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La
capitalisation de la Bourse de Beyrouth a augmenté de 86,7 % en
trois ans
La
Bourse de Beyrouth a annoncé que sa capitalisation boursière a
atteint 2,33 milliards de dollars fin 2004, contre 1,24 milliard
fin 2001, soit une hausse de 86,7 % en trois ans. La valeur quotidienne
moyenne des transactions en dollars est passée de 219,7 dollars
en 2001 à 807,5 dollars, soit une augmentation de 267 %. Selon
un communiqué de la Bourse de Beyrouth, l’année 2004 a été marquée
par l’introduction en Bourse des eurobonds émis par le gouvernement
libanais. Les investisseurs et les institutions peuvent négocier
ces instruments en séance.
Les nouvelles cotations de GDR, d’actions privilégiées et de fonds
de placement, en plus des actions ordinaires déjà cotées, ont
contribué à l’augmentation du nombre des instruments cotés (eurobonds
exclus), qui sont passés de 14 en 2001 à 19 en 2004. Ils n’étaient
que quatre instruments cotés fin 1996. En 2004, c’est Blominvest
qui a effectué le plus de transactions boursières en valeur (35,82
% du marché), suivi de Audi Saradar Investment Bank (21,77 %),
du Crédit commercial et foncier (16,86 %) et de Fidus (9,12 %).
En ce qui concerne les titres échangés, c’est Solidere qui continue
de se tailler la part du lion avec 62,9 % des transactions échangées
(en valeur). Au niveau des actions du secteur bancaire, ce sont
les titres de la Blom Bank qui ont fait l’objet du plus gros montant
de transactions boursières (GDR, 38,21 %), suivis de ceux de la
Bank of Beirut (actions ordinaires, 25,78 %) et de la Banque Audi
(actions ordinaires, 24,66 %).
Par ailleurs, la Bourse de Beyrouth précise qu’elle a installé
le même logiciel de transactions utilisé par Euronext, le NSC-Unix,
et qu’elle prévoit de passer bientot à un système de cotation
en continu. La Bourse a souligné également qu’elle va instaurer
un système électronique de transactions en 2005 et tenter de collaborer
davantage avec les Bourses arabes pour encourager les opérations
transfrontalières.
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Ecole de la
Bourse
Session d'Automne 2003
Samedi 25 Octobre pour le cycle d'Initiation
Samedi 1er Novembre pour le cycle
perfectionnement
Pour information / inscription,
contactez SUPEC / Pigier
Mr. Hani Issa 03-424731 ou e-mail: h.issa@pigier.com.lb
Mr. Samir Zehil 03-327813 ou e-mail: szehil@pigier.com.lb
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Lieu:
Le Palace Campus (Pigier / Supec nouveau campus) Rue Sursock
Frais de participation
aux seminaires: 200$ + TVA,
déjeuner inclus
( Etudiants: 100$ + TVA)
frais pour les 2 seminaires:
300$ + TVA
Tel/fax: (961-1) 447899 - 443883 - 448040 - 563270
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Les places boursières
de Paris et de Beyrouth sont traditionnellement liées et
depuis 1995, la Bourse de Paris s'est largement impliquée,
notamment au niveau technique, dans la réouverture puis
la modernisation de la Bourse de Beyrouth.
Mais agir en Bourse ne saurait s'improviser, autant pour les professionnels
que les particuliers et il s'avère plus que jamais nécéssaire
d'envisager une formation d'initiation ou de perfectionnement
aux techniques des marchés financiers pour augmenter ses
chances de réussite dans l'action.
C'est sous l'impulsion de Mr Yves Danbakli, professionnel expérimenté
de la banque, et franco-libanais installé à Tarbes
dans le Sud-Ouest de la France, que les programmes de l'Ecole
de la Bourse qui connaissent, depuis plusieurs années,
un net succès auprès du grand public en France sont
promis à régulièrement se dérouler
au Liban.
Un partenariat a donc été signé entre l'Ecole
SUPEC* de Beyrouth et l'Ecole de la Bourse de Paris pour garantir
le sérieux et la crédibilité de ces formations
boursières dont la première session se tient dans
la dernière semaine de Juin 2003.
LibanVision
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* Supec
désigne les Ecoles Supérieures de Commerce
du Groupe Pigier présent depuis de nombreuses années au
Liban.
Le site officiel de
La dernière Newsletter de l'Ecole de la
Bourse de Paris
Le
site web de
La Bourse
de Beyrouth /
Beirut Stock Exchange
et celui de EuroNext SA/
Bourse de Paris
€
Exclusif ! $
Historique de la parité
Euro
Dollar
depuis 1999
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Formation au Liban à l'Ecole
SUPEC - Pigier de Beyrouth
Programmes de Formation à
la Bourse du 23 au 28 Juin 2003
puis fin Septembre/Début Octobre
Du Lundi au Vendredi de 17h30
à 20h
ou le Samedi de 9h00 à 17h30
Renseignements et Inscriptions
auprès de Mrs Issa ou Zehil
Tel 01 448040
01 443883
La première session de cours
s'est déroulée à l'hôtel Alexandre
d'Acharafieh
email: h.issa@pigier.com.lb
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L’École de la Bourse de Paris
et SUPEC (Groupe Pigier) ont organisé un cycle d’initiation à
la Bourse et aux finances samedi dernier sous le titre « la Bourse,
ça s’apprend », à l’hôtel Alexandre, à Achrafieh. Ce séminaire
animé par le directeur de l’École de la Bourse de Tarbes (France),
Yves Danbakli, a été axé sur le fonctionnement de la Bourse, les
différents instruments financiers, la sélection des titres, la
recherche et l’utilisation de l’information financière, la gestion
du portefeuille et les relations avec les intermédiaires. Le but
de ce séminaire est d’initier les profanes autant que les plus
avertis aux mécanismes boursiers, l’utilité et la manière de gérer
un portefeuille, ainsi qu’aux moyens de s’informer sur l’évolution
des marchés de capitaux. Les participants au cycle ont pu se familiariser
ainsi avec des termes comme le premier marché, le fixing, l’ordre
à la meilleure limite, le SRD, les OPCVM, l’érosion monétaire,
les prêts in fine, ou encore le PER. M. Danbakli a notamment insisté
sur l’importance de l’information financière « transparente et
sincère » en cette ère capitaliste. « La presse financière spécialisée
joue un rôle capital dans la transmission des informations au
public », a-t-il déclaré. Il a affirmé que les particuliers ne
doivent ignorer pas les mécanismes qui régissent le monde financier
en général, et boursier en particulier, surtout s’ils comptent
créer un patrimoine solide et éviter les pièges et risques que
sous-entend une telle entreprise. M. Danbakli a illustré ses propos
par des exemples tirés de l’actualité française mais également
libanaise. Un autre séminaire complémentaire et plus approfondi
se tiendra en septembre prochain.
