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Printemps
2009:
Découverte: 1099 Saint-Michel, un programme de caractère
à Beyrouth
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Automne 2004: le point
sur les grands projets immobiliers
du Grand Beyrouth
Peut-être 35 % de la population
sous le seuil de pauvreté, 20 % de chômage, pouvoir d’achat en
baisse, exode des jeunes, déficit record, croissance en berne,
etc. : à première vue, notre pays n’est pas en grande forme. Pourtant,
il y a des chiffres qui ne trompent pas. Certains secteurs comme
l’immobilier sont en bonne santé. Les plus grands groupes d’investisseurs
locaux et régionaux comme Kingdom, al-Habtoor, Jamil Ibrahim,
al-Futtaim, Admic, Aswad, Jaber et Smadi, pour ne citer que quelques
exemples, sont concernés par cette dynamique. Les millions de
dollars investis sont une preuve de leur confiance dans l’avenir
du Liban. Ces investissements sont encourageants et créateurs
d’emplois. Ils contribuent à la modernisation de Beyrouth qui,
derrière Dubaï, a l’occasion de retrouver un statut régional digne
de ce nom.
Les investissements immobiliers
dans l’agglomération de Beyrouth
Dans le secteur commercial, le paysage marchand de Beyrouth
est en pleine restructuration. De nouvelles constructions de plus
en plus imposantes se succèdent. La réussite de ABC Achrafieh
qui a eu une saison estivale exceptionnelle prouve que le concept
des malls a sa place à Beyrouth. City Mall, le plus grand centre
commercial du Liban, avec 200 000 m2 de surface bâtie dont 75
000 m2 de surface de vente, va ouvrir dans quelques semaines à
Dora. Deux nouveaux centres, Metropolitan Boulevard et Beirut
Mall, doivent prochainement être inaugurés d’ici à la fin 2005.
D’autres projets sont en vue comme les Souks de Beyrouth, Verdun
5, Carrefour et Landmark. L’ensemble de ces projets associés à
des complexes résidentiels et hôteliers est estimé à 1 milliard
de dollars. Dans le centre touristique, les chiffres parlent d’eux-mêmes.
La saison 2004 s’annonce un grand cru avec plus de 1,3 million
de visiteurs sans compter les expatriés qui sont également venus
en nombre. L’or noir du Liban attire les investisseurs : Four
Seasons au centre-ville, boutique-hôtel à Wadi Abou Jmil, Sheraton
à Minet el-Hosn et un hôtel 5 étoiles au sud de la place Riad
el-Solh. Sans oublier Marina City, le gigantesque projet touristique
sur la marina Joseph Khoury à Dbayeh.
Le secteur résidentiel affiche également de bons résultats.
À voir le nombre de grues dans le ciel beyrouthin, aucun quartier
n’est épargné par cette vague de construction. Les quartiers de
Wadi Abou Jmil et Minet el-Hosn au centre-ville regroupent les
projets les plus impressionnants : Marina Towers, Platinum, Beirut
Tower, etc. Les chiffres donnent le vertige : plus de 500 millions
de dollars d’investissements, 350 appartements en construction
vendus entre 2 500 à 6 000 dollars le m2, une superficie totale
de 200 000 m2 et un taux d’occupation actuel autour de 60 %. D’Achrafieh
à Jnah, les projets se multiplient. Rien que dans la partie occidentale
de Beyrouth, des dizaines de projets sont en cours. Ils affichent
déjà un taux moyen d’occupation assez élevé.
Plusieurs immeubles high-tech de bureaux
sont également en chantier principalement au centre-ville : Berytus,
Sifico et Semiramis représentent plus de 75 millions de dollars
d’investissements. Beyrouth se donne les moyens d’attirer les
compagnies locales et internationales dans un cadre unique qui
associe l’histoire et la modernité.
Regards sur des quartiers
de Beyrouth
Marché de l’immobilier: Gemmayzé a le
vent en poupe
Longtemps ignoré
des Beyrouthins, le quartier Gemmayzé est devenu, en l’espace
de quelques mois, une destination à la mode. Après le boom de
Monnot et du centre-ville, la vague déferlante de la restauration
a trouvé une nouvelle cible. Phénomène de la rentrée 2004, la
rue Gouraud est la star du moment, inspire les articles de presse
et attise les convoitises des restaurateurs locaux. À ce jour,
la rue compte huit restaurants. Le plus ancien est le Café Gemmayzé.
