KEO
Bienvenue
à bord!
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Le
satellite KEO est un projet de satellite soutenu par l'UNESCO
(qui l'a élu "Projet du XXIème siècle").
Ce satellite sera envoyé dans l'espace courant 2007/08,
et devrait retourner sur la Terre dans 50000 ans. Il contiendra
des messages d'habitants de notre planète d'aujourd'hui;
ces messages seront un témoignage de notre civilisation
pour les générations futures.
Dès 2008, l'ensemble de tous nos messages sera analysé.
Ainsi pourrons-nous découvrir toutes les cultures du monde
par la voix de leurs populations dans l'espoir de réaliser
un monde plus juste et plus tolérant entre les Hommes.
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Les libanais sont donc conviés à participer
au projet Kéo
en envoyant leurs messages!
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Toute
l'actualité planétaire de Kéo est en ligne
dans le Kéomag
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Quand on dit " diversité culturelle et dialogue entre
civilisations " on pense bien évidemment au Liban, ce
pays dont l'histoire témoigne d'une tradition d'ouverture,
de métissage et d'échange. Les Libanais ont compris que
la tolérance et l'acceptation des différences des uns
et des autres fortifient le tissu d'une nation. Et si
aujourd'hui toutes les populations du monde se disaient
: avant d'être libanais, chinois, français, américains
ou autres… Ne sommes-nous pas tous des représentants de
l'espèce humaine, ne vivons-nous pas tous sur une même
Terre … ?
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Une Terre fragile, autant
que le cœur humain…
Que pourrions-nous faire pour la
protéger ? Quel futur pourrions-nous forger ensemble ?
Et comment construire un monde plus humain entre nous
dès aujourd'hui ?
Dans une tentative de répondre à ces questions le projet
KEO " L'oiseau archéologique du futur " a vu le jour.
Elu " Projet du XXIème siècle " par l'UNESCO, KEO est
une œuvre universelle qui vise à rassembler toutes les
cultures du monde pour refléter une image fidèle de la
pensée des Hommes du XXIème siècle et à renouer un dialogue
entre les civilisations.
C'est ainsi que chaque personne sur Terre est invitée
aujourd'hui à écrire un message, anonyme si elle le souhaite,
pour exprimer ce qu'elle juge important de partager avec
les autres cultures. Pour la première fois, l'Histoire
est écrite par chacun de nous. KEO : un projet qui donne
la parole à tout être humain, soulignant tout simplement
que le message d'un enfant criant sa misère est aussi
digne d'intérêt que celui d'un Prix Nobel de littérature.
TOUS les messages, sans aucune censure, seront gravés
par rayons laser sur des disques de verre et embarqués
à bord d'un satellite qui se nomme KEO et qui sera lancé
dans l'espace gracieusement pour revenir sur Terre dans
plusieurs siècles avec l'ensemble de nos messages intactes,
tel un trésor archéologique à nos lointains petits enfants.
Tous nos messages seront dupliqués et rendus anonymes
pour d'une part être en libre accès sur notre site Internet
et d'autre part pour être soumis à des analyses linguistiques
et sociologiques. Leurs études permettront aux chercheurs,
aux universités, aux sociologues, aux ethnologues et à
chacun de nous de découvrir nos " frères " : les Hommes
d'aujourd'hui. Et si nous étions tous invités à contribuer
au Grand Livre de notre destin inscrivant nos pensées,
nos espoirs, nos rêves, nos révoltes, nos témoignages
?
KEO, projet humaniste à but non lucratif, entend mobiliser
les énergies positives et sensibiliser le plus grand nombre,
en particulier les enfants et les jeunes générations du
monde, aux problèmes contemporains qui mettent en jeu
l'avenir de l'espèce humaine. A son origine, projet porteur
de rêve, KEO est devenu aujourd'hui un projet mondial
qui se développe à travers les cinq continents. A ce jour,
il a déjà reçu des centaines de milliers de messages en
provenance du monde entier.
Ecrivez votre message avant fin 2006: www.keo.org
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Keo en Anglais / Keo in
English?