Vu dans l'Orient-Le Jour le 30 Juin 2003
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ACI Liban a accueilli
le 43ème congrès mondial de l'ACI
Association des Cambistes Internationaux - Forex
du 10 au 14 Septembre 2003
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Bourse de Beyrouth:
prête à jouer son rôle
Depuis sa renaissance en 1996,
jamais la Bourse de Beyrouth n'est parvenue a jouer le rôle
que l'on pouvait en attendre dans l'Economie libanaise.
Est-ce encore le signe d'un manque de confiance dans le pays,
d'une inadéquation entre les fortes structures familiales
dans la plupart des entreprises et l'ouverture du capital qu'elle
induit? toujours est-il que les efforts structurels entrepris
depuis près de dix ans pour relancer cette institutions
ne sont pas encore récompensés.
C'est ainsi que les volumes traités à la Bourse
de Beyrouth demeurent symboliques même si le premier trimestre
de 2003 marque un frémissement prometteur:
Le volume des transactions s'est élevé à
7,92 millions de titres représentant une valeur de 35,59
millions de dollars.Certes, cela représente un quasi
triplement de l'activité du 4éme trimestre de
l'exercice 2002, mais cela ne représente en 3 mois ce
que la Bourse de Paris traite souvent en moins d'une heure!
Le rôle de la Bourse de Beyrouth dans le financement de
l'économie locale demeure pour le moment négligeable,
alors qu'elle offre, notamment grâce à la coopération
des services de la Bourse de Paris depuis son lancement, des
meilleurs standards de sécurité pour les transactions
et le système de cotation.
Seule une quinzaine de titres y sont négociés
soit autant que les Sociétés Financières,
ex-Agents de Change, membres du Comité de la Bourse de
Beyrouth.
Chaque jour, treize transactions seulement y sont en moyenne
effectuées, pour un volume moyen d'un peu moins de 140.000
titres et une valeur moyenne de presque 680.000 US Dollars.
Les deux titres de Solidere représente toujours la majorité
des transactions suivis des titres du Secteur bancaire comme
Byblos Bank et Audi Bank. La part des titres des sociétés
industrielles ou commerciales demeurent trop rares pour ne pas
être symbolique.
Il convient donc aux autorités de tenter de lui conférer
une dimension plus populaire et de communiquer un message de
confiance pour que cet outil tienne enfin le rôle qui
est le sien comme dans tout Etat jouissant d'une économie
libérale.
Sans doute un de ces nombreux paradoxes dont le Liban détient
le secret à l'image de son système bancaire qui
n'a jamais cessé de briller.
Jean-Michel
Druart
Bourse de Beyrouth:
Inauguration d'un nouveau système électronique
de transactions permettant plus de 1000 transactions horaires.
Le
ministre des Finances, Fouad Siniora, a inauguré le 10 Juillet
2003 le nouveau système de transactions électroniques de la
Bourse de Beyrouth, en présence de l’ambassadeur de France,
Philippe Lecourtier. Le nouveau système vient compléter le processus
de modernisation de la Bourse entamé il y a plusieurs mois et
qui s’était traduit par l’introduction d’un système de cotation
en continu et la cotation de nouveaux instruments financiers.
Il s’agit de l’un des systèmes les plus modernes du monde arabe,
similaire à celui adopté par Euronext, la Bourse européenne,
a déclaré le président de la Bourse, Fadi Khalaf, puisqu’il
permet de traiter les opérations les plus importantes y compris
de grosses privatisations. « Il permet de traiter 1 000 transactions
à la seconde », a-t-il ajouté. Le nouvel équipement a été financé
à hauteur de 90 % par un don de la France, en vertu d’un protocole
signé en 1995. L’objectif de cette coopération est d’aider la
place de Beyrouth à retrouver son rôle régional, a déclaré l’ambassadeur
de France. De son côté, le ministre des Finances a souligné
que l’introduction d’un nouveau système de transaction électronique
à la Bourse de Beyrouth entrait dans le cadre de l’informatisation
des divers services du ministère des Finances, tels que les
douanes, le cadastre, etc. Si la Bourse de Beyrouth est désormais
parée du point de vue technologique, reste à susciter l’intérêt
des investisseurs. Par comparaison avec les capacités du nouveau
système, qui permet 60 000 transactions par heure, les quatre
transactions enregistrées hier paraissent bien maigres. La Bourse
fondait beaucoup d’espoir sur les opérations de privatisation
qui se font attendre, elle espère désormais que la titrisation
promise par le gouvernement l’aidera à trouver un nouveau souffle.
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