Torino Express est le plus récent. La prochaine inauguration sera
le Soto, un restaurant japonais à proximité du Foodyard. Saluons
les initiatives de La Tabkha, cuisine libanaise, et de Torino
Express, minuscule café à l’européenne, qui ont su s’imposer avec
des concepts novateurs collant parfaitement à l’environnement
et l’ambiance de Gemmayzé. Idéalement situé au centre de Beyrouth,
ce quartier a de nombreux atouts pour attirer les investisseurs
:
- Incontestablement, Gemmayzé avec ses rues
Gouraud, Pasteur, Mar Antonios et Dagher a un cachet authentique.
Encore épargné par la frénésie immobilière, ce
petit quartier résidentiel a conservé son charme d’antan avec
ses immeubles anciens, ses ruelles étroites ombragées et ses vieilles
bâtisses aux tuiles rouges entourées de jardins. Une fois totalement
rénové, l’escalier Daraj el-Fann ou escalier Saint-Nicolas constituera
une attraction culturelle et touristique capable de drainer des
visiteurs étrangers amoureux des arts.Beaucoup ne s'y trompent
pas qui ont déjà élu ce quartier comme coup
de coeur APR7S une visite de la capitale.
- Les loyers sont particulièrement abordables et attractifs.
Bien que la tendance soit à la hausse avec une augmentation de
plus de 30 % en deux ans, le mètre carré à la rue Gouraud en location
se négocie aujourd’hui de 150 à 250 dollars le mètre carré. De
plus, le quartier est encore loin des prix demandés au centre-ville
où les loyers varient entre 500 et 1 000 dollars le mètre carré
et ceux de la rue Monnot qui sont de 250 à 500 dollars le mètre
carré. Cependant, si de nombreuses boutiques sont fermées et abandonnées,
les emplacements disponibles sont rares. Beaucoup sont bloqués
pour des questions d’héritages et d’imbroglios de copropriétés.
- Gemmayzé est une parfaite alternative entre
le très sélectif centre-ville et la rue Monnot, saturée et perturbée
dans des problèmes de voisinage et juridiques.
Le quartier vient à point nommé pour attirer une
clientèle fatiguée et de plus en plus réticente d’aller rue Maarad
qui perd son charme et se dégrade peu à peu. À l’avenir, la rue
Gouraud a un potentiel d’une vingtaine d’enseignes. Les petites
surfaces de 50 à 100 places seraient plus logiques que des grands
restaurants de 200 à 300 places assises. Accueillir des centaines
d’établissements ajoutés au problème de parking serait par contre
un élément négatif au développement de Gemmayzé.
En définitive, le quartier doit garder une dimension humaine et
ne doit pas être défiguré par l’arrivée d’investisseurs avides
de gains rapides qui ouvrent et ferment tous les 6 mois. L’essor
de cette partie de Beyrouth doit se faire sur le long terme dans
le respect de son environnement et de la vie de ses résidents.
Ainsi, Gouraud serait parfaite pour des petits restaurants gastronomiques
aux cuisines variées et des cafés littéraires. Parallèlement,
il serait idéal que la rue attire encore des artisans, des galeries
d’art, des salles d’exposition, des antiquaires et une salle de
spectacle. Le quartier prendrait ainsi une véritable identité
culturelle et commerciale.
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Saïfi : le choix entre la copie et l’original
Le marché de l’immobilier résidentiel
à Achrafieh est toujours en bonne santé : une bonne vingtaine
de chantiers sont en cours, et les ventes sur plan sont très encourageantes.
La frénésie ne fait que commencer puisque de nombreux investisseurs
sont en pourparlers pour finaliser de prochains projets. Parmi
tous les quartiers de Beyrouth-Est touchés par cette vague immobilière,
celui de Saïfi retient notre attention. En l’espace de quelques
années, cette région est devenue une destination résidentielle
à la mode.
D’un côté, il y a Saifi Village, la version Solidere, et de l’autre,
Saïfi, l’original. Entre les deux, le boulevard Georges Haddad
et de multiples différences, à commencer par les prix des appartements
qui vont du simple au double.
