Les
Acteurs de la Presse francophone
et de la Francophonie
Audiovisuelle
au
Liban et au Moyen-Orient 2005-2025
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Renaissance
de l'UPF-Liban
Union
de la Presse Francophone - UPF-Liban
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Fin mai 2025, presque vingt ans après,
une nouvelle génération de journalistes et rédacteurs
recrée une section de l'UPF-Liban
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Lancement
officiel de l'UPF Liban
UPF-Liban est la nouvelle section
libanaise de lUnion de la presse francophone :
les journalistes libanais feront aussi entendre leur voix
en Français dans le respect de l'éthique
et du pluralisme.
A cette occasion, une table ronde sur le thème
"désinformation et démocratie"
était organisée ce 27 mai dans les locaux
de Sciences-Po-USJ en présence de Mme Zara Nazarian,
secrétaire Générale de l'UPF.
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Deux
mois seulement après sa création, l'UPF Liban compte
déjà plus de 100 journalistes membres
Son bureau est composé de Roula Azar-Douglas, Sarah Sader
et Tracy Daige
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Anne-Marie
el-Hage, prix « Monde arabe »
du concours Lorenzo Natali
10
Mars 2006-
LOrient-Le Jour était à lhonneur à
Bruxelles, puisque Anne-Marie el-Hage a remporté le premier
prix pour la région du monde arabe-Liban-Israël du
concours international Lorenzo Natali récompensant un article
consacré à la défense des droits de lhomme.
Anne-Marie el-Hage a été récompensée
pour son dossier sur « Le drame des Libanais détenus
dans les geôles syriennes ». Elle gagne un chèque
de 5 000 euros. Mme el-Hage avait remporté le deuxième
prix du même concours lannée dernière.
La gagnante du grand prix est la sri lankaise Namini Wijedasa
pour son article sur le recrutement denfants sri lankais
par les rebelles tamouls.
Elle reçoit un chèque de 10 000 euros.
Création
d'un bureau de la section libanaise de
lUnion de la Presse Francophone - UPF-
Beyrouth,
25 novembre 2005- C'est
à l'occasion de la remise du prix de la
« libre expression » pour lannée
2005 à May Chidiac, présentatrice
de la LBC pour laquelle Mr Georges Gros, secrétaire
général de l'UPF, s'est spécialement
déplacé à Beyrouth, qu'a été
décidé la création d'un bureau provisoire
de la section libanaise de lUPF à Beyrouth.
Sa présidente est Nayla de Freige, administrateur
délégué de LOrient-Le Jour
et PDG du Commerce du Levant, sa vice-présidente
Mona Béchara, directrice de la rédaction
de Magazine Hebdo, et son secrétaire général
Saër Karam, directeur de La Revue du Liban.
Cette
décision fait suite à une proposition de
de son vice-président international pour les pays
du Proche-Orient, Mr Camille Menassa, qui entend désormais
se consacrer au développement de lUPF dans
les pays de la région.
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Démarrage
des travaux de la 16e session du Fonds d'appui de l'OIF
Se familiariser avec les médias libanais
et faire connaître
le Fonds dappui à la presse francophone du Sud

de
G. à D: Mrs Crépeau, Chédid et Mme de Freige
Beyrouth,
5 Déc.2005- La 16e session du Fonds dappui
à la presse écrite francophone du Sud a entamé
hier ses travaux à lhôtel Palm Beach, en présence
du représentant du ministre des Affaires étrangères,
lambassadeur Antoine Chédid, et des représentants
des médias. Cest la première fois que la Commission
du Fonds dappui à la presse du Sud se réunit
à Beyrouth, suite à la suggestion de ladministrateur
délégué de LOrient-le Jour, Nayla de
Freige, membre de la commission depuis quelques mois. Une commission
qui relève de lAgence intergouvernementale de la
francophonie (AIF), désormais appelée Organisation
internationale de la francophonie (OIF) et composée de
neuf experts du secteur de la presse, originaires de différentes
régions de la francophonie. Les travaux de la session ont
pour objectif de mieux connaître la presse libanaise, mais
aussi de faire connaître ce fonds dappui auprès
de bénéficiaires potentiels locaux. Un organisme
qui apporte son soutien aux entreprises de presse désireuses
daméliorer leur politique éditoriale, leur
gestion et leur développement technologique.
