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Journalistes de la presse écrite ou audiovisielle:
Des piliers de la francophonie libanaises

Les Acteurs de la Presse francophone
et de la Francophonie Audiovisuelle

au Liban et au Moyen-Orient

Anne-Marie el-Hage, prix « Monde arabe »
du concours Lorenzo Natali


10 Mars 2006- L’Orient-Le Jour était à l’honneur à Bruxelles, puisque Anne-Marie el-Hage a remporté le premier prix pour la région du monde arabe-Liban-Israël du concours international Lorenzo Natali récompensant un article consacré à la défense des droits de l’homme. Anne-Marie el-Hage a été récompensée pour son dossier sur « Le drame des Libanais détenus dans les geôles syriennes ». Elle gagne un chèque de 5 000 euros. Mme el-Hage avait remporté le deuxième prix du même concours l’année dernière.
La gagnante du grand prix est la sri lankaise Namini Wijedasa pour son article sur le recrutement d’enfants sri lankais par les rebelles tamouls.
Elle reçoit un chèque de 10 000 euros.


Création d'un bureau de la section libanaise de
l’Union de la Presse Francophone - UPF-

Beyrouth, 25 novembre 2005- C'est à l'occasion de la remise du prix de la
« libre expression » pour l’année 2005 à May Chidiac, présentatrice de la LBC pour laquelle Mr Georges Gros, secrétaire général de l'UPF, s'est spécialement déplacé à Beyrouth, qu'a été décidé la création d'un bureau provisoire de la section libanaise de l’UPF à Beyrouth.
Sa présidente est Nayla de Freige, administrateur délégué de L’Orient-Le Jour et PDG du Commerce du Levant, sa vice-présidente Mona Béchara, directrice de la rédaction de Magazine Hebdo, et son secrétaire général Saër Karam, directeur de La Revue du Liban.

Cette décision fait suite à une proposition de de son vice-président international pour les pays du Proche-Orient, Mr Camille Menassa, qui entend désormais se consacrer au développement de l’UPF dans les pays de la région.

Démarrage des travaux de la 16e session du Fonds d'appui de l'OIF
Se familiariser avec les médias libanais et faire connaître
le Fonds d’appui à la presse francophone du Sud


