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Tax-Free Shopping au Liban


depuis l'été 2002

Tax-Free Shopping in Lebanon since summer 2002
La Détaxe pour les Touristes au Liban

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Tax Refund Services now available in Beirut International Airport
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Information for tourists in english


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2009/2010
Les dépenses détaxées en hausse de 13 % en 2009

Selon le rapport annuel de la société Global Refund, les dépenses détaxées par touriste ont reculé de 7 % en moyenne, reflétant une chute du pouvoir d'achat des visiteurs étrangers l'an dernier.

Dans l'édition de décembre de son rapport mensuel sur les dépenses des touristes au Liban, la société Global Refund, chargée de restituer aux touristes la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) sur les biens achetés sur le marché local, indique que les dépenses détaxées ont augmenté de 13 % au cours de 2009. Cette croissance des achats en détaxe va de pair avec la hausse du nombre de touristes, celui-ci ayant culminé à plus de 1,7 million fin novembre, en hausse de 43 % par rapport à la même période de l'an dernier. Elle n'a toutefois pas été proportionnelle à cet essor, ce qui indique une chute du pouvoir d'achat des visiteurs à l'ombre de la crise mondiale. D'ailleurs, selon les chiffres publiés, les dépenses détaxées par touriste (total des dépenses détaxées/nombre de touristes remboursés) ont reculé en moyenne de 7 % l'an dernier, la chute la plus forte ayant été enregistrée auprès des touristes américains (-17 %), jordaniens (-8 %) et syriens (-6 %).

Les Saoudiens en tête
En termes de répartition des achats par nationalité, les Arabes sont arrivés en première position, les Saoudiens représentant à eux seuls 22 % des dépenses touristiques totales, suivis des Koweïtiens (12 %), des Émiratis (11 %), des Égyptiens (7 %) et des Syriens (7 %). En termes de croissance des dépenses par rapport à 2008, ces derniers ont toutefois raflé la première place, leurs achats ayant bondi de 58 % en 2009, suivis des Égyptiens (+35 %), des Saoudiens (+33 %), des Koweïtiens (+13 %) et des Qataris (+9 %). Quant aux dépenses des Émiratis et des Français, elles ont reculé respectivement de 1 % et de 12 % par rapport à la même période de l'an dernier.

Les « cadeaux et souvenirs » prisés davantage
Au niveau de la répartition des dépenses par catégorie de biens, les « vêtements et accessoires » ont représenté 66 % des dépenses totales. Ils ont été suivis des « montres et joaillerie » (11 %), « parfums et cosmétiques » (5%), « électroménager et équipements pour jardins » (5 %) et « cadeaux et souvenirs » (3 %). Les achats d'objets appartenant à cette dernière catégorie ont toutefois enregistré la plus forte croissance (+45 %), suivis de ceux appartenant à la catégorie « électroménager et équipements pour jardins » (+32 %).
Enfin, selon Global Refund, les boutiques et centres commerciaux de la capitale ont accaparé 81 % des achats, suivis des magasins du Metn (14 %), du Kesrouan (3 %) et de Baabda (1 %). La plus forte croissance a toutefois été enregistrée dans le caza du Metn, les achats dans cette région ayant augmenté de 15 % par rapport à 2008.


Décembre 2005
L’Indice global du remboursement des achats (GRSI) : cumul annuel 2005
L’Indice global du remboursement des achats (GRSI) mesure les changements dans les dépenses détaxées des touristes, tout en faisant la lumière sur les dix premiers dépensiers, classés par nationalité.
Afin d’évaluer le changement absolu dans les modes de dépenses, les types de biens ne varient pas. Le GRSI calcule les changements dans les montants dépensés, considérant janvier 2004 comme le mois de base avec une valeur d’indice 100. Ainsi, les changements au mois par mois sont notés en fonction de cette base.
Le premier mois de l’année a témoigné d’une hausse de 84 % des dépenses, en comparaison avec janvier 2004.
En février, le GRSI a baissé de 11 %, en comparaison avec février 2004. Cependant, cette baisse aurait pu s’accentuer à cause de l’assassinat de l’ex-Premier ministre, Rafic Hariri, le 14 février.
Mais cette diminution a été atténuée en raison du fait que la plupart des touristes, qui étaient déjà dans le pays et qui étaient partis durant la deuxième moitié du mois, réclamaient le remboursement de leurs taxes. Après février 2005, l’activité touristique a chuté d’une manière significative en raison de l’instabilité politique consécutive à l’assassinat de l’ancien Premier ministre. L’indice de mars en témoigne d’ailleurs, soulignant une baisse de 24 % en comparaison avec mars 2004, et de 48 % en comparaison avec le mois précédent.
L’activité économique au Liban a continué à baisser entre mars et juillet, marquée par des changements radicaux dans les modes et montants des dépenses enregistrées. En comparaison avec les chiffres de la période correspondante en 2004, les montants des dépenses ont considérablement chuté pour atteindre leur plus bas niveau en avril, un mois qui a témoigné d’un déclin de 42 %. La baisse en mai était de 13 % alors que celle de juin et de juillet était de 1 %.
Des signes de rétablissement ont commencé à se profiler en août 2005, avec des dépenses supérieures de 2 % par rapport à la période correspondante en 2004. Cette tendance vers la hausse a continué en septembre. Au cours de ce mois, les dépenses ont dépassé de 16 % le chiffre enregistré l’année dernière.