Le discours de bienvenue a été prononcé par
Nayla de Freige qui passe dabord en revue les médias
libanais dexpression française, de LOrient-Le
Jour, seul quotidien dexpression française du Moyen-Orient,
au Commerce du Levant, seul mensuel économique en français
de tout le Moyen-Orient, de La Revue du Liban à Magazine,
de Noun à Mondanités ou à Prestige. Le français
occupe aussi une place de choix dans les radios libanaises, notamment
Radio Liban 96.2, France FM, Light FM et Nostalgie. Alors que
le secteur audiovisuel est le parent pauvre de la francophonie
: une seule télévision, la Future TV, présente
quotidiennement un journal télévisé de 20
minutes.
Madame de Freige a par ailleurs profité de cette occasion
pour informer l'assistance du lancement en 2006 d'un supplément
"Week-End" distribué le Vendredi avec le journal.
Un appui réglementé
Mme de Freige présente également
les membres de la commission et de la délégation.
Membres quelle remercie davoir bien voulu tenir cette
16e réunion du Fonds dappui à Beyrouth et
davoir choisi LOrient-Le Jour comme partenaire local
pour lorganisation de leur séjour. Ladministrateur
délégué du quotidien rappelle quen
2004, et pour la première fois depuis la création
du Fonds, « LOrient-Le Jour a bénéficié
dune aide de 30 000 dollars qui a servi à renouveler
une partie du matériel informatique (ordinateurs et logiciels)
». Elle profite de loccasion pour remercier tous les
partenaires de LOrient-Le Jour, mais aussi léquipe
rédactionnelle et le rédacteur en chef Nagib Aoun,
pour qui la sortie dun journal, tous les matins, relève
dun miracle au quotidien.
Être à la pointe de lactualité et satisfaire
les lecteurs, la vocation du quotidien est claire. Une vocation
renforcée par « le courage des journalistes, que
personne nempêchera de clamer la vérité
», conclut Mme de Freige en rappelant les attentats qui
ont coûté la vie à Samir Kassir et grièvement
blessé May Chidiac.
Cest au directeur du cinéma et des médias
de lAIF, Jean-Claude Crépeau, de prendre la parole,
précisant que la présence à Beyrouth du Fonds
dappui à la presse du Sud sinscrit dans le
cadre « du dialogue des cultures qui anime la francophonie
». Depuis 1998, indique M. Crépeau, la francophonie
et lAIF accompagnent lévolution démocratique
et participent au développement du pluralisme de linformation.
La liberté et lindépendance de la presse sont
elles aussi une priorité pour lAIF, « dautant
plus quici au Liban, la presse et les journalistes figurent
toujours parmi les meilleures cibles lorsquon entend contraindre
la liberté dexpression », déplore-t-il.
Énumérant les principes réglementant le Fonds,
il explique que « la presse doit être lactivité
principale de lentreprise », que « le journal
doit comporter un minimum de 50 % de contenu en langue française
», quil doit « respecter sa périodicité
et paraître depuis un minimum dune année ».
Ce journal doit aussi « fournir un bilan certifié
qui fasse apparaître une perspective de rentabilité
à terme ». Quant à lentreprise, elle
doit être à même dindiquer dans quelle
mesure le projet dinvestissement présenté
peut « améliorer son organisation, la présentation
de son support et sa santé économique ». Finalement,
lentreprise doit justifier avoir les capacités humaines
pour mener à bien son projet dinvestissement et les
capacités financières « pour participer, au
minimum, à hauteur de 20 %, au coût du projet ».
Liberté dexpression
M. Crépeau présente
aussi les travaux qui se tiendront durant trois jours, ainsi que
les deux objectifs de la commission : mieux connaître les
réalités de la presse libanaise, lorganisation
de lédition, les contraintes de la concurrence, les
techniques de marketing, mais aussi mieux faire connaître
ce Fonds dappui auprès des bénéficiaires
potentiels de cette région, dont bon nombre nont
jamais entendu parler.
