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Royal
Jordanian (code AITA RJ) est la compagnie aérienne nationale
de la Jordanie créée en 1963 sous le nom
dAlia (par décret royal de Hussein de Jordanie qui
a choisi le nom de sa fille).
Deux Handley Page Dart Heralds et un DC-7 sont alors utilisés.
En
1964, un autre DC-7 est ajouté ce qui permet linauguration
dun service vers Djeddah, en Arabie saoudite. Lannée
suivante une liaison est établie avec Rome.
Toute
lavancée de la compagnie est menacée par
un raid aérien israélien, lors de la guerre de
1967, les DC-7 sont détruit et remplacés par deux
Fokker F27. En 1968, sajoutent les destinations de Nicosie,
Benghazi, Dharan et Doha. Les extensions vers Munich, Téhéran
et Istanbul se font en 1969.
Dans
les années 1970, Alia passe à lair du jet.
Les F-27 sont remplacés par un Boeing 707. En 1970, Francfort
et Abu Dhabi sont ajoutés et le 707 est livré
en 1971. Madrid, Copenhague et Karachi cette même année.
Dans les années suivantes, Alia ajoute à sa flotte
Boeing 720, Boeing 727 et Boeing 747. En 1979, Alia fonde Arab
Airlines Technical Consortium.
Les
années 1980 marquent la réorganisation de la compagnie.
Tunis et Tripoli sont reliés et un centre de calcul IBM
inauguré. un Lockheed L-1011 et des Airbus A310 et A320
rejoignent la flotte en 1986. Alia change son nom en Royal Jordanian.
Cette décennie voit aussi louverture du système
de réservation GATS (Gabriel Automated Ticket System).
Lexpansion
continue dans les années 1990. Royal Jordanian et neuf
autres compagnies aériennes arabes signent avec le système
de réservation Galileo, un nouveau terminal est ouvert
à Amman, une liaison avec Gaza ouverte faisant de Royal
Jordanian la première compagnie à voler vers le
nouvel aéroport international de Gaza. Enfin un partenariat
est passé avec TWA et une filiale locale, Royal Wings,
démarre le seul service privé, vers Aqaba, utilisant
un Fokker F-27.
Royal
Jordanian devient une société par action en 2001
et le nom est officiellement changé en Alia, The Royal
Jordanian Airline bien quelle soit toujours connue par
ses client comme Royal Jordanian.
Elle
souhaite rejoindre oneworld fin 2006, début 2007.
Au départ de Beyrouth
Les
quotidiens espagnols commencent à s’intéresser à l’une des récentes
destinations d’Iberia: Beyrouth
La
première compagnie aérienne espagnole vendra le billet aller-retour
à 125 dollars en avril, puis ensuite à partir de 325 dollars Iberia
inaugure une liaison directe Madrid-Beyrouth
Mars
2005- La
première compagnie aérienne espagnole, Iberia, a inauguré la première
liaison directe entre Madrid, la capitale espagnole, et Beyrouth,
qui sera assurée par un avion du type Airbus A319, au rythme de
trois vols par semaine. L’avion décollera de l’aéroport de Beyrouth
tous les mardis, jeudis et dimanches à 6h15 du matin et atterrira
à Madrid près de cinq heures plus tard, vers 11h. Quant au vol
du retour, il dure quatre heures et demie. Selon le directeur
du département de presse d’Iberia, Jaime Pérez-Guerra, « l’inauguration
de cette liaison répond à des nécessités à la fois touristiques
et commerciales ». Il est bien sûr « important pour nous que les
Libanais visitent l’Espagne, qui est un pays méditerranéen tout
comme le pays du Cèdre : non seulement ils s’y plairont, mais
ils ne s’y sentiront pas tout à fait comme des étrangers », estime-t-il.