de G. à D: Mrs Crépeau, Chédid et Mme de Freige
Beyrouth, 5 Déc.2005- La 16e session du Fonds d’appui à la presse écrite francophone du Sud a entamé hier ses travaux à l’hôtel Palm Beach, en présence du représentant du ministre des Affaires étrangères, l’ambassadeur Antoine Chédid, et des représentants des médias. C’est la première fois que la Commission du Fonds d’appui à la presse du Sud se réunit à Beyrouth, suite à la suggestion de l’administrateur délégué de L’Orient-le Jour, Nayla de Freige, membre de la commission depuis quelques mois. Une commission qui relève de l’Agence intergouvernementale de la francophonie (AIF), désormais appelée Organisation internationale de la francophonie (OIF) et composée de neuf experts du secteur de la presse, originaires de différentes régions de la francophonie. Les travaux de la session ont pour objectif de mieux connaître la presse libanaise, mais aussi de faire connaître ce fonds d’appui auprès de bénéficiaires potentiels locaux. Un organisme qui apporte son soutien aux entreprises de presse désireuses d’améliorer leur politique éditoriale, leur gestion et leur développement technologique.
Le discours de bienvenue a été prononcé par Nayla de Freige qui passe d’abord en revue les médias libanais d’expression française, de L’Orient-Le Jour, seul quotidien d’expression française du Moyen-Orient, au Commerce du Levant, seul mensuel économique en français de tout le Moyen-Orient, de La Revue du Liban à Magazine, de Noun à Mondanités ou à Prestige. Le français occupe aussi une place de choix dans les radios libanaises, notamment Radio Liban 96.2, France FM, Light FM et Nostalgie. Alors que le secteur audiovisuel est le parent pauvre de la francophonie : une seule télévision, la Future TV, présente quotidiennement un journal télévisé de 20 minutes.
Madame de Freige a par ailleurs profité de cette occasion pour informer l'assistance du lancement en 2006 d'un supplément "Week-End" distribué le Vendredi avec le journal.
Un appui réglementé
Mme de Freige présente également les membres de la commission et de la délégation. Membres qu’elle remercie d’avoir bien voulu tenir cette 16e réunion du Fonds d’appui à Beyrouth et d’avoir choisi L’Orient-Le Jour comme partenaire local pour l’organisation de leur séjour. L’administrateur délégué du quotidien rappelle qu’en 2004, et pour la première fois depuis la création du Fonds, « L’Orient-Le Jour a bénéficié d’une aide de 30 000 dollars qui a servi à renouveler une partie du matériel informatique (ordinateurs et logiciels) ». Elle profite de l’occasion pour remercier tous les partenaires de L’Orient-Le Jour, mais aussi l’équipe rédactionnelle et le rédacteur en chef Nagib Aoun, pour qui la sortie d’un journal, tous les matins, relève d’un miracle au quotidien.
Être à la pointe de l’actualité et satisfaire les lecteurs, la vocation du quotidien est claire. Une vocation renforcée par « le courage des journalistes, que personne n’empêchera de clamer la vérité », conclut Mme de Freige en rappelant les attentats qui ont coûté la vie à Samir Kassir et grièvement blessé May Chidiac.
C’est au directeur du cinéma et des médias de l’AIF, Jean-Claude Crépeau, de prendre la parole, précisant que la présence à Beyrouth du Fonds d’appui à la presse du Sud s’inscrit dans le cadre « du dialogue des cultures qui anime la francophonie ». Depuis 1998, indique M. Crépeau, la francophonie et l’AIF accompagnent l’évolution démocratique et participent au développement du pluralisme de l’information. La liberté et l’indépendance de la presse sont elles aussi une priorité pour l’AIF, « d’autant plus qu’ici au Liban, la presse et les journalistes figurent toujours parmi les meilleures cibles lorsqu’on entend contraindre la liberté d’expression », déplore-t-il.
Énumérant les principes réglementant le Fonds, il explique que « la presse doit être l’activité principale de l’entreprise », que « le journal doit comporter un minimum de 50 % de contenu en langue française », qu’il doit « respecter sa périodicité et paraître depuis un minimum d’une année ». Ce journal doit aussi « fournir un bilan certifié qui fasse apparaître une perspective de rentabilité à terme ». Quant à l’entreprise, elle doit être à même d’indiquer dans quelle mesure le projet d’investissement présenté peut « améliorer son organisation, la présentation de son support et sa santé économique ». Finalement, l’entreprise doit justifier avoir les capacités humaines pour mener à bien son projet d’investissement et les capacités financières « pour participer, au minimum, à hauteur de 20 %, au coût du projet ».

