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Le cinéma libanais présent
coûte que coûte au
Festival de Cannes
Le cinéma libanais présent
au Festival de Cannes


Le Liban au Festival de Cannes 2009
Pour la 5e année consécutive, le Liban sera présent au « Village international » du Festival de Cannes. Fidèle à son rôle fédérateur, l'Office de tourisme du Liban accueillera, au sein du pavillon libanais, la « Fondation Liban Cinéma » et
le « Festival international du film de Beyrouth ».

À l'initiative de son directeur, Serge Akl, l'Office de tourisme du Liban à Paris lance le projet « À 35 mm de Beyrouth », pour promouvoir l'image du pays comme destination cinéma auprès des professionnels, dynamisant de ce fait le rôle de l'office qui agira en collaboration avec les institutions et les professionnels du cinéma au Liban.
Deux actions seront donc lancées à Cannes dans le cadre de ce projet : répertorier les infrastructures et ressources humaines du pays et les présenter sous forme de clé USB et d'un site Internet régulièrement mis à jour.
Et effectuer également un voyage de familiarisation avec le Liban, organisé par l'Office du tourisme à l'automne 2009, pour permettre à des professionnels du cinéma de découvrir le pays et de rencontrer leurs homologues libanais.
Un point de presse est fixé le vendredi 15 mai à 17h avec Serge Akl au pavillon libanais - village international.

Par ailleurs, « La Fondation Liban Cinéma » organise du 14 au 18 mai des rencontres entre cinq scénaristes/réalisateurs libanais, qu'elle invite à Cannes, et huit professionnels internationaux, (producteurs et responsables de fonds et institutions de cinéma). Les cinq auteurs des scénarios en développement avaient été sélectionnés pour participer à un atelier d'écriture de scénario de long métrage de fiction organisé par la fondation à Beyrouth.
Également au programme la projection du film de Samir Habchi, Beyrouth ville ouverte, le 17 mai à 20h30, Marché du film, palais C.
Contact à Cannes : madame Aimée Boulos, directrice de la Fondation Liban Cinéma.
Tél : +961 3 322638 - aboulos@fondationlibancinema.org - www.fondationlibancinema.org
Quant au Festival international du film de Beyrouth (30 septembre-7 octobre 2009), il annoncera l'ouverture du dépôt des candidatures. La section « Panorama » est composée de longs métrages du monde entier, tandis que la section compétition propose des longs et courts métrages de réalisateurs du Moyen-Orient.

Contact presse : Zeina Toutounji-Gauvard, tél : +33(0)6 22 30 12 96 - zeinatg@yahoo.fr


Festival de Cannes 2008: un film franco-libanais
dans la sélection officielle "Un certain regard"
"Je veux voir" avec Catherine Deneuve et Rabih Mroué
de Joana Hadjithomas et Khalil Joreige

(c) Photo - Nadim Asfar
Présentation
Juillet 2006. Une guerre éclate au Liban. Une nouvelle guerre mais pas une de plus, une guerre qui vient briser les espoirs de paix et l'élan de notre génération. Nous ne savons plus quoi écrire, quelles histoires raconter, quelles images montrer. Nous nous demandons : 'Que peut le cinéma ?'
Cette question, nous décidons de la poser vraiment. Nous partons à Beyrouth avec une 'icône', une comédienne qui représente pour nous le cinéma, Catherine Deneuve. Elle va rencontrer notre acteur fétiche, Rabih Mroue.
Ensemble, ils parcourent les régions touchées par le conflit.
A travers leur présence, leur rencontre, nous espérons retrouver une beauté que nos yeux ne parviennent plus à voir.
Une aventure imprévisible, inattendue commence alors...
>>
voir la fiche officielle du film dans le site du Festival

La Fondation Liban Cinéma affirme sa présence à Cannes

Aimée Boulos, ténacité et action

Il n’est pas facile de poursuivre des activités culturelles dans un pays de turbulences comme le Liban. Encore moins de promouvoir l’art du cinéma (actuellement en expansion) avec les aléas, multiples et souvent énormes, au quotidien. La Fondation Liban Cinéma, présidée par Aimée Boulos, a prouvé le contraire et a réussi à renverser la donne.

Présente pour la quatrième année consécutive au prestigieux Festival de Cannes, la Fondation Liban Cinéma est devenue une des principales « ambassadrices » du cinéma libanais. Représentant son perpétuel mouvement et son évolution, cette fondation poursuit ses activités grâce à l’ardeur d’un conseil dynamique formé de neuf membres.
Après avoir bénéficié des « journées libanaises » à Cannes l’an dernier, la fondation a voulu cette année élargir sa présence. Un pavillon a donc été loué pour l’occasion quatre mois à l’avance, et cela grâce au parrainage du Casino du Liban qui a bien voulu assumer une grande partie des frais. Le service de coopération et d’action culturelle de l’ambassade de France ainsi que d’autres sponsors, comme la BLF, ont également contribué à rendre cet événement possible.

