
                  
                  Galerie Zamaan, 
                  131 Rue Sadate, Quartier Hamra,
                  ( 
                  fin Hamra, rue Sadate, impasse 131)
                  Beyrouth - Liban 
                  Contact : M. Moussa Kobeissi 
                  Tel: 961-1-74 55 71 - Fax: 
                  74 31 81 
                  
                  " La galerie Zamaan a débuté ses activités en France en 
                  1978, sous le nom de Meacob (Middle East Antiques Circles of 
                  Beirut), proposant des photographies du Liban du début du XX 
                  siècle. Installée aujourd’hui à Damas, Amman, Paris et au Caire, 
                  la galerie propose chaque année une quinzaine d’expositions 
                  d’art à Beyrouth ou elle est installée à Hamra 
                  depuis 1994."
                  
                

                  Unique au Moyen Orient ! 
                
                  La 
                  ville de Beyrouth, gravure authentique 1840 
                  Embarquement des troupes Françaises à Ras Beyrouth, 1861 
                  
                  Plus de dix mille photos et cartes postales sur 
                  le Moyen-Orient: 
                  Le passé ressuscité grâce au 
                  Dr. Moussa Kobeissi 
                Rue 
                  Sadate, la galerie Zamaan est un espace chaleureux, à l'ambiance 
                  feutrée, où passé et présent cohabitent harmonieusement. En 
                  plus de la salle d'exposition, qui alterne anciennes photos 
                  du Moyen-Orient et peintures contemporaines, on y trouve un 
                  atelier d'encadrement, un jardin d'hiver et un espace d'archives. 
                  Le propriétaire, le Dr. Moussa Kobeissi, est un collectionneur 
                  qui parle avec amour de son dada. Aujourd'hui, il possède plus 
                  de 10 000 vieilles photos et cartes postales. Des vues nostalgiques 
                  du Liban, de la Syrie, de la Palestine, de la Jordanie, mais 
                  aussi d'Arabie Saoudite, d'Égypte, du Maroc, d'Algérie, d'Iran 
                  et de Turquie. 
                  
                  Gravure originale aquarelle d'epoque Oeuvre 
                  10x14 cm, Cadre 62x 51 cm 
                  
                  - 
                  Beyrouth circa 1860 - 
                 
                  L'âge d'or de la carte postale remonte au début du siècle, jusqu'en 
                  1914. «Il y avait des collectionneurs et des cercles de cartophiles, 
                  en France et en Europe ; des libraires spécialisées dans la 
                  carte postale et des marchands de cartes postales qui allaient 
                  en Province faire du porte à porte», indique le Dr. Kobeissi. 
                  «À l'époque, on éditait même des cartes postales artistiques 
                  à l'attention de ces collectionneurs. Il y avait aussi des supports 
                  spéciaux, des albums, des boîtes». Bien plus tard, lorsque la 
                  mode est revenue, on a sorti des greniers ces collections monumentales 
                  pour les vendre, réalisant que ces souvenirs de famille pouvaient 
                  rapporter gros. Ce qui a fait le bonheur des «nouveaux» collectionneurs. 
                  «Il m'est arrivé plusieurs fois de tomber sur des albums entiers 
                  sur le Moyen-Orient, qui appartenaient à des Français», se souvient 
                  le Dr. Kobeissi. «Sans parler des reportages de voyages, dans 
                  des albums luxueux, qui, en soi, représentent un thème de collection». 
                  
                  
                  

                  
                  
                  Table Anglaise XIX siècle. Vase Satsuma XIX siècle. 
                  
