LE 
          LIBAN : LES DEFIS DE L'AVENIR  
          Sous le haut-patronage de Christian Poncelet, 
          président du Sénat et sous la présidence d'Adrien Gouteyron, sénateur 
          de la Haute-Loire et président du groupe d'amitié France-Liban 
            
            
           
          Le Message de M. Christian PONCELET, 
          lu par M. Adrien Gouteyron, Vice-Président du Sénat, 
          à l'ouverture du colloque sur le Liban  
           
        
           
             
               
                 L'Analyse de LibanVision 
                   
                  Le Liban: les défis de l'Avenir 
                  ou l'autre reconstruction 
                -Paris 26 Septembre 2003- Qu'ils 
                  résident à Paris ou qu'ils se soient déplacés 
                  de Beyrouth, les libanais présents au colloque du Sénat 
                  y sont allés d'une voix unanime.Tous ont dénoncé 
                  la corruption combinée avec l'existence d'une momenklatura, 
                  le déliquescence de la société civile et 
                  l'existence d'une véritable hémorragie de la population 
                  depuis 1997, à un rythme inquiétant de presque 
                  100.000 par an dont beaucoup de jeunes. La cause de tous ces 
                  maux 
                  principalement évoquée réside dans le voisinage 
                  immédiat, la direction dépendant de la sensibilité 
                  de chacun... 
                  Devant un tel tableau plus que sombre car alarmant sous certains 
                  aspects, c'est à se demander ce qui pouvait bien subsister 
                  du modèle libanais qui avait été proposé 
                  au menu. Même si parallèlement il se dégageait 
                  aussi une unanimité pour s'entendre sur la tolérance 
                  réciproque, la réalité d'une entente Islamo-chrétienne 
                  et bien sûr l'indéfectible Amitié de la 
                  France, il fallait être "diablement" optimiste 
                  pour ne pas sortir plutôt découragé d'une 
                  telle journée.Devant tant de constats amers et de blocages 
                  dénoncés, il paraissait en effet bien difficile 
                  de trouver les clés d'une solution globale et rapide. 
                  Notre conclusion devenait alors que le premier défi à 
                  relever pour les libanais est celui de ne pas sombrer dans une 
                  certaine résignation, ceci valant tant pour ceux qui 
                  restent au pays que pour les autres qui ont parfois pris quelque 
                  distance. 
                  Le peuple libanais, fort d'une confiance reconquise, de ses 
                  capacités et de ses potentialités largement reconnues 
                  devra rapidement prendre ses responsabilités pour entamer 
                  sa véritable reconstruction sur les bases d'un engagement 
                  démocratique fondé sur la conscience citoyenne. 
                  En effet, si la reconstruction matérielle entamée 
                  depuis dix ans était nécessaire, elle ne saurait 
                  être manifestement suffisante. 
                  C'est dans les temps les plus difficiles de l'histoire de toute 
                  nation que le don de créativité et de capacité 
                  de sursaut des peuples doivent leur éviter toutes tentations 
                  de démission;  
                  En ce qui nous concerne, cela restera pour l'Avenir du Liban, 
                  notre parti unique ! 
                   
                  JM Druart et Karine Requena 
                    
                   
                   Rendez-Vous: 
                  les 23 & 24 Octobre à Lyon 
                   Les 
                  Assises de la Coopération décentralisée 
                  Franco-libanaise 
                   
               
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                Le résumé de la 
                journée et le compte-rendu des principales interventions 
                 
                avec  
                  
                Participation de personnalités politiques 
                et académiques à 4 tables rondes sur « les défis de l’avenir » 
                 