À son tour, lambassadeur Antoine Chédid fait
part de son plaisir à participer aux activités francophones
du partenariat entre le Fonds dappui à la presse
écrite francophone du Sud et LOrient-Le Jour. Journal
quil qualifie « dillustre quotidien en langue
française dont nous sommes fiers ». Estimant que
la francophonie unit les citoyens de différents pays, qui
« ont les mêmes objectifs et sont une vraie communauté
vivante », M. Chédid indique que les Libanais, parmi
les peuples du Moyen-Orient, ont été les premiers
et les plus attachés à exercer le journalisme.
« Notre pays est le lieu de rencontre entre lOccident
et lOrient, ce qui a permis au Liban davoir une instruction
plus avancée que les autres pays de la région ».
Lambassadeur évoque également la liberté
comme étant le facteur le plus important pour les Libanais,
qui sont aussi portés par la soif de connaissances, la
passion de laventure et le goût aigu du commerce.
Une singularité qui explique, selon lui, « lexistence
du régime libéral libanais au cur du Proche-Orient
où sont installés des régimes autoritaires
». Ce régime est fondé sur « la large
liberté dexpression et sur lindépendance
de lentreprise de presse à légard de
lÉtat », précise-t-il, ajoutant que
LOrient-Le Jour est un exemple illustre de lexercice
courageux de la liberté dexpression. Antoine Chédid
déclare alors ouverte la 16e session du Fonds dappui
à la presse écrite francophone du Sud. Une session
durant laquelle les membres de la commission rencontreront les
ministres de la Culture, Tarek Mitri, de lInformation, Ghazi
Aridi, et dÉtat chargé des relations entre
le gouvernement et le Parlement, Michel Pharaon. Ils effectueront
également une tournée auprès des organes
de presse locaux, notamment, LOrient-Le Jour, an-Nahar,
as-Safir, Radio Liban et la Future TV.
Anne-Marie
El Hage pour l'Orient-LeJour

Michel Abouchahla, nouveau directeur délégué des Échos
13
Mai 2005- Michel
Abouchahla, directeur du marketing et de la diffusion du groupe
Les Échos, va remplacer Eric Noblet comme directeur délégué du
quotidien économique et financier français Les Échos, et de ses
suppléments. D’origine libanaise, Michel Abouchahla, 46 ans, diplômé
de l’IEP Lyon et licencié en droit, entre au groupe Les Échos
en 1989 comme rédacteur en chef de La Lettre des Échos. En 1992,
il devient également rédacteur en chef de la lettre Les Échos
de l’exportation. Deux ans plus tard, il est nommé directeur délégué
du pôle Lettres professionnelles, nouvellement créé. M. Abouchahla
était directeur du marketing et de la diffusion du groupe depuis
2002.

Anne-Marie El-Hage, de « L’Orient-Le Jour
»,
deuxième prix
Lorenzo Natali 2004 pour le Moyen-Orient
Anne-Marie
el-Hage (journaliste à l'Orient-Le Jour), entourée
à gauche, du finaliste palestinien, Mohammed Daraghmeh, et à droite,
du lauréat de la zone M-O, le Marocain Ahmed Benchemsi
.
Bruxelles, 18 Janvier 2005-
Le grand prix de journalisme Lorenzo Natali de la Commission européenne
a été décerné à Bruxelles par le commissaire européen Louis Michel
au journaliste chilien, Juan Cristobal Fletcher, représentant
la zone Amérique latine et Caraïbes. Juan Cristobal Fletcher a
été primé pour son enquête « Le sang d’un poète », sur l’assassinat
du chanteur chilien Victor Jara en 1973, et ce parmi 15 finalistes
ayant soumis des articles sur les droits de l’homme et la démocratie,
comme étant des éléments vitaux dans un processus de développement
durable.
Anne-Marie el-Hage, bien connue des lecteurs du quotidien francophone
libanais l'Orient-Le Jour a obtenu le deuxième prix ex aequo de
la zone monde arabe, Liban et Israël, pour son article publié
dans nos colonnes en mars 2003, sur l’arrestation arbitraire d’étudiants
libanais, sous prétexte de la lutte contre les adorateurs de Satan.
Des étudiants qui ont subi la prison, les coups et les humiliations,
car ils avaient les cheveux longs, qu’ils portaient des tatouages
et qu’ils écoutaient une musique interdite par les autorités.
