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La Cuisine et l'Art de la Table:
axes forts de convivialité franco-libanaise et ponts entre les deux cultures
Cours et Promotion de la Cuisine Française
au Liban

La cuisine française jouit d'un grand prestige dans le monde et particulièrement au Liban compte tenu des liens et de la proximité culturelle entre les deux pays.Que ce soit dans la plupart des grands hôtels de luxe ou dans des restaurants indépendants et traditionnels en ville, ce n'est pas à Beyrouth que vous serez frustré de satisfaire votre plaisir de goûter aux saveurs et sensations de ce pan de la tradition francophone.

Octobre 2008
Distinction internationale pour le patissier libanais Simon Said
via l'Académie culinaire de france


Les accords franco-libanais du bon goût:


Le Liban présent au BOCUSE D'OR 2005
Pour la première participation du Liban au 10e Bocuse d'or, le jeune chef Maroun Chedid joue avec les arômes et épices d'Orient.
Le Bocuse d'or, qui a lieu tous les deux ans à Lyon à l'occasion du Salon international de la restauration, de l'hôtellerie et de l'alimentation (Sirha), est aujourd'hui le concours international de cuisine le plus prestigieux et le plus convoité par les jeunes cuisiniers du monde entier. Chaque pays procède à une sélection, validée en finale par un jury européen, qui départage les candidats, car un seul concurrent est admis par pays. La prochaine session - la dixième depuis 1987 -, les 25 et 26 janvier 2005, verra s'affronter vingt- quatre pays, dont pour la première fois un représentant de la Chine et un autre du Liban. Les thèmes du concours 2005 sont un poisson imposé, la lotte d'Islande, et une viande, la demi-selle de veau du Danemark, avec trois garnitures chacune, préparées en cinq heures.
Le jury, présidé par Michel Bras, notera la présentation et la dégustation. Le concours a lieu en public, dans une arène où règne par moments une ambiance digne d'un Mondial de foot. Chaque concurrent a son groupe de supporteurs, avec ses chants et ses drapeaux ! L'ambiance est électrique. Nous sommes allés au Liban début décembre 2004, voir comment, dans ce pays dont les liens culinaires avec la France sont discrets mais réels, se prépare son candidat.
La présélection a été faite en avril 2004 à l'initiative d'un comité national présidé par Georges Khalil, head cheaf de l'hôtel Phoenicia, à Beyrouth.
Le jury de huit chefs européens avait alors désigné le jeune Maroun Chedid, chef du Century Park Hotel à Jounieh, comme le représentant officiel du Liban. Depuis six mois, il se prépare avec le sérieux d'un athlète : il fait et refait, améliore, nuance et révise sa recette, qu'il soumet à la critique des amis et supporteurs qui l'accompagneront à Paris. Son marbré de lotte aux épices, chorizo, encre de seiche et safran, accompagné d'une sauce parfumée à l'orange et au romarin, a l'ambition de donner une touche orientale suffisamment appuyée pour porter dignement les couleurs et toutes les nuances de ce pays du Moyen-Orient et pour séduire le jury.
Car, si les principes de base sont ceux de la cuisine française, liberté est laissée à chacun d'exprimer sa personnalité ou d'évoquer les saveurs nationales - c'est le principe même du concours -, et non de ressasser les vieux codex. Chacune des garnitures devra mettre le poisson ou la viande en vedette, selon un ordre caché qui fera peut-être la différence. Alors Maroun Chedid s'applique à jouer des nuances de couleurs avec une aumônière de blanc d'œuf farci de brandade de joues de lotte aux truffes. Il compte beaucoup sur un pétale de belon glacé au champagne pour sublimer la saveur du poisson, et sur le contraste d'un croustillant à la cannelle et velours d'herbes aux petits légumes pour en souligner la texture. La cuisine libanaise, avec ses parfums et ses arômes, lui offre pour cela des pistes qu'il explore avec soin. Même jeu savant avec le carré de veau en croûte de pommes de terre, hommage aux fameux filets de rouget en écailles de Paul Bocuse, mais accompagné ici d'un matignon de légumes du pays et farci d'une rognonnade pistachée au vrai jus de veau. Avec ce plat, Maroun Chedid mettra l'accent sur les arômes du filet mignon farci cordon bleu et sa royale de foie gras à l'abricot sec, sans négliger la texture de la timbale de macaronis aux ris de veau et morilles à la crème, dont la précision devra égaler les fines nuances colorées du millefeuille de légumes, céleri, chou vert et carotte. Au moment du concours, le chef sera seul avec son commis, face au jury. On songe aux génies autoproclamés, aux autodidactes qui se gaussent de ce genre de compétition. Saluons plutôt la ténacité et le travail acharné de ceux qui rêvent de décrocher la timbale.