Promouvoir la production libanaise
Après ces longs préparatifs, le voyage a été compromis par les récents événements de mai. L’annulation du départ s’imposait. Mais, quelques jours après, la réouverture de l’aéroport devait tout remettre en question. Ira-t-on ou n’ira-t-on pas ? Les responsables français, auxquels la nouvelle a été communiquée, ont été très compréhensifs, « Quand ils ont su qu’on ne venait pas, ils ont bien voulu hisser le drapeau libanais sur le pavillon, à ma demande, affirme Aimée Boulos, d’une voix étranglée par l’émotion. Mais aussitôt que l’aéroport a ouvert ses portes, nous prenions la route vers la Croisette. »
Ainsi, pour la quatrième année, la Fondation Liban Cinéma a réussi à ne pas manquer ce rendez-vous annuel.
Dans le cadre d’un pavillon situé au Village international, lieu d’accueil et de convivialité, les membres de la fondation présents à Cannes ont pu soutenir et promouvoir le cinéma libanais dont le développement en volume et en qualité, aujourd’hui réel, a besoin de maintenir cette
visibilité.
Mis à part le cocktail qui a été annulé à cause des circonstances, le reste du programme a été maintenu. Ainsi, la Fondation Liban Cinéma a pu assurer deux projections au « Marché du film », témoignant de la qualité de la production libanaise : le long-métrage Khalass de Borhane Alaouié et le documentaire 33 jours de Mai Masri. Un film promotionnel de la fondation, produit avec le soutien du ministère du Tourisme, a également fait l’objet d’une projection.
« Ces projections ont été très bien accueillies, souligne Aimée Boulos qui avoue « que même si la Fondation Liban Cinéma n’a pas encore atteint tous ses objectifs », entre autres le fonds de soutien pour aider à l’écriture et au tournage, « elle réussit néanmoins à faire la promotion au monde entier des films en les faisant connaître par le biais des festivals. » « Nous sommes encore au début du chemin, conclut-elle.
Mais nous y arriverons. »
Colette KHALAF


Soirée Libanaise à Cannes le Lundi 21 Mai 2007


Le Liban sera bien présent au Festival de Cannes 2007 lors de la 39ème Quinzaine Des Realisateurs dans la sélection « Tous les cinémas du Monde », le 21 Mai 2007.

Deux longs metrages seront presentés :
Caramel de Nadine Labaki et Un Homme Perdu de Danielle Arbid

Caramel : premier film de Nadine Labaki
Avec : Nadine Labaki, Joanna Moukarzel, Siham Haddad, Yasmine el Masri et
Gisèle Aouad

A Beyrouth, cinq femmes se croisent dans un institut de beauté, microcosme coloré où plusieurs générations se rencontrent, se parlent et se confient.
Layale est la maîtresse d'un homme marié. Elle espère encore qu'il va quitter sa femme.
Nisrine est musulmane et va bientôt se marier. Mais elle n'est plus vierge et s'inquiète de la réaction de son fiancé.
Rima est tourmentée par son attirance pour les femmes, en particulier cette cliente qui revient souvent se faire coiffer.
Jamale est obsédée par son âge et son physique.
Et Rose a sacrifié sa vie pour s'occuper de sa soeur âgée.
Au salon, les hommes, les femmes, le sexe et la maternité sont au coeur de leurs conversations intimes et libérées.

Un Homme Perdu : de Danielle Arbid
Avec Alexander Siddiq et Melville Poupaud

Thomas Koyré, photographe français, parcourt le monde à la recherche d'expériences extrêmes. Son chemin croise celui de Fouad Saleh, un homme étrange, à la mémoire défaillante. Le français va tenter de découvrir son histoire et de tracer avec lui un bout de chemin au cœur d’un Orient sulfureux et secret. Il en sortira changé à jamais.

Une occasion pour attirer l'attention du monde entier sur un pays meurtri par les conflits et les dissensions, et qui milite pour préserver sa culture
à travers ses artistes.

Une grande soirée libanaise sous le patronnage du ministère du tourisme, organisée par la Fondation Liban-cinéma et l'office du tourisme du Liban à Paris couronnera la présence libanaise au 60ème festival de Cannes le Lundi 21 Mai.

 




Le Liban au « Marché du film »

La Fondation Liban-Cinéma était aux premières loges du « Marché du film » qui se tient chaque année durant le festival.
Sur son stand sponsorisé cette année par l’Office du Tourisme et le ministère de la Culture, les visiteurs étaient accueillis par Mmes Maya de Freige (membre du comité) et Reine Mitri ainsi que Serge Akl, chef du bureau de l’OTL à Paris. Mais la présence libanaise à Cannes sera plus importante l’année prochaine, en ont décidé les responsables du stand qui ont tenu une réunion avec des cadres de l’hôtel de Ville de Cannes et établi un dossier pour rechercher des sponsors. Une « Beach party » sera organisée sur la Croisette (en 2007, bien entendu) pour assurer une meilleure promotion du cinéma libanais et de nouveaux films produits chez nous.

