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               L'Emploi 
                et la formation au Liban  
                   
                 
             | 
           
         
          
        Go Forward Edition 2005
          
        
        
        Visitez 
        le site du Centre d'Orientation et de Documentation
         
        
        
           
             
               
                FORWARD 2004 
                    
                  FORUM d'ORIENTATION & DE RECRUTEMENT 
                  Du 17 au 21 mars 2004 De 9h à 14h et de 
                  16h à 21h  
                  A Biel Solidère, Centre Ville sur plus de 4000 m2  
                  -----  
                  >>> Il faut le savoir: 
                   
                  L'Ecole 
                  Internationale de Montpellier (groupe ESC de Montpellier) va 
                  ouvrir son recrutement au liban grâce à un partenariat 
                  avec le Club Unesco de Beyrouth  
                  Quelques 
                  détails? 
                  
                  L' Emploi et la formation professionnelle sont suffisamment 
                  cruciaux au Liban pour que Libanvision.com leur consacre une 
                  rubrique à part entière. 
                  Ils sont même intégrés désormais 
                  dans certains programmes d'aide ou de coopération, tant 
                  il est vital de retenir les cerveaux locaux qui , comme on le 
                  sait, ne manquent pas! 
                  Nous attendons vos infos, remarques et suggestions afin d'enrichir 
                  cette rubrique et pourquoi pas, bientôt, des 
                  Offres d'Emplois partiellement ou entièrement 
                  Francophones? 
                
                   
                    |  
                       French 
                        is an asset ! 
                         
                        Si vous parcourez les petites annonces et les maigres 
                        offres d’emploi dans votre quotidien francophone, c’est 
                        qu’on vous a fait ça, à vous aussi, de vous donner une 
                        « éducation française ». Parce que même dans ces pages, 
                        dernier retranchement du français dans notre pays nostalgique, 
                        c’est en anglais qu’on vous propose du travail, avec tout 
                        de même cette mention sublime » : « french is an asset 
                        ». Le français est un atout ! Pardon de vous le dire en 
                        français, comme vous je me vautre dans ce leurre. La langue 
                        de Descartes, de Balzac, de Zola, celle de Hugo, de Huysmans, 
                        de Yourcenar, de Tournier, celle des mots pesés au trébuchet, 
                        qu’une lettre, qu’une voyelle dénature et dévoie, cette 
                        langue que nous avons en commun et que nous savourons 
                        désormais comme un plaisir interdit, on vous dit que c’est 
                        un « atout ». Un petit plus qui peut servir, comme d’avoir 
                        fait du ballet quand on travaille dans le vêtement, ou 
                        d’avoir un joli nez pour vendre des voitures. Et de fait, 
                        les petits riens de la vie quotidienne nous le rappellent 
                        douloureusement à chaque détour. Que votre distributeur 
                        habituel de billets vous remercie, au nom de sa banque, 
                        et noir sur le gris de l’écran « d’avoir utulisé (sic) 
                        notre DAB » n’entrave pas l’efficacité de la transaction. 
                        Vous pensez que c’est tout de même un coup de griffe dans 
                        la belle image que votre banque cherche à cultiver, à 
                        grand renfort de liftings, de logos pointus et d’un minimalisme 
                        recherché dont le message essentiel est justement de montrer 
                        qu’on y va droit à l’essentiel. Vous imaginez le courrier 
                        du directeur, son « utulisation » pathétique de modèles 
                        préenregistrés. D’ailleurs sa secrétaire, qui ne craint 
                        plus pour sa manucure depuis l’avènement de l’ordinateur, 
                        peut désormais y aller sans vergogne de son correcteur 
                        d’orthographe, et tant pis s’il transforme « Rochester 
                        » en « orchestre ». Pas besoin d’avoir fait des études 
                        pour ça. Vous songez que l’usage des chiffres ne dispense 
                        pas de celui, vital, de la langue. Vous avez tort. Ça 
                        marche quand même. Il fut un temps où une faute d’orthographe 
                        dans un billet doux était un puissant tue l’amour. C’était 
                        avant le « texto », chez nous « SMS ». Là, pas de place 
                        pour l’accord du participe passé ni pour le pluriel des 
                        verbes. Dans cet empire du langage phonétique, les mots, 
                        réduits à leurs occlusives ou à leurs labiales, vous rentrent 
                        droit dans le vibreur du portable, comme par transmission 
                        de pensée. Un « w » pour un « oi », le chiffre «1 » pour 
                        tous les « in, ain, ains, » et même les « un », le « 6 
                        » pour « si, ci » et même pour « 6né », ce soir. Mais 
                        surtout, surtout, ce « m », lettre fascinante qui porte 
                        en elle toutes les émotions, toutes les déclarations attendues, 
                        tout l’impossible, tout l’indicible, tout l’ineffable 
                        du sentiment amoureux. « M ». C’était bien la peine d’en 
                        faire des romans, des poèmes, des dépressions. Il suffit 
                        désormais d’appuyer sur la touche « 6 » et de voir venir. 
                        Les mots avaient des couleurs. Ils sont réduits à leur 
                        valeur. Sans coquetterie, mais aussi sans élégance, sans 
                        fioritures, mais aussi sans nuance, le paysage de la communication 
                        se fait de plus en plus congru. Si vous cherchez un emploi 
                        et qu’on ne vous le propose qu’en anglais, ne jetez pas 
                        pour autant votre langue au chat. Un jour reviendra où 
                        l’on sera lassé de ruminer la même bouillie verbale. Une 
                        envie de saveurs, de tripes à l’ancienne, se fera sentir. 
                        Ce sera l’appel universel du goût de l’enfance, la nostalgie 
                        d’une cuisine maternelle dont la langue en vain cherchera 
                        le parfum. Ce jour là, on ne vous dira plus « french is 
                        an asset ».On vous la demandera en français, cette lettre 
                        roborative qui enlèvera le contrat. Et si vous possédez 
                        comme tout le monde un anglais basique dans vos bagages, 
                        ce sera toujours un atout. Il n’est pas encore interdit 
                        de rêver.  
                         