Octobre 2005
Hausse des dépenses détaxées des Jordaniens
Selon les statistiques du ministère du Tourisme, le nombre des visiteurs jordaniens au Liban s’est élevé d’une manière significative, en raison de la facilitation de la procédure d’obtention de visas, en vigueur depuis juin 2005. En effet, le nombre des touristes jordaniens a augmenté de 82 % entre juin et septembre 2005, en comparaison avec la période correspondante en 2004.
L’accroissement du nombre des touristes au Liban a été accompagné d’une nette augmentation des dépenses par les touristes jordaniens entre juin et septembre 2005, atteignant son apogée en juillet, quand les dépenses ont augmenté de 48 % en comparaison avec celles de juillet 2004. En ce qui concerne le classement des dépenses par nationalité, la Jordanie a occupé la cinquième place entre les mois de juin et de septembre, précédée par l’Arabie saoudite, le Koweït, l’Égypte et
les Émirats arabes unis.
La Jordanie était classée sixième lors de la période correspondante en 2004.
Le nombre des transactions effectuées par les Jordaniens a dépassé de 14 % le chiffre enregistré l’année dernière et a régulièrement augmenté jusqu’en septembre,
atteignant alors 101 %.
Cependant, l’accroissement du nombre des transactions d’achats détaxés n’était pas toujours accompagné d’une augmentation des dépenses en valeurs. En juillet 2005, par exemple, le nombre des transactions a augmenté de 14 % et les dépenses de 48 %, en comparaison avec la même période en 2004. En septembre 2005, le nombre des transactions a nettement augmenté de 101 %, alors que les dépenses n’ont augmenté que de 26 %, en comparaison avec la même période en 2004.
Les accessoires de mode et les vêtements sont les produits préférés des Jordaniens, comptant pour 77 % de leurs dépenses totales en juin et septembre 2005. Les articles de maison et de jardinage suivent avec 10 %. Il est à noter que les montres comptent pour 2 % seulement des dépenses totales, contre 10 % enregistré
lors de la période correspondante en 2004.


Les dépenses détaxées retrouvent des couleurs

L’instabilité politique a continué à avoir un impact négatif sur l’industrie du tourisme au Liban, en mai 2005, au moment où les dépenses détaxées ont accusé une inquiétante baisse de 13 %, en comparaison avec la période correspondante en 2004. Les dépenses des touristes arabes ont enregistré le plus grand déclin. Celles des touristes égyptiens ont, par exemple, chuté de 32 %, alors que celles des touristes saoudiens, qui ont toujours été en tête de liste en termes de dépenses détaxées, ont accusé une baisse significative de 29 %. Cette tendance négative a été atténuée par une nette augmentation des dépenses des voyageurs français et britanniques, de 60 % et 45 % respectivement. Ainsi, la réaction des touristes européens à l’instabilité a été plus modérée que celle de leurs homologues arabes, probablement en raison du grand nombre de voyageurs européens qui sont, en fait, des expatriés libanais. La baisse des dépenses totales correspondait au déclin du nombre des transactions enregistrées en mai 2005, qui a diminué de 21 % en comparaison avec la même période l’année dernière. Il est à noter qu’alors que le nombre de transactions diminuait, le montant moyen d’achat augmentait, en fait, de 11 %. Les dépenses détaxées effectuées par les touristes ont repris du poil de la bête aux mois de juin et juillet avec des dépenses totales atteignant quasiment le niveau de l’année dernière. Durant ces deux mois, les dépenses des touristes européens ont de nouveau enregistré la hausse la plus importante, celles des touristes britanniques augmentant de 112 % en juillet 2005, en rythme annuel. En août 2005, la hausse des dépenses la plus élevée a été enregistrée parmi les voyageurs en provenance des Émirats arabes unis et du Koweït. En effet, les dépenses effectuées par les touristes de ces deux nationalités ont augmenté de 45 % et 40 % respectivement, en comparaison avec août 2004. En parallèle, les dépenses des touristes syriens ont nettement diminué de 48 %. En général, les dépenses détaxées en août ont augmenté de 2 %. Global Refund Lebanon est optimiste en ce qui concerne la période à venir. Plusieurs campagnes régionales ont été lancées pour promouvoir la richesse des centres d’attraction au Liban, à l’instar des complexes balnéaires et montagneux, des sites historiques, du shopping de niveau international, des restaurants et des boîtes de nuit.


