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                  Le 
                  Tourisme économique au Liban,  
                  au Moyen-Orient et dans le Monde 
               
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        Paris - Beyrouth sur le moteur ! 
        mais 
        aussi, Alep, Amman, Damas, Dubai ou Le Caire... 
        
        
          
        Rendez-vous 
        le Mercredi 16 Avril 2008 
        Vol régulier hebdomadaire à bas prix 
          
        Infos 
        & Réservations au 04 67 65 01 01 
        
        
        Beyrouth, une 
        destination de plus en plus populaire et en pleine ascension 
        lorsque l'environnement géopolitique est calme >>
        
           
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               Forte 
                progression de la destination Liban en 2004: + 23% 
                94000 
                touristes français  
                sur un total de près de 1.300.000 touristes 
                 
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        Depuis 
        2005 et l'assassinat de Mr Hariri, le tourisme au Liban est en chute régulière
        
        
           
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                Cap 
                sur le Liban ! 
                   
                 
                du 1er Février au 31 Mai 2005 
             | 
           
         
        Jusqu'au 
          15 Décembre 2005 
            
        
           
             
              Regard sur un des derniers 
                endroits branchés et bon marché de Beyrouth: 
                La cantine libanaise, " la Tabkha " 
                 Il 
                a ouvert discrètement, peu avant Noël, sans tapage médiatique 
                et sans recours à la publicité. 
                Au fil des jours qui ont précédé le lancement, un mur de plus 
                en plus vert se dessinait dans Gemmayzé. Puis est venue s’ajouter 
                une drôle de marmite sur fond jaune, alors que se plantait un 
                décor également discret mais toutefois intriguant. L’enseigne 
                – en français dans le texte- enfin posée, La Tabkha s’installait 
                dans ce quartier à la mode, décalé mais de plus en plus branché. 
                Les questions ont fusé. Pour toute réponse, il a juste fallu pousser 
                la porte et entrer. 
                La carte est déjà inventive avec les plats du jour 
                déclinés pour le mois sous forme d'unpetit calendrier 
                à l'ancienne collée sur la fiche des plats habituels. 
                Simple, rétro et finalement terriblement 
                dans l'air du temps...  
                   
                Une 
                cantine de luxe La Tabkha, cantine libanaise, pouvait-on également 
                lire sur l’enseigne. Une drôle de cantine où les demi-pensionnaires 
                se bousculent pour prendre leur repas de midi et reviennent, le 
                lendemain, heureux de cette nouvelle habitude. Une cantine libanaise, 
                il est vrai, mais avec, toutefois, des airs européens qui lui 
                donnent un caractère à la fois nouveau et jeune: la déco simple, 
                plus proche des bistros français, semble faire l’unanimité. Le 
                bar au centre, les tables collées les unes aux autres créent une 
                intimité obligatoire mais finalement bienvenue. De même que les 
                photos en noir et blanc accrochées au mur, les drôles de WC – 
                ne ratez pas les plafonds –, et enfin l’espace cuisine transparent, 
                ouvert sur le restaurant et éclairé par une lampe empruntée aux 
                salles d’opérations. N’y voyez pas un côté morbide mais plutôt 
                une teinte d’humour appréciée par tous les habitués. Cantine libanaise, 
                il en fallait dans notre carnet d’adresses… Après Le Chef, nostalgique, 
                il est vrai, mais qui a pris quelques rides, sans perdre de son 
                charme, il manquait à l’appel un lieu plus actuel qui offre des 
                plats du jour purement libanais, deux par jour, un bar d’entrées 
                végétariennes, le tout dans un budget qui reste raisonnable. De 
                la mouloukhieh à la moujadara, en passant par la moussakaa d’aubergines 
                et la soupe aux lentilles, toutes les recettes figurent au menu 
                de la semaine. De quoi réconcilier les adeptes des «nouvelles 
                cuisines» avec celle de grand-mère. L’intérêt de La Tabkha réside 
                dans cette formule, simple, des plats préparés «comme à la maison», 
                à consommer sur place ou chez soi, et dans une ambiance très conviviale. 
                Fréquenté au début par des curieux, rapidement suivis par les 
                plus mondains – qui sonnaient un peu faux dans ce menu pas vraiment 
                light – le restaurant est aujourd’hui adopté par des habitués, 
                certains y venant tous les jours. Libanais, étrangers, – Philippe 
                Starck y a même été aperçu, au cours de son dernier passage au 
                Liban – intellectuels ou jeunes hommes d’affaires s’y retrouvent, 
                sans craindre d’avoir parfois à attendre leur tour pour avoir 
                une table. Le charme réside aussi dans les petits détails «autour», 
                un logo que l’on retient, un menu calendrier charmant à accrocher 
                dans sa cuisine et une livraison à domicile efficace, le plaisir 
                du lieu en moins. La cantine, peut-on lire enfin sur ces menus 
                mensuels à emporter, vous reçoit du lundi au samedi, de midi à 
                17 h. Car le soir venu, les noctambules désertent leur « réfectoire 
                » préféré pour d’autres atmosphères, en attendant La Tabkha du 
                lendemain.  
                 