Noria de jeunes réalisateurs et producteurs
Parmi les talents qui ont présenté leurs œuvres ou qui se trouvaient sur la Croisette, des réalisateurs, producteurs et acteurs dont Chadi Zeineddine, Myrna Maakaroun, Cynthia Choukair, Sabine Chammaa, Pierre Sarraf (codirecteur du festival du cinéma libanais intitulé « Né à Beyrouth »), Pierre Salloum, Joanne Hadji-Thomas, Philippe Aractinji, Petra Abousleiman, Lara Fadel, Rita Dagher, Darina al-Jundi, Nadine Gharzeddine et d’autres qui se sont montrés plutôt discrets.
Également croisés... sur la Croisette, Antoine Khalifé (Unifrance) et l’ancienne Miss Liban Norma Naoum qui tournait pour la Future TV un document sur le festival.

Cynthia Sarkis, ses soirées et ses galas...
Deux soirées signées Cynthia Sarkis ont agrémenté les nuits de Cannes 2006.
D’abord, un gala sponsorisé par le magazine Gala au Majestic au profit de l’Unicef en partenariat avec Élie Saab (représenté par Mme Claudine Saab et Zeina Raphaël) qui a habillé plus d’une star à Cannes dans son show-room du Martinez. La soirée était animée par la présentatrice de M6, Virginie Essira (habillée par Élie Saab, bien entendu). Dans la salle, Chadi Zeineddine, Serge Akl, Ramzi Saab avec à sa table Carmen Chaplin, petite-fille du célébrissime Charlot), la princesse Clotilde de Savoie, Clotilde Coureau, Élia Sleiman (réalisateur et membre du jury du Festival de Cannes) et Tim Roth.
La deuxième soirée organisée par Cynthia au « Nikki Club » du Carlton était en fait un défilé de mode africaine accompagné d’un concert d’Alicia Kays.
Le sponsor était le magazine Style Report, une référence en matière de mode afro-américaine. Plus de 500 convives y ont dansé jusqu’à l’aube.


Jeunes « branchés » de chez nous
Outre les professionnels du cinéma, la Croisette et les boîtes de Cannes ont vu des dizaines de jeunes Libanais mêlés aux célébrités. Pour la plupart amateurs de cinéma et de musique. Parmi les boîtes « branchées », spécialement installées à Cannes pour la durée du festival, notamment « Le Baron », le « VIP Room », le « Nikki Club » du Carlton, sans compter les boîtes traditionnelles de Cannes qui se sont animées pour la quinzaine avant de retrouver leur calme.

En attendant les nuits du prochain été.
Fahd Hariri, partenaire d’une maison de production

Également rencontré à Cannes, M. Fahd Hariri et des professionnels français du cinéma avec lesquels il vient de fonder une maison de production. On n’en sait pas plus pour l’instant sur les projets de cette nouvelle entreprise.

Omar Harfouche et son nouveau magazine
Omar Harfouche, qui avait défrayé la chronique il y a trois ans lorsqu’il était copropriétaire de l’agence de mannequins Élite, était à Cannes. Avec pour mission de couvrir le festival pour son nouveau magazine intitulé Public. Harfouche, qui était il y a quelques mois l’invité d’un « reality show » sur TF1, édite par ailleurs deux autres magazines en Ukraine.


Festival de Cannes 2006

La Fondation LibanCinéma au Marché du Film
Palais No 1, Stand 11 - 01/ 13 - 02
Tel : 04 92 99 81 73


Pour la deuxième année consécutive, la Fondation LibanCinéma (FLC) est au rendez-vous du Festival de Cannes dans le cadre du Marché du Film. Par son initiative, la FLC assure au cinéma libanais un tremplin vers le marché international.

Elle y présente :

1- Des projections illustrant la diversité de la production cinématographique libanaise

Le 23 mai à 16h
, Palais F, 1h55 : Bosta de Philippe Aractingi
Le 23 mai à 20h30, Palais G, 1h28 : A perfect day de Joana Hadjithomas et Khalil Joreige, film d’auteur qui a remporté plusieurs prix internationaux.
Le 25 mai à 22h, Palais D, 35mn : Un aperçu de la production 2005-2006 :
A perfect day de Joanna Hadjithomas et Khalil Joreige,
Bosta de Philippe Aractingi,
Dunia de Jocelyne Saab,
Khalas de Borhane Alaouié,
Le dernier homme de Ghassan Salhab.

2- Une brochure de présentation des long-métrages libanais récents (2005/2006), publiée par la Fondation LibanCinéma, sera distribuée sur place.

3- Du matériel promotionnel sur les festivals qui œuvrent au Liban et à l’étranger pour la promotion du cinéma libanais :
· Beirut DC
· Né à Beyrouth
· Middle-East Film Festival

4- Un CD ROM qui comprend une base de données restreinte sur le cinéma libanais.