Baisse annuelle de 16 % des dépenses détaxées entre février et juillet 2005

Le GRSI (Indice Global du Remboursement des Achats) est un outil important pour évaluer les modes de dépense des touristes, et ce en mesurant les changements au mois par mois dans les dépenses des touristes pour les 10 premières nationalités. Les types de biens dans le panier du GRSI sont stables afin que tout changement dans l’indice reflète les changements dans les dépenses uniquement. Le GRSI est calculé sur la base des dépenses de détail actuelles des touristes qui ont réclamé le remboursement de leur TVA auprès de Global Refund – Liban. Les ventes du mois de janvier 2004 ont été utilisées comme le mois de base avec une valeur d’indice 100. La période de six mois qui a suivi l’assassinat de Rafic Hariri en février 2005 a témoigné de remarquables changements dans le nombre de touristes venant au Liban. Ainsi, les modes de dépenses hors taxe ont considérablement fluctué. Le GRSI a nettement chuté en février et mars, mais il a commencé à reprendre du poil de la bête d’une manière progressive durant les mois suivants, hormis une légère diminution en juin.
En février, le GRSI a baissé de 11 %, en comparaison avec février 2004, suivi d’une nette diminution de 48 % (par rapport à l’indice de février 2005) en mars, ce qui a clairement reflété la période d’instabilité. Le GRSI s’est rétabli en avril, enregistrant une croissance de 11 %, suivie d’une hausse considérable de 27 % en mai. Cette tendance à la hausse a été interrompue en juin, quand le GRSI a diminué de 9 %, mais s’est repris de nouveau en juillet, quand le GRSI a augmenté de 27 %. Les touristes saoudiens, syriens et qatariotes ont généré la plus grande augmentation des dépenses pour le mois de juillet. Les dépenses de ces trois groupes ont augmenté de 43 %, 53 % et 93 % respectivement, en comparaison avec le mois précédent. Le GRSI des Jordaniens a nettement augmenté, de 92 %, entre avril et juillet, conséquence directe de l’annulation de la condition d’obtention de visas pour les citoyens jordaniens souhaitant visiter le Liban. Pour la période allant de février à juillet, les touristes saoudiens et koweïtiens, dont la part des dépenses totales a atteint 29 % et 14 % respectivement, ont effectué le plus de dépenses, suivis par les Jordaniens et les Émiratis qui viennent en troisième place, occupant une part de 8 % chacun.
Alors que le GRSI montre une tendance générale à la hausse pour la période de six mois, de février à juillet, le tourisme et les dépenses générées par ce secteur ont été négativement touchés par les développements politiques dans le pays depuis le mois de février. En comparaison avec la période correspondante en 2004, les dépenses de tous les touristes dont les taxes sont remboursables ont diminué de 16 %, alors que le nombre des transactions a régressé de 22 %. La plus forte diminution des dépenses totales a été notée parmi les touristes français, émiratis et saoudiens, dont les dépenses ont diminué de 43 %, 30 % et 23 % respectivement. En parallèle, en ce qui concerne le nombre des transactions traitées, la baisse la plus grande de 43 % et 40 % a été attribuée aux touristes français et émiratis. Les touristes américains ont, de leur côté, effectué un nombre de transactions inférieur de 32 % à celui de l’année dernière, la troisième baisse la plus significative.