Elle partage ce prix avec le Palestinien d’Israël, Mohammed Daraghmeh,
pour son reportage sur la non-violence comme moyen de protestation
contre l’occupation. C’est le journaliste marocain, Ahmed Benchemsi,
qui a été lauréat de la zone monde arabe, Liban et Israël. Son
reportage, publié dans l’hebdomadaire marocain Telquel, est une
plongée dans l’un des bidonvilles les plus sordides du Maroc,
Sidi Moumen, qui a fourni les 12 kamikazes, auteurs des attentats
terroristes qui ont secoué Casablanca le 16 mai 2003.
Décerné chaque année en hommage à Lorenzo Natali, ancien commissaire
pour le Développement et partisan des droits de l’homme, le prix
Lorenzo Natali a connu cette année un succès considérable, avec
la participation de 451 journalistes de 108 pays.
>>>
LIRE l'article récompensé
d'Anne-Marie El Hage
(cliquez en bas à droite
de l'image pour un affichage en taille réelle)
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L'Orient-Le Jour, 1924 - 2004: Quatre-vingts
ans pour le Liban...
La une du premier numéro du journal,
après la fusion en 1971.
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La Une des Copains crée
en 1988 et rendez-vous de la jeunesse chaque Samedi.
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"Paraître
sans interruption pendant 80 ans relève de l’exploit qui, je le
crois, mérite d’être salué, d’autant plus que les titres de la
presse française actuelle, à l’exception du Figaro qui a dû se
saborder durant les 4 années d’occupation, n’ont vu le jour que
depuis la Libération en 1944, c’est-à-dire il y a tout juste 60
ans. En dépit de toutes les vicissitudes, de toutes les guerres,
des invasions, des occupations, des insurrections, des luttes
fratricides, des bouleversements politiques et des crises économiques
qui ont jalonné ces quatre-vingts années, L'Orient-Le Jour n’a
cessé de lutter pour les idéaux de liberté, de justice et de démocratie,
sans lesquels notre pays n’a pas de raison d’exister." Michel
Eddé.
Il
était une fois un journal, deux journaux, et qui n’en font plus
qu’un depuis … Depuis si longtemps et d’une manière si naturelle
que l’évocation de deux titres jadis séparés en étonnerait plus
d’un aujourd’hui. Cette jonction qui s’inscrivait dans la logique
des choses a fini par se produire. Le premier numéro des deux
titres couplés paraît un mardi 15 juin 1971, avec un éditorial
qui s’adresse aux lecteurs. « À partir d’“une certaine idée du
Liban”, nos options fondamentales étaient forcément les mêmes
», y est-il dit. Alors ? Alors, « il nous faut maintenant répondre
à l’attente du lecteur, à sa légitime exigence », est-il dit encore.
L’ère nouvelle s’ouvre sous des auspices on ne peut plus favorables.
Trois années se sont écoulées depuis l’agression israélienne contre
l’aéroport de Beyrouth ; avec un semblant de paix retrouvée, la
prospérité revient et avec elle l’espoir en un avenir radieux.
C’est dans un ciel en apparence serein qu’éclate le coup de tonnerre
du 13 avril 1975, qui verra s’abattre l’un après l’autre tous
les châteaux de cartes patiemment érigés. Le journal, lui, résiste,
malgré tout. Treize mois plus tard, le 16 mai, il subira, avec
l’assassinat de son rédacteur en chef Édouard Saab, un coup terrible,
professionnel autant que psychologique, suivi en 1982 de l’invasion
israélienne, du bombardement des locaux de la rue Hamra et d’une
fermeture – message reçu … – de deux petites semaines. Entre-temps,
des changements se sont produits à la tête de la direction. Ainsi,
Jean Choueri a choisi de vivre sous les cieux français. D’autres
membres de l’équipe l’ont imité et Marwan Hamadé a cédé à la tentation
de se lancer dans la politique active. La relève est là, menée
par Amine Abou Khaled à la direction du journal, tandis que Issa
Goraieb assume pour sa part la rédaction en chef et Camille Menassa
la responsabilité de l’administration. Tous trois, épaulés par
toute l’équipe, porteront à bout de bras le journal. C’est que
les temps sont durs. Après quelques soubresauts puis le terrible
intermède des deux guerres – celle de la libération, celle de
la « suppression » –, le chapitre des douloureux événements que
vit le pays depuis quinze ans est clos mais le spectre d’une autre
crise, économique celle-là, se fait menaçant. Sous la direction
de ses deux premiers PDG, Ghassan Tueni et le regretté Pierre
Eddé, puis de Michel Eddé, fidèle au poste depuis 1990, L’Orient-Le
Jour fait face à toutes les difficultés, fidèle à sa mission.