                Carla HENOUD  
                pour l'Orient-Le Jour 
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                   Hotels 
                  ou mode d'hébergement bon marché à Beyrouth 
                  et au Liban 
                   
                  A 
                  Zouk-Mosbeh / Adonis 
                    
                  
                  La Co-Location à Beyrouth? 
                Destination 
                  Liban, 
                   
                  pas encore de site internet mais un très bon reportage 
                  explicite dans Magazine de Mars 2003 pour cette structure animée 
                  par une équipe Franco-Libanaise déjà bien 
                  expérimentée, dont l'objectif est de vous fournir 
                  un hébergement de qualité et à la carte 
                  à Beyrouth, à prix très raisonnables, essentiellement 
                  dans le quartier d'Acharafieh.N'hésitez pas à 
                  vous renseigner par email 
                  en cliquant sur le lien ou à téléphoner 
                  à Lucien au 961-3- 497762 
                   
                   
                
                   
                     
                       
                        Hotels-Pension  
                           
                          Beyrouth 
                          Pension 
                          Al-Nazih, 
                          au coeur de Beyrouth, à deux pas de la Gare Charles 
                          Hélou, quelle belle trouvaille que cette demeure 
                          au style franco-colonial ou les chambres doubles les 
                          plus chères vous reviendront à 20000 LL 
                          soit environ 13$ pour un confort tout à fait 
                          acceptable; s'il fallait une adresse familiale et beyrouthine 
                          pour prouver qu'il n'y a pas ici que des hôtels 
                          de luxe, c' est celle-ci qu'il faut recommander; sans 
                          doute, l'exception qui confirme la règle ! 
                           
                        Hotel 
                          Napoli , loger 
                          à prix raisonnable pour moins de 30 $, offrir 
                          un confort à l'européenne, dans une ambiance 
                          familiale et au coeur du Centre-Ville dans la Rue Hamra; 
                          voilà un peu comme une de quadrature du cercle 
                          réussie par cet établissement portant 
                          le nom d'une ville qui lui ressemble sans doute un peu-beaucoup... 
                          tel 01 747333; fax: 01 355030. 
                           
                          Tripoli 
                          Pension 
                          Haddad, 
                          pour les petits budgets, si vous devez passer un moment 
                          à Tripoli/Trablous; un accueil chaleureux et 
                          familiale typique de Georgette qui vous rappellera que 
                          la simplicité n'a pas de prix,surtout au Liban!... 
                          Une adresse à rapprocher de la Pension Al Nazih 
                          de Beyrouth. 
                        Tyr 
                          
                        Notre 
                          page spéciale «Al-Fanar», 
                           
                          une charmante auberge face 
                          à la mer, contacts:  
                          alfanar@ville-tyr.com 
                          ou aux numéros de tel.suivants : 07/741111 – 
                          03/665016. 
                       
                     | 
                   
                 
                  
                  Restaurant 
                  à Beyrouth  
                  " Le Chef " 
                   
                  Au coeur de Gemmayzé, de la rue Gouraud 
                  et de son architecture associant subtilement les influences 
                  françaises et ottomanes du 
                  début du siècle, 
                  voilà une 
                  adresse incontournable et quasi-immuable depuis 1967 pour de 
                  nombreux habitués, libanais ou étrangers établis 
                  à Beyrouth depuis longtemps.Vous serez enchanté 
                  par l'accueil et le service de Charbel qui assure la continuité 
                  de cet établissement familial avec la même ferveur 
                  historique que celle de son oncle.Vous pourrez y manger le midi 
                  des plats familiaux qu'on trouve rarement en restauration à 
                  des prix plus que raisonnables, en moyenne entre 3 et 5 $... 
                  On vous recommande particulièrement ceux à base 
                  de riz libanais comme la fassoulia, aimablement appelé 
                  sur la carte "cassoulet oriental" ou encore la moloughié 
                  à base d'une herbe ressemblant un peu aux épinards 
                  et dont les amateurs d'ail raffoleront. 
                  Restaurant 
                  Le Chef  
                  Acharafieh - Gemmayzé - Rue Gouraud 
                  A deux pas des escaliers Saint Nicolas 
                  Tel 01 445373 et 01 446769 
                   
                  Voir Article de L'Orient le Jour 
                  en bas de page 
                     
                   
                    
                  
                  
                  Les Auberges de Jeunesse au Liban  
                   
                  Ecoclub 
                  aux Cèdres. Téléphone : 06-678488; 
                  03-832060.  
                   