Amélioration inattendue de la conjoncture en mai 2005
Contrairement à nos prévisions, qui portaient sur une baisse de 16 % des achats détaxés en mai, le secteur du tourisme s’est révélé en meilleure forme pour le mois concerné. L’augmentation de l’activité s’est répercutée positivement sur le chiffre d’affaires des achats détaxés. Selon les chiffres du ministère du Tourisme pour le mois de mai, le nombre des touristes a augmenté de 22 % en mai, passant d’environ 55 000 visiteurs en avril à environ
67 000 le mois suivant. Cependant, il n’y a pas eu d’augmentation par rapport aux deux mêmes mois de l’année dernière.
En avril et mai 2004, le nombre des visiteurs s’est stabilisé à environ 85 000. L’augmentation la plus élevée par nationalité a été enregistrée parmi les visiteurs américains, dont la majorité était des expatriés libanais. Leur nombre a augmenté rapidement pour atteindre 77 %. Les Arabes des pays voisins occupent la deuxième place, avec une augmentation de 31 %, suivis des visiteurs européens avec une augmentation de 15 %. En ce qui concerne les dépenses des touristes – mesurées en fonction des montants dépensés sur les biens qui bénéficient du remboursement de la TVA –, une augmentation de 27 % a été enregistrée en mai, en comparaison avec le mois dernier. En revanche, durant la même période de l’année dernière, les dépenses détaxées ont diminué de 13 %.
Les principales nationalités contribuant à l’augmentation des dépenses cette année sont les Arabes et les Européens, avec une augmentation de 36 % et de 11 % respectivement. En ce qui concerne la distribution des dépenses par nationalité, l’Arabie saoudite continue d’occuper la tête de liste, comptant pour 25 % des dépenses détaxées en mai.
Vient en deuxième place le Koweït, avec 15 %, suivi des Émirats arabes unis, avec 9 %, qui remonte de la sixième à la troisième place.


Juin 2005
Européens et Arabes ne dépensent pas de la même façon
En raison de l’instabilité politique qui prévaut dans le pays, le mois d’avril a continué à enregistrer une baisse dans le secteur du tourisme. Les dépenses globales en matière d’achats détaxés ont diminué de 42 % en avril 2005, en comparaison avec la même période de l’année dernière. Les statistiques montrent que les changements dans les modes de dépense ont varié d’une manière significative entre les différentes nationalités. Le contraste le plus important a été remarqué entre les Arabes et les Européens, les dépenses de ces derniers étant les moins touchées par le tournant des événements actuels.
Le volume des achats détaxés effectués par les Européens était inférieur de 18 % en avril 2005 en rythme annuel, alors que le chiffre pour les Arabes a nettement diminué de 50 % durant la même période.
Selon les chiffres publiés par le ministère du Tourisme, le nombre des touristes arabes en visite au Liban était de 15 289 au mois d’avril dernier, soit une baisse de 48 % en comparaison avec la période correspondante de l’année dernière.
En parallèle, celui des touristes européens en visite au Liban en avril était légèrement supérieur à 20 190, soit une baisse de 35 % en comparaison avec avril 2004. Pour le mois d’avril 2005, les Saoudiens ont le plus dépensé au Liban, avec un total de 25 % des achats détaxés. Les Koweïtiens viennent en deuxième place avec 16 %, suivis des Égyptiens avec 8 %. Les dépenses des touristes en provenance du Royaume-Uni comptent pour 7 % du total, ce qui représente une augmentation de 5 % en comparaison avec avril 2004. Le taux de dépense des touristes français n’a pas changé, et est resté à 5 % des dépenses totales en avril de l’année dernière et de cette année également. La baisse la plus sévère a été enregistrée parmi les touristes égyptiens et saoudiens, dont la part globale des dépenses a diminué de 6 et de 3 % respectivement.
En ce qui concerne la catégorie des produits, les vêtements et les accessoires ont, encore une fois, occupé la première place en avril, comptant pour 60 % des dépenses touristiques globales, suivis par les montres avec environ 11 %. Même les habitudes de shopping des Arabes et des Européens diffèrent d’une manière considérable. En avril 2005, 4 % seulement des dépenses des Saoudiens ont été consacrées aux montres alors que cette catégorie compte pour 30 % des dépenses détaxées chez les touristes du Royaume-Uni. En raison de la faiblesse du tourisme au Liban en avril 2005, le nombre des transactions pour le remboursement de la TVA a diminué de 49 %, en comparaison avec la même période de l’année dernière. Cependant, il est à noter que le volume moyen des ventes par transaction a augmenté de 13 %, en comparaison avec avril 2004. Sur une note plus positive, selon des questionnaires élaborés par Global Refund Lebanon, de nombreux touristes ont l’intention de revenir au Liban une fois les élections parlementaires terminées.