Liberté d’expression
M. Crépeau présente aussi les travaux qui se tiendront durant trois jours, ainsi que les deux objectifs de la commission : mieux connaître les réalités de la presse libanaise, l’organisation de l’édition, les contraintes de la concurrence, les techniques de marketing, mais aussi mieux faire connaître ce Fonds d’appui auprès des bénéficiaires potentiels de cette région, dont bon nombre n’ont jamais entendu parler.
À son tour, l’ambassadeur Antoine Chédid fait part de son plaisir à participer aux activités francophones du partenariat entre le Fonds d’appui à la presse écrite francophone du Sud et L’Orient-Le Jour. Journal qu’il qualifie « d’illustre quotidien en langue française dont nous sommes fiers ». Estimant que la francophonie unit les citoyens de différents pays, qui « ont les mêmes objectifs et sont une vraie communauté vivante », M. Chédid indique que les Libanais, parmi les peuples du Moyen-Orient, ont été les premiers et les plus attachés à exercer le journalisme.
« Notre pays est le lieu de rencontre entre l’Occident et l’Orient, ce qui a permis au Liban d’avoir une instruction plus avancée que les autres pays de la région ».
L’ambassadeur évoque également la liberté comme étant le facteur le plus important pour les Libanais, qui sont aussi portés par la soif de connaissances, la passion de l’aventure et le goût aigu du commerce. Une singularité qui explique, selon lui, « l’existence du régime libéral libanais au cœur du Proche-Orient où sont installés des régimes autoritaires ». Ce régime est fondé sur « la large liberté d’expression et sur l’indépendance de l’entreprise de presse à l’égard de l’État », précise-t-il, ajoutant que L’Orient-Le Jour est un exemple illustre de l’exercice courageux de la liberté d’expression. Antoine Chédid déclare alors ouverte la 16e session du Fonds d’appui à la presse écrite francophone du Sud. Une session durant laquelle les membres de la commission rencontreront les ministres de la Culture, Tarek Mitri, de l’Information, Ghazi Aridi, et d’État chargé des relations entre le gouvernement et le Parlement, Michel Pharaon. Ils effectueront également une tournée auprès des organes de presse locaux, notamment, L’Orient-Le Jour, an-Nahar, as-Safir, Radio Liban et la Future TV.

Anne-Marie El Hage pour l'Orient-LeJour


Michel Abouchahla, nouveau directeur délégué des Échos

13 Mai 2005- Michel Abouchahla, directeur du marketing et de la diffusion du groupe Les Échos, va remplacer Eric Noblet comme directeur délégué du quotidien économique et financier français Les Échos, et de ses suppléments. D’origine libanaise, Michel Abouchahla, 46 ans, diplômé de l’IEP Lyon et licencié en droit, entre au groupe Les Échos en 1989 comme rédacteur en chef de La Lettre des Échos. En 1992, il devient également rédacteur en chef de la lettre Les Échos de l’exportation. Deux ans plus tard, il est nommé directeur délégué du pôle Lettres professionnelles, nouvellement créé. M. Abouchahla était directeur du marketing et de la diffusion du groupe depuis 2002.

Anne-Marie El-Hage, de « L’Orient-Le Jour »,

deuxième prix Lorenzo Natali 2004 pour le Moyen-Orient


Anne-Marie el-Hage (journaliste à l'Orient-Le Jour), entourée à gauche, du finaliste palestinien, Mohammed Daraghmeh, et à droite, du lauréat de la zone M-O, le Marocain Ahmed Benchemsi.
Bruxelles, 18 Janvier 2005- Le grand prix de journalisme Lorenzo Natali de la Commission européenne a été décerné à Bruxelles par le commissaire européen Louis Michel au journaliste chilien, Juan Cristobal Fletcher, représentant la zone Amérique latine et Caraïbes. Juan Cristobal Fletcher a été primé pour son enquête « Le sang d’un poète », sur l’assassinat du chanteur chilien Victor Jara en 1973, et ce parmi 15 finalistes ayant soumis des articles sur les droits de l’homme et la démocratie, comme étant des éléments vitaux dans un processus de développement durable.
Anne-Marie el-Hage
, bien connue des lecteurs du quotidien francophone libanais l'Orient-Le Jour a obtenu le deuxième prix ex aequo de la zone monde arabe, Liban et Israël, pour son article publié dans nos colonnes en mars 2003, sur l’arrestation arbitraire d’étudiants libanais, sous prétexte de la lutte contre les adorateurs de Satan. Des étudiants qui ont subi la prison, les coups et les humiliations, car ils avaient les cheveux longs, qu’ils portaient des tatouages et qu’ils écoutaient une musique interdite par les autorités.
Elle partage ce prix avec le Palestinien d’Israël, Mohammed Daraghmeh, pour son reportage sur la non-violence comme moyen de protestation contre l’occupation. C’est le journaliste marocain, Ahmed Benchemsi, qui a été lauréat de la zone monde arabe, Liban et Israël. Son reportage, publié dans l’hebdomadaire marocain Telquel, est une plongée dans l’un des bidonvilles les plus sordides du Maroc, Sidi Moumen, qui a fourni les 12 kamikazes, auteurs des attentats terroristes qui ont secoué Casablanca le 16 mai 2003.
Décerné chaque année en hommage à Lorenzo Natali, ancien commissaire pour le Développement et partisan des droits de l’homme, le prix Lorenzo Natali a connu cette année un succès considérable, avec la participation de 451 journalistes de 108 pays.