                Journée libanaise au sénat français  
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                Longue journée libanaise le jeudi 25 Septembre 
                  dans la salle Clemenceau du Sénat français à Paris où s’est 
                  tenu un colloque sur le thème « Le Liban, les défis de l’avenir 
                  », et cela à l’initiative et sous la présidence de M. Adrien 
                  Gouteyron, sénateur de la Haute-Loire, vice-président du 
                  Sénat et président du groupe d’amitié France-Liban. Les débats, 
                  animés par le rédacteur en chef de «Valeurs Actuelles» Frédéric 
                  Pons et le rédacteur en chef de «L’Orient-Le Jour» Issa 
                  Goraieb, et auxquels ont participé de nombreuses personnalités 
                  politiques, académiques et autres, se sont déroulés dans le 
                  cadre de quatre tables rondes et ont donné lieu à des discussions 
                  avec un public nombreux. Cet événement a été marqué par une 
                  présence substantielle de l’opposition libanaise, que rendait 
                  plus évidente encore l’absence – demeurée inexpliquée – des 
                  hommes politiques proches du pouvoir libanais, qui avaient décliné 
                  l’invitation. Dans ses deux allocutions d’ouverture et de clôture, 
                  le sénateur Gouteyron, sans jamais minimiser la gravité des 
                  défis que se doit de relever le modèle libanais, a vu dans les 
                  interventions on ne peut plus directes et explicites des participants 
                  un réconfortant signe de santé ouvrant la porte à tous les espoirs. 
                  Et c’est ce même message d’espoir qu’a tenu à dégager le député 
                  de la Meurthe-et-Moselle Gérard Léonard qui préside, 
                  lui, le groupe d’amitié France-Liban à l’Assemblée nationale 
                  : espoir de l’établissement (et non rétablissement, a-t-il précisé) 
                  d’un État de droit au Liban, espoir aussi d’un recouvrement 
                  par ce pays de sa souveraineté. M. Bernard Emié, directeur 
                  de la section Afrique du Nord et Moyen-Orient au Quai d’Orsay, 
                  a entrepris de rasséréner, quant à lui, ceux qui reprochent 
                  à la France d’avoir « lâché » le Liban, affirmant notamment 
                  que notre pays reste un partenaire d’exception de l’Hexagone 
                  dans le partenariat euro-méditerranéen. M. Emié a pressé les 
                  Libanais d’entreprendre une réconciliation en profondeur, les 
                  appelant à façonner ensemble leur avenir commun, formulant l’espoir 
                  qu’« aucune entrave, aucune dérive » ne viennent altérer l’échéance 
                  de l’élection présidentielle de 2004 et celle du scrutin législatif 
                  de 2005. Il a également recommandé que soit mené à terme le 
                  processus de réforme économique, administrative et judiciaire, 
                  soulignant qu’il y allait de la crédibilité du pays. Il a enfin 
                  plaidé pour une « redéfinition progressive » des relations libano-syriennes, 
                  ouvrant la voie à un départ des troupes de Damas conformément 
                  à l’accord de Taëf, insistant par ailleurs sur la nécessité, 
                  pour l’État libanais, de restaurer son autorité sur la totalité 
                  du territoire national. Sur le thème « Un modèle meurtri », 
                  la première table ronde de la journée avait débuté par un exposé 
                  de M. Bassem Jisr, vice-président du Mouvement du renouveau 
                  démocratique, qui a déploré l’effet néfaste des interférences 
                  régionales sur une formule libanaise dont on assiste aujourd’hui 
                  à la résurrection. Le Dr Ghada Abdallah Yafi, après avoir 
                  dénoncé « les vices de structure », notamment en matière de 
                  représentation nationale, a appelé à une implication réelle 
                  du citoyen dans l’activité politique, demandant notamment que 
                  des ponts soient jetés entre les systèmes scolaires du pays. 
                  M. Salah Honein, député de Baabda, a dénoncé les lacunes 
                  et insuffisances de l’accord de Taëf, « qui, bien que constitutionnel, 
                  ne concrétise pas la foi nationale » et qui, de surcroît, n’a 
                  pas été convenablement appliqué. Proclamant son attachement 
                  à la démocratie plurielle et consensuelle, M. Honein a reproché 
                  à l’accord de Taëf d’« avoir accentué l’ancrage à un confessionnalisme 