À l’Ouest, Saifi Village, dans le périmètre Solidere, est
un quartier résidentiel artificiel qui mixe le nouveau « à l’ancienne
» et l’ancien rénové. Parfaitement bien aménagé et surveillé par
des vigiles à chaque coin de rue, il offre un cadre urbain agréable
et maîtrisé avec des voies pavées, des trottoirs uniformes, des
zones spécifiques pour les voitures, des placettes, des espaces
verts et un mobilier urbain.
Saifi Village est le prototype de la ville nouvelle dans un cadre
ancien.
À l’Est, articulé autour de l’église Mar Maroun, Saïfi est
l’un des derniers quartiers de Beyrouth à avoir gardé son caractère
traditionnel avec un paysage bigarré d’immeubles anciens ou abandonnés,
de jardins privés et de vieilles bâtisses. Limitrophe du centre-ville
et de Gemmayzé, le quartier offre un cadre spécifique et un charme
réel.
Dans le domaine résidentiel, le premier projet de Saifi Village
– 16 immeubles, 137 appartements de 165 m2 à 325 m2 au prix de
1 750 à 2 500 dollars le m2 – a été une incontestable réussite.
Suite à ce succès, les travaux de Saifi Village 2, qui englobe
deux projets, Saïfi 178 et Saïfi 146, vont prochainement commencer.
Conçu par l’un des architectes libanais les plus en vue du moment,
Nabil Gholam, Saifi Village 2 comportera 165 appartements pour
une surface résidentielle totale de 32 200 m2. Étant donné la
cherté de l’incidence foncière dans l’espace de Solidere, les
prix des appartements commenceraient à partir de 2 600 $ le m2
pour atteindre plus de 3 000 dollars le m2. Les clients visés
sont les familles dont les premiers budgets tournent autour de
500 000 dollars. Il s’agit essentiellement de l’élite locale et
étrangère issue des milieux des affaires, et des ressortissants
du Golfe.
Au-delà du boulevard Haddad, Saïfi l’ancien n’est pas en
reste. Une nouvelle dynamique est en cours. Les façades des immeubles
sont rénovées. Des restaurants ont ouvert leurs portes. Trois
projets résidentiels sont en construction : Residential Building
du groupe Jreissati, Saifi Pearl du groupe Mouawad et Convivium
du groupe La Constructa de Karim Bassil. Avec des appartements
qui varient entre 1 350 et 1 700 dollars le m2 avec des pics à
2 000-2 500 dollars le m2 pour les derniers étages, ces projets
peuvent facilement séduire de nombreux clients – jeunes couples,
professions libérales, expatriés, etc. – qui recherchent la proximité
du centre-ville au moindre coût et qui préfèrent l’authenticité.
Différents l’un de l’autre, les deux Saïfi peuvent parfaitement
cohabiter et satisfaire une demande de plus en plus multiple et
diversifiée.
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Arrivée
de Bou Khalil à Jbeil L’aventure
du saoudien Giant Stores à Jbeil n’aura duré que quelques
mois. Bou Khalil en profite pour reprendre l’emplacement
et ouvrir son huitième point de vente.
Le paysage libanais de la grande distribution
n’en finit pas d’évoluer. Après les ouvertures de Spinneys
à Jnah, des trois récents Monoprix à Zouk, à Baabda et
à Verdun et les ouvertures prévues à la fin de l’année
2003 du Géant-Casino à Nahr el-Mott et du Charcutier Aoun
à Bauchrieh, c’est au tour de Bou Khalil d’étoffer son
réseau avec une nouvelle adresse à Jbeil. «La région constitue
une zone de chalandise importante, où le pouvoir d’achat
est supérieur à la moyenne nationale», explique Nabil
Bou Khalil, directeur général de la holding familiale,
appelée BK Markets. Ouvert depuis fin mars 2004, le nouveau
supermarché a une superficie de vente de 2 000 m2 et compte
600 m2 de dépôts et ateliers. Le loyer correspond à un
pourcentage par rapport au chiffre d’affaires de Bou Khalil.
«L’emplacement est sur un axe routier fréquenté vers la
montage et le Nord. Il est également à mi-distance entre
Beyrouth et Tripoli, où nous sommes installés depuis 5
ans», ajoute Bou Khalil dont les estimations prévoient
750 000 visiteurs, générant 300 000 “factures” par an.