La participation du Liban au 10e Bocuse d'or est doublement symbolique. Beyrouth, tel le Phénix qui renaît de ses cendres, s'identifie une fois encore à la Phénicie.
Sa richesse - souvent convoitée - est la Bekaa, la grande plaine intérieure, céréalière, fruitière et viticole, dont l'un des plus beaux fleurons est le Château Ksara, un vignoble développé au XIXe siècle par les Pères jésuites sur des caves romaines. Avant la guerre civile, le souk de la place des Canons regorgeait de ses richesses. Aujourd'hui, c'est un grand chantier de reconstruction, tandis que s'ébauche le nouveau front de mer, hérissé des grues de l'entreprise Karagoulla, qui a signé la brillante rénovation de l'hôtel Intercontinental Phoenicia. En face, le Saint-Georges, sous son linceul provisoire, semble l'ultime témoin du Beyrouth décrit par Elie-Pierre Sabbag dans L'Ombre d'une ville (Buchet-Chastel, 1993).
La cuisine libanaise a noué avec la France des relations étroites. Elle est bien représentée à Paris. Avec le mezzé, la cuisine libanaise, plus qu'une forme de repas, connaît un art de vivre, un temps fort de la vie sociale et amicale, qui comporte jusqu'à quarante préparations différentes, froides et chaudes, et n'a rien à envier aux tapas, antipasti, zakouski et autres amuse-bouche dont on a tendance, ailleurs, à faire parfois... tout un plat. Cette haute tradition culinaire va de pair avec un certain regard pour la cuisine française, toujours brillamment illustrée à Beyrouth à l'Hôtel Vendôme. Au restaurant Eau de vie, au sommet du Phoenicia, c'est encore la tradition française qui donne le tempo, mais Georges Khalil s'accorde la liberté d'imaginer un kebbé à sa façon, sous l'aspect d'une délicate croquette de viande où la chair de canard (à la place de l'agneau), mêlée avec le bourghoul, les pignons, les oignons et la cannelle, abrite une farce de cèpes et de foie gras. Un délice. Alors que l'on enterre parfois un peu vite la cuisine française et sa capacité à susciter la création, il est réconfortant de constater qu'à Beyrouth elle est toujours un langage de civilisation et se prête au dialogue.
A Paris :
Pavillon Noura, 21, av. Marceau, 75116 Paris. Tél. : 01-47-20-33-33.
Au Diwan, 30, avenue George-V, 75008 Paris. Tél. : 01-47-23-45-45.
Fakr El Dine, 30, rue de Longchamp, 75116 Paris. Tél. : 01-47-27-90-00.
Au Liban :
Tilal, près des caves du Château Ksara, à Zahlé. Tél. : 96-18-80-14-22.
Le grand mezzé de George Samaha.
Eau de vie. Hôtel Intercontinental Phoenicia, Minet el Hosn, Beyrouth. Tél. : 96-11-36-91-00. Au Premier. Hôtel Vendôme, Ain Mreysseh, Beyrouth. Tél. : 96-11-36-92-80.
Recette libanaise :
Kebbé (viande hachée au bourghoul) Ingrédients : 500 g de bourghoul fin, 500 g d'épaule d'agneau, 1 oignon, sel, poivre noir. Pour la farce : 1 oignon, 100 g de pignons, 250 g de viande hachée, 50 g de beurre, 1 pincée de cannelle, sel, poivre noir. Prévoir 100 g de beurre pour le plat et les croquettes. Pour la pâte, laver le bourghoul et bien l'égoutter. Hacher la viande finement, l'oignon, et malaxer avec le bourghoul. Saler, poivrer et hacher une nouvelle fois, très fin, en ajoutant un verre d'eau glacée. Tenir le mélange élastique au réfrigérateur. Pour la farce, faire revenir l'oignon dans le beurre, ajouter les pignons et la viande hachée. Laisser cuire 10 minutes, ajouter la cannelle, sel et poivre. Préchauffer le four à 170 °C. Beurrer un plat allant au four. Etaler la moitié de la pâte sur un centimètre d'épaisseur. Disposer la farce sur le dessus et recouvrir du reste de pâte en lissant avec la paume. Dessiner des losanges avec la pointe d'un couteau. Humecter d'eau glacée et parsemer le reste de beurre sur la surface. Enfourner pour 30 minutes. Asperger d'eau froide une fois pendant la cuisson pour colorer. Servir chaud.
Jean-Claude Ribaut ARTICLE PARU DANS L'EDITIONDU MONDE DU 07.01.05