Cette opération, fédératrice des énergies, a le soutien de:
- l’Office libanais du Tourisme en France
(Ministère libanais du Tourisme),
-du Ministère libanais de la Culture et
-du Service de Coopération et d’Action Culturelle
de l’Ambassade de France au Liban.


Contact presse : Zeina Toutounji-Gauvard – mail: zeinatg@yahoo.fr

Contacts Fondation LibanCinéma à Cannes :
- Maya de Freige : 00 33 (0)6 32 24 75 93 – mail : mdef@lynx.net.lb
- Reine Mitri : mail : rmitri@fondationlibancinema.org



Retour en 2005

La présence libanaise au festival de Cannes 2005, sous la houlette de la
Fondation Liban Cinéma, n'a pas manqué de retenir l'attention: c'est ainsi que le Ministre français de la Culture, Mr Renaud Donnadieu de Vabres a tenu à faire,
le Lundi 16 Juin
, un passage particulièrement chaleureux sur le pavillon libanais
comme en témoigne son message d'amitié (voir ci-dessous).

De gauche à Droite: Serge Akl, le Ministre Renaud Donnadieu de Vabres, Aimée Boulos;
Renaud Donnadieu de Vabres appréciant une bouteille de vin libanais.

Cette journée a été ponctuée d'une conférence de presse sur une plage cannoise,
au cours de laquelle les professionnels du cinéma libanais ont tenu à transmettre leurs ambitions, leur vision mais aussi leurs besoins pour que le 7 ème art du pays
du cèdre se fasse un place de plus en plus remarquée sur la scène internationale.

Bon nombre de réalisateurs confirmés de courts et longs métrages étaient d'ailleurs présents pour transmettre leur témoignage à la presse et aux participants.

Vue de la tribune et de l'assistance lors de la conférence de presse:
De G.à D: Mario Jr Haddad, Gabriel Chamoun, Aimée Boulos, Michèle Tyan, Serge Akl



Quelques personnalités aperçues lors de cette journée (de Gauche à Droite):
Elena et le célèbre producteur Omar Harfouch , Serge Akl, directeur de l'Office du Tourisme
du Liban à Paris, Jean-Michel Druart, éditeur de LibanVision et Rita Dagher,
fondatrice de Yalla Productions.

Crédit Photos Cannes: Tony El-Hage / OTLiban - libres de droits


Le message d'amitié de Mr Donnadieu de Vabres lors de son passage au pavillon libanais

La fondation Liban-Cinéma à Cannes:
Bilan positif et mission accomplie pour Aimée Boulos

Encore une fois, le rappel s’impose et Aimée Boulos s’en est chargée : « La fondation Liban-Cinéma est un organisme privé à but non lucratif, créé en 2003, dont l’objectif est de soutenir et de développer l’industrie du cinéma au Liban. » Ce qui implique, à notre époque, de médiatisation et de communication (sans oublier la mondialisation, surtout s’agissant de cinéma), la nécessité absolue d’exister au plan international. Donc de se faire connaître. À cet égard, le Festival international du film présentait une occasion unique. Aimée Boulos, présidente de la fondation : « Le fait d’obtenir un pavillon pour le Liban au Festival de Cannes, outre que c’était là un développement capital, nous a encouragés, tout en renforçant notre optimisme. Mais ça n’a pas été une mince affaire que d’organiser ce pavillon et d’assurer son bon fonctionnement. Heureusement, les bonnes volontés n’ont pas manqué, elles ont même afflué. Je tiens à remercier ici, en particulier, M. Serge Akl, directeur de l’Office du tourisme du Liban à Paris, qui représentait notre ministère du Tourisme. » L’accueil fait au Liban, et à tous les Libanais, semble avoir été des plus chaleureux, non ?
A.B. : « Au-delà de tous nos espoirs. La démonstration en a été faite le jour de notre conférence de presse (lundi 16 mai), suivie par un nombreux public. Étaient présents plus de 40 représentants de la presse écrite, arabe et internationale, huit chaînes de télévision et deux stations de radio. Ce qui signifie des contacts profitables, puisque des jeunes cinéastes libanais étaient à Cannes, sans oublier des professionnels du monde du cinéma. »
D’autres moments forts, au pavillon du Liban ?
A.B. : « À noter en priorité la visite du ministre français de la Culture et de la Communication, M. Renaud Donnedier de Vabres, qui soutient visiblement nos initiatives. Je tiens également à remercier d’autres personnalités pour l’expression de leur sympathie et leur collaboration souvent précieuse. Je citerai entre autres Mme Zeina Toutounji Gauvard, attachée de presse de la fondation, M. Ghassan Koteit (réalisateur), secrétaire général de la fondation, sans oublier de jeunes bénévoles et la direction du Marché du film, un des secteurs importants du Festival de Cannes. Enfin, les sponsors... »
Où en êtes-vous, présentement, concernant vos activités concrètes, réalisations, projets et perspectives ?
A.B. : « Comme vous le savez déjà, une aide au scénario a été accordée par notre fondation. Plusieurs scénarios de longs métrages de fiction, œuvres de cinéastes ayant fait leurs preuves dans un passé récent, sont à la recherche de producteurs et de partenaires financiers. J’aimerais mentionner que des films – une dizaine au moins – en sont au stade de la postproduction, certains d’entre eux pouvant sortir en 2005/2006. Ils sont signés Borham Alaouié, Philippe Aractingi, Joanna Hadjithomas/Khalil Joreige, Michel Kammoun, Jocelyne Saab, Ghassan Salhab et Chadi Zeineddine. C’est un fait que le cinéma libanais a longtemps été un cinéma de solitaires. Nous voulons canaliser ces énergies. Par ailleurs, nous avons souligné, à Cannes, que le Liban, pays producteur de films, se voulait être également prestataire de services. Nos techniciens, formés à la télévision et/ou à l’étranger, sont incontestablement valables. »
µ L’industrie du cinéma – puisque industrie il y a (voir Malraux !) – ne se conçoit pas sans financement. Vous avez dû avoir des problèmes ?
A.B. : « C’est le moins qu’on puisse dire ! Mais nous avons des sponsors – tels le Festival de Beiteddine et des sociétés de production et postproduction, la Djinn-House Productions et The Talkies. Plus le Beyrouth Pole Technologique. L’ambassade de France au Liban nous a accordé une aide généreuse. Pour le financement des films, nous allons créer un fonds de soutien en faisant appel à des investisseurs libanais et internationaux. Et nous avons bien l’intention de mettre nos responsables officiels – s’il s’en trouve ! – à contribution. Autrement dit, un chantier en activité permanente. Un autre exemple : au pavillon du Liban à Cannes, nous avons diffusé – à profusion – un CD comprenant les informations complètes sur la fondation Liban-Cinéma, sa composition, son fonctionnement et ses objectifs. Un supplément au budget, mais combien bienvenu. Je crois n’avoir rien oublié. »
Le compte-rendu et le bilan sont en effet exhaustifs. « Mission accomplie ! » avait proclamé Aimée Boulos à son retour de Cannes et Paris. Accomplie dans tous les sens du terme ; mais se poursuivant en permanence. Le cinéma libanais reste en perpétuel devenir.

