LE
LIBAN : LES DEFIS DE L'AVENIR
Sous le haut-patronage de Christian Poncelet,
président du Sénat et sous la présidence d'Adrien Gouteyron, sénateur
de la Haute-Loire et président du groupe d'amitié France-Liban
Le Message de M. Christian PONCELET,
lu par M. Adrien Gouteyron, Vice-Président du Sénat,
à l'ouverture du colloque sur le Liban
L'Analyse de LibanVision
Le Liban: les défis de l'Avenir
ou l'autre reconstruction
-Paris 26 Septembre 2003- Qu'ils
résident à Paris ou qu'ils se soient déplacés
de Beyrouth, les libanais présents au colloque du Sénat
y sont allés d'une voix unanime.Tous ont dénoncé
la corruption combinée avec l'existence d'une momenklatura,
le déliquescence de la société civile et
l'existence d'une véritable hémorragie de la population
depuis 1997, à un rythme inquiétant de presque
100.000 par an dont beaucoup de jeunes. La cause de tous ces
maux
principalement évoquée réside dans le voisinage
immédiat, la direction dépendant de la sensibilité
de chacun...
Devant un tel tableau plus que sombre car alarmant sous certains
aspects, c'est à se demander ce qui pouvait bien subsister
du modèle libanais qui avait été proposé
au menu. Même si parallèlement il se dégageait
aussi une unanimité pour s'entendre sur la tolérance
réciproque, la réalité d'une entente Islamo-chrétienne
et bien sûr l'indéfectible Amitié de la
France, il fallait être "diablement" optimiste
pour ne pas sortir plutôt découragé d'une
telle journée.Devant tant de constats amers et de blocages
dénoncés, il paraissait en effet bien difficile
de trouver les clés d'une solution globale et rapide.
Notre conclusion devenait alors que le premier défi à
relever pour les libanais est celui de ne pas sombrer dans une
certaine résignation, ceci valant tant pour ceux qui
restent au pays que pour les autres qui ont parfois pris quelque
distance.
Le peuple libanais, fort d'une confiance reconquise, de ses
capacités et de ses potentialités largement reconnues
devra rapidement prendre ses responsabilités pour entamer
sa véritable reconstruction sur les bases d'un engagement
démocratique fondé sur la conscience citoyenne.
En effet, si la reconstruction matérielle entamée
depuis dix ans était nécessaire, elle ne saurait
être manifestement suffisante.
C'est dans les temps les plus difficiles de l'histoire de toute
nation que le don de créativité et de capacité
de sursaut des peuples doivent leur éviter toutes tentations
de démission;
En ce qui nous concerne, cela restera pour l'Avenir du Liban,
notre parti unique !
JM Druart et Karine Requena
Rendez-Vous:
les 23 & 24 Octobre à Lyon
Les
Assises de la Coopération décentralisée
Franco-libanaise
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Le résumé de la
journée et le compte-rendu des principales interventions
avec
Participation de personnalités politiques
et académiques à 4 tables rondes sur « les défis de l’avenir »
Journée libanaise au sénat français
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Longue journée libanaise le jeudi 25 Septembre
dans la salle Clemenceau du Sénat français à Paris où s’est
tenu un colloque sur le thème « Le Liban, les défis de l’avenir
», et cela à l’initiative et sous la présidence de M. Adrien
Gouteyron, sénateur de la Haute-Loire, vice-président du
Sénat et président du groupe d’amitié France-Liban. Les débats,
animés par le rédacteur en chef de «Valeurs Actuelles» Frédéric
Pons et le rédacteur en chef de «L’Orient-Le Jour» Issa
Goraieb, et auxquels ont participé de nombreuses personnalités
politiques, académiques et autres, se sont déroulés dans le
cadre de quatre tables rondes et ont donné lieu à des discussions
avec un public nombreux. Cet événement a été marqué par une
présence substantielle de l’opposition libanaise, que rendait
plus évidente encore l’absence – demeurée inexpliquée – des
hommes politiques proches du pouvoir libanais, qui avaient décliné
l’invitation. Dans ses deux allocutions d’ouverture et de clôture,
le sénateur Gouteyron, sans jamais minimiser la gravité des
défis que se doit de relever le modèle libanais, a vu dans les
interventions on ne peut plus directes et explicites des participants
un réconfortant signe de santé ouvrant la porte à tous les espoirs.