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KEO le satellite porteur des espoirs du monde
élu au titre de
"Projet du XXIème Siècle" par l'UNESCO
KEO ? Un cadeau
archéologique pour nos descendants, Un moyen pour
chacun de faire entendre sa voix, De témoigner
de sa culture et de participer à la construction
d'un monde plus juste
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Une oeuvre collective, à vocation universelle
est actuellement en cours de constitution : toute
personne sur Terre est invitée dans sa propre
langue à prendre la parole et dispose de 4 pages
de liberté pour témoigner de ses modes de pensée,
de ses valeurs, de sa vie, de ses espoirs, de
ses peurs, de ses attentes…
A l'horizon 2007/2008 l'ensemble de cette oeuvre
collective sera embarqué à bord du satellite KEO,
conçu pour revenir sur son sol natal, intact,
après un long voyage de plusieurs dizaines de
milliers d'années autour de la planète Terre afin
d'offrir au monde de demain une image infalsifiable
des Hommes d'aujourd'hui.
Dès leur mise en orbite, tous nos messages - rendus
anonymes dans leur copie conservée sur Terre -
feront l'objet d'analyses linguistiques et sociologiques.
Des cartographies de sens et de contenu ainsi
que des images comparatives de nos cultures en
résulteront qui nourriront le débat public en
aidant à répondre aux questions " qui sommes-nous
? " et " quel monde plus harmonieux pourrions-nous
concevoir ensemble, dès aujourd'hui ".
Dans ce moment de l'Histoire où l'Humanité s'apprête
à relever des défis de civilisation sans précédents
le projet KEO préfigure les actions qui pourraient
faciliter le dialogue entre les Hommes et initier
une véritable fraternité d'espèce.
" …l'Humanité ne se
donnera d'avenir que celui qu'elle saura se construire
par ses capacités à savoir penser… " Albert Schweitzer,
Prix Nobel de la Paix
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D'autres
liens pour connaitre Keo
>> Kéo
en images...
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>> Bientôt des échos sur Kéo
dans le monde arabe, Egypte, Maroc, etc...
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Eté 2005
L’Unesco inscrit le Liban sur le
registre « Mémoire du monde » des collections documentaires:
la nécessité d'une seule et même lecture
par les Libanais de leur passé
Pour
le ministre de la Culture, Tarek Mitri, les Libanais ont
fort à faire pour développer le Liban au sein de leur
mémoire, renforcer son prestige et l’immuniser, surtout
qu’ils vivent à l’heure où tout un chacun se perd dans
les méandres de cette mémoire, avec tous les soucis corollaires
qu’elle engendre. Il a notamment insisté sur la nécessité
que les Libanais, tous les Libanais, lisent leur passé
et l’appréhendent de la même façon. Le ministre Mitri
parrainait le 3 Août 2005 une conférence de presse
à l’occasion de l’inscription du Liban par l’Unesco, pour
la première fois, sur le registre « Mémoire du monde »
des collections documentaires. Une conférence à laquelle
assistaient, entre autres, la secrétaire générale de la
commission nationale de l’Unesco Salwa Siniora Baassiri,
le PDG de la Fondation des archives nationales Fouad Obeid,
le directeur général du ministère de la Culture Omar Halablab,
et le président du conseil exécutif de l’Alesco Hicham
Nachabé.
Salwa Baassiri a relevé que le Liban confirme de nouveau
sa place, et avec force, sur la scène internationale.
En braquant à nouveau les projecteurs sur son patrimoine
civilisationnel – qui a marqué de son empreinte l’histoire
de l’humanité –, sur une culture contemporaine et authentique,
une pensée richissime parce que totalement perméable et
ouverte à la diversité, et sur sa prise de conscience
et son assimilation de ce qui se transforme, de ce qui
évolue, en un mot : du progrès. Pour sa part, Fouad Obeid
a tenu à rappeler que celui qui ne prend pas soin de sa
mémoire, qui ne la protège pas, ne pourra pas prétendre
planifier sérieusement son avenir.
« Notre problème au Liban, c’est que la majorité d’entre
nous n’a aucune idée de l’importance de cette mémoire
; certains la négligent sciemment, d’autres ne le font
pas exprès », a-t-il déploré, soulignant l’importance
pour le citoyen de connaître comme il se doit l’histoire
de son pays, et des efforts qui doivent être faits pour
soutenir cet apprentissage.