                  pur et dur » tout en prônant l’abolition par étapes du même 
                  confessionnalisme. Il a plaidé pour l’institution du mariage 
                  civil et du suffrage universel pour l’élection du président 
                  de la République, doublée d’une rotation communautaire des deux 
                  autres présidences. Suivant à prendre la parole, le politologue 
                  Joseph Maïla, doyen de la faculté des sciences sociales 
                  et économiques de l’Institut catholique de Paris, a mis en relief 
                  « la formidable résistance » du système libanais, évoquant le 
                  communautarisme de droit au Liban et celui, de fait, qui règne 
                  dans maints pays arabes.  
                  M. Séoud al-Mawla, professeur de sociologie à l’Université 
                  libanaise et directeur du centre du dialogue à l’Université 
                  Saint-Joseph, a fait l’apologie de la coexistence, développant 
                  à cette fin les thèses de l’imam Mohammed Mahdi Chamseddine. 
                  Lors de la deuxième table ronde, axée sur « Les scénarios géopolitiques 
                  pour le futur », M. Frédéric Encel, professeur à l’Institut 
                  des études politiques de Rennes, a fait part de sa conviction 
                  totale que le Liban redeviendra un pays souverain, se fondant 
                  pour cela sur les transformations qui, selon lui, attendent 
                  la région du Proche-Orient. M. Samir Frangié, membre 
                  du Rassemblement de Kornet Chehwane, a souligné que le Liban, 
                  seul parmi les pays du Moyen-Orient dont l’existence a toujours 
                  été contestée par ses voisins, reste paradoxalement, malgré 
                  les faiblesses inhérentes à la nature de son régime, le seul 
                  modèle à suivre. Il a estimé que les Libanais peuvent tirer 
                  profit de ce moment historique pour recouvrer leur indépendance 
                  « à condition qu’ils fassent d’abord la double preuve de leur 
                  maturité et de leur utilité ». Ce recouvrement peut être facilité, 
                  a-t-il poursuivi, par trois facteurs : l’unité nationale, le 
                  changement en Syrie et l’instauration d’un nouvel ordre régional. 
                  M. Misbah Ahdab, député de Tripoli, a accusé le pouvoir 
                  libanais d’abuser de la couverture syrienne pour se livrer à 
                  des pratiques antidémocratiques, rejetant par ailleurs la notion 
                  de pertes et de profits en termes communautaires, car, a-t-il 
                  dit, « tout ce qui est bon pour le Liban fait de tous des gagnants 
                  », l’inverse étant vrai aussi. M. Khattar Abou-Diab, 
                  politologue spécialiste du Moyen-Orient, a vu dans le Liban 
                  « le maillon faible de toute une chaîne d’intérêts régionaux 
                  », s’attachant à responsabiliser les Libanais dans l’entreprise 
                  de réhabilitation de leur pays : « Pour mériter leur terre, 
                  ils doivent être unis », a-t-il notamment affirmé. Le Dr 
                  Farès Souhaid, député de Jbeil, a fait valoir qu’alors qu’il 
                  convient d’accorder des droits aux citoyens, c’est des garanties 
                  qu’il faut offrir aux communautés libanaises. Il a souligné 
                  que la liberté est gravement menacée au Liban, « car l’État 
                  n’est pas souverain et la population n’est pas en mesure de 
                  désigner ses représentants ». M. Antoine Sfeir, journaliste 
                  et politologue, président du Centre d’études et de réflexions 
                  sur le Proche-Orient, s’est demandé s’il existe réellement un 
                  modèle libanais mettant l’accent sur la fâcheuse vitalité des 
                  réflexes communautaires et déplorant que peu d’efforts aient 
                  été déployés à ce jour, par les uns et les autres, pour mieux 
                  se connaître. En clôture de la session du matin, a été donnée 
                  lecture du message adressé à ce colloque par le patriarche maronite, 
                  le cardinal Sfeir, actuellement en visite à Paris, puis 
                  de celui envoyé par le dignitaire chiite Sayyed Mohammed 
                  Hussein Fadlallah ; après quoi le président Amine Gemayel 
                  a prononcé une allocution dans laquelle il a évoqué la nécessité 
                  d’un dialogue serein avec la Syrie (lire par ailleurs des extraits 
                  de toutes ces communications). 
                  Prélèvements syriens directs et indirects 
                   