                  Longue Vie-Mont Joli à Bhersaf (Metn). Téléphone : 04-982571; 
                  04-981986.  
                   
                  L’Association pour le développement 
                  et la conservation des forêts (AFDC) à Ramlié (Aley). 
                  Téléphone : 05-280430; 01-983917.  
                   
                  Rédempteur à Dhour Zahlé (Békaa). Téléphone : 08-545200. 
                  La maison du prêtre à Maad (Jbeil). Téléphone : 09-750370. 
                   
                  L’orphelinat de Saïda. Téléphone : 07-753182; 07-753181. 
                   
                  Zefta à Nabatié (Liban-Sud). Téléphone : 07-505950.  
                  Camp de la Young Men Christian Association à Ras el-Metn. 
                  Téléphone : 01-486331; 01-468099. 
                  
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                  moins chers pour le Liban et tout le Moyen-Orient 
                   
                    
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                  Convivialité et prix abordables ont 
                  fidélisé la clientèle du «Crillon», majoritairement libanaise 
                   
                  
                  Pierre 
                  Achkar, maire de Broummana et Président du Syndicat National 
                  des Hôteliers du Liban 
                " Broummana a certes un 
                  grand nom, mais c’est une petite municipalité qui ne peut rien 
                  faire sans ses voisins, conclut Pierre Achkar. C’est pourquoi 
                  tous les villages de la région doivent travailler de concert, 
                  tout en préservant leur cachet propre, pour redynamiser le secteur 
                  touristique et attirer la clientèle libanaise, dans un premier 
                  temps."  
                  « Car c’est le Libanais qui fait la pluie et le beau temps. 
                  Et ce n’est que le Libanais qui attirera le touriste étranger 
                  dans cette région du Metn »... 
                  Suite au boom qu’ont connu, cet été, les régions de Hammana, 
                  Aley et Bhamdoun, mais aussi la région du centre-ville, il est 
                  devenu impératif de revoir les plans touristiques du Metn. La 
                  relance et le développement des anciens pôles d’attraction touristique 
                  ont drainé un mouvement de masse tel, qu’il s’est répercuté 
                  sur le volume de fréquentation d’un certain nombre de stations 
                  touristiques du Metn dont Broummana. En fait, note Pierre Achkar, 
                  « si le nombre de touristes étrangers au Liban a nettement augmenté 
                  cette année, les vacanciers s’éparpillent et ne se concentrent 
                  plus dans une seule région ». Cependant, précise le président 
                  du syndicat des hôteliers, « la situation à Broummana relève 
                  plus d’un statu quo que d’un recul, d’autant plus que nous assistons 
                  à une certaine stabilité depuis trois ans. Ainsi, les deux mois 
                  de juillet et d’août ont été relativement bons pour les hôteliers 
                  de la localité, notamment les hôtels de luxe qui avouent dans 
                  l’ensemble un taux d’occupation de 85 % ». Mais, constate-t-il, 
                  citant à titre d’exemple l’hôtel Printania dont il est le propriétaire, 
                  « durant la période allant de mai à novembre, le taux de remplissage 
                  a été inférieur à la moyenne des années précédentes ». Et M. 
                  Achkar de préciser que ce taux, pour ce qui est de son hôtel, 
                  a augmenté de 3% cet été, mais a diminué de 10% au cours de 
                  l’hiver passé. « Notre saison dure effectivement deux mois et 
                  nous ne pouvons survivre en travaillant uniquement deux mois 
                  par an, observe-t-il. C’est la raison pour laquelle nous envisageons 
                  de faire de cette station estivale une destination annuelle 
                  à l’intention tant des étrangers que des Libanais. »  
                  
                  
                Complexe 
                  de grand luxe accueillant les riches touristes du Golfe, le 
                  Grand Hills Village entend aussi devenir un pôle d’activités 
                  culturelles et sportives à l’intention des Libanais. * * *  
                 
                  Extraits du dossier d'Anne-Marie El-Hage 
                    
                   
                  édition du 16 Septembre 
                  2002  
               
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                  Bon à Savoir... 
                   