Mai 2005: rendez-vous à Liban-CinéCannes...


Le Festival de Cannes, cette grande tribune du cinéma mondial, offre (en marge de la compétition officielle et du marché des films) aux différents pays les moyens de mettre en valeur leur culture et leur cinéma dans le Village international qui regroupe de nombreux pavillons nationaux.

Le ministre libanais du Tourisme, Wadih El-Khazen, entouré des membres de Liban-cinéma et des partenaires.
(Photo Michel Sayegh)


Cette année, le Liban fera partie des trente pays privilégiés ayant pignon au Village international. Le pavillon libanais (25m2 et 25m2 de terrasse) – conçu comme un lieu de travail et de rencontre pour le monde audiovisuel, à savoir les producteurs, distributeurs ainsi que la presse – a pu voir le jour grâce à l’initiative de la fondation Liban-cinéma en partenariat avec le ministère du Tourisme libanais et le service de Coopération et d’action culturelle de l’ambassade de France.

Avec près de 4 000 journalistes, le Festival de Cannes est la plus importante manifestation médiatique annuelle au monde. Le pavillon libanais, un espace d’accueil et de relations publiques, est ainsi utilisé comme centre de presse, un lieu de regroupement pour les Libanais se trouvant à Cannes. Il pourra aussi et surtout assurer la promotion des sociétés sponsors et du Liban touristique en tant que lieu de production cinématographique.
« Un certain nombre d’événements spéciaux sont prévus au pavillon afin d’offrir aux participants des occasions stratégiques de rencontrer les intervenants clés de la scène internationale », a indiqué Mme Aimée Boulos, présidente de la fondation, lors d’une conférence de presse tenue hier dans les locaux du ministère du Tourisme, en présence du ministre Wadih el-Khazen.
Au programme : des conférences de presse, un cocktail de mezzé auquel seront invités des professionnels internationaux, la présence d’artistes libanais, soirée folklorique, etc. Le secteur privé de l’industrie du cinéma au Liban participe également à cette manifestation. « Les professionnels du cinéma qui y seront présents bénéficieront d’un lieu de rencontre et l’industrie du cinéma ne peut que bénéficier d’une telle exposition permettant le développement de relations et de partenariats avec les représentants d’autres pays » (institutions gouvernementales, producteurs privés, distributeurs, responsables du festival, presse internationale…) .
Mme Boulos espère que cette occasion puisse générer du travail pour les sociétés de production libanaises et pour les professionnels du cinéma libanais.