                  À la reprise, après un déjeuner typique libanais 
                  servi dans les salons De Boffrand du Sénat par le restaurant 
                  Fakhr el-Dine, les participants se sont penchés sur les difficultés 
                  économiques et financières que connaît le Liban. M. Ibrahim 
                  Maroun, professeur de sociologie économique à l’Institut 
                  des sciences sociales de l’Université libanaise s’est alarmé 
                  de la diminution continue de la population libanaise (de l’ordre 
                  de 100 000 personnes par an) due à l’émigration, dénonçant par 
                  ailleurs le dumping de produits syriens qui a provoqué la faillite 
                  de milliers d’entreprises libanaises et l’entente liant les 
                  banques en matière de resserrement des crédits. Il a prôné un 
                  minimum de protection pour les produits nationaux, la révision 
                  des accords commerciaux « inégaux » passés avec la Syrie, une 
                  baisse des taux d’intérêt, une relance du bâtiment et une réorganisation 
                  du travail des étrangers. M. Pierre Daher, président-directeur 
                  général de la chaîne libanaise LBC, a brossé un tableau de la 
                  situation des médias audiovisuels au Liban et au Moyen-Orient. 
                  Il a affirmé que la création de la LBC en 1985 marquait la première 
                  infraction à la règle générale voulant que la télévision soit 
                  la chasse gardée des gouvernements. Il a déploré la « malheureuse 
                  et maladroite » fermeture de la station MTV l’an dernier, illustrant, 
                  a-t-il dit, le fait que la liberté d’expression reste relative 
                  et soumise à « des lois non écrites mais plus puissantes que 
                  les textes ». Abordant la question du financement des stations, 
                  M. Daher a assuré que les libertés publiques, la démocratie, 
                  l’égalité et la justice font partie d’un tout garantissant aussi 
                  bien le respect des droits du citoyen que la bonne marche des 
                  affaires. M. Jean-Michel Severino, directeur général 
                  de l’Agence française de développement (AFD), a exposé les projets 
                  d’assistance au Liban dans les domaines de l’eau et de l’aménagement 
                  urbain. Il a souligné la nécessité d’une entente politique pour 
                  mettre en place une action économique. De son côté, M. Olivier 
                  Imbavet, vice-président du groupe Méditerranée et directeur 
                  général d’Air Liquide, a réclamé l’institution d’un service 
                  normatif en matière de livraison de gaz aux industries et hôpitaux 
                  libanais, tandis que M. Jean Jaujay, directeur à l’EDF, 
                  a relevé les « fraudes et tarifications inadéquates » dans le 
                  réseau électrique libanais. M. Joe Faddoul, président 
                  de BML Istisharat, a vu dans « les prélèvements directs et indirects 
                  », dont se rendrait coupable la Syrie, l’une des raisons du 
                  déficit libanais. Au nombre des premiers, et sous un tonnerre 
                  d’applaudissements, il a cité le détournement du trafic téléphonique 
                  international, le racket frappant les importations de combustibles 
                  et le Casino du Liban, les subventions dont bénéficient des 
                  produits importés de Syrie et même le trucage des courses hippiques. 
                  Quant aux prélèvements indirects, ils auraient trait à des expropriations 
                  de terrain fictives et aux opérations de l’EDL et de la MEA. 
                  M. Ibrahim Tabet, président-directeur général de Stratégies-DDB, 
                  a indiqué qu’en plein processus de mondialisation, le Liban 
                  se trouvait menacé de marginalisation. Il s’est dit convaincu 
                  que le principal atout stratégique de notre pays résidait dans 
                  son potentiel culturel (industrie des loisirs, information, 
                  édition, mode, musique, etc.) M. Antoine Messarra, politologue, 
                  sociologue et professeur d’universités, a plaidé à son tour 
                  pour « une politique citoyenne » où tous les problèmes sans 
                  exception seraient soulevés et traités sous l’angle du citoyen 
                  usager, consommateur et bénéficiaire. Il n’existe pas, a-t-il 
                  affirmé, de solutions par la politique telle qu’elle est entendue 
                  et pratiquée par la plupart des politiciens, mais par une politique 
                  réhabilitée. Enfin M. Jean-Claude Boulos, président de 
                  l’Association internationale de la publicité (IAA), a dégagé 
                  les trois axes d’espérance suivants : le potentiel considérable 
                  des Libanais expatriés, la création d’une puissante organisation 
                  des publicitaires arabes et le caractère francophone du Liban, 
                  lequel devrait être consacré par la création avec l’aide de 
                  la France d’une chaîne libanaise francophone.  
                   
