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Litour
Voyages
Réservation & Vente en ligne de billets d'avion Tel unique pour toute la France: 01 44 86 08 80 Litour, n°1 en France du voyage vers le Liban et le Moyen-Orient |
 Automne 2007 Après quelques mois d'absence, Litour renait en tant que département Moyen-Orient du réseau Agisbt-Havas voyages. Le service est dorénavant dirigé par Madame Artemis Keyrouz depuis les locaux du 9, avenue de l'opéra. Agisbt est un groupe de 6 agences de voyages orienté vers le tourisme d'affaires. Outre le siège parisien 5 autres agences dont celle intégrée au groupe PSA sont situées dans les Yvelines. L'adossement du savoir-faire de Litour à ce groupe est donc un gage d'offre et de service de pointe. Air France annonce la réouverture de ses RESERVATIONS pour les vols Paris-Beyrouth mais que les vols ne reprendront qu'à compter de la levée effective du blocus israelien. Celle-ci, annoncé pour Jeudi à 18 heures locales doit donc permettre la reprise effective des vols dès Vendredi 8 Septembre au matin comme le laissait entendre Air France dès son annonce. Le ministre des transports Dominique Perben sera à cette occasion à bord de l'avion de type Boeing 767. Quant aux compagnies Lufthansa et Cyprus Airways, elles ont annoncé la reprise des vols vers la capitale libanaise dès le Samedi 9 Septembre. Communiqué au 23 Août 2006 Après 40 jours de fermeture des vols, il est à nouveau possible de relier Paris à Beyrouth en avion Les vols pour relier Paris à Beyrouth sont désormais possibles via Amman à travers deux compagnies, la MEA et la Royal Jordanian Compte tenu de la précarité de la situation, il n'est possible que de réserver au maximum 7 jours à l'avance. Le vol Paris/Amman/Beyrouth de la MEA dont le départ quotidien est programmé à 10h25 est opéré sur un Airbus de petite capacité(A319) et nécéssite une escale, sans changement d'avion, d'environ 50 mns notamment pour les fouilles imposées par l'administration israelienne... Les compagnies européennes Lufthansa et Alitalia envisagent une reprise très prochaine de leur acheminement sur la capitale libanaise mais les communiqués et démentis se succèdant, il n'est pas encore possible d'effectuer des réservations sûres. Idem pour Air France qui, travaillant en pool/codeshare avec la MEA, pourrait également reprendre ses vols d'ici quelques jours. Par contre, la compagnie KLM a annoncé qu'elle ne reprendra pas son service à destination de Beyrouth suite au conflit de l'été 2006. Renseignements et réservations au: 01 44 86 08 80  > Cap sur le Liban !  Offre spéciale jusqu'au 31 Mars 2006 à 240 € hors taxes soit 360 ttc* Votre vol pour Beyrouth ou Damas via Amman, validité 3 Mois, modifiable sans pénalité, 30 kgs de bagages  |
 Vol direct: meilleur prix de 520 Euros* depuis le 1er Janvier 2006 sur le vol direct Paris-Beyrouth de 8H35 jusqu'à la mi-Juin
* Prix TTC, taxes d'aéroports et pétrolières incluses |
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Le
tableau comparatif sur le trajet Paris-Beyrouth Aller-Retour
Pour la période 3 Janvier 2006 / 15 Juin 2006 |
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Compagnie Aérienne
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Les meilleur Prix
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Conditions et Observations
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Les
Vols Directs sans escale
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Middle East MEA
 Air France  |
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Vol Direct, validité
30 jours, modifiable
à partir du 2 Janv.2005 jusqu'au 15 Juin Tarif 520 ttc valable pour le départ de 8h35 |
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Les
Vols avec escale
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Royal Jordan
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Le
Meilleur prix pour voyager au Liban
Via Amman au départ de Paris & Genève avec possibilité de connexion au départ de certaines grandes villes de province |
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Alitalia
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Via Milan, 4 mois, modifiable
à partir du 1er Janvier 2006 |
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Cyprus Airways
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Via Larnaca, en semaine les Lu, Je et Ve 3 mois, modifiable; 30 Kgs bagages |
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Lufthansa / Austrian
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Vol via Francfort, 1 mois, 30
kgs bagages
supp. 100 € pour modif. Non remboursable ou via Vienne |
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KLM
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Via Amsterdam
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Turkish Airlines
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Via Istambul
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Malev
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Via Budapest
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Iberia
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Via Amman, 3 mois
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Iran Air
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En été
seulement
Se renseigner |
Beyrouth est l'escale du Paris-Téhéran
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Olympic Airways
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Via Athènes
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* Ces
prix s'entendent toutes taxes comprises, notamment les taxes
d'aéroport, sauf mentions spéciales; ils sont spécialement
négociés par LITOUR Voyages et susceptibles de modifications.