Et c’est ainsi qu’en cette fin d’année 2004, sous l’égide de Nagib
Aoun, qui a succédé, en qualité de rédacteur en chef, à Issa Goraieb,
éditorialiste, nous célébrons avec vous, lecteurs, trois anniversaires
: les 80 ans de l’«ancêtre», les 70 ans du cadet et les 39 ans
du benjamin. Aussi jeune que l’ont voulu les pères fondateurs
et que continuent à le rêver, en le faisant, leurs héritiers.
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Le
pérennité et le developpement de la Francophonie
Mondiale ne peut négliger l'action audiovisuelle dans le
contexte de globalisation et de l'ère de la communication.
Beaucoup de retard a été pris dans ce domaine et
les lignes budgétaires n'ont pas pu suivre le rythme des
volontés politiques ou des cris d'alarme lancés
par de nombreux experts, chercheurs et surtout hommes au coeur
de l'action sur le terrain.
Heureusement, certains professionnels engagés ont la chance
d'exercer aujourd'hui leur passion après avoir largement
contribué à la prise de conscience des nécessités.
Parmi eux, LibanVision à choisi de mettre en relief les
personnalités d'Hassan Balawi et Fréderic Domont
qui ont inscrit le rayonnement de la Francophonie des médias
au Moyen Orient au centre de leur action quotidienne.
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A Gaza
Hassan
Balawi
Responsable
de la production des émissions en Français
à la télévision Palestinienne et
Délégué aux relations euro-méditerranéennes
Deux heures
de programmes francophones par jour, c'est loin d'être
négligeable et cela contribue pour beaucoup au
renouveau du dynamisme de la francophonie dans les territoire
palestiniens. Grâce à une coopération
avec France 2, cette prouesse est réalisable, souvent
dans des conditions difficiles, comme on peut l'imaginer...
En militant convaincu de sa cause, Hassan Balawi participe
à la plupart des rencontres et colloques oeuvrant
pour le développement de l'expression francophone
dans le monde et au Moyen-Orient, en particulier.
En témoigne son intervention en 2002 à la
9ème
Conférence permanente de l'audiovisuel
méditerranéen
Hassan Balawi, chef de la délégation palestinienne et
responsable du programme francophone de la télévision
palestinienne, a remercié les membres de la Copeam de
leur intérêt porté à la crise proche-orientale. " Grâce
à cela, nous ne nous sentons pas seuls. " Il est à noter
que dans le cadre de cet espace d'échange euro-méditerranéen,
la télévision palestinienne a déjà réalisé de nombreux
reportages..."
Ecrire à H.Balawi

email/courriel:
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Relance
de RFI / Radio-Liban:
une Coopération singulière
Jean-Paul
Cluzel PDG de RFI qui était accompagné le 15 Décembre
2003 du directeur de RMC-Moyen-Orient, Béchara el-Bone,
n'a pas non plus caché sa joie devant un projet entrepris
du temps de son prédécesseur en novembre 1995. «Depuis
8 ans, la coopération entre nos deux maisons n'a fait
que s'accroître, fondée sur un principe assez original
parce que c'est seulement au Liban que RFI partage la
même fréquence et les mêmes émetteurs avec une radio publique».