                        billet d'humeur signé Fifi 
                        Aboudib dans l'Orient Le Jour du 29 Février 2004 
                     | 
                   
                 
                 
                    
                   
                  Annonce 
                  du 19 Décembre 2003 
                    
                   
                Berytech pôle technologique 
                  du Liban recherche un Directeur de la communication et du business 
                  developpement.  
                Fonctions : Organiser 
                  la communication et la promotion de Berytech et des entreprises 
                  implantées sur le pôle technologique. Et developpe le business 
                  de Berytech Communication Mettre en place et gérer toute la 
                  communication interne du pôle technologique (livret d’accueil, 
                  annuaires, documents internes). Assurer la communication externe 
                  du pôle (présentation, affichage, fléchage, messages, évolution 
                  des supports comme plaquettes, documents à destination du public 
                  ou des partenaires). Elaborer et organiser les campagnes de 
                  promotion de Berytech : déterminer les axes, les cibles, la 
                  stratégie, les outils et le calendrier, accompagner les intervenants, 
                  assurer la mise en place. Charger des relations avec les Medias. 
                  Elaborer et organiser les campagnes de promotions des entreprises 
                  implantées sur le pôle technologique selon la demande.  
                Business Development Assurer 
                  l’animation de Berytech : - organiser les séminaires, les salons, 
                  les congrès, les colloques, les conférences, les goûters technologiques 
                  - mettre en place des concours et des stimulations. Gérer toute 
                  la logistique inhérente aux différentes manifestations, aux 
                  déplacements et à l’accueil des intervenants étrangers et libanais. 
                  Développer des partenariats nouveaux et enrichir les partenariats 
                  existants. Assurer la mise en réseau de Berytech Promouvoir 
                  Berytech aupres des investisseurs libanais ou étrangers. Commercialiser 
                  l’hôtel d’entreprises. Veiller à la bonne circulation de l’information 
                  entre les différentes entreprises et les incubés installées 
                  sur le pôle (présentation, organisation de réunion).  
                Profil : Trilingue 
                  , avec un minimum de 5 ans d’experience professionelle Formation 
                  supérieure (école de commerce). Parfaite connaissance des mécanismes 
                  et outils de promotion. Expérience dans la communication interne 
                  et externe de grands groupes industriels. Expérience dans la 
                  création d’événements et l’animation. Sens commercial développé 
                  avec expérience probante à la clé. Dynamique, méthodique, grandes 
                  capacités de travail.  
                   
                  Envoyer votre curriculum vitae 
                   
                  info@berytech.org ou 
                  par Telecopie: 961 4 53 30 70  
               
             | 
           
         
        
        
           
             
               
                L’Institut de la Chambre de Commerce 
                d'Industrie et d'Agriculture de Beyrouth offre des formations 
                par alternance  
                 Depuis sept ans déjà, l’Institut 
                franco-libanais de formation par alternance, l'IFA,  offre 
                ses services dans le cadre de la Chambre de commerce et d’industrie 
                de Beyrouth, en partenariat avec la Chambre de Versailles. Sa 
                directrice, Daisy Baddoura, est en première ligne pour percevoir 
                les besoins des entreprises libanaises en matière de formation 
                et surtout la demande croissante de compétences spécifiques dans 
                des PME où les employés et les cadres cumulent plusieurs fonctions, 
                sans avoir forcément le bagage technique nécessaire. « Nous sommes 
                là pour combler ces lacunes », explique la directrice. Ou pour 
                réactualiser des connaissances et les adapter à l’évolution d’un 
                secteur. « On pense souvent que les Libanais sont de bons commerciaux, 
                mais aujourd’hui il ne suffit plus d’avoir des dons relationnels, 
                il faut apprendre les techniques de négociations et professionnaliser 
                les départements achats et ventes », commente de son côté Walid 
                Abou Khalil, conseiller en formation.  
                L’Institut de formation propose huit programmes différents et 
                des systèmes modulaires. L’étudiant choisit soit des séminaires 
                de courte durée, soit il suit des cours à temps partiel pendant 
                une année entière parallèlement à son travail. « Un an, c’est 
                le temps qu’il faut pour que l’étudiant assimile la matière et 
                que le formateur évalue ses compétences », explique Daisy Baddoura. 
                Le diplôme délivré par l’Institut est reconnu en Europe et ailleurs. 
                « Notre approche n’est pas uniquement théorique. Nos professeurs 
                sont des professionnels. » En période de crise économique, les 
                problèmes d’emploi se traduisent par une demande supplémentaire 
                de formation, note la directrice de l’Institut. 
                « Cette année, nous avons enregistré deux fois plus de candidatures 
                que l’année dernière. Face au risque de perdre leur emploi, 
                certaines personnes essaient de se différencier en acquérant une 
                compétence de plus, afin d’apporter une valeur ajoutée à l’entreprise. 
                » En fait, comme le Liban ne comporte pas de système national 
                d’encouragement de la formation professionnelle, comme en France 
                par exemple où chaque salarié a le droit à 20 heures par an de 
                formation professionnelle payée par l’entreprise, chacun doit 
                se débrouiller pour compléter sa formation. À charge pour l’employé 
                de convaincre son patron de partager ou d’assumer les frais, mais 
                ce dernier n’a aucune obligation en ce sens. « Quand une entreprise 
                paie la formation, c’est surtout un séminaire de courte durée 
                », précise Daisy Baddoura qui appelle de ses vœux un investissement 
                à plus long terme dans la formation de la part des entreprises. 
                Si l’État se mêlait aussi d’encourager la formation professionnelle, 
                ce sont des milliers d’heures d’enseignement qui pourraient être 
                dispensées tous les ans, contribuant au développement d’un secteur, 
                mais, surtout, permettant un saut qualitatif au sein des entreprises, 
                dit la directrice.  
                 