>>> LIRE l'article récompensé d'Anne-Marie El Hage
(cliquez en bas à droite de l'image pour un affichage en taille réelle)


L'Orient-Le Jour, 1924 - 2004: Quatre-vingts ans pour le Liban...


La une du premier numéro du journal,
après la fusion en 1971.

La Une des Copains crée en 1988 et rendez-vous de la jeunesse chaque Samedi.

"Paraître sans interruption pendant 80 ans relève de l’exploit qui, je le crois, mérite d’être salué, d’autant plus que les titres de la presse française actuelle, à l’exception du Figaro qui a dû se saborder durant les 4 années d’occupation, n’ont vu le jour que depuis la Libération en 1944, c’est-à-dire il y a tout juste 60 ans. En dépit de toutes les vicissitudes, de toutes les guerres, des invasions, des occupations, des insurrections, des luttes fratricides, des bouleversements politiques et des crises économiques qui ont jalonné ces quatre-vingts années, L'Orient-Le Jour n’a cessé de lutter pour les idéaux de liberté, de justice et de démocratie, sans lesquels notre pays n’a pas de raison d’exister." Michel Eddé.

Il était une fois un journal, deux journaux, et qui n’en font plus qu’un depuis … Depuis si longtemps et d’une manière si naturelle que l’évocation de deux titres jadis séparés en étonnerait plus d’un aujourd’hui. Cette jonction qui s’inscrivait dans la logique des choses a fini par se produire. Le premier numéro des deux titres couplés paraît un mardi 15 juin 1971, avec un éditorial qui s’adresse aux lecteurs. « À partir d’“une certaine idée du Liban”, nos options fondamentales étaient forcément les mêmes », y est-il dit. Alors ? Alors, « il nous faut maintenant répondre à l’attente du lecteur, à sa légitime exigence », est-il dit encore. L’ère nouvelle s’ouvre sous des auspices on ne peut plus favorables. Trois années se sont écoulées depuis l’agression israélienne contre l’aéroport de Beyrouth ; avec un semblant de paix retrouvée, la prospérité revient et avec elle l’espoir en un avenir radieux. C’est dans un ciel en apparence serein qu’éclate le coup de tonnerre du 13 avril 1975, qui verra s’abattre l’un après l’autre tous les châteaux de cartes patiemment érigés. Le journal, lui, résiste, malgré tout. Treize mois plus tard, le 16 mai, il subira, avec l’assassinat de son rédacteur en chef Édouard Saab, un coup terrible, professionnel autant que psychologique, suivi en 1982 de l’invasion israélienne, du bombardement des locaux de la rue Hamra et d’une fermeture – message reçu … – de deux petites semaines. Entre-temps, des changements se sont produits à la tête de la direction. Ainsi, Jean Choueri a choisi de vivre sous les cieux français. D’autres membres de l’équipe l’ont imité et Marwan Hamadé a cédé à la tentation de se lancer dans la politique active. La relève est là, menée par Amine Abou Khaled à la direction du journal, tandis que Issa Goraieb assume pour sa part la rédaction en chef et Camille Menassa la responsabilité de l’administration. Tous trois, épaulés par toute l’équipe, porteront à bout de bras le journal. C’est que les temps sont durs. Après quelques soubresauts puis le terrible intermède des deux guerres – celle de la libération, celle de la « suppression » –, le chapitre des douloureux événements que vit le pays depuis quinze ans est clos mais le spectre d’une autre crise, économique celle-là, se fait menaçant. Sous la direction de ses deux premiers PDG, Ghassan Tueni et le regretté Pierre Eddé, puis de Michel Eddé, fidèle au poste depuis 1990, L’Orient-Le Jour fait face à toutes les difficultés, fidèle à sa mission. Et c’est ainsi qu’en cette fin d’année 2004, sous l’égide de Nagib Aoun, qui a succédé, en qualité de rédacteur en chef, à Issa Goraieb, éditorialiste, nous célébrons avec vous, lecteurs, trois anniversaires : les 80 ans de l’«ancêtre», les 70 ans du cadet et les 39 ans du benjamin. Aussi jeune que l’ont voulu les pères fondateurs et que continuent à le rêver, en le faisant, leurs héritiers.