Cluzel a également évoqué une coopération «sympathique»
qui respecte les créneaux de chaque antenne. Tout en saluant
le club de presse régionale animé par Frédéric Domont
depuis Beyrouth et son large retentissement grâce à la
présence mondiale de RFI. «A travers ce partenariat, le
Liban se projette dans le monde entier». Le patron de
RFI évoquera les trois émetteurs installés dans la Békaa,
le Nord et le Sud s'ajoutant à celui de Beit Mery et la
mise en place des nouveaux studios à la pointe de la technologie
numérique. En parallèle de la volonté de RFI d'améliorer
le journal de Radio-Liban qui ambitionne une envergure
régionale, grâce notamment au professionnalisme des rédacteurs
de l'antenne française. Et Michel Samaha de conclure:
«La route est dégagée et les perspectives sont considérables
tant pour la radio que pour la télévision.»
Voir tout notre dossier sur
Radio-Liban 96.2
|

La
Coopération Audiovisuelle
est
au coeur de l'Action des représentations diplomatiques
françaises au Liban et tout le Moyen-Orient
A
Beyrouth
A
Amman:
Mission AudioVisuelle Régionale
rayonnant sur les pays du Golfe Persique
M.
David HIVET adresse: Djebel Amman P.O. Box 35287 Amman
téléphone: 962-6-4615 878 télécopie: 962-6-4612 240
e-mail: mavr@go.com.jo
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A Beyrouth
Fréderic
Domont
Directeur du bureau régional
de RFI à Beyrouth
Octobre
2004:
Co-auteur chez Fayard, avec Walid
Charara
du livre " Hezbollah, mouvement islamo-nationaliste
La
fiche de l'émission sur le site de RFI
Proche Orient
Presse /
Kiosque Arabe
animé par Frédéric
Domont
en direct sur RFI-Radio-Liban
à Beyrouth 96.2 FM
Eté:
13h40 Heure de Paris, 14h40 au Liban
Hiver:
12h40 Heure de Paris, 13h40 au Liban
sur

En
direct de Beyrouth, tous
les Samedis
13h40 Heure de Paris, 14h40 au Liban
|

Lorsqu'en
Mars 2002, RFI ouvre son nouveau bureau régional
de Beyrouth, Frédéric Domont peut vraiment
se réjouir.*
En effet, s'il est un jeune homme qui a
inlassablement milité pour convaincre qu'il était
nécessaire et naturel que la Radio Mondiale fut
présente de manière visible et permanente
à Beyrouth, c'est bien lui.
Le Sommet de la francophonie d'Octobre 2002 donna l'occasion
de démontrer que le choix de Beyrouth pour inscrire
la présence d'un grand média francophone
au Proche-Orient dans la durée était plus
que jamais justifié.
Il faut dire qu'entre La Palestine et l'Irak
sans occulter l'évolution de la situation libanaise
proprement dite, la combinaison de la politique française
dans la région et l'intensité de l'actualité
ont de quoi combler ce journaliste infatigable
et passionné par sa tâche.
C'est ainsi que depuis le Printemps 2003,
il anime chaque semaine, le plus souvent avec son compère
Paul Khalifé, rédacteur en chef adjoint
de l'Hebdo Magazine, l'émission-magazine Proche
Orient Presse qui permet de comprendre l'évolution
des faits grâce aux journalistes, intellectuels
ou analystes arabes de la région.
L'émission
est diffusée le Samedi en début d'après-midi
sur les ondes de RFI, de Radio-Liban 96.2 FM et de RMC-Moyen
Orient.
*
RFI compte actuellement 8 journalistes, envoyés
spéciaux permanents dans le monde. Outre Beyrouth,
ceux-ci sont basés à Washington, Dakar,
Libreville, Abidjan, Johannesburg, Moscou et Jérusalem
Ecrire
à F.Domont

email/courriel:
|
 
Bon
à Savoir
PALESTINIAN
BROADCASTING CORPORATION (PBC) Gaza – El Baher St. –
PO Box 4025 Tél. : (+970) 8 282 40 64/5 Fax : (+970)
8 282 50 92 http://www.pbc.gov.ps/
Contact URTI : Hassan Balawi, Délégué aux relations
euro-méditerranéennes et responsable du programme francophone
Email : hassanbalawi@hotmail.com
2003-06-20
UNIVERSITE RADIOPHONIQUE et TELEVISUELLE INTERNATIONALE
Lors de l'Assemblée générale de l'URTI qui s'est déroulée
le 20 juin 2003 à Paris (Radio France), plusieurs organismes
de radiotélévisions ont rejoint officiellement l'Université
dont TELE LIBAN
.