                  
                 
                avec Sybille Rizk 
             | 
           
         
           
          Sur le nouveau site du Bureau National pour 
          l'Emploi 
         
        
         
          Le 
          site de l'Office Ministèriel de la Réforme Administrative 
          , l'OMSAR 
           
           
          Retour sur le Salon de l'Orientation et du Recrutement  
          "Forward 2003"  
          
           
            L'entretien 
          exclusif accordé par Mr Michel Pipelier, Consul de France à 
          Beyrouth, à LibanVision, suite à la réunion annuelle 
          du Comité Consulaire pour l'Emploi. 
         
         
        
           
             
              Formation: L’enseignement 
                technique et professionnel à l’écoute du marché de l’emploi 
                Le campus libano-européen de Kafaat, 
                une expérience avant-gardiste d’école-entreprise 
                  
                 Le site du Campus Al Kafaat à Aïn-Saadé:  
                 un cadre enchanteur pour la formation professionnelle 
                sur les hauteurs de Beyrouth.  
                 --- 
                Assurer aux jeunes, plus particulièrement aux plus démunis d’entre 
                eux ainsi qu’à ceux qui souffrent d’un handicap physique, une 
                formation universitaire technique et professionnelle, tout en 
                étant branchés sur le marché de l’emploi : tel est l’objectif, 
                la raison d’être du Campus libano-européen de technologie relevant 
                de la fondation al-Kafaat. La construction, l’équipement et la 
                mise en fonction de ce Campus s’inscrivent dans le cadre d’un 
                projet ambitieux dont l’exécution se fait progressivement depuis 
                une douzaine d’années et qui s’étale sur une période de trente 
                ans. La première phase de la construction s’est achevée au début 
                de l’été et a fait l’objet, en juin dernier, d’une cérémonie d’inauguration 
                officielle formelle, en dépit du fait que le Campus était fonctionnel, 
                en partie, depuis 1993.  
                Le Campus est situé à Aïn-Saadé  
                 Il est édifié sur une superficie 
                de 60 000 mètres carrés. Il comprend, au stade actuel, neuf bâtiments 
                équipés. La collaboration de Kafaat avec les organismes de l’Union 
                européenne a débuté il y a une quinzaine d’années. Organisation 
                non gouvernementale de développement – reconnue d’utilité publique 
                – qui travaille dans le domaine de l’insertion socio-professionnelle 
                des jeunes, la fondation s’est fixé pour objectif de former les 
                jeunes des milieux défavorisés à des métiers nécessaires au marché 
                du travail et au développement de l’économie nationale. Quatre 
                pays européens – la France, la Grande-Bretagne, l’Espagne et la 
                Belgique – ont contribué à la réalisation du projet de Campus. 
                La portée de la contribution européenne à un tel projet a été 
                mise en évidence, lors de la cérémonie de juin dernier, par le 
                chef de la délégation de la Commission européenne au Liban, M. 
                Patrick Renauld, qui a souligné, fort à propos, que « si l’avenir 
                du Liban est dans le monde arabe, il l’est aussi, et c’est ce 
                qui fait son originalité, avec l’Europe ». M. Renauld avait relevé 
                sur ce plan que ce Campus libano-européen sera une occasion « 
                de développer les valeurs que nous avons en commun, de renforcer 
                l’intégration entre l’Union européenne et ses voisins » et dans 
                un tel processus, avait-il précisé, « la société civile a un rôle 
                important à jouer ».  
                Le concept d’école-entreprise 
                Le caractère avant-gardiste et original de ce projet réside dans 
                le fait qu’il est basé sur le concept d’« école-entreprise », 
                inspiré d’expériences semblables effectuées déjà dans certains 
                pays scandinaves ainsi qu’au Canada. L’étudiant suit une formation 
                universitaire ou professionnelle qui ne se limite pas uniquement 
                à l’aspect purement académique, mais qui englobe aussi, d’une 
                manière concomitante, des stages pratiques organisés dans le cadre 
                réel du marché du travail, en collaboration avec des entreprises 
                et des organismes professionnels. Le Campus comprend essentiellement 
                – au niveau de l’enseignement universitaire – un institut universitaire 
                d’éducation ainsi qu’un institut technologique. Ces deux instituts 