Avril 2005
Baisse de 60% des achats détaxés en mars 2005
Le climat politique instable qui prévaut depuis l’assassinat de l’ex-Premier ministre Rafic Hariri, le 14 février 2005, continue à avoir un impact négatif sur les dépenses des touristes en mars 2005, particulièrement au centre-ville de Beyrouth. En effet, les dépenses des touristes au centre-ville de Beyrouth, principale destination de shopping pour les touristes, ont connu un sévère déclin de 60 % au mois de mars, en comparaison avec février, qui, à son tour, a accusé une baisse de 29 % dans les dépenses des touristes. Il est à noter que les dépenses des touristes au mois de mars ont diminué de 35 %, en comparaison avec la période correspondante en 2004.
En outre, la situation économique précaire a été encore plus accentuée par la série de voitures piégées visant des centres commerciaux et industriels. La localité de Kaslik, célèbre pour son shopping, a été sévèrement touchée par une explosion dans l’un de ses centres commerciaux. Ce mois-ci, les dépenses détaxées des touristes dans la principale artère commerçante de Kaslik ont enregistré une inquiétante diminution de 41 % par rapport au mois dernier, suivant une chute encore plus grande de 56 % au mois de février. Certes, les centres commerciaux à travers le pays souffrent d’une baisse accrue de leurs ventes. Ils sont toutefois obligés de largement investir pour renforcer les mesures de sécurité. Afin de protéger leurs avoirs et encourager les visiteurs, ils se sont retrouvés obligés d’engager des sociétés de sécurité pour contrôler minutieusement les véhicules qui se garent dans leurs parkings. Cependant, les consommateurs ne feraient du shopping que pour acheter des biens de première nécessité. Notons que les dépenses des touristes dans les zones commerciales ont diminué de 60 % en mars depuis le mois dernier, suivant une baisse de 41 % en février. En comparaison avec la période correspondante en 2004, les dépenses des touristes ont décliné de 54 % en mars 2005. L’activité réduite dans les principaux centres et rues commerciaux au Liban est reflétée dans les transactions de remboursement de taxes dans les bureaux de remboursement aux points de sortie, à l’instar de l’aéroport international de Beyrouth et de la frontière de Masnaa. Le nombre des transactions de remboursement de taxes a témoigné d’une diminution d’environ 55 % en mars 2005 en comparaison avec le mois dernier. Le nombre de transactions en mars 2005 a également baissé de 33 %, en comparaison avec la même période de l’année dernière. En février, les dépenses effectuées par les Syriens et les Jordaniens réclamant le remboursement de leurs taxes au bureau de remboursement des taxes de Masnaa ont régressé de 47 % et 59 % respectivement.
Mais la lumière pointe au bout du tunnel :
les dépenses des Jordaniens ont augmenté de 14 % en mars, reflétant le rétablissement de la confiance dans le Liban en tant que destination commerciale attirante. En effet, de nombreux touristes jordaniens et syriens ont fait part de leur optimisme à l’égard du Liban, selon un recensement effectué par Global Refund. Les touristes réclamant le remboursement de leurs taxes auprès des bureaux du Global Refund sont interrogés sur leur visite au Liban.
Plusieurs voyageurs syriens ont estimé qu’ils n’arrêteraient jamais de visiter le pays alors que les touristes jordaniens, en général, ont déclaré qu’ils attendraient que la situation politique se calme avant de revenir au Liban pour y profiter d’un shopping unique et d’activités de divertissement exceptionnelles.