Pavillon Libanais à Cannes (11-22 mai 2005)
Le Liban est présent au Festival de Cannes 2005 dans un pavillon situé au le Village International. Une première pour le Liban. Ce pavillon est une occasion d'ouverture sur l'industrie du cinéma international et les professionnels du cinéma libanais qui y sont présents bénéficient d'un lieu de rencontres privilégié au cœur de cette tribune du cinéma mondial. Espace d'accueil et de relations publiques, utilisé comme centre de presse et de diffusion d'information, ce pavillon est à même de répondre aux attentes des intéressés, et de promouvoir le Liban touristique comme lieu de tournages et centre de production et post-production.
La présence de la FLC au Village International du Festival de Cannes a pu se concrétiser grâce au précieux concours de l'Office de Tourisme Libanais à Paris
(Ministère du Tourisme Libanais).
Le Pavillon Libanais est également soutenu par l'Ambassade de France au Liban et par des sociétés privées.


La Fondation Liban Cinéma


Le site-web de la fondation "LibanCinéma" hébergée au
Parc Technologique Berytech


Historique:
La Fondation LibanCinéma (FLC), organisme privé, à but non lucratif, soutient le développement de l'industrie du cinéma au Liban. C'est la première fois dans l'histoire du cinéma libanais qu'une telle initiative voit le jour. La Fondation LibanCinéma est née de la volonté active de professionnels qui ont voulu placer le Liban dans le paysage cinématographique international. La FLC se propose d'être l'organisme moteur de cette industrie. Créée le 26 février 2003 (Notification nº 45/AD), elle s'est dotée d'un Conseil d'Administration formé de professionnels du cinéma, de financiers et de gestionnaires, à même de mener la stratégie adéquate pour réaliser les objectifs de la FLC.
Objectifs :

Soutenir, promouvoir le cinéma au Liban, tel est l'objectif de cette Fondation. Après quinze ans de guerre au Liban (1975 - 1990) la production reprend du souffle, au rythme d'un à trois long-métrages par an. La FLC qui œuvre pour augmenter le volume de cette production , étudie auprès des banques, financiers et investisseurs, la structure adéquate pour créer un fonds de soutien. Elle contribue ainsi à promouvoir et entretenir un environnement propice au développement et à la prospérité de l'industrie du cinéma. A vocation nationale, régionale et internationale, la FLC a également un rôle fédérateur à jouer auprès des divers " acteurs" de ce secteur. Un site Internet ainsi qu'une base de données couvrant les différents métiers sera régulièrement mise à jour et constituera une adresse de référence pour l'information et la communication intérieures et extérieures des actualités cinématographiques libanaises et régionales. La FLC se charge d'organiser des séminaires et ateliers de travail spécialisés pour contribuer à la formation continue des professionnels du cinéma. La FLC devient ainsi un interlocuteur incontournable, tant au Liban qu'avec le cinéma international.
Perspectives:
Aujourd'hui, le Liban jouit d'atouts certains lui permettant de devenir un centre régional de production cinématographique. La diversité géographique offre un décor naturel que viennent compléter un corps professionnel artistique, technique et technologique de qualité, spécialisé et trilingue. Un équipement de production et de post-production de pointe est disponible sur place, ainsi qu'une main d'œuvre locale qualifiée et concurrentielle. Sans compter un climat de liberté favorable à la création, qui distingue le Liban dans cette région du monde. La Fondation Liban Cinéma a foi en ce cinéma qu'elle soutient.

Fondation Liban Cinéma

Berytech Pôle Technologique Mar Roukos, Mkalles
Bureau: +961-4-533 040 ext. 2006 Fax: +961-4-533 070
B.P. 11-7503 Riad el Solh Beyrouth - Liban