                accueillent des étudiants porteurs du baccalauréat libanais (deuxième 
                partie). La fondation Kafaat assure des bourses aux étudiants 
                les plus démunis (l’enseignement étant, au départ, semi-gratuit). 
                De par sa vocation sociale, visant à promouvoir l’insertion et 
                l’intégration au marché du travail, elle encadre en outre les 
                étudiants souffrant d’un handicap physique. L’institut technologique 
                couvre les spécialisations suivantes : les techniques de l’industrie 
                alimentaire et agroalimentaire ; le génie mécanique et de production 
                ; le génie civil ; la décoration d’intérieur ; le génie électronique 
                ; la programmation informatique ; la gestion d’entreprises. Quant 
                à l’institut d’éducation, il assure la formation pour les spécialisations 
                suivantes : l’éducation spécialisée pour les cas sociaux et les 
                jeunes souffrant d’un handicap ; l’éducation spécialisée pour 
                les personnes âgées et les personnes atteintes de maladies chroniques 
                ; l’éducation primaire et préscolaire ; l’art théâtral et cinématographique. 
                Ces études sont étalées sur une période de quatre ans et débouchent 
                sur l’obtention d’une licence. Pour ces différentes branches, 
                la Commission européenne et les pays européens qui collaborent 
                avec Kafaat ont octroyé non seulement un appui financier pour 
                la construction des bâtiments mais également une aide substantielle 
                pour l’équipement du Campus. Les pays européens ont mis, en outre, 
                leur savoir-faire à contribution pour la formation des pédagogues, 
                l’échange de professeurs et d’élèves stagiaires et l’élaboration 
                avec les enseignants libanais du programme d’enseignement.  
                La formation technique et professionnelle 
                Au stade actuel, le Campus compte déjà près de 1 800 étudiants 
                et étudiantes et plus de 310 éducateurs et éducatrices. Il bénéficie 
                d’un équipement technique de pointe et comporte, en sus des salles 
                de cours, des ateliers couvrant un large éventail de spécialisations, 
                un théâtre, une cuisine centrale, une bibliothèque et un centre 
                informatique. Parallèlement à l’enseignement universitaire susmentionné, 
                le Campus assure aussi une formation technique et professionnelle 
                en liaison directe avec le marché du travail et les besoins des 
                entreprises locales. Une coopération s’est notamment instaurée 
                sur ce plan avec le patronat, et plus particulièrement l’Association 
                des industriels. Un accord avait été conclu à cet effet en 1994 
                entre Kafaat et l’Association des industriels. Cette formation 
                professionnelle est de 9 mois environ. Accessible dès l’âge de 
                15 ans, elle s’effectue en collaboration avec le ministère du 
                Travail. Au plan des projets d’avenir, la seconde phase du projet 
                d’édification du Campus libano-européen de technologie a déjà 
                été lancée avec le début de la construction de deux nouveaux bâtiments 
                qui s’ajouteront ainsi aux neuf premiers déjà édifiés. L’un des 
                deux nouveaux bâtiments englobera un restaurant universitaire 
                – tenu par les étudiants en hôtellerie – ainsi que plusieurs magasins 
                qui permettront aux étudiants de se familiariser avec les impératifs 
                et les conditions de l’écoulement de biens de consommation sur 
                le marché. Le second bâtiment en cours de construction englobera 
                des ateliers divers ainsi qu’une école d’imprimerie et une école 
                de bijouterie et de joaillerie. L’école d’imprimerie, s’inscrivant 
                dans le cadre du concept d’école-entreprise, permettra, dès le 
                mois d’octobre 2005, de former des imprimeurs pour le monde arabe. 
                Les produits imprimés seront distribués sur les marchés arabe 
                et libanais. Les responsables de la fondation et du Campus libano-européen 
                soulignent que leur objectif est non seulement d’assurer une formation 
                et un enseignement en vue de l’acquisition d’un métier, mais également 
                de permettre aux étudiants d’acquérir des valeurs morales et humaines 
                et d’apprendre la vie en communauté pour mieux faire face au monde 
                du travail.  
                 
                >>> Visitez 
                le site web de la Fondation Al Kafaat reconnue d'utilité 
                publique dès 1957.  
                 