                      
                   
                Le Liban a reçu plus d'un million 
                  de touristes en 2003 essentiellement concentrés entre 
                  Juillet et Octobre. 
                  Outre les Européens et Visiteurs des pays du Golfe, les 
                  Libanais de l'étranger constituent la cible principale 
                  des non-résidents concernée par les Achats détaxables. 
                  On estime à 10,7 millions les Libanais d'Amérique- 
                  surtout Brésil, USA et Canada- à un peu plus de 
                  400000 les Libanais résidant dans l'Union Européenne 
                  dont environ la moitié en France. 
                  Plus de 1,2 millions de Libanais résident en Afrique, 
                  400000 dans les pays Arabes du Golfe et pas moins de 300 000 
                  en Australie. 
                  Par la proximité géographique ou des relations 
                  familiales encore étroites, les Libanais d'Europe, du 
                  Golfe, d'Afrique et du Canada constituent la masse de Libanais 
                  se rendant au Liban le plus fréquemment, souvent plusieurs 
                  fois dans l'année. 
                  Cette population mobile bénéficie en outre d'un 
                  pouvoir d'achat largement supérieur au pouvoir d'achat 
                  local; on voit donc bien tout l'enjeu et l'intérêt 
                  de réussir ce service de détaxe pour le Liban 
                  et les commerçants libanais! 
                JM Druart - Libanvision 
                  
                  Au Liban, vous pouvez récupérer la TVA sur vos 
                  Achats !  
                   
                    
                   
                   
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                  La TVA au Liban  
                  depuis le 1er Février 
                  2002 
                   
                   
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                Reportage sur le Tourisme et l'Estivage 
                  à Broummana dans le Metn-Mont-Liban 
                La clientèle d’avant-guerre de retour 
                   
                   
                  La saison d’été a été plutôt surprenante pour 
                  l’hôtel Le Crillon, qui surplombe la vallée est de Broummana. 
                  Et pour cause, la clientèle libanaise ou étrangère, qui avait 
                  déserté la région ces dernières années, s’y est de nouveau manifestée. 
                  Beyrouthins, Libanais de l’étranger ou tout bonnement de régions 
                  éloignées du pays sont revenus goûter au calme et à la fraîcheur 
                  du climat dans cet hôtel familial de Broummana, classé trois 
                  étoiles A, loin du brouhaha et de l’ambiance folle des cafés-trottoirs. 
                  « Durant la pleine saison, les Libanais ont représenté 60 % 
                  de notre clientèle, logeant à l’hôtel pour des périodes allant 
                  d’un mois et demi à trois mois », constate Joseph Chammas, propriétaire 
                  et gérant du Crillon. « Par ailleurs, ajoute-t-il, les vacanciers 
                  aisés d’Égypte, de Syrie, de Jordanie et même d’Irak, qui constituaient 
                  une importante partie de notre clientèle d’avant-guerre, ont 
                  refait leur apparition, après de nombreuses années d’absence, 
                  pour une ou deux semaines de vacances. » S’ils ont choisi Broummana, 
                  selon les dires de l’hôtelier, c’est pour le dépaysement et 
                  l’ambiance que la localité leur procure. Mais ils ont aussi 
                  été attirés par les prix abordables de l’hôtel (70 dollars la 
                  chambre double en demi-pension), par les facilités gratuites 
                  qu’il offre (piscine, club sportif et accès à Internet) et par 
                  la convivialité du lieu. Des atouts qui en fidélisent plus d’un. 
                  « Certes, la saison d’été a été relativement bonne », remarque 
                  M. Chammas, déclarant un taux d’occupation de 50 % en juillet 
                  et de 70 % en août, pour une capacité d’accueil de 150 personnes. 
                  « Mais, poursuit-il, elle n’est en rien comparable aux années 
                  92 à 94, période révolue, où nous affichions complet toute l’année. 
                  À présent, pour survivre durant l’hiver, nous devons nous résoudre 
                  à écraser nos prix afin d’accueillir conférences et séminaires. 
                  » Tout en déplorant que la saison d’été soit devenue si courte, 
                  partout dans le monde, à cause de la rentrée scolaire qui s’effectue 
                  très tôt, l’hôtelier insiste sur la nécessité pour Broummana, 
                  qui traverse une phase transitoire, d’offrir attractions et 
                  loisirs autres que la restauration, à l’intention des familles. 
                  Car investir dans les loisirs et redonner au village un cachet 
                  pittoresque sont la condition sine qua non de la survie de la 
                  région.  
                  -----  
                   
                  Un nouveau complexe à Broummana pour 
                  la riche clientèle du Golfe 
                   