Pour en bénéficier, il vous faut contacter directement
l'agence
au 01 44 860880 ou par email à l'adresse: contact@litour.fr Départ possible au départ de certaines villes de province comme Marseille, Lyon, Toulouse ou Bordeaux aux mêmes conditions en fonction des horaires de correspondancepour les vols indirects. |
 Le casse-tête Paris-Beyrouth Acheminer des touristes français au Liban, cela doit être facile, nous dit-on, en mettant à profit un certain “capital affectif”. Mais comment pourraient-ils venir si la ligne Paris-Beyrouth est toujours aussi encombrée – et chère ? Comme chaque été, les Libanais de France se remettent à traiter un double casse-tête récurrent : le prix élevé des vols sur la ligne directe Paris-Beyrouth et la difficulté de trouver des places à bord des avions. Avec un éternel incriminé, la MEA. Et comme chaque année, l’Union des associations libanaises en France se mobilise, tient des réunions, discute des «prix prohibitifs». Mais les pourparlers tournent court car, naturellement, le bureau de la MEA à Paris ne peut prendre des décisions unilatérales à ce niveau. L’Union a donc entrepris d’adresser des lettres aux hautes instances politiques du pays, leur demandant d’intervenir, pour réviser la politique des prix pratiqués par la compagnie nationale. Sauf que, pour compliquer l’affaire, la MEA ne peut que s’aligner sur les prix de son partenaire, Air France, et elle pourrait même augmenter encore ses tarifs, au cas où Air France le ferait suite à la nouvelle flambée des prix du pétrole. Les marges de manœuvre D’abord face au déficit de places, la MEA, selon Pierre Massamiri, directeur de l’escale parisienne, a augmenté l’offre sur la ligne Paris-Beyrouth de 650 places par semaine, dont, entre autres mesures, un vol supplémentaire les samedis, de sorte que le total atteint près de 5 700 sièges par semaine. Mais ceci ne résout pas le problème des prix : «Dans le calcul des tarifs, nous devons malheureusement tenir compte du fait que l’avion qui part rempli pour Beyrouth, en début d’été, revient à moitié vide. Alors qu’en fin de saison, c’est le contraire, avec ce que cela implique comme pertes. Hors saison, nous essayons de combler une partie du déficit avec des groupes touristiques qui ont retrouvé le chemin de Beyrouth. Nous espérons dépasser cette année les 30 000 touristes à partir de Paris». Pour Pierre Massamiri, le business du transport aérien a changé de conception depuis quelques années. Les prix ne sont plus seulement établis sur la base de la distance et des heures de vol, mais sur des critères commerciaux en fonction du remplissage : «Par exemple, la Lufthansa vend le billet Paris-Beyrouth, via Francfort, moins cher que le billet Francfort-Beyrouth. Pourquoi ? Parce que tout siège vendu hors d’Allemagne constitue un gain inespéré en plus, le siège étant en tout cas libre. L’objectif est donc de remplir l’avion même à prix réduit. Nous faisons la même chose sur la ligne Paris-Dubaï par exemple, en vendant parfois le billet A/R pour Dubaï moins cher que le billet A/R Paris-Beyrouth». La MEA présente néanmoins l’avantage de maintenir une même fréquence de vols réguliers sur la ligne, soit 3 voyages quotidiens (avec AF), été comme hiver : «Nos avions continuent à voler en basse saison, même avec 10 passagers à bord. Tandis que d’autres compagnies suspendent leurs vols vers Beyrouth durant la saison morte. Nous maintenons nos tarifs standards en été et durant les périodes des fêtes, mais nous les réduisons ensuite. C’est un peu comme les commerces et les hôtels qui ne peuvent pratiquer des réductions toute l’année». Comment alors les Libanais – et les touristes potentiels – peuvent-ils obtenir de meilleurs tarifs de voyage vers Beyrouth, en dépit du concept commercial de l’affaire ? «On peut penser ici à des incitations si l’on considère que le Libanais résident en France est un “touriste” particulièrement intéressant pour le Liban ; il y passe des semaines et dépense beaucoup plus qu’un touriste ordinaire. Mais à ce niveau, c’est une affaire de politique nationale qu’il faut mettre en place et qui dépasse mes prérogatives ou les moyens de la MEA», conclut discrètement Pierre Massamiri. Au moment où Georges Keyrouz, DG de Litour et l’un des premiers opérateurs sur la ligne Paris-Beyrouth, alimente le débat : Les Libanais venus d’ailleurs Le gouvernement libanais peut-il faire quelque chose concernant les prix des billets ? Il peut penser à des subventions, par exemple, pour compenser des réductions que la compagnie nationale pourrait appliquer. À l’instar de ce que fait le gouvernement français pour les vols en direction de la Corse. Pourquoi le voyage est-il devenu aussi cher ? Le voyage aérien est soumis à la loi de l’offre et de la demande. Le principe qui inspire cette industrie est désormais le “yield management” – comme pour les hôtels –, qui tend à assurer la rentabilité maximale d’un produit, en fonction du taux d’occupation quotidien. La gestion “unitaire” du billet d’avion est devenue ainsi la base du business du transport. Où se situe en réalité le problème de la ligne directe Paris-Beyrouth ? Ce sont en grande partie les réservations d’outre-mer qui provoquent le déséquilibre. Grâce à Internet, n’importe quelle agence de voyages dans le monde peut faire des réservations sur la ligne Paris-Beyrouth. La demande est tellement forte que nos avions sont remplis parfois à 80 % à partir de pays tiers, car, entre autres raisons, les résidents en Amérique n’ont pas de ligne directe vers Beyrouth. Nous, agents de voyages, aurions pu négocier avec la MEA, et d’autres compagnies aériennes, des tarifs moins chers si notre clientèle pouvait partir à des dates autres que celles des périodes de pointe. En d’autres termes, pour rentabiliser une ligne à prix réduits, il faudrait que le flux à partir de Beyrouth et de Paris soit aussi intense aux mêmes dates. Mais le marché libanais ne répond pas à cette exigence, surtout que les visas français sont encore difficiles à obtenir, ce qui décourage les Libanais de venir en touristes à Paris. Quant aux charters, le système n’est rentable que vers des destinations touristiques classiques, alors que le Liban n’en fait pas partie encore. On préfère alors, comme agents de voyages, utiliser une autre méthode : bloquer un certain nombre de sièges à des prix déterminés pour une clientèle sûre. La moyenne des places bloquées par Litour, par exemple, est de 15 000 sièges pour nos clients, dont beaucoup passent 2 mois d’été au Liban. Joseph Sfeir pour le Commerce du Levant-Juillet 2004 |
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