À Madrid, le conseil de tourisme de la capitale n’a pas ménagé
ses efforts pour montrer aux agences de voyages libanaises qui
ont participé au vol inaugural les attraits de la ville, qui reçoit
chaque année quelque 6,5 millions de touristes. De plus, ajoute
M. Pérez-Guerra, « cette liaison permettra aux Libanais non seulement
de visiter l’Espagne, mais également de faire un saut en France
et en Italie, deux pays européens qu’ils apprécient particulièrement
». Iberia compte également sur les touristes espagnols, qui ont
commencé à voyager de plus en plus au cours des dernières années.
« Les Espagnols aiment visiter les pays du Proche-Orient et je
pense que grâce aux vols d’Iberia, il y aura de plus en plus de
touristes espagnols qui visiteront le Liban », précise M. Pérez-Guerra.
La nouvelle liaison répond également à un impératif commercial.
« Nous voulons alimenter le hub de Madrid en attirant les millions
de passagers d’origine libanaise en provenance d’Amérique latine,
qui souhaitent visiter leur pays natal. L’escale à Madrid fera
de la capitale espagnole le pont entre le pays de résidence et
le pays d’origine de cette communauté influente économiquement
et hispanophone », explique le directeur du département de presse
d’Iberia. Le défi est d’autant plus important qu’Iberia est leader
du marché du transport aérien entre l’Europe et l’Amérique latine.
Elle s’arroge en effet près de 18 % du trafic entre ces deux continents
; autrement dit, un passager sur quatre qui voyage d’une ville
européenne à une ville d’Amérique latine est un passager d’Iberia.
La liaison Madrid-Beyrouth, qui a été précédée par celle de Madrid-Moscou,
inaugurée début mars, traduit donc une volonté de diversifier
les destinations de la compagnie. De même, elle répond indirectement
aux ambitions de l’aéroport de Madrid (Barajas), qui est d’une
capacité actuelle de 36 millions de passagers et qui compte, grâce
aux travaux en cours, passer à 75 millions d’ici à 2006, pour
devenir ainsi le premier aéroport du sud de l’Europe.
Les Tarifs
Actuellement, Iberia propose le billet aller-retour à 125 dollars
(taxes non comprises), une offre valable en principe jusqu’à fin
avril. Le tarif durant le même mois pour la classe business s’élève
à 1 000 dollars. Dans la perspective des vols entre le Liban et
les pays d’Amérique latine via Madrid, un billet Beyrouth-Madrid-Caracas
(Venezuela) coûterait par exemple près de 600 dollars en classe
économique et 2302 dollars en business class. À partir de mai,
le billet sera fixé à partir de 325 dollars (taxes non comprises).
L’initiative d’Iberia est, pour le moins qu’on puisse dire, courageuse,
vu les circonstances actuelles que traverse le Liban. Décidé il
y a quelques mois seulement, le projet de liaison n’a pas été
abandonné ni reporté en dépit de l’attentat du 14 février. « Malgré
l’annulation des réservations du côté de l’Espagne et des réservations
moindres que prévu du côté libanais, nous pensons que cette période
n’est que provisoire », estime la coordinatrice des ventes en
Afrique et au Moyen-Orient, Kacheche Izquierdo Noreño, ajoutant
que « le Liban a prouvé plus d’une fois qu’il pouvait se relever
d’une crise ». La compagnie est optimiste quant aux perspectives
de vols dans l’avenir. « Nous prévoyons à court terme quelque
3 000 passagers par mois (aller et retour), estime M. Pérez-Guerra.
À moyen terme, nous envisageons l’augmentation du nombre de vols
jusqu’à atteindre le rythme d’un vol par jour. Nous espérons également
augmenter la capacité de l’avion, qui dispose actuellement de
100 places en classe économique et 20 en business, et utiliser
un Airbus A320. » Par ailleurs, il estime que Beyrouth peut devenir
la passerelle d’Iberia vers les pays arabes (hors le Maghreb),
selon l’évolution des vols vers la capitale du pays du Cèdre.
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