                  À l’intersection des deux rues 
                  est et ouest de Broummana, le Grand Hills 
                  Village exhibe majestueusement sa pierre couleur ocre, 
                  sur un terrain de 35000 mètres carrés et une superficie globale 
                  de 150000 mètres carrés. Propriété du Groupe Moawad, ce complexe 
                  hôtelier de grand luxe qui est aussi un établissement thermal 
                  spécialisé dans les soins corporels (SPA), a coûté la coquette 
                  somme de 480 millions de dollars. Un investissement de taille 
                  pour la petite station qu’est Broummana. « Mais nous sommes 
                  confiants et pensons rapidement amortir les investissements 
                  », observe Pierre Abou Roujeily, directeur marketing du complexe, 
                  qui déclare un taux d’occupation de 80 % pour les mois de juillet 
                  et d’août, alors que les travaux d’aménagement touchent à leur 
                  fin. En effet, le Grand Hills Village accueille déjà une clientèle 
                  riche venue principalement du Golfe et des pays arabes voisins. 
                  « Une clientèle touristique, familiale et d’affaires de grand 
                  standing qui recherche le calme et la discrétion », observe 
                  M. Abou Roujeily. Quant aux prix en vigueur dans l’établissement, 
                  ils tournent autour d’une moyenne de 270 dollars par jour et 
                  par personne, hors taxes, pour une chambre d’hôtel et de 1000 
                  dollars par jour en appartement. Une particularité du Grand 
                  Hills Village, la suite royale, destinée à accueillir 
                  les visiteurs étrangers de marque, qui a plutôt l’allure d’un 
                  domaine, avec son immeuble de sept étages, ses dépendances, 
                  ses jardins, ses piscines, ses salles de sport et même son entrée 
                  indépendante. Certes, le luxe est présent partout, tant dans 
                  les salons, les restaurants, la salle de spectacle, le Spa et 
                  les boutiques de luxe, qu’au niveau du service. Mais ce luxe 
                  n’est pas uniquement réservé aux touristes étrangers, car, insiste 
                  le directeur marketing, « nous entendons encourager la clientèle 
                  libanaise à profiter de nos commodités, installations sportives, 
                  établissements de soins corporels, qui affichent des tarifs 
                  très étudiés, à la portée de tous. De même, poursuit-il, durant 
                  la saison morte, nous envisageons d’organiser des concerts de 
                  musique et diverses activités culturelles destinées à la clientèle 
                  locale ». Nettement plus cher que les hôtels des environs, le 
                  Grand Hills Village se défend d’avoir 
                  accaparé la clientèle de la région. « Notre clientèle est venue 
                  chez nous au lieu d’aller à Paris, en Suisse ou aux États-Unis 
                  », remarque Pierre Abou Roujeily, qui espère toutefois que ce 
                  projet donnera un coup de fouet à la petite localité.  
                   
                  
                  La Saison estivale au Liban 
                  Interview 
                  de Ralph Nader,  
                  directeur de la société Synergy-Hospitality 
                  qui exploite plusieyrs établissements de loisirs entre 
                  les plages comme Océana et BambooBay & des restaurants 
                  du Centre-Ville de Beyrouth 
                  avec 
                  1stlebanon.net 
                  
                  " Le Ehden Country Club " 
                  Des promotions fréquentes 
                  pour périodes de fêtes ou vos Week-end au Liban 
                  et la montagne libanaise... 
                  
                 
                   
                   
                   
                   
               
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        Clientèle 
        variée, prix abordables et cadre kitsch  
        « Le Chef », un bistrot incontournable à Gemmayzé  
          