                  
                Septembre 2003  
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                4ème édition 
                  de Forward au BIEL du 18 au 21 Mars 2004... 
                  Retour sur 
                  Forward 2003 :  
                  troisième édition du Salon des métiers  
                  Forum d'orientation et de recrutement 
                  Organisé par l'Etudiant, le Centre d'Orientation et de documentation 
                  et Careers  
                  au BIEL  
                  de 9h00 à 14h00 et de 16h00 à 21h00  
                Pour sa troisième édition, le 
                  forum d’orientation et de recrutement – Go Forward – ouvrira 
                  ses portes du 20 au 23 mars aux entrepreneurs qui accueilleront 
                  les jeunes universitaires et chômeurs à la recherche d’un emploi. 
                  Pour cette année, les organisateurs promettent plus de 3 000 
                  offres d’emploi faites par des sociétés libanaises et multinationales. 
                  Véritable carrefour entre les entreprises, les universités, 
                  les centres de formation professionnels et les demandeurs de 
                  travail, ce Salon introduira cette année une nouveauté : les 
                  ateliers des métiers qui seront animés par des professionnels. 
                  « Un emploi à portée de main », ce slogan ne restera pas lettre 
                  morte, promettent les organisateurs qui travaillent d’arrache-pied 
                  pour réussir, une fois de plus, une rencontre inédite entre 
                  le monde professionnel et les jeunes. L’aventure a commencé 
                  avec un groupe d’universitaires, qui, au lendemain de la guerre, 
                  avait lancé une revue spécialisée, L’étudiant, pour permettre 
                  aux jeunes de s’exprimer. L’idée s’est développée avec la publication 
                  de guides spécialisés portant sur la vie universitaire, un projet 
                  qui a amené les responsables de ce média à entreprendre des 
                  voyages à l’étranger pour représenter le Liban dans des forums 
                  s’adressant aux jeunes. « Là nous avons découvert les structures 
                  mises en place pour aider l’étudiant à intégrer le monde professionnel 
                  et l’importance des moyens déployés pour assurer la transition 
                  entre l’université et l’entreprise », se souvient Tania Eid, 
                  directeur général du groupe l’Étudiant, qui chapeaute aujourd’hui 
                  Careers, une société de formation et de recrutement, et le COD 
                  (Centre d’orientation et de documentation), qui s’occupe d’orientation, 
                  comme son nom l’indique. 
                  Une fois par an, L’étudiant, Careers et le COD organisent un 
                  forum des métiers qui cherche à assurer ce que Mme Eid appelle 
                  la « transition » entre les étudiants et le marché de l’emploi 
                  par le biais de l’information et de la formation. Les universités 
                  libanaises et étrangères, les centres culturels, les ordres 
                  professionnels et les entreprises locales et régionales viennent 
                  chaque année à la rencontre des universitaires pour leur offrir 
                  les renseignements nécessaires et leur proposer les emplois 
                  disponibles. Les offres de travail ne s’adressent pas uniquement 
                  aux universitaires fraîchement diplômés, mais également aux 
                  ouvriers non qualifiés et aux personnes qui n’ont pas nécessairement 
                  reçu une formation académique. D’ailleurs, parmi les offres 
                  d’emploi déjà disponibles – dans le domaine du commerce, de 
                  l’assurance, de l’administration, du génie, du tourisme etc. 
                  –, plusieurs s’adressent à des ouvriers non qualifiés et à des 
                  personnes qui ont déjà une expérience professionnelle. Sur place, 
                  un espace de communication a été spécialement aménagé pour les 
                  entretiens, et les recrutements se feront sur le champ. 
                  Mobilisée pour l’occasion, l’équipe de Careers et du COD se 
                  mettra à la disposition des jeunes universitaires pour les conseiller 
                  sur leur choix d’avenir et leur prodiguer des conseils pratiques 
                  en leur apprenant notamment à établir un CV, à rédiger une lettre 
                  de motivation. Afin de mieux concrétiser l’approche, les responsables 
                  de Careers et de COD ont décidé cette année d’inviter des professionnels 
                  qui seront chargés de recréer le cadre du métier en effectuant 
                  des démonstrations dans les secteurs médical, de l’information, 
                  des télécommunications, de l’audiovisuel, etc. « Les universitaires 
                  expriment souvent de l’intérêt pour tel ou tel métier sans en 
                  connaître les rouages. Le Salon leur permettra de visualiser 
                  leur profession de choix en posant les bonnes questions. » Outre 
                  l’objectif pratique que vise ce forum des métiers, c’est toute 
                  une philosophie de l’emploi qu’entend véhiculer Careers lors 
                  de ce rendez-vous.  
                  Mme Eid explique qu’en définitive, le but ultime est pour le 
                  demandeur d’emploi de faire son choix « en connaissance de cause 
                  ». Pour celui qui postule à un emploi, l’important est « de 
                  bien se connaître », c’est-à-dire d’être conscient de ses compétences, 
                  de ses points forts et surtout de choisir le métier dans lequel 
                  il pourra exceller. « En période de récession, la demande devient 
                  supérieure à l’offre. Par conséquent, les entreprises deviennent 
                  plus sélectives, d’où la nécessité de l’orientation qui peut 
                  aider les jeunes diplômés à faire le bon choix et par conséquent 
                  à exceller dans le métier pour lequel ils ont opté », poursuit 
                  Mme Eid. D’ailleurs, elle ne croit que le marché de travail 
                  est saturé pour certains métiers, comme la médecine ou le génie. 
                  « Le marché de l’emploi continue sans cesse d’évoluer. Il en 
                  va de même pour les métiers qui deviennent de plus en plus sophistiqués 
                  avec l’apparition de nouvelles spécialisations. Aujourd’hui, 
                  on ne parle plus en termes de statistiques, mais de tendance 
                  », conclut Mme Eid. 
                >>> 
                  Voir le site Careerslb  
               
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        Un 
        Emploi au Liban ? 
          