Membre de la commission nationale pour la Mémoire du monde,
Ibrahim Kawkabani a insisté sur la fierté, maintenant
que le Liban est inscrit sur le registre « Mémoire du
monde ». « Notre pays, malgré l’étroitesse de son territoire,
mais grâce à la majesté de son histoire, a su trouver
sa place au sein des États et renforcer son message civilisationnel,
qu’il continue d’adresser à tous les peuples. »
Quant à Tarek Mitri, il a rappelé que le dialogue autour
de la mémoire avait entraîné, dans les années passées,
bon nombre de conflits et de tiraillements. Ce qui avait
eu pour conséquence négative de créer, artificiellement,
plusieurs mémoires, plusieurs histoires, séparées les
unes des autres. À tel point, a dit le ministre de la
Culture, que « d’aucuns ont fini par dire que la mémoire
est à la base des conflits. Mais moi je fais partie de
ceux qui sont persuadés que les conflits réinventent la
mémoire. La mémoire n’est pas la source des conflits ou
des guerres ; ce sont ces conflits, ces guerres, ces troubles
entre les différents groupes qui créent une mémoire et
mettent un terme aux histoires individuelles, séparées
les unes des autres », a-t-il affirmé. « Je souhaiterais
que cette reconnaissance de la part de l’Unesco soit un
tremplin pour nous, afin que nous puissions nous forger
une mémoire commune, une mémoire pour le Liban qui se
taillerait la place qu’il mérite au cœur de l’identité
des Libanais », a conclu Tarek Mitri.
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A la lecture de cet article, vous serez sans aucun
doute convaincu qu'envoyer un message par Kéo
est un excellent moyen de devenir un témoin
de la mémoire collective libanaise!
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Kéo dans
le monde arabe
La communication de Kéo en Egypte
a bien démarré avec la conférence
de presse du 24 septembre au CultNat, suivie de plusieurs
rendez-vous avec des journalistes. Le contact avec Dr.Fathi
Saleh, le directeur de Cultnat (le centre de documentation
du patrimoine culturel et naturel) est vraiment un des
points forts de notre séjour, puisque M.Saleh a
beaucoup apprécié le projet et a décidé
d'organiser une exposition KEO au Cultnat dans le but
de relancer la communication auprès des journalistes
entre autres, un événement prévu
normalement dans les semaines qui viennent.
Cette exposition sera dupliquée à la Bibliothèque
d'Alexandrie seront organisées et suivies d'autres
dans plusieurs centres culturels et
à l'université américaine du Caire
(AUC).
Par ailleurs, les vices-présidents des 3 principales
universités du Caire ont décidé en
accord avec le Ministère de déléguer
quelqu'un parmi les étudiants qui va prendre en
charge la communication de KEO dans l'enceinte de chaque
université. En revanche, dans les petites écoles,
il n'y a pas encore de décision prise pour l'acheminement
des Guides pédagogiques. C'est uniquement par le
site Internet du Ministère dans le lien suivant
: http://www1.emoe.org/Teacher/inside.aspx?sub1=keo
que les professeurs pourront accéder à notre
Guide pédagogique.
Le financement de ces guides pédagogiques et leur
distribution aux professeurs reste encore cependant un
vrai problème...
Deuxièmement, nous avons bien avancé au
niveau de la communication en Syrie
et en Jordanie. Nous avons
eu une réunion très importante avec Madame
Chaghaf Kayaly auprès de l'ambassade de Syrie qui
a décidé d'envoyer les documents de KEO
à plusieurs ministères à Damas pour
que la communication prenne un grand ampleur. Nous sommes
invités en Syrie par le gouvernement, reste juste
à préciser les dates.
En ce qui concerne la Jordanie, nous avons eu un entretien
téléphonique avec le secrétaire général
du ministère de Éducation, qui nous a confirmé
l'intérêt particulier porté par le
Roi et la Reine de Jordanie pour le projet KEO. Déjà,
l'attachée culturelle est sur place pour coordonner
toutes les actions avant notre arrivée...
Coté pays du Golfe,
nous devons aborder des personnalités dites "clés"
afin de concrétiser nos aspirations,
après avoir rencontré les différents
ambassadeurs et attachés culturels.
Concernant le LIBAN, les premiers contactsavec le ministère
de l'éducation sont prévus d'ici la fin
2005.
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Contacter
Kéo?
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par email/courriel:
ou
par la page "contacts" du site-web de Kéo
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Cette Page est encore en développement...
LibanVision/JMD 2005
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