Exclusif:
Entretien avec Mme Aimée Boulos, directrice de la Fondation Liban Cinéma à la veille de son départ pour le Festival de Cannes
Mme Aimée Boulos lors d'un colloque en 2004
Pour la première fois du 11 au 22 Mai 2005, et malgré les circonstances difficiles que traverse le pays, le Liban sera présent au Festival de Cannes avec la participation de la Fondation LibanCinéma au Village international.
Ce projet est réalisé par la Fondation LibanCinéma en partenariat avec le Ministère du Tourisme Libanais (Office du Tourisme du Liban à Paris) et le soutien du Service de Coopération et d’Action Culturelle de l’Ambassade de France au Liban. Créée le 26 Février 2003, la FLC est un organisme à but non lucratif qui a pour objectif de participer au développement de l’industrie cinématographique au Liban, en soutenant financièrement la création et la promotion de films au niveau local, régional et international.
Nous sommes allés rencontrer Madame Aimée Boulos, Directrice de la Fondation et personnalité à l’origine de bien des avancées de l’industrie cinématographique au pays du Cèdre
Yann Rotil pour Berytech :
Le Liban disposera d’un pavillon au festival de Cannes. Qu’attendez vous de la présence libanaise lors de cet événement ?
Aimée Boulos : Effectivement, le Liban sera présent au village international et c’est bel et bien la première fois que le Liban aura un pavillon national, avec les deux autres « nouveaux » pays présents cette année: l’Iran et la Bosnie Herzégovine. Grâce à ce pavillon, notre petit pays prend ses quartiers dans ce grand festival international, même si l’histoire du Liban au festival a commencé par les nombreux films qui ont été sélectionnés et certaines fois primés. On peut citer « Hors la vie » de Maroun Baghdadi, « dans les champs de bataille » de Daniel Arbid parmi les plus récents. Cette présence vise donc à promouvoir le Liban en tant que destination privilégiée pour des tournages et elle concrétise également le rayonnement artistique de notre pays qui est connu bien au delà de nos frontières. Pour en revenir à votre question,
c’est un pavillon libanais mais c’est la Fondation Liban Cinéma qui l’occupe seule et c’est encore la Fondation qui a fait la demande officielle auprès des organisateurs.
B : Quel a été le rôle de la Fondation pour obtenir ce pavillon ?
A.B : La Fondation s’est, dans un premier temps, adressée au service culturel de l’ambassade de France au Liban. Nous avons pensé, à tort ou a raison nous ne le saurons sans doute jamais, qu’émanant de l’ambassade notre demande serait considérée de manière plus favorable, et ils se sont chargés des contacts préliminaires et ne nous ont informé que quand ils ont eu la certitude d’avoir obtenu une réponse positive. Je dois vous dire que notre demande a été faite relativement tard pour un événement de l’importance du festival de Cannes, c’est à dire à la mi-janvier. Une fois cette approche réussie par le service culturel de l’ambassade réussie, la Fondation a pris le relais et nous nous sommes chargés de tout le reste, démarches administratives, procédures, logistique, mise en place dans un laps de temps très court…. Vous voyez les cartons qui sont à côté de vous seront à Cannes la semaine prochaine !! Quoi qu’il en soit nous avons maintenant un pavillon de 25 m2 à l’intérieur et 25m2 de terrasse.
B : D’autres personnes ou organismes vous-ont ils aidé ?
A.B : Absolument, en premier lieu le ministère du tourisme a tout de suite accepté et même souhaité que l’idée aille à son terme. Pourquoi ce ministère et pas celui de la culture me direz-vous. Et bien il faut expliquer la relation qui unit le cinéma et le tourisme au Liban. Je ne parle pas ici de tourisme au sens habituel du terme, mais de part sa situation géographique, son climat, sa tradition d’accueil et son histoire le Liban offre d’immenses possibilités pour des tournages. Et donc des retombées en terme d’image pour le pays d’une part et en terme de location de matériel, d’hébergement des équipes, de transport, d’autre part. On peut ajouter à cela d’autres atouts très importants, à savoir les compétences des Libanais dans les industries de création et les équipements techniques disponibles sur place qui sont au niveau de ce qui se fait de mieux dans le monde. A ce titre le Liban est un pays producteur de films même si le volume d’environ deux films par an reste en dessous de sa capacité, mais c’est justement sur la promotion de l’image du Liban en tant que pays d’accueil et sur l’augmentation du nombre de films tournés au Liban que nous allons axer notre présence au festival. Le ministère nous a doté des documents nécessaires pour la promotion du Liban dans ce sens, nous même nous distribuerons des CD roms de présentation du pays, du cinéma libanais, des ressources techniques et humaines disponibles.. Donc le ministère a été un partenaire actif mais compte tenu des récents événements qui ont eu lieu à Beyrouth, le ministère lui-même s’est retrouvé bloqué et le projet n’aurait pas pu voir le jour si l’office du tourisme du Liban à Paris et son directeur Serge Akl, n’avait immédiatement pris le relais. Le Festival de Beit ed Dine, en la personne de sa présidente Madame Nora Joumblatt, est également partenaire de cette opération. Nous souhaitions cependant associer le secteur privé à ce projet et certaines sociétés libanaises importantes nous ont apporté leur soutien.
B : Les récents développement de l’actualité sont ils de nature à changer l’industrie cinématographique au Liban ? Ont-ils influé sur l’obtention de ce pavillon ?
A.B : Quand je suis allée à Paris en mars rencontrer les organisateurs du Festival, je pensais réellement devoir reporter notre présence à l’année prochaine. Mais après avoir expliqué les difficultés que je rencontrais, la réponse des organisateurs a été unanimes : « Il faut que le Liban y soit, surtout cette année après ce que s’est passé ». A cette époque, comme je l’ai dit plus haut, notre partenaire principal, le ministère du tourisme, était en situation de blocage et notre participation remise en cause. J’ai donc répondu aux organisateurs : « Si vous tenez tant à ce que nous y soyons, offrez nous le pavillon ! » (rires)… Bien sûr nous tenions également beaucoup à ce que le drapeau du Liban flotte au Festival qui est la plus grande, la plus prestigieuse et la meilleure vitrine qui soit; près de 4000 journalistes et presque tous les médias du monde couvrent cet événement. Après que le Liban ait fait les gros titres de l’actualité pour les raisons que l’on sait, nous attendons beaucoup de notre présence qui a finalement été possible grâce aux organismes et aux personnes que j’ai déjà cités. Pour ce qui est le cinéma libanais lui-même, une page vient d’être tournée avec le retrait des troupes syriennes du Liban. Le pays retrouve sa souveraineté et son indépendance, je pense que cela va avoir des effets sur la création cinématographique locale dans le sens où on devrait passer d’un cinéma de guerre à un cinéma plus ancré dans les problèmes sociaux, économiques, culturels qui sont nombreux au Liban mais qui sont également une richesse dont le cinéma peut se nourrir. Bref un cinéma plus actuel, tourné vers l’avenir et plus universel.
B : Quels sont les autres facteurs qui pourraient aider au développement de cette industrie au Liban ?
A.B : Tout d’abord un engagement plus soutenu des pouvoirs publics pour la mise en place d’une réelle politique culturelle. Cela passe par des mesures et des procédures douanières simplifiées, des incitations fiscales pour l’investissement du secteur privé dans les actions culturelles, la création d’un fonds de soutien, bref toute une panoplie d’outils qu permettrait de développer ce secteur très vivant de l’économie nationale. La fondation a d’ailleurs conduit des discussions avec l’ambassade de France afin que des commissions parlementaires soient créées après les prochaines élections pour que des experts européens apportent leur soutien à des réunions interministérielles dans ce sens. Ceci dit d’autres tâches attendent le futur gouvernement…Nous verrons quand il sera opportun de faire figurer cela sur l’agenda de nos futurs ministres.
B : Qui représentera le Liban sur le pavillon ?
A.B : La Fondation Liban Cinéma ! Six membres du conseil d’administration seront à Cannes et vont se relayer sur le pavillon…De plus nous serons accompagnés par des jeunes pour accueillir les visiteurs que nous attendons nombreux de 10 heures le matin à 21 heures.
B : Quels sont les événements programmés sur le pavillon ?
A.B : Le 16 mai nous donnerons une grande conférence de presse à 17pour laquelle de nombreuses personnes, plus d’une centaine !, nous ont déjà confirmé leur présence. Il y aura des représentants du Liban bien entendu, du ministère de affaires étrangères français et du monde du cinéma bien entendu…La conférence sera suivie d’un cocktail auquel nous convions tous les amis du Liban et du cinéma de nous rejoindre. Et tous les jours nous organisons des rencontres autour d’un mézzé libanais entre nos cinéastes libanais et des producteurs, des personnalités du cinéma international sur le pavillon. Ceci bien entendu en plus de la projection de films, de documentaires et de la distribution de CD Rom de présentation de l’industrie cinématographique libanaise et de ses principaux acteurs ainsi que la vente de livres de présentation du Liban.
B : Que peut-on vous souhaiter avant le départ ?
A.B : Tout est allé si vite !! De n’avoir rien oublié et de garder à l’esprit que c’est la première année. Nous souhaitons bien sûr renouveler cette participation, si cela pouvait se faire l’année prochaine ce serait formidable car nous attendons six ou sept films dont certains seront sans doute sélectionnés à Cannes.
Le pavillon avec des films en compétition n’en serait que plus en vue.
B : Et pourquoi pas une palme d’or ?
A.B : Un jour sûrement, ça serait merveilleux !!