        François 
          Bassil, le chef, a transformé il y a 35 ans une épicerie de Gemmayzé 
          en bistrot libanais. (Photo Michel Sayegh)  
        Respirer 
          Beyrouth. Retrouver la vieille ville, les endroits que le temps qui 
          passe n’enlaidit pas. Il y a, par exemple, les façades mandalouns aux 
          couleurs délavées, les escaliers de pierre qui relient des quartiers 
          à d’autres, à Sioufi ou à Gemmayzé, les cages d’ascenseurs en fer forgé... 
          Il y a aussi Le Chef. Un bistrot libanais qui avait ouvert ses portes 
          le 1er mai 1967, à Gemmayzé. L’endroit tenu par la famille Bassil, originaire 
          du Kesrouan, n’a pas changé depuis. Une porte d’entrée minuscule, une 
          vitrine couverte de vieux rideaux verts quasi transparents, une cuisine 
          presque entièrement ouverte sur la salle... qui peut recevoir au maximum 
          vingt-deux clients. Le décor du bistrot n’a jamais été modifié, les 
          objets qui meublent l’endroit ont rarement été remplacés. Depuis plus 
          de trente-cinq ans, une fresque qui reproduit des scènes de la pampa 
          mexicaine couvre l’un des murs du restaurant populaire. Elle avait été 
          dessinée par un certain Joseph Chamoun, qui était établi à Furn el-Chebback, 
          et qui avait laissé en 1967 son numéro de téléphone au-dessous de sa 
          signature. Le même Chamoun avait aussi peint deux tableaux de style 
          japonais, l’un reproduisant un cygne aux plumes folles, l’autre une 
          barque amarrée dans un lac, devant une maison en bois. Il y a trente-cinq 
          ans, la fresque avait coûté 650 livres, les tableaux 35 livres l’un. 
          Actuellement, ces œuvres ne sont pas recherchées par les amateurs d’art, 
          mais elle donnent à l’endroit un style bien particulier... kitchissime. 
          Des étagères en bois marron, où trônent des bouteilles d’alcool et de 
          boissons gazeuses de toutes les formes et les dimensions, des assiettes 
          blanches et des verres couvrent un autre mur. Il y a également le comptoir, 
          toujours encombré de menus écrits à la main, de serviettes en papier, 
          de couverts, de fruits... et d’une immense balance d’épicier en Inox. 
          Le Chef a aussi ses employés en blouse blanche, souriants, gentils, 
          polis, qui ponctuent calmement votre commande par des « Sahtein » et 
          des «Tékram aynak » et qui se tournent, l’espace de quelques secondes 
          vers la cuisine, en criant le nom des mets que vous avez commandés. 
          Car ici, pour servir rapidement la clientèle, on ne prend pas de commandes 
          écrites. Tout se passe par le biais de quelques mots lancés à haute 
          voix de la salle en direction de la cuisine. Et ce n’est pas tout. Il 
          faut compter les plats du Chef, les véritables grands et petits plats 
          libanais ou européens libanisés... qui ont si bien le goût de ce qu’on 
          mange à la maison... Samket harra, kebbé ou kafta bissaynieh, moughrabieh, 
          kebbé arnabieh, kebbé labanieh, mloukhié, cheikh el-mehchi, adas behamoud 
          et toutes sortes de ragoûts et de plats à l’huile. 
           
          Compter 10 000 livres pour un repas copieux 
           
          Le plat le plus abordable est vendu à 1 000 livres, 
          le plus cher atteint les 6 000 livres... Pour un repas copieux, constitué 
          d’une soupe ou d’une salade, d’un plat principal, d’un dessert, d’une 
          boisson et d’un café, il faut compter un maximum de 10 000 livres libanaises. 
          Le service, les petites assiettes de crudités, les olives et le pain 
          sont gratuits. Depuis trente-cinq ans, c’est toujours le même homme, 
          chef cuisinier et propriétaire, qui opère derrière les fourneaux. Et 
          pourtant, François Bassil, âgé d’un peu moins de soixante-dix ans, n’avait 
          jamais imaginé – il y a trente-cinq ans – qu’il passerait la moitié 
          de sa vie, six jours sur sept, de 5h 45 du matin à 18h 30 du soir, dans 
          ce petit restaurant de Gemmayzé. Bassil, qui a commencé à travailler 
          à l’âge de douze ans dans un restaurant tenu par son oncle à Kantari, 
          a appris le métier sur le tas. Il était doué et se souvient fièrement 
          de ses années de jeunesse, quand il avait travaillé tour à tour chez 
          Saad, l’un des restaurants les plus réputés de Beyrouth des années cinquante, 
          au restaurant du Regent Hotel, non loin du cinéma Rivoli, et celui du 
          Palace Hotel à Dhour Choueir, et encore au Bristol. Il s’était rendu 
          ensuite à Bagdad et en Arabie saoudite pour revenir au Liban, au début 
          des années soixante, tenir la cuisine du Riviera Beach, à Khaldé. En 
          mai 1967, quand il a ouvert Le Chef, François Bassil était chef cuisinier 
          au night-club Yellow Submarine, à Khaldé. Il était payé 700 livres par 
          mois. Le local de Gemmayzé était, à l’origine, une épicerie et François 
          avait décidé de monter une petite entreprise familiale afin d’aider 
          ses frères qui avaient, eux aussi, acquis une formation de cuisinier 
          mais qui ne gagnaient pas leur vie aussi bien que lui. Un mois plus 
          tard, le 5 juin 1967, le monde arabe vit la guerre avec Israël et le 
          couvre-feu est observé à Beyrouth. Le Yellow Submarine ferme provisoirement 
          ses portes, et François vient travailler avec ses deux frères à Gemmayzé. 
          Il se souvient qu’à cette époque, le plat de foul coûtait 35 piastres, 
          le hommos était à 50 piastres et le plat de mloukhié à 2 livres. Le 
          Chef s’est vite fait une clientèle, constituée principalement d’employés 
          et d’étudiants. « Les serveurs sortaient dans la rue en portant des 
          plateaux à livrer aux bureaux de la capitale et aussi à Ahwet el-Ezez 
          (qui a fermé ses portes il y a un peu plus de deux ans) », se rappelle 
          Bassil, ajoutant, en souriant, que son service à domicile existe depuis 
          1967. « Je n’employais pas trois motards, comme c’est le cas actuellement, 
          mais des livreurs qui se déplaçaient à pied », dit-il. Durant la guerre, 
          le bistrot qui était situé à proximité de la ligne de démarcation, a 
          fermé ses portes en raison de l’intensité des combats. « Mais j’avais 
          de la chance. Dès que je rouvrais, le restaurant était bondé », note-il. 
          « J’accueillais à cette époque beaucoup de miliciens qui venaient avec 
          leurs armes et qui payaient rubis sur l’ongle », raconte-t-il. L’ancienne 
          clientèle, faite d’employés et d’étudiants, est elle aussi restée fidèle 
          durant la guerre.  
          Une nouvelle clientèle constituée d’Européens 
           