Janvier 2005
Forte croissance des ventes détaxées en 2004
Les statistiques des ventes détaxées en 2004 montrent une augmentation des dépenses des touristes de toute nationalité. La hausse la plus élevée en pourcentage des ventes a été enregistrée parmi les touristes syriens dont les dépenses totales ont augmenté de 216 % par rapport à 2003. Cette hausse est directement due à l’ouverture du bureau de détaxe à la frontière de Masnaa, sensibilisant les touristes syriens quant aux avantages du shopping détaxé. Bahreïn occupe la deuxième place avec une augmentation de 84 % des dépenses de ses touristes au Liban.
De même, parmi les pays du Golfe, Bahreïn témoigne du plus haut accroissement de dépenses, grâce à l’augmentation du nombre de touristes en provenance de ce pays.
En termes de parts en pourcentage des ventes détaxées, l’Arabie saoudite occupe la première place, comme c’était le cas en 2003. Sa part en pourcentage des ventes totales est de 32 %, un point de moins seulement qu’en 2003. Viennent en deuxième et troisième positions, de nouveau, le Koweït et l’Égypte, avec 13 % et 9 % respectivement – comme en 2003 exactement. Malgré l’augmentation des ventes globales, la somme moyenne dépensée par les touristes a diminué de 4 %, par comparaison avec 2003. L’augmentation des ventes globales est donc due à un plus grand volume : le nombre de touristes a augmenté, mais la somme moyenne dépensée par chaque touriste a légèrement diminué. Les Syriens et les Jordaniens sont les seuls à avoir augmenté leurs dépenses moyennes de 7 % et 2 % respectivement. Ceci est surtout dû à une plus grande sensibilisation des touristes de ces pays aux possibilités d’achats détaxés. Un grand nombre d’entre eux y ont eu recours pour la première fois en 2004. Bien que les achats des Bahreïnis aient globalement augmenté du fait de la hausse du nombre de touristes en provenance des ce pays, leurs dépenses moyennes ont diminué de 16 %.
En ce qui concerne la nature des achats détaxés réalisés l’année dernière, les touristes ont quasiment doublé leurs dépenses sur les vêtements, qui représentent toujours le produit numéro un acheté par les touristes ayant demandé la restitution de la TVA. En 2003 et 2004, les vêtements comptaient pour 57 % des ventes globales. Les montres ont continué à occuper la deuxième place, avec 11 % en 2004, contre 12% l’année précédente.
En 2004, la valeur des ventes générées par les grands magasins a plus que doublé, en grande partie grâce à l’ouverture du centre commercial ABC à Achrafieh. Si les montres comptent pour 11% des dépenses totales des touristes, cette part est de 20 % des achats réalisés par les touristes américains et français. Ces touristes ont en fait choisi d’acheter des montres européennes au Liban pour deux raisons : ils peuvent marchander et obtenir un escompte de 5 à 15% dans le magasin ; ils peuvent obtenir un remboursement de la TVA d’environ 8%. Ainsi, les touristes européens peuvent bénéficier d’un escompte variant entre 13% et 23%, ce qui n’est pas le cas en Europe où le marchandage n’est pas commun et où la TVA est plus élevée. De même, si les expatriés ont l’opportunité d’acheter un produit au Liban dont le prix est similaire en Europe et aux États-Unis, ils préfèrent, en général, l’acheter dans leur pays natal. Au cours de dernières années, le flux des touristes vers le Moyen-Orient a connu une croissance à deux chiffres, contrairement aux autres régions du monde. Encouragés par cette tendance, les hôteliers et les commerçants libanais continuent de se développer. Mais les statistiques montrent que la majeure partie des dépenses de touristes demeure centralisée à Beyrouth – particulièrement au centre-ville, à Verdun et à Achrafieh. Ces régions sont non seulement connues pour être des destinations privilégiées du shopping, mais aussi pour l’importante concentration d’hôtels luxueux qui attirent également les touristes
.