                  >>> Bientôt, les Actes 
                  du Colloque... 
               
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          Quelques 
          repères sur la Coopération Franco-libanaise 
           
            
           
        
           
             
               
                  
                   
                    
                
                   
                     
                       
                         
                           
                          OBJECTIF du PROGRAMME * 
                           
                          Les intervenants conviés à participer 
                          se seront des personnalités politiques, des chercheurs, 
                          des chefs d'entreprises et des écrivains libanais et 
                          français. Leur nombre final est de l'ordre de 25  
                           
                          Carles Rheims (Centre de Recherche et de Prospective 
                          Géostratégique)  
                          - 98 rue de Sèvres - 75007 PARIS Tel : 01 56 58 51 50 
                           
                          Contacts : Dominique Lasserre / Albert Kostanian 
                           
                            
                          14H30 
                          - 16H30  
                          Prospective économique 
                          : de l'impasse au miracle ?  
                            
                        Après 
                          avoir évalué la situation économique actuelle, les intervenants 
                          identifieront les différentes voies de sortie de crise. 
                          La réflexion prospective portera sur les avantages comparatifs 
                          du Liban et sur ses atouts compétitifs. Le rôle économique 
                          du Liban, dans le cadre d'un Proche-Orient pacifié, 
                          sera ainsi examiné en mettant l'accent sur son potentiel 
                          hydraulique, les compétences humaines de ses habitants 
                          et les avantages stratégiques de la place financière 
                          de Beyrouth. Cette table ronde s'attellera à définir 
                          les composants d'un miracle libanais dans un Proche-Orient 
                          pacifié.  
                        16H30 
                          - 17H40  
                          Quelles sont les stratégies 
                          les plus porteuses d'avenir?  
                            
                        Cette 
                          dernière table ronde prend appui sur les thèmes développés 
                          pendant la journée pour mettre en valeur les stratégies, 
                          donc les choix politiques les plus aptes à permettre 
                          au Liban de profiter, à nouveau, de ses atouts. Les 
                          intervenants élargiront le débat à la question des chrétiens 
                          d'orient, des rapports entre l'orient et l'occident 
                          et du dialogue entre les civilisations. Le rôle de la 
                          France dans ce processus sera souligné par une personnalité 
                          politique française de premier plan. 
                           
                          17H40 Allocution de clôture 
                           
                           
                           
                            
                            
                        * 
                          Non définitif sous réserve de l'accord 
                          et propositions des intervenants pressentis. 
                       