        Un comité 
          consulaire local pour l'emploi et la formation professionnelle a 
          été mis en place à la destination exclusive des 
          ressortissants français, résidents et immatriculés 
          au consulat.Il s'adresse bien sûr aussi aux personnes bénéficiant 
          de la double nationalité franco-libanaise.Tel: 01 420 100, 
          responsable: M. 
          Henri Olive 
        Nous vous conseillons, 
          avant de partir ou une fois sur place, de 
          visiter en premier lieu:  
          le site d' 
          Espace 
          Emploi International , conjointement géré 
          par l' ANPE et l'OMI, office des migrations internationales. 
        Si vous êtes 
          intéressé par la coopération internationale humanitaire 
          avec les pays en voie de développement, vous pourrez utilement 
          vous brancher sur le site d' 
          Ibiscus , association française spécialisée. 
        Sur le plan local, 
          l' Etat Libanais a doté l' 
          Office National pour l'Emploi  d'un site Internet 
          qui illustre les efforts de modernisations de l'Administration. 
          Le contenu est plein de bonnes intentions qui ne demandent qu'à 
          se transformer en services concrets pour le Public. 
        Pour un emploi 
          spécifique au Liban, on pourra aussi envoyer un email à 
          l'adresse: Employement@lebanon.com 
        Enfin pour ce 
          qui concerne la formation professionnelle, connectez vous sur 
          l' AFPFE ou sur celui du 
          CNAM 
          qui dispose d'une antenne à Beyrouth. 
          
          L'Emploi dans les entreprises de nouvelles 
          technologies,  
          la création de start-up ou jeunes pousses du Liban... 
        
           
             
               
                Berytech, 
                  parc technologique et campus numérique francophone 
                  La technopole fête son premier anniversaire Berytech a permis 
                  l’émergence de six projets innovants  
                    
                  La technopole de Berytech est déjà un succès. 
                   
                    
                  Beyrouth- 
                  Novembre 2002. Berytech, la première technopole libanaise, 
                  a fêté son premier anniversaire avec une satisfaction certaine. 
                  « C’est une performance à l’échelle internationale », déclare 
                  le PDG de Berytech, Maroun Asmar, pour qui il s’agit désormais 
                  d’inscrire le projet dans la durée. Car la croissance économique 
                  dépend du développement d’un tissu de petites et moyennes entreprises. 
                  En un an, le bâtiment situé dans l’enceinte de l’École supérieure 
                  d’ingénieurs de Beyrouth abrite déjà 17 entreprises. Il s’agit 
                  de onze sociétés qui ont choisi de s’installer dans l’espace 
                  « hôtel » offert par Berytech et de six entreprises qui sont 
                  en situation « d’incubation » ou viennent tout juste d’en sortir. 
                  La création du premier groupe tient à la vocation de technopole 
                  de Berytech. Il s’agit en effet de réunir dans un même lieu 
                  des entreprises opérant dans un même secteur afin de créer des 
                  synergies entre elles, mais aussi avec l’université toute proche. 
                  La qualité des locataires permet d’ores et déjà de parler de 
                  réussite, notamment dans le domaine de l’image. « Les sociétés 
                  présentes couvrent quasiment toute la chaîne, de la production 
                  d’images du développement au montage », explique Jacqueline 
                  Lascaux, responsable du pôle image. On trouve par exemple le 
                  laboratoire Kodak pour le développement de films de cinéma, 
                  premier investissement étranger à Berytech ; The Gate, une société 
                  de restauration de films et de montage ; Djinn House, une société 
                  de post production et de montage ; Wonder 8, une entreprise 
                  de production de dessins animés ; la Fondation Liban-Cinéma, 
                  etc. Les autres pôles d’activité regroupent des sociétés opérant 
                  dans le domaine des technologies de l’information et des communications, 
                  ceux de la santé et de la construction ou encore du tourisme 
                  par exemple. L’espace offert à la location mesure 1 700 mètres 
                  carrés sur un total de 5 000 mètres carrés et 65 % ont déjà 
                  trouvé preneurs. « Les pôles image et technologies de l’information 
                  correspondent aux pôles de compétence du Liban. Ce sont des 
                  activités créatrices d’emploi », d’où l’accent qui est mis sur 
                  ces deux pôles, précise Mme Lascaux. Le second groupe d’entreprises 
                  comporte quatre sociétés en incubation et deux autres qui viennent 
                  d’achever cette première phase et entrent dans la « pépinière 
                  ». « Nous pouvons accueillir jusqu’à douze sociétés dans l’incubateur 
                  », explique Michel Sfeir, responsable de la communication. « 
                  En avoir eu six en un an, c’est formidable. Dans d’autres pays, 
                  le démarrage des incubateurs prend beaucoup de temps », commente 
                  Jacqueline Lascaux. Les deux entreprises qui entrent dans la 
                  « pépinière » sont Matrix Consulting Group et Lascaux Grafix. 
                  La première regroupe des professeurs d’université qui offrent 
                  des formations, des études ou du conseil dans les secteurs des 
                  statistiques appliquées, des finances des marchés et des entreprises 
                  ou encore de la gestion. La deuxième est une société spécialisée 
                  dans le développement de produits de communication à visée publicitaire, 
                  académique et culturelle. Quant aux projets en phase d’incubation, 
                  ils ont été sélectionnés par concours. Ils concernent des domaines 
                  divers, mais ont en commun un caractère « innovant », explique 
                  Michel Sfeir. Trois des projets sont liés à l’Internet : il 
                  s’agit par exemple de créer un portail Web pour les municipalités 
                  libanaises, de développer une connexion Internet sans fil ou 
                  de développer des logiciels libres. Le quatrième projet est 
                  une application technologique dans le domaine de la santé. Ces 
                  quelques mois d’activité permettent déjà aux responsables de 
                  Berytech de dresser un premier bilan de l’expérience : malgré 
                  les difficultés conjoncturelles et les lourdeurs administratives, 
                  l’esprit d’entreprise des Libanais est encourageant. « Ce qu’on 
                  propose va à l’encontre des habitudes du pays. Il s’agit de 
                  travailler ensemble, de créer un réseau, des partenariats. Cela 
                  demande un changement de mentalité, mais ça marche », dit Jacqueline 
                  Lascaux. Selon elle, le Liban a l’avantage d’être un « petit 
                  pays doté d’une organisation sociale souple dans laquelle les 
                  gens ont la capacité de comprendre et de réagir très vite ». 
                  Outre les insuffisances de la législation ou les coûts de production 
                  élevés, notamment dans le domaine des télécommunications, le 
                  principal obstacle au développement des entreprises réside dans 
                  l’absence de financements pour des entreprises nouvelles. Les 
                  projets passés dans la « pépinière » de Berytech fonctionnent 
                  tous par autofinancement ou grâce à des fonds prêtés par des 
                  proches. Il manque un outil indispensable : des sociétés de 
                  capital risque. « Les entrepreneurs, qui n’ont pas les moyens 
                  de fournir des références financières, sont contraints d’emprunter 
                  à des taux d’intérêts très élevés. Le seul organisme capable 
                  de fournir des financements à des taux acceptables, c’est Kafalat 
                  », explique Maroun Asmar. Mais les capacités de l’organisme 
                  de garantie des crédits sont limitées, c’est pourquoi il est 
                  nécessaire, selon lui, de créer une structure d’octroi de crédits 
                  en partenariat avec des organismes étrangers comme la Banque 
                  mondiale, l’Agence française de développpement ou la Banque 
                  européennne d’investissement. Dans une deuxième phase, il faudra 
                  développer la Bourse, pour permettre des financements participatifs. 
                   