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Editer quotidiennement un journal de référence
de langue française
tel que L'Orient-le Jour nécessite
des moyens humains considérables comme l'illustre la liste et la
photo de famille ci-dessous, prise près des thermes romains au
Centre ville de Beyrouth en Février 2005.

La grande famille de L’Orient-Le Jour entourant
le PDG Michel Eddé, l’administrateur délégué Nayla de Freige, l’éditorialiste
Issa Goraieb, le rédacteur en chef Nagib Aoun, ainsi que les anciens directeurs
Amine Abou Khaled et Camille Menassa.
Voici par ailleurs la composition de l’équipe
du journal :
Gaby
Nasr, Abdo Chakhtoura, rédacteurs en chef adjoints ; Michel Touma, secrétaire
général de la rédaction ; Christian Merville, Jean Issa, analystes politiques.
Service local : Tilda Abou Rizk, Élie Fayad, chefs de service ; Fady Noun,
Ziyad Makhoul, Scarlett Haddad, Michel Hajji Georgiou, May Makarem, Anne-Marie
el-Hage, Patricia Khoder, Suzanne Baaklini, Janine Jalkh, Nada Merhi,
Rania Raad, Samer Ghamroun.
Service culturel : Maria Chakhtoura, chef de service ; Amal Naccache,
Fifi Abou Dib, Maya Ghandour Hert, Zeina Zalzal, Edgar Davidian, Diala
Gemayel, Carla Henoud.
Service étranger : Émilie Sueur, chef de service ; Joe Mezher, Antoine
Ajoury, Mariam Semaan, Bruno Barmaki.
Service économie : Sibylle Rizk, chef de service ; Liliane Mokbel, Rana
Moussaoui, Anwar Azzi, Élie Kahwagi.
Service des sports : Makram Haddad, chef de service ; Nadim Makhoul, Antoine
Hayek,
Guy Salmé.
Correspondants à l’étranger : Irène Mosalli, Sylviane Zéhil, Elie Masboungi.
Informateurs : Philippe Abi Akl, Khalil Fleyhane, Émile Khoury, Amer Zeineddine,
Hoda Chédid, Mounir Esseily. Service ciné-DVD-CD-TV : Jean-Pierre Goux-Pelletan,
Dyma Demerdjian, Ziad el-Hajj, Médéa Azouri.
Bureau du PDG : Nohad Azar, Mylène Abi-Aad. Administration : Georges Chamié,
Finances ; Josette Nahas, Agnès Zarifé, secrétaires de direction ; Amal
Kassis, Reine Maalouf, comptabilité ; Rita Gergi, abonnements ;
Kamal Chelhot, marketing. Coordinatrice : Thérèse Saber.
Les Copains : Cynthia el-Khazen, secrétaire de rédaction ; Maria Pascalidès,
Nayla Chkaibane, Andrée Haddad, Médéa Toubia, Frida Debbané, John Saad,
Benoît Debbané.
Service informatique : Ghassan Khneisser, webmaster ; Gebran Bekhazi,
réseau ; Rabih Semaan, archives ; Abdallah Ayoub, Attié Ayoub. Correction
: Robert George, chef de service ; Georges Chakhtoura, Imane Ezzeddine,
Joseph Nammour, Monique Kendirdjian, Antoine Nasr, Éliane Abou Mrad, Marilys
Hatem. Photographe : Michel Sayegh. Atelier-maquette : Fady Saaïby, Yehya
Hamdan, chefs de service ; Joseph Saadé, Esber Chaghouri, Sawssan Tannir,
Mohammed Rahhal, Ghassan Béchara, Sylva el-Shaer, Aline Basile, Ali Taki,
Mohammed Hdeifi, Doumit Saaïby, Michel Rached. Centralistes : Narriman
Hammoudi, Maarouf Mahmoud, Abdallah el-Cheikh, Haykal Imad, Joseph Abi
Ghanem. Service général : Tannous Nachmé, Mahmoud Zahed, Fayez Hammoudi,
Nemr Bou Ali, Hassane Ghandour, Youssef Alha, Abdel-Wahab Halabi, Ali
Abdo.
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