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                D'autres 
                  informations?  
                    
                   email/courriel: 
                    
                    
                  ou contacter  
                  Carles Rheims Consultants 
                  Tel 44 (0)1 56 58 51 54 
                 
                 
                    
                   
                
                
                
                
                 
                    
               
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                        9H00 
                          Message d'accueil  
                          9H15 Présentation du colloque 
                           
                          9H30 - 10H45  
                          Le Liban, un modèle meurtri 
                           
                           
                          Cette première table ronde se penchera sur le particularisme 
                          du Liban en soulignant les caractéristiques qui font 
                          de ce pays un modèle original. Le Liban, terre de coexistence 
                          et de disparités a, en effet, engendré une formule historique 
                          unique dont la pérennité revêt une grande importance 
                          pour l'avenir. La guerre aura aussi sa place dans ce 
                          débat. Il ne s'agira pas de l'expliquer mais de se demander 
                          si elle remet en cause l'essence du modèle libanais 
                          ou si elle n'est que la conséquence d'un mauvais pilotage 
                          de ce modèle. L'accent sera mis sur les problématiques 
                          de l'après guerre : mémoire, identité, désengagement 
                          politique et émigration. Les intervenants, après avoir 
                          ainsi identifié les " menaces ", s'interrogeront sur 
                          les perspectives d'avenir du Liban. Ce pays pourrait-il 
                          redevenir un modèle ? et lequel ?  
                           
                          10H45 - 12H30 
                          Le Liban et son environnement: 
                          les scénarios géopolitiques  
                          pour le futur  
                           
                          La deuxième table ronde situe le Liban dans son environnement 
                          régional et dans son contexte politique. A un moment 
                          crucial de l'histoire, des choix qui façonnent le futur 
                          s'imposent. Les alternatives face à la dynamique proche-orientale 
                          sont nombreuses. Dans la perspective de constituer un 
                          modèle renouvelé, quelle doit être l'attitude du Liban 
                          vis à vis de la Syrie ? d'Israël et du processus de 
                          paix ? d'une manière générale quels sont les scénarios 
                          géopolitiques d'évolution possibles ? Les intervenants 
                          se pencheront aussi sur les moyens de poser les jalons 
                          d'une stabilité intérieure future, garante du rayonnement 
                          du Liban. Ils apporteront ainsi leur contribution à 
                          une réflexion sur le système institutionnel libanais 
                          et les voies dans lesquelles ils souhaitent le voir 
                          évoluer. Ils s'interrogeront enfin sur l'apport que 
                          peut avoir le Liban sur son environnement Arabe et les 
                          effets à long terme que celui-ci, en pleine mutation, 
                          peut produire. 
                           
                          12H30 Conclusion de la Matinée 
                           
                          13H - 14H30 DEJEUNER DANS LES SALONS DE BOFFRAND  
                           
                           
                        <<< 
                          Suite 
                           
                            
                            
                            
                       
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                        Quelques 
                          liens d'amitié parlementaire 
                          France-Liban 
                            
                          La 
                          Page du Groupe d'Amitié France-Liban 
                          du 
                          Sénat, présidé par Mr Adrien 
                          Gouteyron et dont le Vice-Président est Mr 
                          Gérard 
                          Larcher . 
                        Groupe 
                          d'Amitié Parlementaire France-Liban 
                          de l'Assemblée Nationale, présidé 
                          par Mr le Député Gérard 
                          Bapt, jusqu'en 2002, voici la page du compte-rendu 
                          d'une mission effectuée au Liban en 2001.Mr Gérard 
                          Léonard, Député de la région 
                          de Nancy dans l'Est de la France lui a succédé 
                          début 2003. 
                        Relations 
                          Culturelles, Scientifiques et Techniques de la France 
                          avec le Liban et les pays voisins, 
                          un rapport parlementaire 
                          du Sénat rédigé entre 2000 et 2001 
                          suite à une visite régionale en 1999 sous 
                          la conduite de Mr Adrien Gouteyron.Ses données 
                          précises et récentes donnent une idée 
                          objective pour juger de l'influence de la France au 
                          Moyen-Orient mais aussi de ses perspectives. 
                           