Et c’est ce même message d’espoir qu’a tenu à dégager le député
de la Meurthe-et-Moselle Gérard Léonard qui préside,
lui, le groupe d’amitié France-Liban à l’Assemblée nationale
: espoir de l’établissement (et non rétablissement, a-t-il précisé)
d’un État de droit au Liban, espoir aussi d’un recouvrement
par ce pays de sa souveraineté. M. Bernard Emié, directeur
de la section Afrique du Nord et Moyen-Orient au Quai d’Orsay,
a entrepris de rasséréner, quant à lui, ceux qui reprochent
à la France d’avoir « lâché » le Liban, affirmant notamment
que notre pays reste un partenaire d’exception de l’Hexagone
dans le partenariat euro-méditerranéen. M. Emié a pressé les
Libanais d’entreprendre une réconciliation en profondeur, les
appelant à façonner ensemble leur avenir commun, formulant l’espoir
qu’« aucune entrave, aucune dérive » ne viennent altérer l’échéance
de l’élection présidentielle de 2004 et celle du scrutin législatif
de 2005. Il a également recommandé que soit mené à terme le
processus de réforme économique, administrative et judiciaire,
soulignant qu’il y allait de la crédibilité du pays. Il a enfin
plaidé pour une « redéfinition progressive » des relations libano-syriennes,
ouvrant la voie à un départ des troupes de Damas conformément
à l’accord de Taëf, insistant par ailleurs sur la nécessité,
pour l’État libanais, de restaurer son autorité sur la totalité
du territoire national. Sur le thème « Un modèle meurtri »,
la première table ronde de la journée avait débuté par un exposé
de M. Bassem Jisr, vice-président du Mouvement du renouveau
démocratique, qui a déploré l’effet néfaste des interférences
régionales sur une formule libanaise dont on assiste aujourd’hui
à la résurrection. Le Dr Ghada Abdallah Yafi, après avoir
dénoncé « les vices de structure », notamment en matière de
représentation nationale, a appelé à une implication réelle
du citoyen dans l’activité politique, demandant notamment que
des ponts soient jetés entre les systèmes scolaires du pays.
M. Salah Honein, député de Baabda, a dénoncé les lacunes
et insuffisances de l’accord de Taëf, « qui, bien que constitutionnel,
ne concrétise pas la foi nationale » et qui, de surcroît, n’a
pas été convenablement appliqué. Proclamant son attachement
à la démocratie plurielle et consensuelle, M. Honein a reproché
à l’accord de Taëf d’« avoir accentué l’ancrage à un confessionnalisme
pur et dur » tout en prônant l’abolition par étapes du même
confessionnalisme. Il a plaidé pour l’institution du mariage
civil et du suffrage universel pour l’élection du président
de la République, doublée d’une rotation communautaire des deux
autres présidences. Suivant à prendre la parole, le politologue
Joseph Maïla, doyen de la faculté des sciences sociales
et économiques de l’Institut catholique de Paris, a mis en relief
« la formidable résistance » du système libanais, évoquant le
communautarisme de droit au Liban et celui, de fait, qui règne
dans maints pays arabes.
M. Séoud al-Mawla, professeur de sociologie à l’Université
libanaise et directeur du centre du dialogue à l’Université
Saint-Joseph, a fait l’apologie de la coexistence, développant
à cette fin les thèses de l’imam Mohammed Mahdi Chamseddine.