Léger changement dans les dépenses des touristes pour ramadan 2004
(mi-Octobre à mi-Novembre)
Les résultats du mois de ramadan pour cette année révèlent un léger changement des caractéristiques du tourisme au Liban. Pour le mois de novembre 2004, les citoyens saoudiens restent en tête des achats de produits détaxés, avec 26,3 % des dépenses totales.
Bien que l’augmentation soit majeure par rapport aux 19,4 % enregistrés pour la même période de l’année dernière, la somme moyenne dépensée par les citoyens saoudiens a légèrement reculé, passant de 1 615 200 livres au mois de novembre 2003 à 1 520 146 livres pour la même période de l’année en cours. Ainsi, l’augmentation de la part en pourcentage s’explique par le nombre croissant de touristes saoudiens en visite au Liban. De même, alors que la part du Koweït en pourcentage en matière de dépenses touristiques pendant le mois de ramadan est passée de 11,6 % l’année dernière à 13,9 % cette année, la somme moyenne dépensée par des citoyens koweïtiens a légèrement baissé, passant de 1 324 605 livres au mois de novembre 2003 à 1 103 842 livres pour la même période cette année.
En matière de dépenses par nationalité et malgré l’augmentation de la part du Koweït en pourcentage, ce dernier a perdu une position, passant de la deuxième place l’année dernière à la troisième cette année. L’Égypte, quant à elle, a occupé la deuxième place, avec une part de 15,7 %, avançant de la cinquième position au mois de ramadan l’année dernière où son pourcentage ne dépassait pas 9 %. Ainsi, la somme moyenne dépensée par les touristes égyptiens a augmenté de 630 931 livres au mois de ramadan dernier à 806 718 livres pour la même période cette année. Les Égyptiens constituent l’une des deux nationalités dont les achats moyens par personne ont augmenté, les Syriens étant la deuxième. Leurs achats moyens pour ce mois de ramadan était de 1 185 591 livres, d’où une augmentation remarquable par rapport à la somme de 875 700 livres enregistrée pour la même période de l’année dernière. Par ailleurs, la part des Jordaniens des dépenses totales des touristes a largement diminué de 11,3 % au mois de novembre 2003 à 6,8 % pour la même période cette année. Ainsi, les dépenses moyennes par les touristes jordaniens pour le mois de ramadan ont diminué, passant de 972 717 livres l’année dernière à 886 002 livres cette année.
Il existe une autre différence au niveau des modes de dépenses des citoyens saoudiens et koweïtiens. En effet, leurs dépenses moyennes en novembre étaient plus élevées que celles durant les autres mois de l’année, car les touristes de ces pays au mois de ramadan représentent, en général, des tranches de revenus élevés. (Il ne s’agit pas uniquement d’un penchant à des dépenses accrues. En effet, le touriste saoudien en visite au Liban pendant ce mois diffère de celui qui s’y rend pendant d’autres saisons, notamment en été. Le touriste saoudien étant plus riche, ses dépenses moyennes sont plus élevées). En 2004, par exemple, la somme moyenne dépensée par les touristes saoudiens était de 1 219 112 livres alors que cette somme était légèrement supérieure au mois de novembre et atteignait 1 520 146 livres. De même, la somme moyenne dépensée par les Koweïtiens au mois de novembre 2004 (1 103 842 livres) dépassait le chiffre enregistré pour l’année tout entière (soit 1 006 884 livres). Concernant les produits de consommation, les premières catégories demeurent inchangées pour les mois de novembre 2003 et 2004. Les vêtements maintiennent leur place d’article le plus vendu et constituent 59 % des ventes totales pour ce mois de ramadan, à comparer avec 57 % pour la même période l’année dernière. Les montres viennent en deuxième position avec 10 %, enregistrant un recul de 1 % seulement par rapport à l’année dernière.
Dans l’ensemble, les modes de dépenses demeurent inchangés alors que la base de la clientèle a quelque peu fluctué.



Hausse des dépenses détaxées des touristes au troisième trimestre 2004
Les indicateurs du troisième trimestre 2004 confirment la forte augmentation des achats détaxés réalisés au Liban, avec une hausse atteignant les 62 % par rapport à la même période de 2003. De juillet à septembre, les ressortissants d’Arabie saoudite, du Koweït et des Émirats, dont le shopping est la principale activité lors de leur séjour dans le pays, ont réalisé la plus grande part du chiffre global des achats détaxés. La part des ressortissants de ces trois pays atteint 56 % du total volume contre 54 % en 2003. Exprimées en dollars, ces dépenses ont progressé de 73 % d’un été à l’autre. Les Koweïtiens ont presque doublé leurs achats (+90 %), ce qui s’expliquerait par une fièvre d’achat en 2004, après une austère saison estivale 2003 passée dans leur pays. À la suite de l’ouverture en mai 2003 d’un guichet de remboursement de détaxe à la frontière de Masnaa, les achats des ressortissants syriens ont augmenté de 119 % au troisième trimestre 2004 et, de ce fait, leur part par rapport au total des achats est passée de 2 à 3 %. En revanche, les dépenses des touristes européens et américains, des Libanais expatriés pour la plupart, n’ont augmenté que de 1 % par rapport à l’année dernière, et demeurent très limitées avec une part de 7 % des dépenses totales. Concernant les ventes par catégorie, les vêtements viennent en tête, suivis des montres, puis des chaussures et des sacs. En 2004 comme en 2003, les vêtements constituent 56 % des ventes détaxées. Les montres restent en deuxième place bien qu’ayant reculé de 12 % en été 2003, à 11 % cette année. À l’inverse, les ventes de sacs et de chaussures voient leur part s’améliorer de 2 %, passant de 5 % l’été dernier à 7 % cette année. Même tendance pour les ventes de tissus et de tapis, dont la part passe à 4 % au troisième trimestre de 2004, soit environ 1 % de mieux que la saison précédente. En conclusion, la hausse des dépenses des touristes au troisième trimestre 2004 reflète l’intensité de l’ensemble de l’activité touristique estivale de cette année.