L’arrivée de Bou Khalil fait donc suite à l’échec de l’enseigne
Giant Stores. Arrivé en septembre 2002, Giant Stores qui
appartient au groupe saoudien al-Mouhaydeb déjà présent
au Liban avec la gestion des Coopératives via sa filiale
UCCM n’a pas réussi à s’imposer sur le marché de Jbeil.
Selon un spécialiste de la distribution, cet échec s’explique
par trois facteurs : - L’enseigne a eu une mauvaise stratégie
commerciale, l’offre ne correspondait pas tout à fait
à la demande, en termes de produits et de marques. - Le
supermarché a manqué de souplesse pour s’adapter à la
consommation locale. - Giant Stores ne vendait pas de
charcuterie (à base de viande de porc) ni d’alcool, comme
c’est d’ailleurs le cas actuellement dans les Coop. Cette
spécificité lui a été fatale. Ce revers a sans doute refroidi
les ambitions du groupe qui avait annoncé son intention
de s’implanter à Hazmieh. Ce projet ne semble plus d’actualité.
Aujourd’hui, Giant Stores compte une seule adresse à Choueifat.
Ce point de vente suit le concept des chaînes de discount
à l’occidentale où les produits sont exposés sur des palettes
et dans leurs cartons d’emballage.
Mai2004 Guillaume
Boudisseau
Le Commerce du Levant
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La grande mode des malls ou galeries commerciales
Au cours de ces dernières années, le paysage commercial
de Beyrouth a subi de profondes mutations avec l’émergence
de la grande distribution internationale (Monoprix, BHV
et Spinneys) et la multiplication des franchises internationales
éparpillées dans toutes les rues marchandes de la capitale.
Désormais, c’est au tour des grands centres commerciaux
de faire leur apparition. Dora Center (60 000 m2 de surface
marchande à Nahr el-Mott) et Metropolitan City Center
(13 800 m2 à Sin el-Fil), Souks de Beyrouth (55 000 m2
au centre-ville), Verdun 5 (52 000 m2 à Verdun) auxquels
il faut ajouter Beirut Mall à Chiyah, Verdun 212 à Verdun
et les projets de Landmark au centre-ville et de Carrefour
à Dbayeh, d’ici à 2006 et 2007, plus de 275 000 m2 de
surfaces commerciales seront sur le marché. Cette frénésie
immobilière va incontestablement bouleverser l’échiquier
commercial beyrouthin. Nous ne pensons pas que les rues
marchandes comme Hamra, Mar Élias, Verdun et Sassine vont
être profondément affectées. Elles auront toujours leur
clientèle et resteront bien ancrées dans les pratiques
de la population. Cependant, une baisse des loyers n’est
pas à écarter et serait même souhaitable. Par contre,
l’arrivée de grands centres commerciaux d’envergure régionale
va obligatoirement nuire aux petites galeries marchandes
qui se sont développées depuis 10 ans. Nous entendons
par galerie marchande un espace couvert avec différents
niveaux de boutiques avec généralement un supermarché,
un complexe de cinéma ou un grand magasin en sous-sol.
À ce jour, Beyrouth compte plus d’une vingtaine de petites
galeries qui représentent environ 200 000 m2 de surface
commerciale. La moyenne de ces espaces tourne autour de
8000-9 000 m2. Avec 29 500 m2 de surface de vente, ABC
Achrafieh est une exception et représente aujourd’hui
le seul véritable centre commercial à Beyrouth. Construits
sur de petites parcelles, la superficie commerciale de
ces espaces varie de 500 m2 à 17 000 m2. La moyenne du
taux d’occupation se situe entre 70 et 80 %. Toutefois,
la valse des enseignes dans plusieurs de ces galeries
prouve que ce concept de petites surfaces marchandes s’essouffle.
De plus, Beyrouth compte plusieurs exemples de galeries
peu dynamiques avec une mauvaise configuration architecturale,
des loyers trop élevés et un manque de locomotives commerciales.
Nous ne parlons pas de certains espaces qui, à peine inaugurés,
sont déjà quasiment, voire totalement déserts. L’arrivée
des nouveaux centres commerciaux va entraîner une bataille
à couteaux tirés. Affirmant que son projet est le meilleur
de tous, chaque promoteur tente, dès aujourd’hui, de courtiser
les meilleures enseignes du marché. À ce petit jeu, les
premiers construits seront les mieux servis. Toutefois,
la différence se fera au niveau des loyers. Déjà, certains
centres commerciaux, avec des prix allant jusqu’à 1 500
dollars le m2, ont mis la barre très haut voire trop haut.