          Depuis la deuxième moitié des années quatre-vingt-dix, 
          de nouveaux venus poussent quotidiennement la porte du bistrot : des 
          étrangers, européens et américains, établis au Liban. « Certains soldats 
          de la Finul, stationnés du Liban-Sud, viennent manger chez moi », indique 
          Bassil. D’ailleurs, pour répondre aux besoins de cette clientèle, Le 
          Chef présente actuellement des menus en langue française. Et sur sa 
          vitrine, des affiches qui vantent les événements culturels qui se tiennent 
          en ville – et que l’on n’aurait jamais vues durant les années soixante-dix 
          et quatre-vingt – y sont collées. François Bassil est fier de la diversité 
          de la clientèle dans son petit bistrot : ministres, députés, hommes 
          d’affaires, employés, ouvriers, soldats, étudiants, Libanais et étrangers... 
          Tous viennent, de temps à autre, se restaurer à Gemmayzé. Bassil rapporte 
          également que son bistrot est passé à la télé, dans les émissions spéciales 
          de TV5, au cours du Sommet francophone d’octobre dernier. « Ils ne m’avaient 
          pas interviewé, mais ils avaient filmé l’endroit », raconte-t-il. «C’est 
          probablement parce que Le Chef sert de bons plats », ajoute-t-il. Il 
          n’a sûrement pas remarqué, lui qui passe toutes ses journées dans ce 
          restaurant depuis plus de trente-cinq ans, que l’endroit a gagné beaucoup 
          de charme en vieillissant. Pourquoi avait-il baptisé son bistrot Le 
          Chef ? « Durant les années soixante, il y avait à Hamra deux restaurants, 
          Big Chef et Small Chef. J’ai voulu faire plus simple », relève Bassil 
          qui a misé surtout sur la simplicité et la propreté. Et puis, il aime 
          son métier, sa cuisine et sa clientèle. François Bassil raconte des 
          anecdotes, vécues avec les personnes qui fréquentent régulièrement son 
          établissement ou qui se font livrer des plats à domicile. Celui qui 
          est parti sans payer, celui qui a brisé la cuisse d’une dinde à Noël 
          pour la reconnaître une fois sortie du four, et celle qui se vante devant 
          ses amis qu’elle a commandé son exquis repas chez un grand traiteur 
          de Beyrouth… Il se souvient aussi de la naissance de certains de ses 
          clients, âgés de moins de trente-cinq ans. Leurs parents, habitués du 
          Chef, avaient passé la commande de moughli au bistrot de Gemmayzé… Qu’est-ce 
          qui a changé en trente-cinq ans ? Quasiment rien. Au fait, si : quelques 
          frigos ont été remplacés, deux climatiseurs installés, les chaises et 
          les tables restaurées, plusieurs plats du jour (au lieu d’un) sont proposés. 
          Et c’est toujours la famille Bassil qui tient le bistrot. Elle s’est 
          agrandie. La nièce de François tient la caisse, son fils Charbel est 
          responsable de la salle... François, lui, opère toujours à la cuisine. 
          Les jeudis, il prépare pour lui et ses clients son plat préféré : une 
          mloukhié...  
        Article 
          de Patricia Khoder 
            