Grande Semaine Gastronomique Française à l'Albergo-Relais & Chateaux
du 1er au 7 Novembre 2004

Pas moins de huits grands chefs étoilés ( 2* au guide Michelin minimum)
participeront à cet évènement exceptionnel qui se déroulera chaque soir à partir de 21 heures au restaurant Al Dente de Beyrouth. Voici le programme de cette semaine magique:


Lundi 1er Novembre:
Chef Jean-Christophe Ansanay-Alex de "L'Auberge de l'Ile" à Lyon
Mardi 2 Novembre: Chef Guy Lassausaie, "Restaurant Guy Lassausaie" à Chasselay
Mercredi 3 Novembre: Chef Patrick Fulgraff, "Au fer rouge" à Colmar
Jeudi 4 Novembre: Chef Jean-Pierre Jacob, "Le bateau ivre" au Bourget du Lac
Vendredi 5 Novembre: Chef Jean-Jacques Noguier, "La ferme de l'hôpital" à Bossey/Genève
Samedi 6 Novembre: Chef Philippe Da Silva, "Les gorges de Pennafort"à Callas
Dimanche 7 Novembre: Chefs Jacques & Laurent Pourcel, "Le Jardin des Sens" à Montpellier

Hotel Albergo et son Restaurant Al Dente
Réservations
au 01/202 440/1 ou 03/280 516


Prix du diner 120$ ttc incluant Laurent Perrier "Grand-Siècle" et grands crus sélectionnés.

La semaine gastronomique française est un évènement organisé avec l'aide de:
Air France, MEA, Enotica, Laurent Perrier et la Banque Libano-Française

Le Patrimoine Culinaire du Liban
Rassemblez 650 recettes, faites les revenir dans 736 pages et servez les bien chaudes dans un ouvrage d'environ 4kgs!
Vous l'aurez compris, ce livre qui obtint fin 2003 l'oscar du meilleur livre francophone de recettes de cuisine en dehors de la France
( Gourmets Awards) n'usurpe pas son titre tant il contribue largement à la diffusion du patrimoine culturel du Liban en général.
Chef Ramzi a parcouru toutes les régions libanaises pour divulguer les secrets des variantes de la cuisine libanaise familiale et traditionnelle.Vous découvrirez aussi des plats très anciens comme les illustrations panoramiques qui vous mettront vite en appétit


La célèbre école internationale française "Le Cordon Bleu" a ouvert en 2004 son établissement de formation au Liban en partenariat avec l'Université du Saint-Esprit de Kaslik
Visitez le site du Cordon Bleu Liban


La Tradition et la Formation Culinaire Françaises au Salon Horeca:

Les échanges Franco-libanais au coeur de l'édition 2003


Beyrouth-4 Avril 2003- La dixième édition du forum Horeca (abréviation de hôtel, restaurant et café) prend fin aujourd’hui au Biel où elle a accueilli, durant les deux premiers jours seulement, plus de sept mille visiteurs dont dix pour cent d’étrangers venus du Koweït, de Syrie, de Jordanie et d’Arabie saoudite. Fondé en 1994 par la société Hospitality Services, Horeca, le « forum de l’hospitalité et de la cuisine au Levant », se propose de « donner aux experts l’opportunité de rencontrer les fournisseurs et d’échanger leur savoir-faire ». Hier, une délégation regroupant les organisateurs d’Horeca 2003 et le jury du Salon culinaire a été reçue par le président de la République, le général Émile Lahoud. Dans un discours prononcé à cette occasion, M. Hervé Fleury, de l’Institut Paul Bocuse à Lyon, a estimé qu’au fil des ans, Horeca est devenu « une vitrine pour présenter au Liban et au Moyen-Orient les produits et les équipements d’entreprises de pointe dans les secteurs de l’hôtellerie et de la restauration ». Grâce à ses concours, a poursuivi M. Fleury, « Horeca devient un terrain de transmission et de partage de l’esprit d’un métier (...). Les jeunes sont encouragés à participer à ces concours par le prestige dont jouissent les membres des jurys : académie culinaire, pâtissier du prince Rainier, meilleur ouvrier de France, membres du corps enseignant d’écoles célèbres, cordon bleu, l’Institut Paul Bocuse et Joseph Varza qui a entraîné et accompagné la première équipe libanaise en prévision de la Coupe du monde de pâtisserie qui s’est déroulée en janvier dernier à Lyon ». De son côté, le président Lahoud a assuré devant ses visiteurs que « la tenue du Sommet arabe à Beyrouth en 2002 est venue confirmer la confiance de plusieurs pays dans la stabilité et les possibilités du Liban qui en font le lieu de rencontre par excellence ». « Le Liban est devenu le centre incontournable des congrès et des rencontres arabes et internationales », a ajouté le président Lahoud, qui a conclu en rendant hommage aux institutions hôtelières qui participent à cette manifestation.
- paru dans L'Orient-le Jour -