Lors de la deuxième table ronde, axée sur « Les scénarios géopolitiques
pour le futur », M. Frédéric Encel, professeur à l’Institut
des études politiques de Rennes, a fait part de sa conviction
totale que le Liban redeviendra un pays souverain, se fondant
pour cela sur les transformations qui, selon lui, attendent
la région du Proche-Orient. M. Samir Frangié, membre
du Rassemblement de Kornet Chehwane, a souligné que le Liban,
seul parmi les pays du Moyen-Orient dont l’existence a toujours
été contestée par ses voisins, reste paradoxalement, malgré
les faiblesses inhérentes à la nature de son régime, le seul
modèle à suivre. Il a estimé que les Libanais peuvent tirer
profit de ce moment historique pour recouvrer leur indépendance
« à condition qu’ils fassent d’abord la double preuve de leur
maturité et de leur utilité ». Ce recouvrement peut être facilité,
a-t-il poursuivi, par trois facteurs : l’unité nationale, le
changement en Syrie et l’instauration d’un nouvel ordre régional.
M. Misbah Ahdab, député de Tripoli, a accusé le pouvoir
libanais d’abuser de la couverture syrienne pour se livrer à
des pratiques antidémocratiques, rejetant par ailleurs la notion
de pertes et de profits en termes communautaires, car, a-t-il
dit, « tout ce qui est bon pour le Liban fait de tous des gagnants
», l’inverse étant vrai aussi. M. Khattar Abou-Diab,
politologue spécialiste du Moyen-Orient, a vu dans le Liban
« le maillon faible de toute une chaîne d’intérêts régionaux
», s’attachant à responsabiliser les Libanais dans l’entreprise
de réhabilitation de leur pays : « Pour mériter leur terre,
ils doivent être unis », a-t-il notamment affirmé. Le Dr
Farès Souhaid, député de Jbeil, a fait valoir qu’alors qu’il
convient d’accorder des droits aux citoyens, c’est des garanties
qu’il faut offrir aux communautés libanaises. Il a souligné
que la liberté est gravement menacée au Liban, « car l’État
n’est pas souverain et la population n’est pas en mesure de
désigner ses représentants ». M. Antoine Sfeir, journaliste
et politologue, président du Centre d’études et de réflexions
sur le Proche-Orient, s’est demandé s’il existe réellement un
modèle libanais mettant l’accent sur la fâcheuse vitalité des
réflexes communautaires et déplorant que peu d’efforts aient
été déployés à ce jour, par les uns et les autres, pour mieux
se connaître. En clôture de la session du matin, a été donnée
lecture du message adressé à ce colloque par le patriarche maronite,
le cardinal Sfeir, actuellement en visite à Paris, puis
de celui envoyé par le dignitaire chiite Sayyed Mohammed
Hussein Fadlallah ; après quoi le président Amine Gemayel
a prononcé une allocution dans laquelle il a évoqué la nécessité
d’un dialogue serein avec la Syrie (lire par ailleurs des extraits
de toutes ces communications).
Prélèvements syriens directs et indirects
À la reprise, après un déjeuner typique libanais
servi dans les salons De Boffrand du Sénat par le restaurant
Fakhr el-Dine, les participants se sont penchés sur les difficultés
économiques et financières que connaît le Liban. M. Ibrahim
Maroun, professeur de sociologie économique à l’Institut
des sciences sociales de l’Université libanaise s’est alarmé
de la diminution continue de la population libanaise (de l’ordre
de 100 000 personnes par an) due à l’émigration, dénonçant par
ailleurs le dumping de produits syriens qui a provoqué la faillite
de milliers d’entreprises libanaises et l’entente liant les
banques en matière de resserrement des crédits. Il a prôné un
minimum de protection pour les produits nationaux, la révision
des accords commerciaux « inégaux » passés avec la Syrie, une
baisse des taux d’intérêt, une relance du bâtiment et une réorganisation
du travail des étrangers. M. Pierre Daher, président-directeur
général de la chaîne libanaise LBC, a brossé un tableau de la
situation des médias audiovisuels au Liban et au Moyen-Orient.
