pérennité à long terme de L'Orient le Jour soient rassurés.
Même si son modèle économique désormais fondé à plus de 60% sur les revenus issus du numérique ne garantissent pas un équilibre financier, on nous assure que ses actionnaires ont les reins solides pour accompagner les besoins de recapitalisation éventuels.

Et si le Groupe "Orient le Jour" était à terme dans le viseur d'un certain Rodolphe Saadé via CMA MEDIA ?

De plus, des rumeurs insistantes ont récemment circulé selon lesquelles le nouveau poids lourd des médias en France, CMA Média, propriété de l'ami proche d'Emmanuel Macron, Rodolphe Saadé, serait même prêt à investir dans la presse au Liban. Une petite filiale au Liban et hop, le tour serait joué ! D'Emmanuel à Rodolphe en passant par Rima, voilà qui affiche une certaine cohérence pour le meilleur ou pour le pire. Qui vivra verra... A suivre !

Le retour de Rima à Beyrouth ou...
"C'est un beau roman, c'est une belle histoire"
La nomination de Rima Abdul Malak peut aussi être racontée comme une très belle histoire ci-après, en masquant les dessous de ce choix et tenter de nous détourner de toute idée polémique à son sujet.
L'essentiel, c'est d'y croire ! Pour nous c'est d'abord un clin d'oeil malicieux.
Sincèrement en lisant çà, on s'est régalé et on a "seulement" failli y croire !

"L'Orient-Le Jour, du haut de ses 101 ans, vient de faire une très belle annonce : le groupe sera désormais dirigé par Rima Abdul Malak, ancienne ministre française de la Culture.
C'est une nouvelle page qui s'écrit, et pas des moindres : recruter Rima à la tête de L'OLJ est avant tout un signe de l'ambition que nous avons, en tant qu'actionnaires, pour ce titre. La presse n'est pas morte, et son rôle est d'autant plus que l’information s'effrite et que les fake news gagnent du terrain.
Il l'est aussi car le Moyen-Orient vit des bouleversements majeurs, où l'espoir est souvent percuté par l'incertitude et la désolation; et où les civilisations continuent de s'entrechoquer avec violence.
Rima Abdul Malak est aussi un produit de notre diaspora libanaise, au confluent de plusieurs cultures et identités. Elle a grandi au Liban avant de quitter le pays durant la guerre, puis de s'enraciner en France, jusqu’à entrer au gouvernement, tout en multipliant les expériences à l'étranger. Son retour, en tant que tel, est un véritable signal d'espoir pour notre pays.
Son goût pour la création culturelle, sa vision, ses capacités managériales et son attachement à la liberté de la presse en font le profil parfait pour porter L'Orient-Le Jour.
Un grand merci à Fouad Khoury Helou pour avoir piloté le groupe dans des circonstances particulièrement difficiles.
Hâte d'embarquer dans cette nouvelle aventure, et d’écrire ensemble la page de notre second centenaire ! "

Post de Mr Michel Helou, parti du Bloc National et membre d'une famille actionnaire de l'OLJ
le 25 septembre 2025 sur Facebook

En conclusion
Le passage de Rima Abdul-Malak à la tête de L'Orient le Jour est une tentative d'étendue de la sphère d'une pensée dite "progressiste" au Moyen-Orient.
Ce passage ne sera sûrement qu'un épisode à l'échelle du temps long
Gageons qu'au final, grâce à l'Orient le Jour et un second centenaire durant,
la francophonie libanaise continuera tout de même à vivre et surtout briller !


	"Les liens et la vision de la francophonie libanaise"	JT quotidien francophone de Télé Liban en direct


	LibanVision, le regard de la Francophonie Libanaise... Le Liban est un pays francophone bien singulier. Au Liban, le Français est plus une langue seconde qu'une langue étrangère et s'utilise en priorité comme une langue de culture. Les libanais sont souvent trilingues et adaptent ainsi leur pratique de la langue en fonction des circonstances. La francophonie au Liban apparait souvent en retrait sur le web mais démontre néanmoins une belle diversité et une certaine vigueur que LibanVision a pour objectif de structurer pour en faciliter l'accès et l'usage. LibanVision a pour objectif d'être à la fois un portail et un observatoire des acteurs de la francophonie libanaise au Liban, en France et dans le monde avec la mission de contribuer à sa vitalité et sa pérénnité."Pour que vive la francophonie libanaise!"