Des Chefs du Cordon Bleu en visite au Liban
LE CORDON BLEU a organisé avec le Phoenicia INTERCONTINENTAL la semaine de la Gastonomie au restaurant "Eau de Vie" mise en scène par les grands chefs du CORDON BLEU

Chef Patrick Terrien
"Chef de Chefs"
Le Chef Patrick Terrien fit ses études au lycée technique hôtelier de St-Amand-Montrond. Son diplôme en poche, il partit pour Strasbourg où il travailla au restaurant l'Aubette puis pour Evian-les-Bains à l'hôtel Royal. Ensuite, ce fut Paris et l'hôtel Inter-Continental où il fut employé comme Chef Saucier puis comme Sous-Chef de cuisine sous les ordres du Chef Charles Janon. Toujours sous les auspices de l'Inter-Continental, le Chef Terrien poursuivit son éducation à Genève où il reçut la manifestation internationale gastronomique. L'un des points-clés de sa carrière fut certainement le fait de travailler comme Sous-Chef au restaurant de l'hôtel Nikko sous les ordres du Maître Joël Robuchon. Le Chef Terrien a touché à de nombreuses facettes de la cuisine. Il enseigna à l'académie Tsuji à Osaka au Japon. Plus tard, il fut Chef de cuisine du Club privé " le Grand Cercle " à Paris et ouvrit son propre restaurant à Tours qui obtint une étoile Michelin et ceci avant de rejoindre le Cordon Bleu. Gagnant de la troisième place lors du Concours du Club des Toques Blanches et bénéficiaire du Diplôme du Mérite Culinaire du Club Prosper Montagné en 1984, le Chef Terrien est un membre honoraire de l'académie Tsuji et co-auteur du livre " la Cuisine de Tourangelle " fondé sur la cuisine de sa région. Le Chef Terrien a rejoint l'équipe déjà prestigieuse du CORDON BLEU en 1989.
Chef Danniel
"Chef Pâtissier"
Né à Antibes, Sud de la France, Fabrice Danniel débuta sa carrière en 1985 après obtention de son Certificat d'Aptitude Professionnelle. Il diversifia son activité culinaire en travaillant dans les cuisines partout en France et dans le monde. Chef Danniel a travaillé dans les restaurants prestigieux, étoilés de Michelin, comme en tant que Chef Pâtissier au sein de restaurants gastronomiques comme Le Pavillon Elysée, Lucas Carton à Paris. Chef Danniel a ensuite travaillé au Liban en tant que Chef Pâtissier pour un hôtel de luxe, " Les Suites ", doté de trois restaurants dont "Le Fleuron ", une boutique pâtisserie, un salon de thé ainsi que de salons banquet d'une capacité de 1000 couverts. En 1997, il développe ses compétences culinaires en obtenant son brevet de Maîtrise en pâtisserie, confiserie, chocolatier, glacier, traiteur. Chef Danniel a ensuite travaillé au sein de la Société Napoléon au Caire pour le lancement d' un centre de production de pâtisserie fine ; puis est devenu Chef Pâtissier d'une équipe de 15 personnes au Sheraton Doha Hotel & Resort du Qatar. Le Chef Danniel a rejoint l'équipe d'élite des Chefs du Cordon Bleu en janvier 2003.




Le Cordon Bleu
8 rue Léon-Delhomme, 75015 Paris - 01 53 68 22 50

Une mission éducative et culturelle.
Avant la version francophone intégrale du Site Web,
une page de présentation...