               
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         Spécial 
          Journée de la Francophonie, 20 Mars 2003 
           A l'occasion de 
          la Journée de la Francophonie, 
          le Campus Numérique Francophone de Beyrouth, associé 
          au Pôle Technologique Berytech et à l'Ambassade de France, organise 
          une Journée placée sous la thématique "Universités et Jeunes Pousses", 
          dans laquelle les acteurs de la création d'entreprise du Liban et d'ailleurs 
          interviendront sous forme de conférences, tables rondes et débats. Parallèlement 
          à cet événement, le CNF prévoit également une journée Portes Ouvertes 
          dans son centre d'accès à l'information, pour aider les étudiants libanais 
          à s'informer sur les services documentaires et les formations qui leur 
          sont offertes  
          
        >>> 
          Un site-web innovant et exclusivement dédié  
          à la recherche d'emploi au Liban? 
          LebaneseBrain 
          ( Anglais-Arabe) 
           
           
        
         
            
           
          IFA 
          Franco-Libanais, L' Institut 
          de Formation Alternée, partenariat entre La Chambre de Commerce 
          et d'Industrie de Beyrouth et la CCI de Versailles, 
          Val d'Oise-Yvelines: 
           
          Programme 
          francophone de formation continue 
           à destination des Chefs de ventes, Assistant de Gestion, 
          Comptable ou Dirigeant de PME, Représentant commercial  
           
          Renseignements et Inscriptions CCIB - Beyrouth- Quartier 
          Sanayeh - Tél: 01- 744 167 
          
         
          
           
        
           
             
               
                Une collaboration a été établie entre l'Agence intergouvernementale 
                  de la Francophonie (AIF) et les organisateurs du Sommet de l'emploi 
                  des jeunes (SEJ). Ce dernier se tiendra à Alexandrie en Égypte 
                  du 7 au 11 septembre 2002.  
                  Il vous est possible de participer activement aux discussions 
                  préalables à cet événement grâce au forum de discussion du Programme 
                  de Mobilité des Jeunes (PMJ).  
                  Pour en savoir plus consultez les sites Internet ou le texte 
                  suivants. Site Internet du Programme de Mobilité des Jeunes 
                  (PMJ) : http://jeunesse.francophonie.org 
                   
                  Site Internet du Sommet de l'emploi des jeunes (SEJ) : http://www.youthemploymentsummit.org/ 
                 
                *** SOMMET DE L'EMPLOI DES JEUNES 
                  (SEJ) *** 
                La jeunesse au centre de 
                  l'actualité mondiale! Du 7 au 11 septembre 2002, plus de deux 
                  mille personnes du monde entier, dont plus de mille seront des 
                  jeunes, se rencontreront à Alexandrie en Égypte pour participer 
                  au Sommet de l'emploi des jeunes (SEJ).  
                   