Le pérennité et le developpement de la Francophonie Mondiale ne peut négliger l'action audiovisuelle dans le contexte de globalisation et de l'ère de la communication. Beaucoup de retard a été pris dans ce domaine et les lignes budgétaires n'ont pas pu suivre le rythme des volontés politiques ou des cris d'alarme lancés par de nombreux experts, chercheurs et surtout hommes au coeur de l'action sur le terrain.
Heureusement, certains professionnels engagés ont la chance d'exercer aujourd'hui leur passion après avoir largement contribué à la prise de conscience des nécessités.
Parmi eux, LibanVision à choisi de mettre en relief les personnalités d'Hassan Balawi et Fréderic Domont qui ont inscrit le rayonnement de la Francophonie des médias au Moyen Orient au centre de leur action quotidienne.


A Gaza

Hassan Balawi
Responsable de la production des émissions en Français à la télévision Palestinienne et Délégué aux relations euro-méditerranéennes

Deux heures de programmes francophones par jour, c'est loin d'être négligeable et cela contribue pour beaucoup au renouveau du dynamisme de la francophonie dans les territoire palestiniens. Grâce à une coopération avec France 2, cette prouesse est réalisable, souvent dans des conditions difficiles, comme on peut l'imaginer...
En militant convaincu de sa cause, Hassan Balawi participe à la plupart des rencontres et colloques oeuvrant pour le développement de l'expression francophone dans le monde et au Moyen-Orient, en particulier.
En témoigne son intervention en 2002 à la 9ème
Conférence permanente de l'audiovisuel méditerranéen
Hassan Balawi, chef de la délégation palestinienne et responsable du programme francophone de la télévision palestinienne, a remercié les membres de la Copeam de leur intérêt porté à la crise proche-orientale. " Grâce à cela, nous ne nous sentons pas seuls. " Il est à noter que dans le cadre de cet espace d'échange euro-méditerranéen, la télévision palestinienne a déjà réalisé de nombreux reportages..."


Ecrire à H.Balawi

email/courriel:

Relance de RFI / Radio-Liban:
une Coopération singulière
Jean-Paul Cluzel PDG de RFI qui était accompagné le 15 Décembre 2003 du directeur de RMC-Moyen-Orient, Béchara el-Bone, n'a pas non plus caché sa joie devant un projet entrepris du temps de son prédécesseur en novembre 1995. «Depuis 8 ans, la coopération entre nos deux maisons n'a fait que s'accroître, fondée sur un principe assez original parce que c'est seulement au Liban que RFI partage la même fréquence et les mêmes émetteurs avec une radio publique». Cluzel a également évoqué une coopération «sympathique» qui respecte les créneaux de chaque antenne. Tout en saluant le club de presse régionale animé par Frédéric Domont depuis Beyrouth et son large retentissement grâce à la présence mondiale de RFI. «A travers ce partenariat, le Liban se projette dans le monde entier». Le patron de RFI évoquera les trois émetteurs installés dans la Békaa, le Nord et le Sud s'ajoutant à celui de Beit Mery et la mise en place des nouveaux studios à la pointe de la technologie numérique. En parallèle de la volonté de RFI d'améliorer le journal de Radio-Liban qui ambitionne une envergure régionale, grâce notamment au professionnalisme des rédacteurs de l'antenne française. Et Michel Samaha de conclure: «La route est dégagée et les perspectives sont considérables tant pour la radio que pour la télévision.»