Il a affirmé que la création de la LBC en 1985 marquait la première
infraction à la règle générale voulant que la télévision soit
la chasse gardée des gouvernements. Il a déploré la « malheureuse
et maladroite » fermeture de la station MTV l’an dernier, illustrant,
a-t-il dit, le fait que la liberté d’expression reste relative
et soumise à « des lois non écrites mais plus puissantes que
les textes ». Abordant la question du financement des stations,
M. Daher a assuré que les libertés publiques, la démocratie,
l’égalité et la justice font partie d’un tout garantissant aussi
bien le respect des droits du citoyen que la bonne marche des
affaires. M. Jean-Michel Severino, directeur général
de l’Agence française de développement (AFD), a exposé les projets
d’assistance au Liban dans les domaines de l’eau et de l’aménagement
urbain. Il a souligné la nécessité d’une entente politique pour
mettre en place une action économique. De son côté, M. Olivier
Imbavet, vice-président du groupe Méditerranée et directeur
général d’Air Liquide, a réclamé l’institution d’un service
normatif en matière de livraison de gaz aux industries et hôpitaux
libanais, tandis que M. Jean Jaujay, directeur à l’EDF,
a relevé les « fraudes et tarifications inadéquates » dans le
réseau électrique libanais. M. Joe Faddoul, président
de BML Istisharat, a vu dans « les prélèvements directs et indirects
», dont se rendrait coupable la Syrie, l’une des raisons du
déficit libanais. Au nombre des premiers, et sous un tonnerre
d’applaudissements, il a cité le détournement du trafic téléphonique
international, le racket frappant les importations de combustibles
et le Casino du Liban, les subventions dont bénéficient des
produits importés de Syrie et même le trucage des courses hippiques.
Quant aux prélèvements indirects, ils auraient trait à des expropriations
de terrain fictives et aux opérations de l’EDL et de la MEA.
M. Ibrahim Tabet, président-directeur général de Stratégies-DDB,
a indiqué qu’en plein processus de mondialisation, le Liban
se trouvait menacé de marginalisation. Il s’est dit convaincu
que le principal atout stratégique de notre pays résidait dans
son potentiel culturel (industrie des loisirs, information,
édition, mode, musique, etc.) M. Antoine Messarra, politologue,
sociologue et professeur d’universités, a plaidé à son tour
pour « une politique citoyenne » où tous les problèmes sans
exception seraient soulevés et traités sous l’angle du citoyen
usager, consommateur et bénéficiaire. Il n’existe pas, a-t-il
affirmé, de solutions par la politique telle qu’elle est entendue
et pratiquée par la plupart des politiciens, mais par une politique
réhabilitée. Enfin M. Jean-Claude Boulos, président de
l’Association internationale de la publicité (IAA), a dégagé
les trois axes d’espérance suivants : le potentiel considérable
des Libanais expatriés, la création d’une puissante organisation
des publicitaires arabes et le caractère francophone du Liban,
lequel devrait être consacré par la création avec l’aide de
la France d’une chaîne libanaise francophone.
>>> Bientôt, les Actes
du Colloque...
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Quelques
repères sur la Coopération Franco-libanaise
OBJECTIF du PROGRAMME *
Les intervenants conviés à participer
se seront des personnalités politiques, des chercheurs,
des chefs d'entreprises et des écrivains libanais et
français. Leur nombre final est de l'ordre de 25
Carles Rheims (Centre de Recherche et de Prospective
Géostratégique)
- 98 rue de Sèvres - 75007 PARIS Tel : 01 56 58 51 50
Contacts : Dominique Lasserre / Albert Kostanian
14H30
- 16H30
Prospective économique
: de l'impasse au miracle ?
Après
avoir évalué la situation économique actuelle, les intervenants
identifieront les différentes voies de sortie de crise.