                  
                  
                


                >>> 
                  Retour sur des Expositions en 2002
                  
                  Jusqu’au 
                  28 Septembre 2002, 
                  de 10h à 18h. 
                Le photographe Wael Hamadeh expose à la galerie Zamaan 
                  Des impressions en couleurs 
                  
 
                « Je suis de nationalité libanaise, et l’univers 
                  est ma famille. » Wael Hamadeh ne mâche pas ses mots.Originaire 
                  du Chouf, de Baakline plus précisément, il se proclame « un 
                  fils de la montagne dont l’âme s’est repue de verdure et de 
                  nature ». Pas étonnant donc qu’il cherche à immortaliser sur 
                  papier glacé (ou plutôt métallisé) vieilles demeures et paysages, 
                  clichés aux couleurs irréelles car travaillées sur ordinateur. 
                  (À la galerie Zamaan*). Il vit à Dubaï depuis 1994. Sur son 
                  curriculum vitae: un diplôme en informatique, un mastère en 
                  Business Administration, neuf ans d’expérience en tant que steward, 
                  des cours intensifs en photographie et en beaux-arts (université 
                  de Glascow, Écosse), plusieurs expositions collectives et deux 
                  individuelles (Dubaï). Il est également lauréat du 1er prix 
                  Nikon – Maternité en 1999 et du troisième prix Nikon – Down 
                  to Earth en l’an 2000. À la galerie Zamaan, il donne à voir 
                  46 photographies dont la plupart ont été remaniées sur ordinateur.
                
                  Coin de maison, dans le Chouf. 
                  
                Certains artistes iraient jusqu’à nier toute 
                  intervention technologique sur leurs œuvres. Wael Hamadeh s’en 
                  enorgueillit. Il magnifie les couleurs de la nature, invente 
                  des tonalités nouvelles au bois des fenêtres, pigmente d’un 
                  bleu électrique les contours d’une porte monumentale. «Je pense 
                  que l’art est avant tout une exploration d’un univers n’existant 
                  d’abord que dans l’esprit de l’artiste. Bien sûr, chaque personne 
                  contemplant une œuvre d’art construit son propre univers dans 
                  son propre esprit, également. Afin de rendre cet univers plus 
                  réel, je rassemble des fragments de mémoire et je les tisse 
                  sur mon écran d’ordinateur. Mes travaux s’inspirent de tout 
                  ce que la nature a engendré, comme les insectes, les oiseaux, 
                  les plantes, mais aussi tous les éléments de notre patrimoine 
                  qui racontent notre histoire.» L’artiste-photographe lance, 
                  à travers son œuvre, un appel à la redécouverte de notre environnement, 
                  de notre terre. «Regardez un peu ce qu’il y a au-delà de votre 
                  fenêtre. Le monde est très vaste, et il est rempli d’une multitude 
                  de choses dignes d’intérêt. Des décors magnifiques, des animaux 
                  étranges, des peuples différents, de chouettes technologies 
                  et une science assez intéressante... Les romans et la musique 
                  m’inspirent lors de mes travaux suivants. Si vous êtes capables 
                  de construire votre propre monde dans votre esprit, vos travaux 
                  deviendront subitement plus attrayants. Bien sûr, étudier et 
                  améliorer ses compétences et sa technique est important, également.» 
                  Wael Hamadeh imprime ses clichés sur du papier métallisé, «une 
                  nouvelle qualité de papier qui, comme son nom l’indique, donne 
                  un rendu argenté aux couleurs de l’image». Pris à Deir el-Qamar, 
                  à Hasroun ou à Baakline, ces clichés racontent, à travers un 
                  prisme de couleurs, des moments fugaces chargés d’émotion et 
                  d’esthétique. 
                  
                  Lu dans L'Orient-le Jour du 25 Septembre 2002
                
                  Ruelle à Deir el-Qamar 
                
                Exposition - Sculptures 
                  de Bassam Baydoun
                
                  
                  
                  "La galerie Zamaan présente,
                  jusqu’au 8 juin, les sculptures 
                  de Bassam Baydoun, un jeune artiste syrien, qui expose pour 
                  la première fois à Beyrouth. En granit noir ou vert, en pierre 
                  blanche, en marbre, ou en dolomite jaune, les œuvres semi-abstraites 
                  ou figuratives de Baydoun sont, pour la plupart, de formes circulaires 
                  ou ellipsoïdales. Inspirée « des cycles de la nature, du temps 
                  et de la vie », la quarantaine de pièces exposées forme un ensemble 
                  globalement esthétique et cohérent."
                  Vu 
                  dans L'Orient-le jour le 5 Juin 2002
                  
                
                   
                
                  Informations 
                  
                   par email/courriel: