INTEREXLEBANON.com
Le lien des entreprises du Liban pour le commerce international


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Les entreprises libanaises peuvent enfin bénéficier d'un outil dynamique en temps réel pour préparer leur ouverture au commerce international, à l'import comme à l'export.Cet outil, articulé autour du site internet interexlebanon.com, a été présenté devant une assistance nombreuse le 17 Juillet à Beyrouth par les dirigeants de la Banque Libano-Française et de la Société Française Interex SA.

Alors que l'accord d'Association entre le Liban et l'Union Européenne peine à produire ses pleins effets sur l'économie libanaise et que le Liban est destiné à adhérer à l'OMC, l'organisation mondiale du commerce, cette initiative de la BLF arrive donc à point nommé notamment pour ancrer les petites et moyennes entreprises libanaises dans le circuit du commerce mondial.
La Banque Libano-Française, présente au Liban depuis les années 1930, figure dans le top5 des banques libanaises et s'est rapidement positionnée comme un établissement en pointe dans l'usage des nouvelles technologies au service de sa clientèle alors que la Société Interex SA est un acteur reconnu en France et en Europe dans la prestation de services tournée vers le commerce international.

Outre ces deux principaux acteurs, le projet interexlebanon implique également six autres partenaires locaux dont les activités de services sont périphériques au développement des échanges internationaux.
LibanVision vous propose donc de découvrir plus en détail interexlebanon.com

JM Druart/LibanVision

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Mille missions de ce type sont organisées tous les ans en France et 25 000 au total dans le monde. Le service, qui coûte, environ 4 300 euros (hors frais de logistique) pour l’Union européenne, est désormais disponible pour les entreprises libanaises





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Un site pour aider les PME libanaises à accéder aux marchés internationaux

La Banque Libano-Française et la société française Interex ont annoncé le 17 Juillet le lancement d’un site Internet destiné à aider les entreprises libanaises à accéder aux marchés étrangers. Le site www.interexlebanon.com s’adresse surtout aux petites et moyennes entreprises qui n’ont pas la capacité, comme les plus grandes sociétés, d’entreprendre elles-mêmes les démarches nécessaires pour accumuler toutes les informations concernant les réglementations en vigueur, l’environnement fiscal, les tendances économiques, etc. Ce nouveau service s’inscrit dans la stratégie de développement de la Banque Libano-Française pour devenir une banque universelle. La BLF, qui est classée cinquième au Liban en termes d’actifs, bénéficie pour cela de l’expertise en la matière de son actionnaire principal, le Crédit Agricole-Indosuez. La banque française a contribué au développement du site Interex en France, où il est devenu un « outil de référence des PME », selon son PDG Jean-Christophe Fromentin. Le site a en effet été classé parmi les 150 meilleurs sites mondiaux sur le commerce international par Federation of International Trade Association. À l’occasion de la cérémonie de lancement organisée à l’hôtel Phoenicia Inter-continental, le ministre de l’Économie et du Commerce, Marwan Hamadé, a salué l’initiative, estimant qu’elle arrivait à point nommé puisque le Liban se tourne de plus en plus vers les marchés extérieurs en raison de la signature d’un accord d’association avec l’Union européenne, de sa volonté d’adhésion à l’Organisation mondiale du commerce et de la perspective de création d’un marché commun arabe. De son côté, le PDG de la Banque Libano-Française a souligné que l’objectif du projet est également de créer une fenêtre interactive pour encourager les investisseurs étrangers à s’intéresser au Liban en leur fournissant des informations détaillées sur le marché libanais. La mission principale d’Interex Liban est « d’accélérer l’accès à l’information », selon l’expression de Jean-Christophe Fromentin. Une entreprise libanaise y trouve ainsi des données sur des fournisseurs ou des clients potentiels. Par exemple, si une société souhaite trouver un fabricant de certains composants électroniques en Chine, elle peut obtenir les coordonnées d’entreprises correspondant à ce profil à travers le site Interex. À l’inverse, si une société libanaise cherche des clients aux États-Unis, elle trouvera sur le site des études de marché et des informations précises sur des acheteurs potentiels. Au total, quelque 12 000 pages de données gratuites sur 80 pays sont mises gratuitement à la disposition des internautes. Ces fiches comportent des informations sur l’environnement règlementaire et fiscal, sur les conditions d’exportations, sur les tendances sectorielles, et même sur les conditions d’obtention de visas. À cette base de données en accès libre, s’ajoutent une quarantaine de services d’aide à l’exportation ou à l’importation proposés à des tarifs variables. Une équipe d’une centaine de personnes est mobilisée pour répondre à toutes les questions des internautes dans un délai de 24 heures. Au-delà de la compilation d’informations, le site Interex propose aussi des missions sur mesure de prospections de marchés. L’équipe d’Interex accompagne ainsi l’entreprise qui le souhaite dans ses démarches en lui fournissant des données concernant le marché visé et en effectuant un sondage préalable auprès d’entreprises ciblées. En fonction des réponses, des rendez-vous sont pris avec des clients potentiels et le voyage est organisé. Selon le PDG d’Interex, plus de 90 % de ces missions se traduisent par un flux commercial. Mille missions de ce type sont organisées tous les ans en France et 25 000 au total dans le monde. Le service, qui coûte, environ 4 300 euros (hors frais de logistique) pour l’Union européenne, est désormais disponible pour les entreprises libanaises


Vendredi 18 Juillet 2003

IDAL

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"Investir au Liban"

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Le Liban vers l'OMC - Organisation Mondiale du Commerce -:

Les étapes du processus de négociations

– Plan global d’accession à l’OMC
– Mémorandum du Liban sur son régime de commerce extérieur (15 mai 2001)
– Réponse à la première série de questions posées par les États membres de l’OMC à propos du mémorandum sur le commerce extérieur (17 mai 2002)
– Réponse à la deuxième série de questions posées par les États membres de l’OMC à propos du mémorandum sur le commerce extérieur (6 mars 2003)
– Document ACC/9 sur la législation libanaise concernant la propriété intellectuelle, l’étendue de son application. Une première version du document a été préparée en mai 2002 par USAid, et une deuxième version est en cours de préparation.
– Première réunion de négociations pour l’accession du Liban à l’OMC à Genève (14 octobre 2002)
– Document ACC/5 sur le régime des services au Liban. Une première version a été préparée en 2002 et elle est actuellement en cours de révision.
– Recensement complet des mesures non tarifaires qui affectent le commerce, dont les licences et les interdictions (6 mars 2003)
– Le deuxième round des négociations pour l’accession du Liban à l’OMC est prévu fin octobre 2003 à Genève.

Beyrouth déploie de gros efforts pour la lutte contre le piratage
La délégation libanaise poursuit ses préparatifs pour la conférence de Cancun
-du 10 au 14 Septembre 2003-

Le ministre de l’Économie et du Commerce, Marwan Hamadé, a présidé Le 26 Août 2003 une réunion de la délégation qui participera en septembre prochain à la cinquième conférence ministérielle de l’Organisation mondiale du commerce (OMC), à Cancun. M. Hamadé se rendra en personne à la ville mexicaine à la tête de cette délégation. La réunion s’est tenue en présence du directeur général du ministère de l’Économie et du Commerce, Fadi Makki, du président de l’Association des industriels, Fadi Abboud, des représentants de la Chambre de commerce de Beyrouth, de l’Union des chambres, du Conseil supérieur des douanes ainsi que des ministères de l’Économie et du Commerce, des Affaires étrangères, de l’Industrie et des Finances. En ce qui concerne l’adhésion à l’OMC, le ministre a déclaré que la position du Liban tient compte des intérêts des secteurs public et privé, ainsi que de ceux des différents secteurs productifs, « afin que l’entrée dans cette organisation favorise la commercialisation des produits libanais à l’étranger ». M. Hamadé a par ailleurs mis l’accent sur l’importance de la coordination entre les pays arabes et les États francophones, précisant que des réunions entre la délégation libanaise et les représentants de ces deux blocs se tiendront en marge de la conférence de l’OMC.

Battle -Ambassadeur des USA au Liban -:
nous aidons le Liban pour son adhésion à l’OMC

La conférence ministérielle de Cancun sera axée principalement sur les dossiers de l’agriculture, des services, du commerce des produits industriels, de la protection de la propriété intellectuelle, de la santé et de l’environnement. À signaler par ailleurs que l’ambassadeur américain à Beyrouth, Vincent Battle, a déclaré hier que « les États-Unis aident depuis longtemps le Liban dans son processus d’adhésion à l’OMC ». M. Battle s’exprimait à l’issue d’une rencontre avec le ministre de l’Économie et du Commerce, au cours de laquelle les deux hommes se sont entretenus de la prochaine conférence ministérielle à Cancun. M. Hamadé a déclaré de son côté que le Liban « déploie de gros efforts pour la lutte contre le piratage et contre la violation de la propriété intellectuelle ».

Les points de frictions aussi nombreux que les dossiers sur la table des négociations

Le cycle de négociations commerciales multilatérales de Doha risque de s’enliser lors de la prochaine conférence ministérielle de l’OMC à Cancun (Mexique), du 10 au 14 septembre, et de peser davantage sur une économie mondiale anémiée. À son lancement en novembre 2001, à l’occasion de la dernière conférence ministérielle de l’OMC à Doha (Qatar), le nouveau cycle de négociations commerciales avait été dénommé, avec beaucoup d’ambitions, le « Programme de développement de Doha ». Ce signe à l’adresse des pays en voie de développement sur leurs chances de voir leur économie décoller grâce à la libéralisation des échanges est de plus en plus flou. Mi-septembre à Cancun, les ministres du Commerce des 146 pays membres de l’OMC vont batailler pour dégager un consensus sur les trop nombreux dossiers de la négociation. Les efforts des négociateurs, le week-end dernier, ont permis de rédiger un document de compromis permettant, si chacun y adhère, d’espérer encore un accord lors de la conférence. « La sagesse voudrait que l’on reconnaisse qu’il y a quelques sujets fondamentaux sur lesquels il faut avancer », confie Pierre Lepetit, directeur de l’Institut français des relations internationales (Ifri). Pessimiste, Olivier Cattaneo, professeur de sciences politiques et expert de l’OMC, juge qu’un demi-succès serait d’arriver « à restreindre l’ordre du jour (de Doha) et fonder des bases solides pour le reste des négociations » tout en adressant « des signes de bonne volonté aux pays en développement ». Au départ, « l’OMC a été créée pour en faire un forum permanent de négociations et sur ce principe on peut se permettre d’avancer dossier par dossier », note Pierre Lepetit. Progressivement, une dérive a entraîné le système dans « une mécanique infernale, une mécanique de tout globaliser et où l’on est dans l’impossibilité de trouver un équilibre », poursuit M. Lepetit. Les points de frictions sont aussi nombreux que les dossiers sur la table des négociations, mais deux ou trois sujets peuvent être la clé de voûte d’un accord. Ainsi, l’accès aux médicaments des pays les plus pauvres pour lutter contre les pandémies comme le sida ou le paludisme, l’accès aux marchés des pays riches pour les pays en développement ou encore la suppression progressive de toutes subventions agricoles seront au cœur des discussions de cette conférence ministérielle qui se réunit tous les deux ans. « Aujourd’hui, ce qui importe, c’est de maintenir le mouvement de libéralisation des échanges au niveau mondial car personne ne peut contester que ce mouvement a accompagné la croissance depuis 40 à 50 ans et qu’un échec sérieux du cycle de Doha serait pénalisant dans le contexte de la conjoncture actuelle », relève cet expert. Malmenée à la conférence de Doha, l’Union européenne sera certes encore décriée à Cancun pour ses subventions agricoles, mais sa toute récente réforme de la politique agricole commune (PAC) lui donne une marge de manœuvre. Grâce à cette réforme, l’UE et les États-Unis ont scellé une entente mi-août autour de la réduction des subventions et surtout des aides directes. Une avancée jugée trop timide pour les pays en développement comme pour le Groupe de Cairns (Australie, Canada, Argentine, etc.) et critiquée par le Japon qui veut continuer à aider massivement ses producteurs de riz. À l’évidence, l’agriculture et les médicaments pour les pays pauvres sont les deux dossiers capables de bloquer tout accord à Cancun, selon l’ambassadeur du Mexique à Genève (siège de l’OMC), Eduardo Pérez Motta.