Voir tout notre dossier sur
Radio-Liban 96.2


La Coopération Audiovisuelle
est au coeur de l'Action des représentations diplomatiques françaises au Liban et tout le Moyen-Orient

A Beyrouth

A Amman:
Mission AudioVisuelle Régionale rayonnant sur les pays du Golfe Persique

M. David HIVET adresse: Djebel Amman P.O. Box 35287 Amman téléphone: 962-6-4615 878 télécopie: 962-6-4612 240 e-mail: mavr@go.com.jo



A Beyrouth

Fréderic Domont
Directeur du bureau régional de RFI à Beyrouth

Octobre 2004:
Co-auteur chez Fayard, avec Walid Charara
du livre " Hezbollah, mouvement islamo-nationaliste



La fiche de l'émission sur le site de RFI

P
roche Orient Presse / Kiosque Arabe
animé par
Frédéric Domont

en direct sur RFI-Radio-Liban
à Beyrouth 96.2 FM
Eté: 13h40 Heure de Paris, 14h40 au Liban
Hiver: 12h40 Heure de Paris, 13h40 au Liban

sur

En direct de Beyrouth,
tous les Samedis
13h40 Heure de Paris, 14h40 au Liban


Lorsqu'en Mars 2002, RFI ouvre son nouveau bureau régional de Beyrouth, Frédéric Domont peut vraiment se réjouir.*
En effet, s'il est un jeune homme qui a inlassablement milité pour convaincre qu'il était nécessaire et naturel que la Radio Mondiale fut présente de manière visible et permanente à Beyrouth, c'est bien lui.
Le Sommet de la francophonie d'Octobre 2002 donna l'occasion de démontrer que le choix de Beyrouth pour inscrire la présence d'un grand média francophone au Proche-Orient dans la durée était plus que jamais justifié.

Il faut dire qu'entre La Palestine et l'Irak sans occulter l'évolution de la situation libanaise proprement dite, la combinaison de la politique française dans la région et l'intensité de l'actualité ont de quoi combler ce journaliste infatigable et passionné par sa tâche.
C'est ainsi que depuis le Printemps 2003, il anime chaque semaine, le plus souvent avec son compère Paul Khalifé, rédacteur en chef adjoint de l'Hebdo Magazine, l'émission-magazine Proche Orient Presse qui permet de comprendre l'évolution des faits grâce aux journalistes, intellectuels ou analystes arabes de la région.

L'émission est diffusée le Samedi en début d'après-midi sur les ondes de RFI, de Radio-Liban 96.2 FM et de RMC-Moyen Orient.

* RFI compte actuellement 8 journalistes, envoyés spéciaux permanents dans le monde. Outre Beyrouth, ceux-ci sont basés à Washington, Dakar, Libreville, Abidjan, Johannesburg, Moscou et Jérusalem

Ecrire à F.Domont

email/courriel:




Bon à Savoir

PALESTINIAN BROADCASTING CORPORATION (PBC) Gaza – El Baher St. – PO Box 4025 Tél. : (+970) 8 282 40 64/5 Fax : (+970) 8 282 50 92 http://www.pbc.gov.ps/ Contact URTI : Hassan Balawi, Délégué aux relations euro-méditerranéennes et responsable du programme francophone Email : hassanbalawi@hotmail.com

2003-06-20 UNIVERSITE RADIOPHONIQUE et TELEVISUELLE INTERNATIONALE
Lors de l'Assemblée générale de l'URTI qui s'est déroulée le 20 juin 2003 à Paris (Radio France), plusieurs organismes de radiotélévisions ont rejoint officiellement l'Université dont TELE LIBAN
.

 


Editer quotidiennement un journal de référence de langue française
tel que L'Orient-le Jour nécessite des moyens humains considérables comme l'illustre la liste et la photo de famille ci-dessous, prise près des thermes romains au
Centre ville de Beyrouth en Février 2005.


La grande famille de L’Orient-Le Jour entourant le PDG Michel Eddé, l’administrateur délégué Nayla de Freige, l’éditorialiste Issa Goraieb, le rédacteur en chef Nagib Aoun, ainsi que les anciens directeurs Amine Abou Khaled et Camille Menassa.

Voici par ailleurs la composition de l’équipe du journal :
Gaby Nasr, Abdo Chakhtoura, rédacteurs en chef adjoints ; Michel Touma, secrétaire général de la rédaction ; Christian Merville, Jean Issa, analystes politiques.
Service local : Tilda Abou Rizk, Élie Fayad, chefs de service ; Fady Noun, Ziyad Makhoul, Scarlett Haddad, Michel Hajji Georgiou, May Makarem, Anne-Marie el-Hage, Patricia Khoder, Suzanne Baaklini, Janine Jalkh, Nada Merhi, Rania Raad, Samer Ghamroun.
Service culturel : Maria Chakhtoura, chef de service ; Amal Naccache, Fifi Abou Dib, Maya Ghandour Hert, Zeina Zalzal, Edgar Davidian, Diala Gemayel, Carla Henoud.
Service étranger : Émilie Sueur, chef de service ; Joe Mezher, Antoine Ajoury, Mariam Semaan, Bruno Barmaki.
Service économie : Sibylle Rizk, chef de service ; Liliane Mokbel, Rana Moussaoui, Anwar Azzi, Élie Kahwagi.
Service des sports : Makram Haddad, chef de service ; Nadim Makhoul, Antoine Hayek,
Guy Salmé.

Correspondants à l’étranger : Irène Mosalli, Sylviane Zéhil, Elie Masboungi. Informateurs : Philippe Abi Akl, Khalil Fleyhane, Émile Khoury, Amer Zeineddine, Hoda Chédid, Mounir Esseily. Service ciné-DVD-CD-TV : Jean-Pierre Goux-Pelletan, Dyma Demerdjian, Ziad el-Hajj, Médéa Azouri.

Bureau du PDG : Nohad Azar, Mylène Abi-Aad. Administration : Georges Chamié, Finances ; Josette Nahas, Agnès Zarifé, secrétaires de direction ; Amal Kassis, Reine Maalouf, comptabilité ; Rita Gergi, abonnements ;
Kamal Chelhot, marketing. Coordinatrice : Thérèse Saber.

Les Copains :
Cynthia el-Khazen, secrétaire de rédaction ; Maria Pascalidès, Nayla Chkaibane, Andrée Haddad, Médéa Toubia, Frida Debbané, John Saad, Benoît Debbané.

Service informatique : Ghassan Khneisser, webmaster ; Gebran Bekhazi, réseau ; Rabih Semaan, archives ; Abdallah Ayoub, Attié Ayoub. Correction : Robert George, chef de service ; Georges Chakhtoura, Imane Ezzeddine, Joseph Nammour, Monique Kendirdjian, Antoine Nasr, Éliane Abou Mrad, Marilys Hatem. Photographe : Michel Sayegh. Atelier-maquette : Fady Saaïby, Yehya Hamdan, chefs de service ; Joseph Saadé, Esber Chaghouri, Sawssan Tannir, Mohammed Rahhal, Ghassan Béchara, Sylva el-Shaer, Aline Basile, Ali Taki, Mohammed Hdeifi, Doumit Saaïby, Michel Rached. Centralistes : Narriman Hammoudi, Maarouf Mahmoud, Abdallah el-Cheikh, Haykal Imad, Joseph Abi Ghanem. Service général : Tannous Nachmé, Mahmoud Zahed, Fayez Hammoudi, Nemr Bou Ali, Hassane Ghandour, Youssef Alha, Abdel-Wahab Halabi, Ali Abdo.


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