           
          édition du 8 Février 2003 
           
           
          
          La Détaxe pour les Touristes au Liban 
         + =  
           
          Tax Refund Services now available in Beirut 
          International Airport 
          Bureau de Remboursement de la TVA à 
          l'Aéroport International de Beyrouth 
           
          ---- Taxe sur la Valeur Ajoutée Détaxe aux Touristes ---- 
           
          RENSEIGNEMENTS AUX TOURISTES 
           
          Depuis le 1/2/2002, les touristes peuvent bénéficier d'une détaxe sur 
          les biens achetés au Liban pendant leur séjour et transportés avec eux 
          à l'étranger. Pendant le Festival des Soldes et en attendant que la 
          gestion de la détaxe aux touristes soit déléguée à une société privée, 
          les autorités douanières libanaises sont en charge du traitement des 
          demandes de remboursement.  
          Qui peut bénéficier de la détaxe aux touristes 
          ?  
          Toute personne de nationalité étrangère ou libanaise résidant à l'étranger 
          et dont la durée de séjour au Liban n'excède pas 3 mois consécutifs 
          peut bénéficier d'une détaxe.  
          Quels sont les achats qui n'ouvrent pas droit 
          à une détaxe ?  
          *Les services de tout genre (hôtels, télécommunications, location de 
          voiture, tours organisés...).  
          *L'alimentation (restaurants, cafés, super marchés...).  
          *L'essence et le tabac.  
          Quelles sont les conditions requises pour bénéficier 
          d'une détaxe? 
          *Les biens achetés doivent être transportés hors du territoire libanais 
          dans les bagages personnels du touriste.  
          *Les biens doivent avoir été achetés auprès de commerçants soumis à 
          la TVA. *Le montant de chaque facture, par magasin, doit s'élever à 
          150.000 livres libanaises par jour au minimum.  
          *Les biens achetés doivent être transportés hors du territoire libanais 
          dans un délai de 3 mois à compter de la date d'achat c'est-à-dire de 
          la date de facturation. Le transport des biens hors du Liban ne doit 
          pas nécessairement avoir lieu lors de la 1ère sortie du touriste du 
          territoire libanais tant qu'elle a lieu dans le délai du séjour au Liban 
          mentionné ci-dessus.  
          *Les biens achetés ne doivent pas être utilisés au Liban (sauf pour 
          les voitures).  
          Quelle est la procédure à suivre pour bénéficier 
          de la détaxe?  
          *Le touriste doit exiger du commerçant une facture indiquant son numéro 
          d'enregistrement à la TVA, son nom et son adresse, le nom et l'adresse 
          du touriste, la description des achats, leur montant et le montant de 
          la TVA payée. *Le touriste doit se procurer un formulaire de détaxe 
          auprès du commerçant enregistré à la TVA (ou à l'aéroport à la sortie 
          du territoire) et doit le remplir. *Au point de sortie du Liban, le 
          touriste doit présenter aux autorités douanières les biens à détaxer, 
          le formulaire de détaxe dûment rempli, ainsi que les factures y afférentes. 
          Il est important de préciser que les autorités garderont l'original 
          des factures; le touriste désirant garder une copie devra les faire 
          photocopier à l'avance ou en demander une copie au commerçant.  
          *Les autorités douanières inspectent les biens à détaxer afin de s'assurer 
          de leur conformité aux factures et tamponnent le formulaire de détaxe 
          et les factures à cet effet.  
          A quelle date la demande de remboursement est-elle 
          acceptée ou refusée ? L'entité qui sera en charge de la gestion 
          de la détaxe aux touristes traitera les demandes de remboursement. Dans 
          le cas où les conditions sont satisfaites, la TVA est remboursée au 
          moyen d'un chèque bancaire ou d'un virement sur carte bancaire après 
          déduction de la commission de la société. Dans le cas où la demande 
          de remboursement est refusée, le touriste en est informé ainsi que des 
          motifs de ce refus.  
          ----- 
          Pour plus d'informations: Direction de la TVA Ministère des Finances, 
          Corniche Al Nahr, Palais de Justice, Beyrouth 
          Téléphone: 01-398 234  
          E-mail: vat@finance.gov.lb Site Internet: 
          www.finance.gov.lb  
            
         
           
         
          
          
          
          
          
            
           
           
         
           
           
           
        Copyright 
          LibanVision 2003-2007  
       
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