Cette escalade immobilière est inquiétante et dangereuse.
Il y a une vérité qu’il ne faut pas oublier : en fin de
compte, le loyer est déterminé par le chiffre d’affaires
qui est lui-même déterminé par le pouvoir d’achat des
consommateurs. Il serait dommage que ces centres commerciaux,
qui peuvent contribuer à positionner Beyrouth comme une
destination touristique et commerciale régionale, ne réussissent
pas à rassembler un maximum de commerçants à cause d’une
stratégie tarifaire trop gourmande. Si construire un centre
commercial est avant tout une opération immobilière qui
doit être rentable, il n’est pas nécessaire d’avoir les
yeux plus gros que le ventre.
En coopération avec : RAMCO
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La rue Bliss, fast-food boulevard
Les plus anciens se souviennent
encore des mythiques établissements Faysal, Uncle Sam’s et Elissar.
Dorénavant, les poids lourds de la rue Bliss se nomment La Baguette,
Bliss House, Sub Station, Cinnzeo ou el-Kahwa sans parler des
incontournables fast-foods américains Mc Donald’s et Burger
King. Seul Socrate, qui fait figure de dinosaure, nous rappelle
le bon vieux temps. Située le long du campus de l’Université
américaine, la rue Bliss s’est affirmée comme l’une des plus
importantes concentrations de snacks et de fast-foods de Beyrouth.
Nous en comptons presque une trentaine de l’immeuble Blue (ex-Orly)
à la gendarmerie Hobeiche. Alors que tous les investisseurs
observent avec attention la multiplication des restaurants au
centre-ville de Beyrouth, l’essor des pubs rue Monnot et le
développement de la restauration à Gemmayzé, la rue Bliss est
un parfait exemple de longévité et de dynamisme. Nettement moins
médiatique que les régions précédemment citées, Bliss reste
pourtant très recherchée et convoitée par les professionnels
de la restauration. Toutefois, les places sont limitées. Cette
particularité en fait l’une des rues les plus chères de la ville.
Elle fait partie du peloton de tête avec les rues Maarad, Allenby
et Weygand. Actuellement, les loyers de la rue Bliss varient
autour de 1 000 dollars le m2, voire davantage pour certains
emplacements situés face à la porte principale de l’AUB. Ces
prix sont-ils justifiés ? Certains diront que oui. Premièrement,
la présence de l’Hôpital américain et du campus de l’AUB avec
presque 6 000 étudiants (sans compter le personnel et les professeurs)
assure un potentiel de clients non négligeable. Deuxièmement,
à défaut de concurrents sérieux, la rue Bliss est la principale
concentration de snacks-restaurants de la partie occidentale
de Beyrouth. Si les étudiants en ont fait leur cantine et leur
lieu de rendez-vous, Bliss est également une véritable destination
familiale capable de drainer une clientèle hétéroclite de jour
comme de nuit. D’autres affirmeront que la rue Bliss est trop
chère. Pour preuve, si certaines enseignes connaissent des réussites
spectaculaires, d’autres se sont rapidement cassées les dents.
Au cours des 12 derniers mois, 8 enseignes (plus de 25 % des
points de vente) ont mis la clé sous la porte. Comme partout
où les loyers sont élevés, le seuil de rentabilité est difficile
à atteindre et l’espérance de vie des établissements est parfois
réduite. Ainsi, seuls les snacks-restaurants qui sont basés
sur des concepts originaux sont capables de tirer leur épingle
du jeu. Toutefois, comme au centre-ville, la valse des enseignes
n’effraie pas les investisseurs. Progressivement, les petites
boutiques indépendantes laissent leur place à des réseaux déjà
bien établis sur le marché comme le montre l’arrivée au cours
de l’année écoulée de Zaatar w Zeit et de BtoB. Alors que le
cinéma ne semble plus avoir sa place à Hamra, la rue Bliss serait
un site idéal pour des distributeurs.
On parle d’un projet de deux salles dans le nouveau centre commercial
en construction adjacent à l’immeuble Blue. Si ce projet se
confirme, cela donnerait un véritable essor ludique et récréatif
à la rue Bliss.
En coopération avec
: RAMCO, Conseil en Opérations Immobilères
Tel / Fax : 01 349 910 - email : mail@ramcolb.com
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