La réflexion prospective portera sur les avantages comparatifs
du Liban et sur ses atouts compétitifs. Le rôle économique
du Liban, dans le cadre d'un Proche-Orient pacifié,
sera ainsi examiné en mettant l'accent sur son potentiel
hydraulique, les compétences humaines de ses habitants
et les avantages stratégiques de la place financière
de Beyrouth. Cette table ronde s'attellera à définir
les composants d'un miracle libanais dans un Proche-Orient
pacifié.
16H30
- 17H40
Quelles sont les stratégies
les plus porteuses d'avenir?
Cette
dernière table ronde prend appui sur les thèmes développés
pendant la journée pour mettre en valeur les stratégies,
donc les choix politiques les plus aptes à permettre
au Liban de profiter, à nouveau, de ses atouts. Les
intervenants élargiront le débat à la question des chrétiens
d'orient, des rapports entre l'orient et l'occident
et du dialogue entre les civilisations. Le rôle de la
France dans ce processus sera souligné par une personnalité
politique française de premier plan.
17H40 Allocution de clôture
*
Non définitif sous réserve de l'accord
et propositions des intervenants pressentis.
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D'autres
informations?
email/courriel:
ou contacter
Carles Rheims Consultants
Tel 44 (0)1 56 58 51 54
|
9H00
Message d'accueil
9H15 Présentation du colloque
9H30 - 10H45
Le Liban, un modèle meurtri
Cette première table ronde se penchera sur le particularisme
du Liban en soulignant les caractéristiques qui font
de ce pays un modèle original. Le Liban, terre de coexistence
et de disparités a, en effet, engendré une formule historique
unique dont la pérennité revêt une grande importance
pour l'avenir. La guerre aura aussi sa place dans ce
débat. Il ne s'agira pas de l'expliquer mais de se demander
si elle remet en cause l'essence du modèle libanais
ou si elle n'est que la conséquence d'un mauvais pilotage
de ce modèle. L'accent sera mis sur les problématiques
de l'après guerre : mémoire, identité, désengagement
politique et émigration. Les intervenants, après avoir
ainsi identifié les " menaces ", s'interrogeront sur
les perspectives d'avenir du Liban. Ce pays pourrait-il
redevenir un modèle ? et lequel ?
10H45 - 12H30
Le Liban et son environnement:
les scénarios géopolitiques
pour le futur
La deuxième table ronde situe le Liban dans son environnement
régional et dans son contexte politique. A un moment
crucial de l'histoire, des choix qui façonnent le futur
s'imposent. Les alternatives face à la dynamique proche-orientale
sont nombreuses. Dans la perspective de constituer un
modèle renouvelé, quelle doit être l'attitude du Liban
vis à vis de la Syrie ? d'Israël et du processus de
paix ? d'une manière générale quels sont les scénarios
géopolitiques d'évolution possibles ? Les intervenants
se pencheront aussi sur les moyens de poser les jalons
d'une stabilité intérieure future, garante du rayonnement
du Liban. Ils apporteront ainsi leur contribution à
une réflexion sur le système institutionnel libanais
et les voies dans lesquelles ils souhaitent le voir
évoluer. Ils s'interrogeront enfin sur l'apport que
peut avoir le Liban sur son environnement Arabe et les
effets à long terme que celui-ci, en pleine mutation,
peut produire.
12H30 Conclusion de la Matinée
13H - 14H30 DEJEUNER DANS LES SALONS DE BOFFRAND
<<<
Suite
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Quelques
liens d'amitié parlementaire
France-Liban
La
Page du Groupe d'Amitié France-Liban
du
Sénat, présidé par Mr Adrien
Gouteyron et dont le Vice-Président est Mr
Gérard
Larcher .
Groupe
d'Amitié Parlementaire France-Liban
de l'Assemblée Nationale, présidé
par Mr le Député Gérard
Bapt, jusqu'en 2002, voici la page du compte-rendu
d'une mission effectuée au Liban en 2001.Mr Gérard
Léonard, Député de la région
de Nancy dans l'Est de la France lui a succédé
début 2003.