Propos recueillis le 9 Mai 2005, pour Berytech, par Yann Rotil


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Public:
vous souhaitez visiter ou avoir des informations sur le
pavillon libanais du
58e Festival de Cannes
du mercredi 11 au dimanche 22 mai 2005


Traiteur libanais à Cannes
de Monaco à Saint-Tropez


Tous les détails sur www.AlCharq.com

L’annuaire du cinéma sur CD-Rom
Comme stratégie promotionnelle, un CD-Rom sera distribué sur place. Il s’agit d’une mini data-base (sorte d’annuaire) sur l’industrie du cinéma au Liban, offrant surtout une information sur les ressources humaines et techniques disponibles. Il comprendra un listing des sociétés privées spécialisées dans l’industrie du cinéma ; un aperçu sur l’histoire du 7e art libanais ; un aperçu des films réalisés depuis 1990 ; une galerie de photos pour promouvoir le pays comme site de tournage et une présentation de films en production et de scénarios en quête de production.


7ème Art et Tourisme alliés pour la promotion du Liban

Il convient de noter que cette opération de pavillon libanais au Festival de Cannes s'inscrit dans une opération de communication visant, outre le développement de la notoriété du cinéma libanais, à promouvoir les multiples atouts touristiques du Liban.
C'est la raison pour laquelle le Ministère du Tourisme apparait comme le maitre d'oeuvre de cette opération bien réconfortante dans cette période ou un nouvel avenir se dessine pour le Liban.

Office du Tourisme du Liban:
124, Rue du Faubourg Saint-Honoré
Paris 8è, Tél: 01 43 591213

Parce que le Liban ne se décrit pas, il se vit!