Communiqués Global Refund Sal


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Environ 3 % des visiteurs ont bénéficié de la détaxe au Liban:

La société Global Refund Liban a remboursé plus de 35 000 touristes en 2003

Chargée de restituer aux touristes la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) sur les biens transportés à l’étranger, la société Global Refund affiche, depuis son implantation au Liban en juin 2002, un bilan plutôt encourageant. « Nous avons remboursé plus de 35 000 touristes en 2003 », déclare Khalil Achkar, directeur général de Global Refund Liban, filiale de la société suédoise Global Refund. La société de détaxe, à laquelle se sont affiliés 1 200 commerces au Liban, s’est pourtant abstenue de révéler le montant global des remboursements effectués en 2003, mais se déclare satisfaite des résultats réalisés. « Il serait prématuré d’établir des comparaisons par rapport à l’année 2002 – la deuxième année d’activité n’étant pas encore écoulée – , mais la reprise du tourisme au Liban en 2003 est allée de pair avec une hausse substantielle des demandes de détaxe », précise M. Achkar. Le Liban a enregistré en 2003 une hausse de 7 % de l’activité touristique, avec plus de 1 100 000 de visiteurs, selon le ministère du Tourisme. Face à cette effervescence du secteur, Global Refund a renforcé la disponibilité de ses services. Basées initialement à l’aéroport international de Beyrouth (AIB) seulement, les procédures de détaxe peuvent se faire aujourd’hui au port de Beyrouth et à la frontière syrienne de Masnaa. « De nombreux touristes arabes en provenance de Jordanie ou de Syrie transitent par la frontière de Masnaa », souligne le directeur général. Selon un rapport annuel prévisionnel de Global Refund, 70 % des demandeurs de détaxes sont des Arabes.

Le rapport précise, par ailleurs, que les touristes saoudiens sont en tête de la liste avec une majorité de 33 %, suivis par les Koweïtiens avec 12 % et les Égyptiens avec une part de 10 %. « La valeur moyenne des achats s’élève à environ 700 dollars par personne demandant une détaxe », indique M. Achkar. Ne pouvant détaxer que les produits transportables et non consommables, les touristes concentrent la plupart de leurs achats sur les vêtements et les produits de luxe, tels que les montres et les bijoux.
En 2003, les produits vestimentaires, en hausse de 8 % par rapport a 2002, ont constitué 5 % des marchandises détaxées, suivis par les montres avec une part de 11 % et la maroquinerie avec 5 %, en hausse de 2 %, précise le rapport. Malgré les efforts de Global Refund pour promouvoir les achats détaxés, seulement 3 % des touristes ont déposé des demandes de détaxe en 2003. « Le potentiel touristique est loin d’être totalement exploité », explique M. Achkar. « Global Refund travaille en concordance avec les commerçants libanais en vue de faciliter les procédures de détaxes et d’informer le voyageur sur ce système » ajoute-t-il. Durant l’année 2003, la société, en collaboration avec des commerçants locaux, a distribué en masse des prospectus illustrant le système de détaxe et servant de promotion aux deux parties. Ces prospectus étaient disponibles dans les points de vente alliés à Global Refund et dans les différents bureaux de détaxe. La société de détaxe a par ailleurs mis en place un système de détaxe électronique, le GRIPS (Global Refund’s Instore Processing Solution). Ce dernier est désormais disponible dans la plupart des points de vente et permet aux touristes d’effectuer directement et plus rapidement leur demande de détaxe. Global Refund est présente dans 33 pays et a remboursé en 2001 l’équivalent de 400 millions d’euros de TVA à des touristes majoritairement japonais et américains. La société a établi des partenariats avec plus de 190 000 commerces à travers le monde et sert environ dix millions de voyageurs par an.
Un mécanisme rapide et fiable
« Les bénéficiaires de la détaxe sont les touristes et les Libanais qui résident à l’étranger », souligne Khalil Achkar. Le montant de chaque facture doit s’élever à 150 000 livres libanaises par jour au minimum. La société s’engage à rembourser immédiatement les bénéficiaires de la détaxe dès qu’ils ont obtenu le tampon de la douane, à condition que le montant de la détaxe à laquelle ils ont droit ne dépasse pas les 500 dollars. Global Refund reçoit à son bureau principal à Achrafieh les demandes de détaxe qu’elle envoie directement à la société mère en Suède. Cette dernière s’engage à rembourser la TVA aux particuliers au moyen d’un chèque bancaire ou d’un virement sur carte bancaire après déduction de la commission de 1,85 % du montant total des factures soumises à la TVA. À son tour, Global Refund Liban sera remboursée par l’État dans un délai de trois mois.