                           
                          L'Agenda 
                          Officiel des Relations France-Liban, 
                          sur 
                          le site du Ministère des Affaires Etrangères, 
                          vous trouverez toutes les infos, photos, déclarations, 
                          notes et photos officielles diffusées notamment 
                          à l'attention de la Presse en ce qui concerne 
                          les visites non moins officiellesainsi que des notes 
                          de synthèses sur les relations bi-latérales.Vous 
                          voilà en quelque sorte sur le perron du Quai 
                          d'Orsay ou de l'Elysée dès qu'il se passe 
                          quelque chose de visible entre les deux pays! 
                           
                           
                       
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                Rappel du programme détaillé 
                de la journée et  
                des intervenants invités 
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                9 h 00 - Message d’accueil  
                  o Christian Poncelet, Président 
                  du Sénat  
                   
                  9 h 15 - Présentation du colloque  
                  o Adrien Gouteyron, sénateur de 
                  la Haute-Loire, vice-président du Sénat et président du groupe 
                  d’amitié France-Liban  
                9 h 30 Le Liban, un modèle meurtri  
                  Bassem El Jisr, éditorialiste  
                  Jean Lacouture, journaliste, écrivain 
                  Joseph Maïla, doyen de la Faculté 
                  des sciences sociales et économiques de l’Institut Catholique 
                  de Paris  
                  Salah Honein, député de Baabda 
                   
                  Ghada El Yafi, médecin, femme politique 
                   
                  Maria Chakhtoura, journaliste et 
                  sociologue  
                10 h 45 Scénarios géopolitiques pour le futur  
                  Lecture de message adressé à l'assemblée 
                  du colloque par: 
                  Sa Béatitude Boutros Sfeir, 
                  Patriarche et Cardinal de l'église Maronite du Liban 
                  Sayyed Mohammed Hassan Fadlallah, 
                  Haut dignitaire chiite  
                  --- 
                  Antoine Sfeir, politologue, directeur des Cahiers de 
                  l’Orient  
                  Misbah El Ahdab, député de Tripoli 
                   
                  Frederic Encel, spécialiste en 
                  géopolitique,  
                  professeur à l’Institut des études politiques de Rennes  
                   Farés Souhaid, 
                  député de Jbeil  
                  Samir Frangieh, politologue et 
                  homme politique 
                 
                12 h 30 Conclusion de la matinée  
                  Amine Gemayel, ancien président 
                  de la République libanaise 
                   
                  Déjeuner  
                14 h 30 Prospective économique : de l’impasse au miracle 
                  ?  
                   Pierre El 
                  Daher, président-directeur général de la Lebanese Broadcasting 
                  Corporation (LBC)  
                  Joe Faddoul, président de BML Istisharat 
                  Olivier Imbault, vice-président Groupe Méditerranée, directeur 
                  général Air Liquide Italie  
                  Abdallah Attieh, économiste, conseiller 
                  du Vice-premier ministre du Liban  
                  Jean Jaujay, Directeur du développement 
                  d’Electricité de France (EDF) pour les zones de l'Europe de 
                  l'Ouest, Afrique et Moyen -Orient. 
                  Ibrahim Tabet, président-directeur 
                  général de Stratégies-DDB  
                  Roger Nasnas *, 
                  président du Conseil économique et social libanais, 
                  président-directeur général d’AXA Moyen-Orient  
                  Jean-Michel Severino, directeur 
                  général de l’Agence française de développement (AFD)  
                16 h 30 Quelles sont les stratégies les plus porteuses d’avenir 
                  ?  
                  Jean-Claude Boulos, président de 
                  l’International Advertising Association  
                  Antoine Messara, politologue, sociologue 
                  et professeur des Universités  
                  Jean-François Daguzan, maître de 
                  recherches à la Fondation pour la recherche stratégique (FRS) 
                   
                   Bernard 
                  Emié, directeur Afrique du Nord et Moyen-Orient,  
                  Ministère des Affaires étrangères  
                  Gérard Léonard, député de la Meurthe 
                  et Moselle,  
                  président du groupe d’amitié France-Liban à l’Assemblée Nationale 
                  
                  17 h 45 Conclusion du colloque  
               
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