( format pdf )



Fondé à Paris en 1895, aujourd'hui avec une implantation dans douze pays et une reconnaissance internationale, LE CORDON BLEU continue son développement avec vingt deux Ecoles de Cuisine et de Pâtisserie et des programmes académiques importants notamment en Australie menant à des Bachelors et des Masters en Gastronomie et en Hôtellerie. C'est ainsi que chaque année que nous recevons dans l'ensemble de nos institutions près de 11.000 étudiants de 70 différentes nationalités et que nous sommes devenus le premier réseau de formation culinaire au monde. En complément de notre activité éducative, LE CORDON BLEU propose également de nombreuses publications culinaires multilingues, des catalogues de vente de cadeaux et produits gourmets, des programmes de licence de restaurants et de boulangeries, et assure ainsi la pérennité de notre patrimoine culturel et la promotion de l'Art de Vivre français à l'étranger.

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Page en développement..



Faut-il quitter le Liban pour apprendre l'Art Culinaire Français?

Réponse:

LE CORDON BLEU sera présent lors du Salon de l'Hôtellerie et de la Restauration au stand C 17,

HORECA 2003


Nombreuses démonstrations de cuisine et de pâtisserie lors du Salon

Le Cordon Bleu anime une Semaine de la Gastronomie au Restaurant l'Eau de Vie
du Phénicia Intercontinental


Une Recette "Cordon Bleu" pour bien préparer HORECA 2003


DELICE AU CHOCOLAT
8 personnes


L'appareil

60 g de jaunes d'œufs 50 g de sucre 60 g de blancs d'œufs 13 g de sucre 30 g de beurre fondu 30 g de farine 15 g de poudre de cacao 25 g de poudre de noisettes (ou poudre d'amandes)
Sirop
175 ml d'eau 125 g de sucre 1 cuil. à soupe d'essence de café 40 ml de rhum Ganache 400 ml de crème 1 gousse de vanille 400 g de chocolat couverture haché
Finition
300 g glaçage en chocolat* Décor (facultatif) pailleté chocolat cigarettes en chocolat noisettes caramélisées
Préchauffer le four
à 325°F (170°C).
1 moule
7"(18 cm) x 2 ¾ "(7 cm), beurré et fariné.

1. Blanchir les jaunes d'œufs
avec le sucre. Fouetter les blancs d'œufs avec l'autre quantité de sucre, incorporer dans l'appareil de jaunes d'œufs. Incorporer le beurre fondu. Tamiser la farine avec le poudre de cacao, ajouter le poudre de noisettes et incorporer dans l'appareil. Verser l'appareil dans le moule et faire une ligne au milieu. Mettre au four préchauffer pendant 35 à 40 minutes. Insérer un couteau au milieu du gâteau pour vérifier la cuisson, le couteau doit sortir propre, sans appareil.
2. Enlever le gâteau du moule. Egaliser le gâteau. Couper en trois tranches, horizontalement avec un couteau-scie.
3. Faire le sirop. Emmener à l'ébullition l'eau et le sucre. Mettre hors du feu, ajouter l'extrait de café et le rhum. Laisser refroidir.
4. Préparer la ganache. Porter à l'ébullition la crème et la gousse de vanille, enlever la gousse de vanille. Verser la crème chaude sur le chocolat haché. Mélanger jusqu'à ce que le chocolat soit lisse et fondu. Mettre la ganache dans un bol et laisser refroidir.
5. Assemblage. Imbiber le fond du gâteau avec du sirop. Remplir une poche (2 cm) avec de la ganache. Déposer une couche de ganache et lisser avec la palette. Mettre la deuxième tranche de gâteau puis une couche de ganache. Mettre la dernière tranche et lisser les côtés avec la palette. Imbiber le gâteau entier. Couvrir complètement avec la ganache restante. Mettre au frigo. 6. Glaçage. Mettre le gâteau sur grille, sur une plaque pour recueillir les gouttes de glaçage qui vont couler du gâteau.. Verser le glaçage sur la gâteau, et lorsqu'elle est complètement recouvert, soulever doucement la grille et reposer-la pour aider le glaçage à se stabiliser. Enlever le glaçage en excès. Délicatement, mettre les pailleté chocolat sur les côtés. Laisser refroidir pour figer. Décorer le dessus avec des cigarettes et les noisettes caramélisées. *Si vous ne trouvez pas le glaçage sur le marché, il est simple de faire chez vous. Dans une casserole, mettre ensemble 50 g de sucre, 50 g de glucose (sucre inverti) et 50 g de beurre. Porter à l'ébullition, verser sur 250 g de chocolat couverture haché. Mélanger le chocolat jusqu'à ce qu'il soit lisse. Utiliser pendant le chocolat soit tiède. Couverture doit être utiliser pour la pâtisserie parce que son pourcentage important de beurre de cacao (plus que 33%) permet le chocolat d'être plus ferme, lisse et facile à utiliser.






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