                  Ce dernier sera accueilli par le gouvernement de la République 
                  Arabe d'Egypte. Ce Sommet sera un évènement privilégié pour 
                  le lancement d'une campagne d'action de 10 ans qui permettra 
                  de créer un environnement productif et durable auprès de 500 
                  millions de jeunes adultes, plus particulièrement de jeunes 
                  en situation de pauvreté. Ce grand événement sera également 
                  l'occasion d'attirer l'attention des médias, de créer une prise 
                  de conscience du public, d'organiser et de solidifier la stratégie 
                  de développement de l'emploi pour la jeunesse. Le Sommet inclura 
                  une conférence ministérielle et une concertation internationale 
                  pour les jeunes âgés de 18 à 30 ans.  
                   
                  Dans le cadre de ce grand événement, le Secrétariat du SEJ et 
                  l'équipe du Programme de Mobilité des Jeunes (PMJ), mis en place 
                  à la suite du Sommet de la Francophonie de Moncton par l'Agence 
                  intergouvernementale de la Francophonie (AIF), vous invite à 
                  consulter le site Internet http://jeunesse.francophonie.org 
                  afin d'échanger et de discuter entre jeunes francophones sur 
                  les thématiques qui sont abordées sur le site Internet du SEJ. 
                  Le Secrétariat du SEJ et l'équipe du PMJ ont décidé de collaborer 
                  afin de faire participer la Francophonie aux différentes discussions 
                  qui sont abordées sur le site Internet du Sommet. Ces discussions 
                  seront donc traduites de part et d'autres pour permettre un 
                  réel échange entre jeunes de divers espaces linguistiques. Un 
                  rapport synthèse des concertations menées auprès des jeunes 
                  internautes francophones sur le site Internet du PMJ permettra 
                  ainsi d'enrichir les réflexions autour des thèmes qui seront 
                  abordés lors du SEJ. Cette démarche permettra aux jeunes francophones 
                  d'apporter leurs contributions aux discussions visant à la réduction 
                  du taux élevé de chômage des jeunes dans leur propre communauté. 
                 Nous vous suggérons d'inviter les jeunes de 
                  votre région sur le site Internet http://jeunesse.francophonie.org. 
                   
                  Le succès de ce forum de discussion reste fortement lié à votre 
                  précieuse collaboration. Les thématiques abordées sont les suivantes 
                  :  
                   
                  Du 16 mai au 15 juin L'éducation et l'emploi Bien que 
                  le développement des compétences et la formation professionnelle 
                  des jeunes aient fait l'objet de nombreuses discussions, il 
                  n'en demeure pas moins que le nombre d'emplois disponibles sur 
                  le marché est inférieur au nombre de jeunes qualifiés.  
                  Du 16 juin au 15 juillet L'inégalité d'accès des femmes 
                  à la reconnaissance professionnelle Les préoccupations des femmes 
                  dans le domaine de l'emploi ne doivent pas être ignorées dans 
                  le débat sur les moyens à adopter pour permettre aux jeunes 
                  de trouver et de créer des emplois. Les femmes sont encore exclues 
                  d'un grand nombre d'emplois aux échelons supérieurs, que ce 
                  soit en raison de la « vieille clique des gars » ou simplement 
                  de préjugés contre les femmes occupant des postes de responsabilité. 
                  Les femmes de la classe ouvrière sont aussi exclues des divers 
                  domaines technologiques en raison des perceptions stéréotypées 
                  des femmes et du travail.  
                  Du 15 juillet au 8 août La promotion du travail à temps 
                  partiel L'accessibilité au travail à temps partiel est un grand 
                  avantage pour les jeunes qui ont d'autres responsabilités comme 
                  leur éducation ainsi que les tâches domestiques qui leur reviennent. 
                  Les jeunes femmes par exemple ont encore le double fardeau d'assumer 
                  plus de responsabilités familiales que les hommes tout en ayant 
                  besoin de travailler pour assurer leur autonomie financière. 
                   
                  Du 15 août au 15 septembre Vigilance des jeunes à l'égard 
                  de la politique macro-économique Les jeunes sont les principaux 
                  concernés par les décisions économiques de leur pays. Il importe 
                  donc qu'ils suivent, d'une manière ordonnée, la prise de décisions 
                  ayant trait à la création d'emplois dans leur pays.  
                   
                  Michel Denis RICHARD Gestionnaire du site Jeunesse Unité Jeunesse 
                  Programme de Mobilité des Jeunes (PMJ) Agence intergouvernementale 
                  de la Francophonie (AIF) Téléphone (1) (506) 856-2746 Télécopie 
                  (1) (506) 869-6433  
                   
                  michel.denis.richard@francophonie.org 
                   
                  http://jeunesse.francophonie.org 
                   
               
             | 
           
         
          
        L'Emploi 
          en "Francophonie" 
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