Bruxelles juge le nouveau projet de déclaration de l’OMC « déséquilibré »
La Commission européenne a jugé « déséquilibré » hier le projet révisé de déclaration de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) sur la libéralisation des échanges, dans la perspective de la 5e conférence ministérielle de l’OMC du 10 au 14 septembre à Cancun (Mexique). « Le texte en l’état suscite quelques préoccupations », a déclaré à la presse Arancha Gonzalez, porte-parole du commissaire européen au Commerce Pascal Lamy. Pour sa part, le porte-parole du commissaire à l’agriculture Franz Fischler, Gregor Kreuzhuber, a reproché au texte de « ne pas offrir une répartition de charge équitable entre les acteurs de l’OMC » en matière agricole, en « plaçant surtout la charge sur l’Europe et les États-Unis ». « Dans certains domaines nous devons payer et les autres se contentent d’encaisser, nous ne pouvons pas l’accepter », a-t-il dit. « Le projet demande toujours d’autres réductions substantielles » de soutien agricole que « nous ne pouvons pas suivre », a affirmé le porte-parole. Pour ce qui est de la réduction des subventions à l’exportation, « les formes européennes de ces subventions (les restitutions) sont beaucoup plus malmenées que les formes américaines » (crédits à l’exportation), a-t-il estimé. Quant à l’accès aux marchés, le porte-parole de M. Fischler s’est étonné que « les pays en développement les moins avancés » et ceux qui sont « des gros exportateurs nets de denrées alimentaires » soient mis sur le même plan et profitent des « normes différentes » en matière de droits de douanes que les pays développés.


Août 2003

Le ministre de l’Économie et du Commerce, Marwan Hamadé, a déclaré que « l’adhésion du Liban à l’Organisation mondiale du commerce (OMC) nécessite un large consensus national et une entente entre tous les secteurs productifs concernés ». M. Hamadé s’exprimait au cours d’une réunion du Comité national chargé de négocier l’adhésion du Liban à l’OMC, tenue au siège du Conseil économique et social, au centre-ville.
Le ministre a déclaré que le Liban est entré dans le dernier round des négociations d’adhésion et que les représentants des administrations et des ministères concernés se rendront à Genève en octobre et en novembre prochains pour « défendre les secteurs productifs libanais » et « prouver que le Liban ne se trouve pas en dehors du commerce mondial ». M. Hamadé a précisé que le Liban participera pour la première fois à la cinquième réunion ministérielle de l’OMC qui se tiendra à Cancun, au Mexique, en septembre. Il a souligné d’autre part que les lois commerciales en cours d’élaboration portent sur le commerce mondial et les licences, sur la protection de la production nationale et sur les relations commerciales. Par ailleurs, M. Hamadé a rencontré le représentant du groupe arabe au sein de la Banque mondiale, Mehdi el-Jazzar, et la conseillère du directeur exécutif de la banque, Nada Moufarrej. Les deux parties ont discuté des politiques de la BM à l’égard du monde arabe en général et du Liban en particulier. MM. Hamadé et Jazzar se sont également entretenus des projets financés par la BM au Liban ainsi que de la réunion périodique de la banque qui se tiendra à la mi-septembre à Dubaï.