Relations
Culturelles, Scientifiques et Techniques de la France
avec le Liban et les pays voisins,
un rapport parlementaire
du Sénat rédigé entre 2000 et 2001
suite à une visite régionale en 1999 sous
la conduite de Mr Adrien Gouteyron.Ses données
précises et récentes donnent une idée
objective pour juger de l'influence de la France au
Moyen-Orient mais aussi de ses perspectives.
L'Agenda
Officiel des Relations France-Liban,
sur
le site du Ministère des Affaires Etrangères,
vous trouverez toutes les infos, photos, déclarations,
notes et photos officielles diffusées notamment
à l'attention de la Presse en ce qui concerne
les visites non moins officiellesainsi que des notes
de synthèses sur les relations bi-latérales.Vous
voilà en quelque sorte sur le perron du Quai
d'Orsay ou de l'Elysée dès qu'il se passe
quelque chose de visible entre les deux pays!
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Cette Page est en développement...
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Rappel du programme détaillé
de la journée et
des intervenants invités
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9 h 00 - Message d’accueil
o Christian Poncelet, Président
du Sénat
9 h 15 - Présentation du colloque
o Adrien Gouteyron, sénateur de
la Haute-Loire, vice-président du Sénat et président du groupe
d’amitié France-Liban
9 h 30 Le Liban, un modèle meurtri
Bassem El Jisr, éditorialiste
Jean Lacouture, journaliste, écrivain
Joseph Maïla, doyen de la Faculté
des sciences sociales et économiques de l’Institut Catholique
de Paris
Salah Honein, député de Baabda
Ghada El Yafi, médecin, femme politique
Maria Chakhtoura, journaliste et
sociologue
10 h 45 Scénarios géopolitiques pour le futur
Lecture de message adressé à l'assemblée
du colloque par:
Sa Béatitude Boutros Sfeir,
Patriarche et Cardinal de l'église Maronite du Liban
Sayyed Mohammed Hassan Fadlallah,
Haut dignitaire chiite
---
Antoine Sfeir, politologue, directeur des Cahiers de
l’Orient
Misbah El Ahdab, député de Tripoli
Frederic Encel, spécialiste en
géopolitique,
professeur à l’Institut des études politiques de Rennes
Farés Souhaid,
député de Jbeil
Samir Frangieh, politologue et
homme politique
12 h 30 Conclusion de la matinée
Amine Gemayel, ancien président
de la République libanaise
Déjeuner
14 h 30 Prospective économique : de l’impasse au miracle
?
Pierre El
Daher, président-directeur général de la Lebanese Broadcasting
Corporation (LBC)
Joe Faddoul, président de BML Istisharat
Olivier Imbault, vice-président Groupe Méditerranée, directeur
général Air Liquide Italie
Abdallah Attieh, économiste, conseiller
du Vice-premier ministre du Liban
Jean Jaujay, Directeur du développement
d’Electricité de France (EDF) pour les zones de l'Europe de
l'Ouest, Afrique et Moyen -Orient.
Ibrahim Tabet, président-directeur
général de Stratégies-DDB
Roger Nasnas *,
président du Conseil économique et social libanais,
président-directeur général d’AXA Moyen-Orient
Jean-Michel Severino, directeur
général de l’Agence française de développement (AFD)
16 h 30 Quelles sont les stratégies les plus porteuses d’avenir
?
Jean-Claude Boulos, président de
l’International Advertising Association
Antoine Messara, politologue, sociologue
et professeur des Universités
Jean-François Daguzan, maître de
recherches à la Fondation pour la recherche stratégique (FRS)
Bernard
Emié, directeur Afrique du Nord et Moyen-Orient,
Ministère des Affaires étrangères
Gérard Léonard, député de la Meurthe
et Moselle,
président du groupe d’amitié France-Liban à l’Assemblée Nationale
17 h 45 Conclusion du colloque
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